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Le défi du samedi

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25 septembre 2010

La Vie comme elle va … (Teb)

La Vie comme elle va …

Je m'appelle Pincipelle

Mon père, le poisson-scie…

A chopé la pince de la belle qui s’était pris une pelle…

Ils ne se sont plus quittés !

Et me voici ...

pincipelle

Je suis vraiment un drôle d’outil J !!!

                                                                                                   nb : dr_le_d_outil

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25 septembre 2010

Quand l'Aggrippine aviaire contrarie un héron, faites la liaison ! (Joe Krapov)

DDS116_heron03- Dis donc, vieille tare puante gluante, ta nullasse de copine va se faire avoiner la gueule si elle persiste à rouler des gades à tous les gnolguis qui la matent !
- Sais, tu, ma chère amie, que ta copine antipathique va s’attirer de gros ennuis si elle continue d’embrasser tous les garçons qui la regardent ?


- Je m’en bas les yeux grave, N‘héron ! Miss Cuckoo, c’est une pouffe qu’a rien sous L’oréal ! Elle a des plans canons pour se taper des grumeaux bouffis. C’est sûr qu’elle va se prendre un pain dans lague un de ces quatre mais toi, bloc d’agglo, tu m’esclaves avec tes scoops crevés sur cette morue à gros nibards !
- Je m’en fiche impérialement, N’héron ! Miss Cuckoo fait partie de ces filles pas forcément très intelligentes qui caressent toujours des projets très intéressants et ont des vues sur des garçons sans grand intérêt. C’est certain qu’un jour ou l’autre elle se prendra une belle claque ! Mais toi, espèce de grand niais, qu’as-tu donc à faire de ces ragots nauséabonds à propos d’une fille vulgaire au corsage bien rempli ?

- Ca me prend vapeur qu’elle vienne baby-sitter si souvent. Quand on n’a pas une goutte, c’est pas avec des jobs comme ça qu’on va faire une montagne de jus !
- Ca m’énerve un peu, à vrai dire, qu’elle vienne si souvent garder les enfants. Sans compter qu’elle n’y gagne pas beaucoup d’argent…

- Ca me plie les bronches de t’entendre dire ça alors que j’ai plus rien à me griffer sur leuque ! Sans kidde, tu crois que ça cascade un max, ton job de poète du dimanche ? Quand est-ce que tu nous ponds ta sedan du narca avec ses œufs d’or, ma poule ? Tu devrais gratter des scénars, ça, au moins,  ça ramène du flot !
- Ca m’insupporte que tu dises cela alors que je n’ai plus rien à me mettre sur le dos. Sérieusement, tu crois que ça rapporte beaucoup d’argent ton métier d’oiseau-poète ? Et quand est-ce que tu nous concoctes l’équivalent de la « Danse des canards » ? Tu devrais écrire des scénarios de films, ça au moins ça rapporte de l’argent !

- Tu parles sous toi ! J’en ai peanuts à traire si ça n’a pas été le don avec les producteurs ! Au moins j’ai libéré l’aura. Mon opéra-rock pour oiseau-lyre, ciel incendiaire et orchestre, je labeure dessus night and day. Tu vas collapser raide quand il sera donné ! Ca va trouer tes biomanes !
- Tu dis n’importe quoi ! Je m’en fiche, du pognon ! Ce qui m’intéresse c’est d’exprimer mon tempérament. Mon opéra pour oiseau-lyre, ciel incendiaire et orchestre, je travaille dessus jour et nuit et tu vas tomber raide de saisissement le jour où il sera joué ! Tes parents vont être bien étonnés !

- Overdose, le momac ! Tu fais vraimench’ ! T’es pas assez polyglotte comme obsédé ! Je suis au courant  depuis trois mille ans que t’es pas performe ! J’ai beau être très prude comme pouffe, ca me plie de voir que t’es un raymond à gerber. D’ailleurs, autant que tu le saches, je me casse away !
- Tu m’ennuies, bonhomme ! Tu ne connais pas suffisamment bien les langues étrangères et moi je sais depuis longtemps que tu n’es performant dans aucun domaine. J’ai beau être une jeune fille discrète et rangée, ça me sidère toujours de te voir aussi passif en tout. D’ailleurs, autant te prévenir tout de suite, j’ai décidé de te quitter.

Elle s’envole.
Elle s’envole.

DDS116_heron02


Resté seul, N’héron cogite :
Resté seul, N’héron réfléchit :


DDS116_heron01- Ca va être farineux si je le prends douleur comme break ! Ca faisait trop longtemps qu’on se foutait sur lague ! Phoque la morue ! Le vieux joke ! Comment j’ai grugé le pigeon ! Maintenant je peux conclure avec Miss Cuckoo ! La famille one mariage, c’est trop galère ! Sur ce coup là, t’as été giga, N’héron !
- Cela ne sera pas très gratifiant si je prends à cœur cette séparation et si de surcroît je me mets à en souffrir. En même temps, ça faisait tellement longtemps qu’on se plumait, elle et moi ! Allons, quelle galéjade ! Je vois que je l’ai bien arnaquée. Je peux aller vivre maintenant le parfait amour avec Miss Cuckoo. Il est temps que je goûte moi aussi aux plaisirs de la famille recomposée ! Soyons modernes, que diable !

P.S. Merci à Mme Claire Bretécher pour son inventivité ! Les photos ont été prises à Rennes et à Redon.

25 septembre 2010

Déclaration enrouée dans une jachère chantante (Pivoine)

L'écriture a mal au cunéiforme
Et au signal alphabétique
L'écritoire a mal au bec
L'ordinateur crachote toutes ses puces
Le sculpteur a une épaule arthritique
L'esprit se vide de sa substance

L'herbe croît au milieu du bon grain et de l'ivraie
L'oiseau a ses artères handicapées
Il est ce coeur en forme de crampons rouillés
Un coeur vêtu à l'as de pique
Comme un roi nu mais que l'on croit vêtu
Avec une perruque de cheveux mouillés

Pauvre hère  Tel
L'écrivain poussif dans sa poussière de bulles
Perdu dans le clinquant de la boîte à outils

Et comme chacun s'en doute
Voilà la fin
De mots humains rêvés pour l'âme soeur
Triste ou indifférente  Cette faim
D'une histoire de pics parallèles
Qui ne se rejoindront hélas jamais...
25 septembre 2010

Un drôle d'oiseau‏ (Lorraine)

Je suis l’oiseau né d’un mystère

Moitié femme, moitié martien

Souriez-moi. C ‘est pour vous plaire

Que j’ai le regard batracien

 

J’ai un long cou habile et fin

Le bec effilé des cigognes

Je n’ai pas un cœur d’aigrefin

Ce que je reçois, je le donne

 

J’ai reçu la patte gracile

Le nez frissonnant et l’œil doux

Une huppe, aucun bacille

Si vous voulez, épousons-nous

 

Je vous donnerai de l’amour

Du bonheur et de l’espérance

Ne riez pas comme un tambour

Ce que je vous dis, je le pense

 

Si vous croyez que je délire

Partez donc et tant pis pour vous

Un autre viendra me chérir

Et me supplier à genoux

 

Je suis l’oiseau sans queue ni tête,

Qui voudrait être aimée pourtant

Quelquefois je pleure en cachette

Puis je m’endors, près de l’étang…


25 septembre 2010

Complainte du héron cendré (Vegas sur sarthe)

"Un jour, sur ses pincettes, allait je ne sais où,
Le Héron égoïne emmanché d'une pelle."

Oui! Je sais qu'il n'y a point de rime en ces mots
mais la faute en revient au fieffé bricolo,
bricoleur du dimanch' ou plutôt Samedi
qui m'a mis sur le dos et la pelle et la scie!

Je l'aurais parié! j'entends se retourner
Monsieur de La Fontaine en son Père Lachaise,
ignorant qu'aujourd'hui on aime recycler
et peupler nos jardins de grinçantes foutaises.

J'eus même préféré une tête de veau
au tarin persillé ou à la fine aigrette
plutôt qu'une égoïne, un outil d'opérette
pourquoi pas la faucille ou même le marteau?

Des pincettes noircies à la pelle à charbon
je ne sais qui des deux me donne des boutons,
pour un héron cendré me voilà bien servi,
vous pouvez jubiler... défis du Samedi!

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25 septembre 2010

L'AGONIE DU PHENIX (Cédille)

J'étais oiseau de feu, Phénix de légende,
J'agonisais le soir pour renaître au matin,
Vénéré des humains j'illuminais le monde,
La mystique du feu tel était mon destin.

Au temple du soleil j'étais l'enfant de Rê,
Sur la barque sacrée nous voguions de concert,
Chevauchant hardiment les vagues de l'Enfer,
J'étais Roi, j'étais Dieu, sur l'autel vénéré.

Un jour les dieux moururent, au progrès sacrifiés,
On célébra l'atome et l'électricité
Puis l'on me délaissa pour le feu nucléaire
Qui déchira mes os et me rongea les chairs.

Depuis je gis ici à l'ombre d'une clairière,
J'ai perdu ma superbe, de rayons je n'ai plus,
Comme un métal rouillé je m'effondre en poussière,
Les hommes ne m'aiment plus, les Dieux ont disparu.


25 septembre 2010

Drôle d’oiseau (MAP)

« Quand l’oiseau-scie lance son cri

le bois entier est décimé ! »

*

« Quand l’oiseau « SILENCE » (sans cri)

mime la scie, point de copeaux ! »

*

« Par chemins routes et sentiers

quand l’oiseau s’y lance sans cric

impossible de faire la roue ! »

*

Voilà ce que se disait l’oiseau-scie qui rêvait d’être un grand poète. Il avait des idées à la pelle mais son caractère ombrageux nuisait à son image de marque. Certains jours en effet il n’était pas à prendre avec des pincettes !

Drôle d’oiseau que cet oiseau-scie !

Drôle de scie en bec à oiseau !

Drôle de bec où l’on mit la scie

* * *

25 septembre 2010

Discours, sinon davantage (Joye)

Madame la Vis présidente,  Mètre Walrus,  chers Demis Oiseau et Demi Oiselles d’honneur, et tous les gentils membres des Défiants samediens, merci pour cet accueil chalumeau…euh…chaleureux.

Je suis fort heureux de vous parler ce soir d’un sujet qui m’est important – tellement important que je vais le dire même en anglais afin que certains parmi vous comprennent à tel point équerre.  Équerre à lotte.

Car, voyez-vous, chers amis, je vais vous parler un peu de l’espèce qui est la mienne : je suis moi-même un de ces rara avis, oui, je suis un Outiboeurde.   

Je suis né à Écouvillon-sur-Merle, un jour où il pleuvait des cordes.  Mon père était un quincaillier et ma mère une poinçonneuse.  Nous étions tellement pauvres que nous dormions à tête-bêche dans l’atelier de mon père, où il travaillait pour des clous.

Depuis ma plus jeune enfance, je savais que j’étais un drôle d’oiseau. Les autres me taquinaient cruellement. Eux, ils avaient des plumes, moi, des enclumes.  Les oies, elles se moquaient de mes faucilles. Tout le monde me martelait à la récré. Ils étaient vraiment des rabot-joie, mais j’essayais de rester poulie. Souvent, pour me donner du courage, je fredonnais, tout seul dans mon coin, « Ça plane pour moi » - récemment devenue lime nationale de mon espèce.

Mais diable !  Ça volait bien bas ! Oh, oui, j’avais un ami, mais lorsque mes relations avec  Guillaume des Feuillères  ont  dérâpé,  j’étais complètement scié.  Je pleurais « Aïe ! Aïe !  Aïe ! Aïe ! Aïe ! Aïe ! »  Oui, six aïes misérables !

Et, soudain, j’ai entendu une voix doucine, et devant moi se trouvait mon diamant, jolie comme une fraise,  la fille qui m’a sauvé de mon désespoir - mon diamant, ma douille chérie- qui me murmurait :

- Ah non, non, ne pleure pas, mon pince-sans-rire, je suis là.

C’était elle ! Épuisette Laconsigne, elle qui a fait de moi un Outiboeurde connu et qui m’a donné la possibilité de joindre l’outil à l’agréable, qui m’a mis au bouleau, à voyager autour du monde pour vous parler de mon roman-à-clef, l’histoire de ma vie d’Outiboeurde.

Et tout le reste, comme a dit Verlaine, est littérature.  Très prochainement disponible en librairie.

Merci  sincèrement à tous et à toutes.

Bonsoir.

18 septembre 2010

Défi #116

Pour ce nouveau défi, il vous sera demandé de faire parler ce drôle d'oiseau !

En vers, en prose, en tout ce que vous voulez

mais qu'il parle !!!

DSCF5296

Adresse de vos envois : 

samedidefi@hotmail.fr

A vos plumes !!!! Un p'tit "bec" pour vous encourager !

18 septembre 2010

Nous ont interprété leur fugue du doudou...

18 septembre 2010

défi des "doudous" (KatyL)

Comme je vous l'ai expliqué je n'avais pas de "doudou" petite , je 
serrai bien fort mon oreiller dans mes bras ... et je lui faisais un
gros câlin...
En face de chez moi dans la cour carrée d'immeubles anciens, à PARIS, il
y avait une petite fille qui avait une "bécassine" et qui me narguait
sans cesse en me montrant sa bécassine à la fenêtre.
J'étais obsédée par cette bécassine..qui devait être son doudou à elle...

J'ai grandi sans doudou, mais ce qui ne s'est pas fait dans cette
enfance est venu après...

est-ce ainsi pour tout le monde ?

J'ai eu mes deux enfants,  qui eux n'ont manqué de rien et ont eu leurs
doudous à eux divers et variés, mais celui préféré de mon deuxième fils
était un petite couverture que je lui avait confectionné moi-même qui
était toute bleue et rayée de blanc, j'avais mis autour une bordure en
ruban de satin bleu, et c'est cette couverture qui ne l'a pas quitté.

Il la promenait partout, il ne fallait surtout pas l'oublier.. il l'a
dépenaillée à force de câlins et de lavages...
je l'ai rétrécie, mais je lui recousais à chaque fois et je le revois
attendant sa couverture..

Un jour je lui dit: " Martial tu es grand , crois tu que tu pourrais me
montrer que tu es grand et laisser un peu ta couverture de  côté, je ne
te la jette pas , mais on va la ranger ensemble, si tu veux ? et si tu
la veux vraiment une fois en passant tu sauras qu'elle est là, tout
comme ta maman , es tu d'accord?" il a dit :"OUI"
Il a pris sa couverture et l'a rangé lui-même et il ne l'a jamais
reprise..un jour je lui ai demandé :
Martial me donnes tu l'autorisation de jeter ton doudou? il m'a dit:" oh
oui! je l'avais oublié, il doit être beau!" on a bien rit et on a
enterré la couverture .. comme pour lui faire le passage entre le bébé
et le petit garçon qu'il était devenu.

Moi je 'ai pas eu de doudou, mais en allant en Bretagne j'ai fais des
kms et des kms pour trouver une bécassine, je l'ai acheté ( j'avais au
moins 25 ans !!)

Plus quelques nounours et quelques poupées. Les nounours trônent dans ma
chambre et deux à trois poupées dans un vieux landau.

Je vous envoie quelques photos de mes doudous d'adulte ?, quoique j'en
doute ? suis-je adulte ?
à m'acheter des nounours ?? enfin c'est ainsi .. je n'en ai pas honte,
je suis contente d'avoir réalisé un vieux rêve enfoui...

On a besoin de câlins toute notre vie ..

katy2 katy1 katy3

    
18 septembre 2010

Recherche (Brigou)

brigou2

18 septembre 2010

Doudous pa'tis... (32Octobre)

32_doudou
Cliquez sur l'image pour agrandir

18 septembre 2010

Trois petits tours et puis s'en vont (Venise)

100913_doudou

Cliquez sur l'image pour agrandir

18 septembre 2010

Complainte (MAP)

Mon_DOUDOUD

Projet0

18 septembre 2010

C'est pas une histoire de ouf (Violette)

C'est pas une histoire de ouf
Je m'appelle vraiment Violette Beaudou
Inf' sco' bien nommée bobo doudou
sachant mieux que vous
où sont restés les doudous.....
Vous resterez sur votre faim mes loulous
De ces secrets je ne dis pas tout
car il y en a des doux et des dou
loureux pour ceux qui partout
chercheront leur éternel doudou
C'est pas une histoire de ouf
18 septembre 2010

Doux d'où? (vegas sur sarthe)

Il est un paradis, un endroit des plus doux
où dorment, orphelins des milliers de doudous,
celui des jours heureux qui naquit dans un chou,
doudou des nuits sans fin quand miaulent les hiboux.

Celui des gros chagrins, du bobo d'un caillou,
le doudou pansement qui soigne les genoux,
celui jamais lavé, qu'on dirait plein de poux,
le doudou satiné plus précieux qu'un bijou.

Celui qui vaut bien plus que les plus beaux joujoux,
et puis le tien, le mien, enfin notre doudou.
Pluriel ou singulier on s'en moque après tout
car dans ce paradis tous les doudous sont doux.

18 septembre 2010

"mon doudou ? je l'ai toujours" (rsylvie)

Mon doudou n’était pas doux

Car une fois de plus, maman avait voulu trop bien faire tout.

C’était un vrai ours de paille dedans, mon doudou.

avec des bras, des jambes articulés partout, partout

et une toison, comme les vrais nounours.

Pas une des ces peluches en velours

Ou en fausse fourrure synthétique toute douce

Que l’on tripotte et caresse à loisirs la nuit comme le jour.

Non, il ne l’était pas, mais pour mon cœur, si doux…

J’ai joué avec lui comme avec une poupée, docile doudou

Que j’habillé de jolies tenues, bien de chez nous.

Oui, car c’était ma mère qui les confectionnées toutes.

Ce doudou, s’appelle nounours

Mais j’aurais pu l’appeler oreille gnougnou

Tant je l’ai poignassée, Ou nez à trou

À force de frotter, la paille y a fait un joli trou trou.

2ans ½ quand la grande dame qui vient me voir tous

Les jours m’ouvre les bras pour toujours.

Et moi, rencontre d’un jour

Devient sa fille pour toujours.

46 ans de vie parmi nous

Mon doudou d’un jour,

Témoin de cet amour

Ange gardien pour toujours

Sur ma table de nuit, veille nuit et jour.

18 septembre 2010

Mais qu'est-ce que t'as, Doudou, dis donc ? (Joe Krapov)

Le doudou de Robin Hood
Est retourné à Sherwood
En chantant « Johnny, be good !
Retire donc le Hollywood
Ch’wing-gum collé sous mon coude !”

Le doudou de Oum Khalsoum
S’en est allé à Khartoum
Manger des rahat loukoums
En écoutant des pantoums.
Là, il prospère. Youp la boum !

La baleine en peluche
Au pelage si doux
De cette foutue greluche,
Miss Laure Manaudou,
S’est égarée dans le mois d’août
Sur les chemins de Katmandou.

Le doudou de Poupoune
A fait du grabuge au saloon.
Dans la cellule de sa prisoon,
Il regarde au dehors la moon
Et tout en tapant le cartoon
Il prépare son évasioon,
Rêvant d’attaquer un fast-food
Pour répandre à nouveau le blood

Le doudou de Justin Bridou
Maïté
L’a boulotté
D’un seul coup !
Avait-on idée, mon garçon,
D’avoir comme doudou un si long saucisson ?

Et ma doudou à moé ?

Li k’a pa’ti ! Hélas ! Hélas ! C’est pou’ toujou !
Doudou a moé li k’a pa’ti ! Hélas ! Hélas ! C’est pou’ la vie !

DDS115_Mlle_Zell

18 septembre 2010

Doudou tabou (Poupoune)

Que deviennent donc tous les doudous que perdent les marmots aux roses joues ? Exilés au pays des joujoux ? Recueillis par la fée des nounous ? Dévorés par le grand méchant loup ? Non, non, non, vous n’y êtes point du tout !

A la vérité, je vous le dis - et ce n’est pas un scoop, mais une histoire sans entourloupe qu’on se raconte après la soupe - la seconde vie des doudous n’est pas rose du tout… Si par malheur ils tombent entre les mains maousses d’un grand fou qui fout la frousse, ils sont transformés d’un coup en appât à douces frimousses...

On a vu souvent agir ainsi de vieux fous, moches comme des poux, pédophiles et bande-mou : les précieux doudous attirent à eux nos petits bouts d’chou et, sans esbroufe, leurs cris ils étouffent.

C’est pourquoi je m’adresse à vous, les petits canaillous : aux filous qui fourguent des doudous préférez toujours les grigous à roudoudous.

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Le défi du samedi
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