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Le défi du samedi
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26 octobre 2013

Défi #270

Un mot en appelle souvent un autre ...

Ce sera l'occasion de nous offrir

une belle balade dans le dictionnaire !

Et comme le disait si justement Anatole France :

"Un dictionnaire, c'est tout l'univers par ordre alphabétique"

Dictionnaire

A vos plumes les amis !

Bonne recherche !

Faites-nous part de vos trouvailles à

samedidefi@gmail.com

A tout bientôt !

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26 octobre 2013

Ont eu une réponse fulgurante :

26 octobre 2013

Tante Marguerite (Vegas sur sarthe)

Monsieur Barcoule était si ennuyeux que la classe l'avait surnommé Barbacole, un nom que Bébert avait parait-il déniché sur l'ordi de son vieux, Willy.
Willy Pédia! Tu parles d'un nom! Bébert Pédia, passe encore...bref, on s'en fout.
Donc Barbacole, notre prof de physique-chimie - alias La Touffe - à cause de cette houpée d'indomptables cheveux roux qui lui faisait une crête de coq - nous avait refilé un devoir de ouf pour les vacances de Toussaint:
A partir de sa structure atomique amorphe, déterminer le poids d'un canal de fulgurite creux de 9cm de diamètre et 15 cm de longueur...
Déterminer quoi? Personnellement j'étais d'abord déterminé à profiter de mes vacances et de ce projet de cabane qu'on repoussait chaque année mes cousins et moi.
Cette fois, les tempêtes hivernales avaient rapporté sur la grève tous les matériaux qui manquaient à notre construction:
un stock de palplanches arrachées à quelques berges du Rhône par un plaisancier maladroit et surtout assez de cordages et de virebouquets pour assembler tout ça.
La fulgurite creuse du père Barcoule pouvait bien attendre mais moi, sans attendre les cousins je commençai à établir les plans de notre cabane.
Je n'en étais encore qu'à l'ébauche lorsque la foudre - fort à propos eut dit Barbacole - arriva, enveloppée dans son éternel balandran qui la faisait ressembler à une cloche de plongeur et deviner à cinq cent mètres.
Tante Marguerite débarquait, lestée de son inséparable cartable en youfte - mot dont j'eus le plaisir de copier deux cent fois la définition : Cuir de Russie à l'huile de bouleau - pour m'en être moqué!
Notre chère tante Marguerite - que nous aimions un peu, pas du tout, pas du tout, pas du tout - venait une fois de plus de faire capoter notre beau projet.
Institutrice en retraite - trop heureuse de reprendre du service avec ses neveux - elle avait flairé la fulgurite en dix secondes, digéré l'intitulé de l'exercice avec ce petit rire sarcastique propre aux sadiques et établi notre plan de travail sans même nous consulter.
De toute manière, notre avis lui importait peu et je compris aussitôt que l'aide de Willy Pédia, le père de Bébert et son ordi nous seraient d'un grand secours.
Cette nuit cauchemardesque là, tante Marguerite se crasha à deux cent mille kilomètres à l'heure sur notre cabane ensablée, faisant fondre à trente mille degrés nos palplanches et nos virebouquets pour n'en laisser qu'un ridicule petit tas de verre...
26 octobre 2013

Le week-end en 7 mots (EVP)

-         Ben l’bonjour M’dame Lemercier, alors l’avez-vous vu aussi cette voiture gigantesque qu’a traversé le village hier à la soirée ?

-         Dame ! Ya tout le bourg de Beaumont-le-Hareng qu’en a été tout émotionné : Un balandran pareil qui passe comme une fulgurite.

-         Même  que le père Amédée y savait pu parler quand c’est qu’y z’y ont demandé comment reprendre la route de Deauville. Bref,  qu’il leur a expliqué que c’était pas là et qu’y z’étaient à l’opposé. Il a dit après qu’y avait une bien jolie jeunette et qu’elle s’appelait Scarlett. J’pense qu’il a voulu dire starlette, y lit pas les magazines Amédée, elle allait passer un ouik-end  là-bas pour le festival du film américain. Tu parles comme c’est logique, en Normandie !!

-         Il parait qu’y a des soirées très très houppées sur les palplanches, avec un virebouquet sur chaque cabine. Ça doit être bin beau et puis après ils font des Barbacoles sur la plage.

-         Approchez-vous M’dame Lemercier…Je vous l’dit à l’oreille…L’autre jour chez Josy-Coiffure, y z’ avaient le dernier « Gala » et qui disait que les robes étaient tellement transparentes qu’on pouvait même voir leurs Youftes !!

-         Si c’est pas une honte M’dame Germain, si c’est pas une honte !!

 

26 octobre 2013

Drôle de Mariage (Prudence Petitpas)

Il se passe parfois des choses dans la vie qui font poser plein de questions, des événements que l’on croit pouvoir contrôler un tant soit peu, et qui nous échappent totalement… et quand je dis totalement, c’est bien le bon mot… on se retrouve passif, oisif, un peu déboussolé, un peu contrarié, à faire bonne figure devant tout ce monde réuni et dont on fait partie en se demandant du coup, ce qu’on fait là… je suis bien consciente de ne pas vous expliquer la raison de cet étourdissement qui m’a pris lorsque, persuadés de nous rendre à l’anniversaire de notre fils et de son amie, nous nous sommes retrouvés sur la place de la mairie après un soit disant jeu de piste, limite style barbacole, ces jeux de hasard où tout est possible, à regarder s’installer un monsieur portant une banderole bleue, blanc, rouge, juste devant la porte de la dite salle commune.

Alors on se demande ce qu’il fait là, on n’ose pas se dire que c’est pour un mariage qu’il installe une table avec le joli buste de notre Marianne nationale. Et puis, on est là pour un anniversaire, les trente ans de notre fils, non ? Alors quand on voit arriver notre adorable grand garçon, brillant comme une fulgurite de salon, habillé bien drôlement pour un anniversaire : veston mauve, casquette violette sous laquelle on devine une houppée bien droite, cravate dans les mêmes tons, jolie chemise fleurie et pantalon presque chic… on commence à laisser germer les questions qui refusaient d’aborder notre cerveau bien embrumé par le refus de penser… et lorsque s’approche celle qui partage sa vie depuis presque dix ans et qui nous a déjà donné deux adorables petites filles, dans une tenue bien accordée à celle de notre fiston… une robe bleue marine avec plein de tulles de toutes les couleurs en jupon, on se dit qu’il se prépare un événement que là, on n’a pas, mais alors pas du tout vu venir.

Du coup, la terre s'ouvre sous nos pieds, et il faudra plus d'une paire de palplanches pour consolider la galerie béante qui s'effondre dans notre univers qui pourtant paraissait suffisamment stable pour nous éviter de vivre ce genre de grand étonnement. Enfin pour être honnête, évidemment qu’un anniversaire dans un château, ça nous avait paru un peu démesuré pour nos enfants, mais ils étaient deux à fêter leur trente ans… notre fils et sa compagne, alors pourquoi pas ? Et puis lorsque ce soupçon s’imposait à notre esprit, on le repoussait violemment avec cette assurance : non, notre fils, malgré sa tête aussi dure qu'une youfte de Russie, ne peut pas nous faire ça ! il nous l'aurait forcément dit... 

 

Enfin, nous voilà au jour J, celui où votre fils dit « oui » à sa chère et tendre, et vous vous félicitez secrètement d’être allée chez le coiffeur la veille. Bon, comme il fait froid, qu’il pleut à moitié, et que vous vous croyiez juste dans un jeu de piste, vous n’avez sur vous qu’un vieux jean, le vieux balandran contre la pluie,et des chaussures montantes histoire de ne pas vous geler. Rien à voir avec la tenue somptueuse que vous auriez éventuellement pu imaginer porter pour ce grand jour. Bon, tout ça passe encore, mais c’est vrai que j’aurai aimé prendre le bras de mon fils et rentrer avec lui dans… la mairie, ne m’illusionnant pas sur le reste (une église ? pourquoi faire ?), mais non, rien de tout cela. Le maire, parce que c’est bien lui, se retrouve planté devant une foule de curieux qui murmure que c’est tout de même drôle de se marier ainsi, qui pose la question ouvertement devant le peu de famille qui se trouve là… « Mais vous n’étiez pas au courant vous ? »… et bien non, nous n’avons pas été mis dans la confidence, nous nous retrouvons au même niveau que vous, les chers copains de mon fils… comme vous devant un mariage anticonformiste, je crois que c’est le moins qu’on puisse dire, et devant deux jeunes gens de 30 ans accompagnés de 4 témoins au courant et d’un maire qui semble rire jaune devant cette assemblée frigorifiée. Tout est allé très vite ensuite, tant mieux, il faisait si froid, un coup d’œil vers mon mari, décomposé d’assister ainsi au premier mariage d’un de ses enfants, un coup d’œil sur les beaux parents qui ne savent plus s’ils doivent sourire ou pleurer… et moi le sourire un peu forcé, qui m'entends proposer à la fin de la cérémonie, si on peut appeler ça comme ça, de faire une photo de groupe devant la belle plaque marquée Mairie.
Une photo de groupe où tout le monde sourit quand même de cette surprise assez incroyable pour ce mariage dont on se rappellera toute notre vie. N’était-ce pas le but de ce cadeau que nous ont offert nos enfants… ? Quand au bouquet ? Il vire aux couleurs de l'arc en ciel assorti aux tulle de la mariée qui vient de le lancer dans la foule. Pour qui le prochain mariage surprise ?

 

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26 octobre 2013

des mots rien que des mots (titisoorts)

palplanches: femmes japonaises au teint blanc à petits seins.

 
houppée: La Houppée, femme de  Riquet la houppe.
 
virebouquet: c'est lorsque vous en avez marre de payez le bouquet canalsat.
 
fulgurite: c'est comme Goldorax et son fameux fulguropoing mais là ce n'est pas avec les point excusez moi mais c'est avec la bite. Ne soyez pas offusqué c'est une maladie, C'est arrivé à un copain au moment d'un changement de positionen amour, il a éte touché d'une fulgurante fulgurite et il a dit "transformation fugurite" çà ne c'est pas bien passé pour lui.
balandran: c'est le balancement de la tête, que font certaines filles lorsque vous commencer à parler technique, elles  balancent leurs cheveux sur le côté tout en disant "ouais pour moi, c'est pareil."
 
youfte: c'est bien connu en mogolie, c'est juste l'étape, une fois la structure montée et qu'il ne reste que la toile à mettre, on les entend dire "youfte! c'est presque fini".

 
barbacole: c'est l'aîné de la famille des barbapapa, celui qui reste à la maison jusqu'à plus d'âge et qui colle et qui colle, c'est Barbacole.
26 octobre 2013

Crise (Célestine)

Le samedi matin de ce fameux week-end, Félicie regarda Auguste droit dans les yeux. Au réveil. Comme ça, alors que rien ne le laissait présager la minute auparavant.

« Ecoute, mon aimé ! J’ai bien réfléchi. Nous devons absolument prendre un virebouquet à 180 degrés. Mais mon pauvre ami, tu ne vois donc pas que notre vie est en train de chier dans la barbacole ? Je dirais même qu’elle zozote sérieusement de la youfte depuis quelque temps. Mais enfin, regarde ! Il ne nous arrive plus rien ! Tiens, avec ces palplanches qui ne servent à rien et qui encombrent le jardin, ne pourrais-tu pas construire  un petit balandran, au lieu de trainasser dans les bars du matin au soir ? Imagine un peu…Nous irions sillonner toutes les mers du globe, nous vivrions d’aventure et d’amour…Ah ! Je rêve de redonner à notre couple un peu de fantaisie, et surtout, une énorme houppée d’air pur ! »

Auguste attrapa un marteau et quelques clous. Quand sa femme avait la fulgurite, il valait mieux ne pas la contrarier.

26 octobre 2013

Les Survivants (par joye)

 

l'oeilComme

Dans un de ces rêves

Qu’on fait lorsqu’on couche

Avec la faim et la pénurie,

Je marchais sur le sable.

Perdu 

Dans mon balandran

Triste et troué de vieillesse,

Je longeais les palplanches

Abandonnées comme des perles

Sur la plage d’Ostende.

 

l'oeil 2Soudain,

Contre le gris de l’horizon,

Je vis s’approcher un gamin chétif

Comme une houpée à la marée basse

Et qui traînait, au bout

D’un virebouquet douteux,

Le cadavre d’un petit chien démuni.

Le corps du pauvre clébard meurtri était

Comme la peau d'un lapin assassiné,

Comme un vieux youfte travaillé

Par le couteau d’un orphelin russe.

 

les yeux

Le gamin

Me regarda longtemps,

Il attendait que je lui fasse

Une sorte de remontrance, je le sais.

Mais moi, l'absurde barbacole,  

Je lui fis une grimace,

Mes dents jaunâtres luisant

Comme quelques gros morceaux

De fulgurite,

   Cassés sous des bottes des soldats.

26 octobre 2013

Participation de JAK

jak1

jak2

 

jak3

26 octobre 2013

L'exposition (MAP)

    •  

      –         Alors tu l'as vue finalement cette exposition !

      –         Oui j'y suis allée ce week-end !

      –         Alors ???

      –         Eh bien dis donc c'était spectaculaire !

      –         Oh ! Raconte !

      –         Si tu veux ! Tu te souviens de cette curieuse affiche que nous avions vue l'autre jour !

      –         Oui, le barbacole à la trompette !

       

Un Barbacole
  • C'est ça ! En fait c'était pour annoncer l'expo d'une manière originale ! Chaque jour un renseignement  supplémentaire était ajouté à cette affiche et je suis donc allée à  l'Ecole des Sciences à l'heure indiquée. Le grand amphithéâtre était éclairé par des fulgurites bleues

     

    une fulgurite

    qui mettaient admirablement bien en valeur une houppée constituée de troncs vitrifiés provenant du désert d'Attakmana.

    une houppée

    Je fus étonnée de découvrir un youfte dont j'avais lu la description dans le livre du scientifique Amédée L'Etonné grand spécialiste des pièges à Dahut !

     

    un youfte

     

    Dans une autre salle réservée à diverses inventions j'ai pu découvrir le premier virebouquet (légèrement froissé) permettant aux coureurs du Tour de France de rouler facilement sur un glacier.

    virebouquet

     

    J'ai été très intéressée par l'invention des

     

    Palaplanches

    que Léonardi Da Vinco avait dessinées après avoir bu un breuvage dont on ignore encore la composition !

    Mais ce que j'ai préféré c'est

    Un balandran

    -qui clignotait et avançait en chantant "La Paimpolaise" ! Un truc qui ne sert à rien qu'à vous faire rire !-

    et son petit

    Vive la science je te dis ! VIVE LA SCIENCE !!!

     

     

26 octobre 2013

Chez le receleur (Pivoine)

Trois heures de route aller-retour pour visiter une expo !

C'est par cette douce folie que nous avons commencé notre week-end.

Une lointaine connaissance y exposait ses sculptures. Confiseur de renom, à Bruxelles, ses youftes aux pralines meringuées et ses bavaroises houppées de bleuet ont fait fureur, le samedi, à quatre heures.

Après une folle traversée de Bruxelles, à la nuit tombante, nous sommes arrivés dans un ancien garage, reconverti en lieu d'exposition alternatif, mais pourquoi alternatif ? Du garage, il n'y avait plus qu'une vague odeur de caoutchouc tordu, de balandrans dégraissés, de palplanches figées... Et des ustensiles à vocation continue. Non, pardon, inconnue.

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Cela tenait aussi de la succursale des compagnons d'Emmaüs. Ou des célèbres Petits Riens où l'on trouve rêve, vaisselle et vêtements à bon marché. Des paquets de virebouquets traînaient dans un coin. Coin tellement sombre qu'on eût pu y jouer à la barbacole sans se faire prendre. Et aussi au hoca. On se serait cru chez un receleur. Et puis des lustres, des armoiries, des ustensiles bizarres, un soleil en bois XIV, des fauteuils club en cuir, des virebouquets versaillais à poser sur les tables...

Au milieu de tout cela, trônaient les oeuvres. Graffes, tags, aquarelles délicates, puzzles de ville, sculptures monumentales, photographies, portraits écossais, oeuvres au bic, (mais combien de paires de bics à un euro faut-il pour faire un dessin d'1 mètre sur 2,5?) Et des mosaïques. Débutantes. Patience, patience dans l'azur !

Tiens, voilà qui m'a fait penser à mes amies mosaïstes.

Et puis, et puis, le tour était vite terminé. Nous voilà rendus à la circulation du vendredi soir, puis, à l'appartement -bien trop silencieux.

Si vite! Trop vite! Et si Bruxelles, traversée aux lueurs de la nuit, pouvait me re-raconter les années quatre-vingts... Les cinémas de l'avenue de la Toison d'Or... Le Capitole, l'Empire, les galeries... Chez Libris... La Danish tavern... Translucides gin fizz et lagons bleus, assiettes de smoerrebrods... Le Styx, les Galeries, le Nemrod (qui avait une réputation de lieu de rencontre, légende jamais vérifiée) Et le Pluriel et l'Arlequin, 'boîtes' aussi vite fermées qu'ouvertes... Et le milk bar dont les miroirs vous démultipliaient.

Que s'est-il passé?

Une full fulgurite ?

26 octobre 2013

99 dragons : exercices de style. 18, Calligramme (Joe Krapov)

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Il faudrait sans doute attacher un virebouquet à ma fantaisie ! Ou peut-être pas !

Car enfin, à qui ai-je nui, samedi dernier en achetant, au marché des Lices, cette bouteille de bière de marque Saint-Georges au vendeur qui est installé à l’entrée de la halle Martenot ? Le gars était courageux, du reste, qui vendait ses bières bretonnes sous la pluie sans même avoir pris soin d’amener un balandran.

Est-ce si grave que cela d’avoir de l’appétit pour ce qui pétille ? Et je parle ici de la légende catholique du dompteur de dragon libyen plus que du breuvage à base de houblon qui provoque des houppées.

Donc, c’est confirmé, j’ai une marotte (cf le Défi du samedi n° 267). Avant que d’aller moisir entre quatre palplanches  je me suis promis, et c’est tant pis pour vous qui êtes mes lecteurs et lectrices, de venir à bout, si cela est possible, de la réécriture dans 99 styles différents de cette histoire de fulgurite.

Je ne doute pas que ce projet de farfadet fada ou de troll farfelu apparaîtra à d’aucuns et d’aucunes comme un dada de barbacole

Mais c’est comme ça, c’est une des rares choses que j’ai envie de rendre publiques de mon week-end au paradis rennais. Aussi peut-être celle-ci, arrivée le dimanche alors que le Club des 5 était réuni chez Madame Jojo pour un repas copieux, agréable, raffiné même, et suivi dans l’après-midi d’interprétations de chansons diverses.

Bien entendu, à cause de la présence de mon compatriote Kaïrakovski, qui est quelque peu pharmacien et quelque peu réfractaire lui aussi à la consultation du corps médical – sauf pour lire l’avenir dans les entrailles de Diafoirus - on s’était retrouvés à causer de médecine à table. Médecine et même pire : madame Jojo venait d’enterrer un oncle et une tante dans les semaines qui précédaient. A un moment donné madame Elle me signala que Madame Jojo se demandait comment meubler le silence qui accompagnerait sa propre crémation.

Je n’eus pas à me gratter longtemps le youfte  pour lui sortir la réponse idoine :
- T’inquiète pas, Jojo ! Je viendrai avec ma guitare et je chanterai « Fais du feu dans la cheminée, je reviens chez nous ! » ».

Voilà, dites-vous que c’est pareil et qu’il n’y a pas de balandran pour éviter que Saint-Georges, son dragon et Joe Krapov ne reviennent parasiter votre Défi du samedi. Le seul remède serait de les occire tous les trois, de les enfermer entre quatre palplanches, et justement, à propos de mise en bière, je vous fais cadeau ci-dessous de l’objet dont je parlais au début. Bonne houppée !  

DDS 269 </p><br />
<p>Calligramme 4
26 octobre 2013

Participation de Venise

Ve1

Le comité d’entreprise venait de nous offrir des vacances  vers la planète ACOXAS.

 

Munis de nos fulgurites nous étions prêts au décollage quand soudain notre champ de vision fut parasité par des barbacoles.

 

Le pilote averti modifia la trajectoire du vaisseau en maniant dangereusement son vire bouquet .

Couchez vous cria-t-il couchez vous !!!!

 

Youlfe l’ami de toujours me prit la main en murmurant un je ‘t’aime’ avant ce qu’il croyait être notre fin ?

Il ne sera pas dit que la mort devait être au rendez-vous ce jour-là.

Nous arrivâmes sains et saufs sur la planète amie

.

Ve2

Nous fûmes accueillis par une ribambelle de Houppies ivres de joie à la vue des TERRIENS.

 

Nous descendîmes dans d’étranges grottes couvertes de palplanches.

Un grand repas en autre honneur nous fut servi, mais la vue de balandrans  me donna la nausée.

Ve3

 

19 octobre 2013

Défi #269

 

Il vous est demandé cette semaine

de raconter un épisode de votre dernier week-end

en y incluant 7 mots ci-dessous proposés

-si vous préférez inventer, aucun problème évidemment !-

Voici les mots :

-tirés du Dictionnaire des mots rares et précieux chez 10/18-

- Fulgurite (nom masculin féminin en fait )

- Barbacole (nom masculin

- Houppée (nom féminin)

- Virebouquet (nom masculin)

- Youfte (nom masculin)

- Palplanches (féminin puriel)

-Balandran (nom masculin)

Bon courage à tous !

Nous attendons vos envois à samedidefi@gmail.com

A tout bientôt !

 

19 octobre 2013

FIL(LE)S DE PUB !

19 octobre 2013

Cherchez la coquille (Vegas sur sarthe)

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19 octobre 2013

99 dragons : exercices de style. 17, Dépliants publicitaires (Joe Krapov)

 Ne dites pas à ma mère que je travaille dans la pub,
elle croit que je suis guitariste dans une maison de quartier !
 

N'oubliez pas de zoomer pour lire ! Et pour celles et ceux qui ont une liseuse,
le fichier pdf est téléchargeable ici :
 https:// workspaces.acrobat.com/?d=MLnf1b0R6u5mYEmtsZOKag

19 octobre 2013

Page de Pub… (EVP)

 


Vous n’en pouvez plus de vos institutions qui s’encrassent ?
Vos chambres parlementaires sont toutes ternies ?
Le bien commun disparait sous le tartre lobbyiste des experts ?

VITE ! Dite stop !

Avec STOP-EDIL’

STOP-EDIL’ Nettoie 99,9O % des bactéries énarchiques et des microbes démago-ambitio-prêtatout qui peuvent donner ces horribles coliques haineuses et empêchent une bonne circulation des idées simples et bonnes.

Alors dite stop !
Avec STOP-EDIL’

Pour une démocratie qui ventile !!

19 octobre 2013

Rattrapage: deux pub(lication)s d'un coup (Anémone)

19 octobre 2013

Participation de Venise

Ve1

Ve2

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