Défi #327
Gilbert Stuart remit durant quinze ans l'achèvement de ce tableau.
Et vous, êtes-vous sujet à la
PROCRASTINATION
ou avez-vous des exemples autour de vous ?
Racontez-nous cela à
samedidefi@gmail.com
A tout bientôt !
Gilbert Stuart remit durant quinze ans l'achèvement de ce tableau.
Et vous, êtes-vous sujet à la
PROCRASTINATION
ou avez-vous des exemples autour de vous ?
Racontez-nous cela à
samedidefi@gmail.com
A tout bientôt !
Venise ; Fairywen ; Vegas sur sarthe ; Joe Krapov ;
Zigmund ; JAK ; bongopinot ; Walrus ; EnlumériA ;
De l’évolution de mon espèce
(courte allocution de Sir Pillow[1])
J’existe depuis longtemps. Très longtemps, même. J’ai d’abord été fait de feuilles, de mousse, de fougères, de fourrure ou de tout autre matériau naturel. Puis, comme tout un chacun, j’ai évolué. En Egypte Antique, par exemple, j’étais fait d’un morceau de bois qui maintenait la nuque. J’ai été sac rempli de paille. Mais je suis aussi devenu coussin moelleux, fait de douces plumes.
On me trempe de larmes, on me fait des confidences qui font trembler des empires et précipitent leur chute –enfin, pas à moi exactement, mais c’est tout comme…-, on me serre contre soi quand on est triste. Je sers aussi à de joyeuses batailles qui s’achèvent parfois dans de grandes envolées de plumes et sont toujours le prétexte de fous rires mémorables.
Mais surtout, je suis le complice de vos nuits, celui sur lequel le soir vous posez vos têtes fatiguées avant de fermer les yeux et de partir au pays des rêves…
L'âge aidant, je l'ai oublié, mon âge.
Mon nom aussi d'ailleurs !
C'est gênant pour les présentations.
Ce l'est d'autant plus que je suis enfermé, seul, dans une vitrine du charmant petit béguinage d'Anderlecht.
Vitrine qui attire immanquablement les regards et me vaut d'ouïr à chaque fois le dialogue standard :
- Oh ! Qu'est-ce que ça peut être ?
- J'en sais fichtre rien !
Mais, attends ! Il y a une étiquette !
Ah... Merde !- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Ils savent pas non plus, ils disent que si on sait, on le leur fasse savoir.
NDLR : Si vous savez, vous pouvez aider !
Je vins au monde aux soieries Abraham, en 1925, quelque part dans la vallée du Rhône. Cette période ma jeune vie est assez floue. J’ai le vague souvenir d’une origine animale puis de mon passage dans d’étranges machines composées de cadres et de rouleaux enchevêtrés et virevoltants dans une stupéfiante danse mécanique. Je me souviens avoir peu à peu acquis ma couleur hyacinthe et ma forme définitive quelques mois plus tard. Lorsque je fus devenu une splendide écharpe, on me plia soigneusement et l’on me déposa dans une boîte de carton fleurant la colle fraîche et l’encre d’imprimerie. Je revis la lumière peu de temps après quand une modiste niçoise m’exposa dans sa vitrine. Je n’attendis pas longtemps pour qu’une cliente de passage m’adoptât par un bel après-midi de mai contre monnaie sonnante et trébuchante. C’est là que je pris conscience de ma véritable valeur.
La dame, fine et gracieuse malgré ses 50 ans, semblait survoler le sol plutôt que d’y marcher. Quelle sensation que le contact de son cou gracile et le doux balancement de sa démarche de danseuse. Malgré les deux tours que je faisais autour de son cou, je battais de mes pointes ses mollets gracieux, juste en dessous de l’extrémité de sa robe de lin.
Dès lors, ma vie fut un tourbillon de lumières, de rires et de musique ponctuée de phrases chantantes susurrées d’une voix de contre-alto par ma maîtresse. Étrange destin que celui d’une écharpe de soie hyacinthe devenue la parure d’une star aux pieds nus, vieillissante et bisexuelle.
Un jour, ma maîtresse s’enticha d’un garagiste du nom de Benoît Falchetto de vingt ans son cadet. Décidée à croquer son jeune mécanicien, elle acquit sur son conseil une Amilcar GS 1924, élégante automobile bleu azur équipée de gracieuses roues à rayons, prétexte à multiplier les rencontres avec son prince de la mécanique.
Un après-midi de septembre, sous un soleil propice aux amours improbables, Isadora m’enroula autour de son adorable cou et quitta son studio de danse au volant de son Amilcar, la tête pleine d’indicibles projets. J’entends encore ses dernières paroles : « Je vole vers l’amour ! » Le cœur rempli d’allégresse, elle me laissa danser au vent de son bolide. C’est en arrivant sur la Promenade des Anglais que, mue par une curiosité soudaine, je m’approchai inconsidérément de la roue arrière droite. La griserie de l’air filant autour de moi s’interrompit si brutalement que j’en ressenti un douloureux tiraillement. Par un incompréhensible concours de circonstance, je m’enroulai autour de cette roue de malheur sans parvenir à lâcher la gorge d’albâtre que j’ornais de ma chatoyance. On raconte que la soie dont je suis faite est une des plus résistantes au monde et que c’est pour cela que ma dame trouva la mort, la nuque brisée net.
Ainsi s’acheva ma destinée d’écharpe de soie et l’existence d’Isadora Duncan morte d’avoir été trop élégante et trop amoureuse de la vie.
Évreux, 27 novembre 2014
On m'avait dit : « Tu n'es qu'un tire-bouchon.
Prendr'd'la bouteille, ce n'est pas toujours bon.
A quoi ça sert de vouloir tout ouvrir ?
Laiss' les bocaux, ils ne sont pas pour rire. »
On m'avait dit : « On ira voir Liège. »
Et chuis toujours tombé dans le piège.
Maman m'a dit : « Fais gaffe à ton hélice ! »
Et j'ai grandi, craignant les capsules à vis.
Qui a le droit, qui a le droit,
Qui a le droit de dire ça
Aux tire-bouchons à queue de cochon ?
C'est du bla-bla !
On passe sa vie sans dire merci,
Merci à qui ? Ben, à moi !
Malgré la pluie ou le beau temps
Chuis tire-bouchon exécutant !
On m'avait dit de rester au tiroir
Qu'un tire-bouchon, ce n'est qu'un simple « pour boire »
Mais c'est pas vrai, sans moi aux canicules
Tu meurs de soif ou bien tu bois des bulles.
A toi aussi, j' suis sûr que l'on t'a dit,
Qu'un tire-bouchon n'ira pas au paradis
Parce que maintenant, on retrouve dans les boîtes
De la picole presque adéquate...
Qui a le droit, qui a le droit
Qui a le droit d'faire ça
Aux tire-bouchons un peu folichons
C'est pas sympa !
On passe sa vie sans dire merci
Merci à qui ? Ben, à moi !
Malgré la plage et le beau sable
Chuis tire-bouchon indispensable !
Que ne ferais-tu pas pour séduire Artémise,
Homme, présomptueux ver de terre, qui boîtes ?
Depuis la nuit des temps tu m’admires et convoites,
Tu voudrais m’accrocher aux pans de ta chemise
Mais c’est plaisanterie, ce sont carabistouilles,
Ballets de mots passants, contes de la bécasse,
Forfanteries de Cyrano ou de Fracasse,
Orgueil de fanfaron enivré de chatouilles !
Si tu veux me toucher, entre dans la cabine,
Espèce d’animal ! Fais vrombir le delco,
Promets-moi de l’amour, du miel, Acapulco !
Approche-toi de moi, montre-moi ta bobine !
Parcours cette distance en petite foulée !
N’oublie pas de m’offrir, en guise de pastis
Un bouquet de poèmes ou de myosotis
Mais surtout pas de valse, encor’ moins d’azalée. *
Ah, te voilà enfin, sortant de ta nacelle,
De ton petit module enfin posé chez Diane.
Emu par ma tranquillité si océane
Tu as fait un grand pas… Patatras ! Tu chancelles !
Un petit Papou l’homme,
Un grand Papou Lune habitée !
* Parce que "l'azalée c'est une valse" ne rajeunit personne
et surtout pas les vieilles lunes !
Je suis une chaise électrique, une véritable invention barbare.
J’en ai tellement vu se consumer sur mon siège que je voudrai prendre ma retraite ;
Je ne vous parlerai pas de mon pied
cassé, et de l’odeur prégnante de l’osier
Un vrai cauchemar ce job !!
Toute une vie de dépenaillé à vous rendre neurasthénique jusqu’à la tombe .J’ai essayé de convaincre le président des Etats-Unis lui-même que je n’étais en rien responsable de ce carnage.
Je sais , je suis un peu caractérielle ,mais je peux me montrer tendre comme un fauteuil
Mais avoir le premier rôle dans un tel spectacle, reconnaissez que c’est traumatisant.
Vous me direz on ne condamne pas quelqu’un sur un simple pressentiment mais moi
Je ne crois pas avoir été faite pour une telle cruauté .car au fond je suis un boute en train et j’aurais dû être une chaise musicale.
J’ai accepté d’endosser les crimes à votre place mais maintenant basta !
Demain je tente la grande évasion j’ai mon plan je me barre, je me tire de cet enfer
Je me déguiserai en tabouret et à la première occase je me ferai la belle.
J’étais prédestinée à vivre une autre vie et je compte ben prendre ma revanche sur les hommes !!
Je rêve d’être une chauffeuse. !!
Je suis toujours là pour répondre à ton désir,
Dans ta main déliée tu me courbes tout à loisir
D’un style cursif et souple comme une plume d’oie
Tu me palpes de tes mains, me caressant parfois
Crayonnant des volutes sur ma peau de vélin
Dans un geste possesseur tu me soumets enfin
Toi l’abject, Moi l’unique, qui suis ta femme-objet
MA VIE DE PETITE BOITE
Je me revois dans les mains de cet artiste
Moi, simple morceau de bois
Je devins une magnifique boite
Terminée en mille neuf cent trente trois
Il me donna à sa femme
Qui aimait tant me garnir
De ses lettres de ses poèmes
Que je vis doucement jaunir
Ensuite elle m’offrit à sa fille pour un anniversaire
Je me souviens elle me remplissait de beaux petits cailloux
Qu’elle ramassait au cours de ses balades solitaires
Souvent pour regarder ses trésors elle me posait sur ses genoux
Les années passèrent et moi je me suis retrouvée avec sa fille
Elle, elle me remplissait de crayons de couleur pastel
Lorsqu’elle m’ouvrait le matin à son réveil
Moi la petite boite je me sentais immortelle
J’ai vécu dans sa chambre des années
Puis je fus exposée dans son salon
Avant d’être confiée à sa fille ainée
Qui me couvrit de bijoux, de ses créations
De génération en génération je suis invitée
A partager la vie de petites filles et de demoiselles
J’espère que ma vie sera encore longue et animée
Et toujours magnifique et exceptionnelle.
Un OBJET
(à votre choix)
raconte sa vie à la première personne !
(Votre choix vous appartient bien sûr !
Ne pas se "bloquer" sur une de ces illustrations !)
Bon recherche à vous !
A tout bientôt à :
EnlumériA ; Venise ; Vegas sur sarthe ; Fairywen ;
Lorraine ; Emma ; Flo ; petitmoulin ; Joe Krapov ;
KatyL ; Walrus ; JAK ; MAP ; bongopinot ; joye ;
Mes cahiers.
Je ne me souviens pas de mon premier cahier. Mais je me souviens de l’odeur de l’encre, de celle du papier, et du crissement de la plume Sergent Major… Car oui, j’ai appris à écrire à la plume, la vraie, celle qu’il faut tremper dans l’encrier, celle dont l’encre violette tache les doigts et parfois les habits.
Depuis, j’ai rempli d’innombrables cahiers. Des grands, des petits, des gros, des fins… Des cahiers d’école, bien sûr, mais aussi des cahiers de vie et des cahiers de rêve. Des cahiers de ma période “journal intime”, que j’ai brûlés depuis. Des cahiers avec des histoires inventées, des histoires qui se finissent toujours bien, des histoires qui m’ont aidée à traverser des périodes sombres de ma vie.
De la plume Sergent Major, je suis passée au stylo à encre, puis au Bic, et peu à peu, le cahier a été remplacé par un ordinateur. Mais toujours en moi est restée la nostalgie du cahier d’écolier, et lorsqu’il y a une dizaine d’années nous avons visité en famille un musée de l’école, c’est avec beaucoup d’émotion que je me suis assise sur un vieux banc d’école, que j’ai pris la main de ma fille qui n’était alors qu’une enfant, et que je l’ai guidée pour tracer à la plume Sergent Major des mots sur un vieux cahier d’écolier…
Un cahier de vieux dessins
Me rappelle l’âge des tresses
L’âge où l’on n’a pas de seins
Mais le cœur plein de promesses
Un cahier sans fioritures
Evoque les bancs de l’école
Le col blanc à l’encolure
Et l’esprit qui caracole
Un cahier au petit point
Brode les leçons d’histoire
On pense au garçon du train
Qui a de si beaux yeux noirs
Un cahier d’arithmétique
Prend la fuite à tire d’aile
Loin des calculs hermétiques
Il butine l’asphodèle
Un cahier de poésie
Ecrit le bonheur d’aimer
Il a quinze ans et Lucie
Sous son charme a succombé
Les mots endimanchés
Ou en robe fripée
Ceux qui poussaient le vent
Plus loin que l'océan
Ou s'abreuvaient aux larmes
Des saisons sans sommeil
Ceux qui tressaient l'ivresse
Dans les yeux des amants
Ou frappaient à la vitre
D'un matin de printemps
Ceux qui chantaient plus fort
Que le merle au jardin
Tous ces mots jaillissaient
Ils faussaient compagnie
Au cahier d'écolier
Qui sut les retenir
Reclus dans le silence
Couchés près de l'oubli
Ils prêtaient leur mémoire
Aux pleins et aux déliés
D'une histoire singulière.
Ton histoire.
Technologie (M. SUCAT)
On a l’impression que Thierry ne suit plus les cours que de très loin ! S’ennuierait-il en classe ? Pourquoi ne comprend-il plus rien à des énoncés aussi simplistes que :
1. Pourquoi le $P01 devient un $6z01 à l'export ?
2. Pourquoi ce qui correspond à l'export format RDA :
181 $6z01$ctxt$2rdacontent
182 $6z01$cn$2rdamedi
est mieux compris par nos SIGB que ce qui correspond à l'export format ISBD ?
181 1$6z01$ai#$bxxxe##
182 1$6z01$an
Des modifications de paramétrage sont-elles à faire dans nos SIGB ?
3. Comment un 181 ##$P01$ctxt dans le Sudoc devient-il un 181 1$6z01$ai#$bxxxe## en format ISBD ?
Comme l’année dernière, je propose le redoublement.
Grec moderne (Mme COLNOT)
On a l’impression que Thierry ne suit plus les cours que de très loin ! S’ennuierait-il en classe ? Pourquoi ne sait-il plus traduire ce texte du philosophe enflammé Sergicos Quintinos dans un français compréhensible ?
xœ₯]έ³d•Q―ΰ]g³NyΉ―? Ξ^' {&xΎ₯@ μ ¨}y
U©2Uα� [:Rw¬υΉ Ό/Χ3ηH-©?~ύ₯ωΣΓΊ ϋ°βΏώΗ-Ύ}Ύ>όχσ?=ΟΓ�κόο?|ϋπυλη_ώ{z7^�Χσu)₯xSΏ3 &εΕϋάύΓλo�ώτ³±KL>ώ �Jf5§•Ξ γ g}8=9Η%ζδNOΟaΙ!pz Ύ΅ψ-₯oΏ{ΎψΕΈόιΩω ο Νι{g pυV|�Ν�ΐϋuqΝπ@ς ψ0,Φδrϊ>ΎeΓ9ρ-J<}σΏη]¬O0« Φ-Ρ'Nοβχ)ϋ ΰS 5¬&^/ 6'xϊKx)h
§εnL γ§% xΟJ3=i«*Ω R λ i~Zί{ψΎ]|ώ¬Τύk:½Oγ³ωοω¦[άU Ε Ύ
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C’est pourtant simple, non ? Comme l’année dernière, et bien qu’il soit beaucoup plus âgé que ses petits camarades, je propose le redoublement.
Conduite (Mme Liard)
Hello!
pour moi il faut créer une notice autorité au pseudo collectif et c'est cette autorité là qu'il faut lier en 700 dans la notice bibliographique (-> respecter leur choix de publier sous un pseudo et non en leur nom propre). La notice d'autorité fera, elle, le lien vers les autorités de chacun des auteurs puisqu'ils sont connus. (Mais je n'y mettrais pas ma main au feu.)
Plusieurs pistes si tu n'obtiens pas de réponse plus formelle/précise : le GM sur la zone 200 et sur le $5
Ils citent quelques cas identiques (eg Marie et Joseph PPN 026940353), et on voit que pour une publication du pseudo Mammette (PPN 067283942) le catalogueur a trouvé utile de préciser en note : 304 ##$aA. Mammette : pseudonyme collectif d'un groupe d'enseignants de microbiologie des facultés de médecine, auxquels se sont joints des spécialistes des facultés de pharmacie et des grands organismes de recherche (cf. 4e de couv.)
Je ne saurais dire si c'est une bonne idée de le faire redoubler encore. Agé de 25 ans en CM2, ça fait beaucoup, non ? La législation interdit qu’on l’expulse avant la date de péremption. Alors on fait avec !
Commission interdisciplinaire (la directrice, Madame Lakène-Vienne)
Thierry Lafronde est un excellent élément. Il accomplit trois fois plus de travail que tous ses camarades, rend ses devoirs en temps et en heure, travaille chez lui le soir et le dimanche, c’est propre, net, carré et je ne comprends pas pourquoi le cours naturel des choses voudrait qu’on se sépare d’agents aussi dynamiques et efficaces dans un établissement comme le nôtre. Sans compter qu’il forme un excellent duo musical avec son collègue de l’étage du-dessus lors des fêtes de fin d’année de la maison. Quand il ne fait pas sa mauvaise tête, c’est un excellent arrondisseur d’angles. C’est pourquoi je préconise son redoublement.
Réponse des parents :
Thierry redoublera d’efforts encore l’année prochaine mais après, on ne répond plus de rien !
Post-scriptum 1 de Joe Krapov :
Post-scriptum 2 de Joe Krapov :
Merci aux collègues qui ont déposé dans ma boîte à lettres électronique les parties de couleur Bordeaux dont je me suis servi pour fabriquer ce cahier de... correspondance !