Ont envoyé leur album à l'éditeur
Zigmund ; Walrus ; tiniak ; Poupoune ; Joye ; Vegas sur sarthe ; MAP ; Virgibri ; Martine27 ; Joe Krapov ; Val ; rsylvie ; Sebarjo ; Papistache ; shivaya-warduspor :
Zigmund ; Walrus ; tiniak ; Poupoune ; Joye ; Vegas sur sarthe ; MAP ; Virgibri ; Martine27 ; Joe Krapov ; Val ; rsylvie ; Sebarjo ; Papistache ; shivaya-warduspor :
Les éditions “DÉFI DU SAMEDI” cherchent pour leur nouvelle
collection “Yeux grands ouverts” des auteurs de littérature jeunesse.
La
collection “Yeux grands ouverts” sera destinée à un public de 5 à 8-9
ans (enfants qui commencent à lire seuls) et se propose de faire
découvrir aux apprentis lecteurs les réalités du monde. Tous les thèmes
de société peuvent être envisagés, en quelque endroit de la planète que
ce soit. Un seul thème sera traité par album.
Le défi sera
d’éviter de tomber dans la mièvrerie tout en gardant en tête que les
enfants devront pouvoir lire seuls chacun des titres de la collection.
Les
auteurs enverront leur(s) manuscrit(s) à l’éditeur :
samedidefi@hotmail.fr pour le samedi 2 mai 2009, 9h 00 ; ils
rédigeront, également, la quatrième de couverture qu’ils placeront en
tête de leur production et n’oublieront pas de donner un titre.
Dans
chaque album, il a paru souhaitable qu’un enfant, garçon ou fille, aide
à l’identification du lecteur, mais tout autre procédé pourrait être
envisagé, au gré de l’auteur.
Les textes illustrés sont acceptés.
Je ne dis pas adieu, je ne crois pas à Dieu. J’ose alors dire « à plus tard ». Comme ça, ce ne sera pas grave si ce plus tard n’arrive jamais. La science nous permet de ne pas craindre l’inconnu. On se retrouvera, et nous serons même un peu plus jeunes à la fin du voyage. Puisque l’énergie n’est ni créée ni détruite, la nôtre existera pour toujours, même si ce n’est pas dans cette forme actuelle. Donc, jusqu’au jour quand nos atomes se retrouveront crochus autrement et ailleurs, je t’embrasse.
Prends pas cet air dégouté quand j’balance des œufs
Dans ta tronche de merdeux
T’es encore plus pourri qu’eux.
C’est mon baiser d’adieu
Patron de mes deux.
.
Monsieur Noël Godin,
« Avez-vous vu
le nouveau chapeau de Zozo ?
C'est un chapeau, un papeau rigolo. »
BHL
.
.
Adieu mon vibro
J’ai trouvé un
joujou plus gros
Couleur peau.
Niagara dans la cuvette, maelström hygiénique :
Frais moulé du matin, enveloppé de cellulose,
J’entame un tour d’honneur et tire ma révérence.
Président,
Au revoir Président ! Au revoir, au revoir, Président !
Nan, moi, j’ai pas gagné le gros lot, j’anticipe ! De toutes façons, j’peux plus venir bosser, on ne me décolle plus de la machine à sous.
Pierre
Pierrot,
Je te quitte.
Je t’aimais bien pourtant, mais Jeannot, lui, il a des Durex à plein de parfums.
Et même que c’est sans calorie. Pourtant, c’est aussi bon…
Poupette,
T'es chouette
Mais tes polpettes
Ras la casquette!
Adieu, colimaçon.
Je t'ai troqué contre un escalator
Hight tech, et tout confort!
Mamoune
A dieu n’en déplaise,
Je suis rabelaise.
Alors gourmande,
J’en r’demande
.
Et scie
de la vie
Le couperet
passait…
Adieu, je suis ben aise.
J’ai connu la b….
La bonne chaire,
Alors, une mise en bière !
Et scie
de la vie
Le couperet
passait…
-« Bon dieu » ! je crierais
En supplications me morfondrais
-"Non de dieu ! j’ai
Quand même bien le droit de rester" !
Et scie
de la vie
Le couperet
passait…
Non vraiment, rien à faire,
Je ne peux m’en satisfaire. ?
Etouffez-moi,! Mes lèvres bâillonnez
Plutôt que de vous saluer.
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao,
J’veux plus que tu parles de Mao
Je
lirai le reste dans le dazibao
Au revoir, adieu, bye bye, tchao.
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao,
Ton manifeste m’a mise K.O.
Je ne
peux plus de ton know-how
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao.
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao,
T’as bu ton dernier cacao
On se
reverra peut-être bien là-haut
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao.
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao
Je ne veux plus de ton chaos
Je
m’envole comme un calao
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao
Tu m’avais
promis de la chaleur et de la douceur chaque fois que j’en aurais
besoin… Tu devais
assouvir ma soif de toi, me tenir éveillée pendant les longues soirées d’hiver…
Je frémissais à ton odeur… Avec toi, je
rêvais au bonheur éternel… Je connaissais tes envies, je savais sur quel bouton
appuyer pour te faire démarrer… Tu m’as
déçue ! Tu es trop vieux, tu
craches, tu ronfles et le café que tu me sers est devenu trop clair… Dès demain
je te remplace ! M.Lecaféfort
Dans un monde futuriste, et à l’autre bout du globe...
Dominique,
Adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu adieu... bref, A-D-I-E-U !
Bon, j’espère que t’as compris, là. Je ne VEUX plus recevoir d’SMS (ni d’autres genres dérivatifs) de ta part, sinon je change de numéro de portable. Nah.
Voilà, c’était tout.
Amoureusement,
ta Patricia qui t’aime.
Chéri,
Tu tenais à ce que je t’envoie une lettre d’adieu, la voici. En général, je pense, les lettres d’adieu sont toutes garnies de mots doux et de remerciements en tous genres, sans oublier, bien entendu, les diverses digressions qu’entraîne quelque souvenir agréable. Ne va pas me dire que ça va être une sorte de thérapie pour moi, parce que je ne te croirais pas. La situation est différente, mais je tenais quand même à te dire ceci :
« Ton suicide a été inutile, puisque je ne t’ai pas trompé (enfin, si, mais tu devines comment). Mais, tu sais, maintenant que tu t’es vraiment suicidé, je peux vraiment te tromper. Hé oui, c’est la vie, t’y peux rien (et moi non plus). »
Bisous,
ta chérie qui a bonne conscience.
Infirmière,
Je vous envoie cette lettre pour vous faire connaitre les raisons qui m’ont poussé à quitter votre hôpital. Les mois passés en votre compagnie ont été un vrai calvaire (si si !). Mais on m’a forcé à me montrer poli, aussi ai-je été obligé d’être gentil. N’ voyez aucun mal, rassurez-vous, mais j’ai toujours été un homme franc, alors ne vous étonnez pas que je le sois (pour une fois) dans ma lettre.
Retenez donc
ceci : je suis jeune, j’ai déjà 24 ans (et vous 52, j’imagine), et vos
avances ne m’intéressent pas.
Choquée ? Mais oui, moi aussi, moi aussi...
Sur ce !
Mon cher patron,
J’espère que vous allez bien, et que vous passez d’agréables moments en compagnie de votre épouse. C’est vraiment dommage, vous savez, que vous ayez si vite été mis à la retraite. C’est surtout dommage pour vous, remarquez, parce que maintenant que vous n’êtes plus là, je peux faire tout ce que je veux.
A comprendre par là : j’ai pris votre place et, sincèrement, je trouve que c’est tant mieux !
P.S. : Vous avez le choix d’une libre interprétation, bien sûr.
N. K.
Cher professeur,
On vous aimait beaucoup, vous savez. Normal, dira Martin, vous étiez un chouette numéro : drôle, amusant, énergique et fringué comme pas permis. On regrette votre départ, sincèrement, vous allez beaucoup nous manquer.
Bon. Pour la peine, je vous envoie les mots doux des autres. En gros, ça donne ça :
Mangez bien, dormez-bien, donnez-nous de vos nouvelles, restez pour toujours le même, n’oubliez pas mademoiselle Annabelle, amusez-vous bien avec vos nouveaux élèves, et, surtout...
NE NOUS OUBLIEZ PAS !!!
Bisous,
vos élèves
Tu m’as donné ton nom en me faisant renaître, mais jamais dit « je t’aime », même sur ton lit d’hôpital. J’ai tourné le dos à tes cendres. Trop-plein d’amour dans le silence.
Je t’aime, Papa.
Chéri,
Tu m’as demandé de fermer la porte à cause des courants d’air en beuglant comme un veau qui va naître. Je l’ai fermée derrière moi : le vent m’a emportée.
Trouve une bonne avant d’en épouser une.
New-York,
Je t’ai croquée. Je reviendrai finir la pomme une autre fois.
See you !
Tipiak,
Espèce de fripon pirate, tu crois pouvoir voler nos recettes ? Ben, non ! On a tout mis au coffre et un certain Madoff s’occupe de nous. Ah ah ! Tu ne nous auras pas !
Les vieilles Bretonnes en coiffe
Adieu frimas, vent glacé, feuilles mortes et branches nues !
Le printemps
Vous m’avez gonflée pendant des années, et voilà que je vais vous éclater, kilos !
Votre lumière m’éclate au visage. Je vous ai croisés une fois Paris, et puis ici, à New-York. Je vous ai en moi, maintenant.
Adieu, fleurs du soleil qui me faites pluie.
Adieu mon amour,
Je deviens folle de toi, j’ai décidé de me soigner…
Ta chérie.
Ma douce,
Je t’apprécie beaucoup, j’ai passé de très bons moments avec toi
mais je me connais, je ne tomberai pas amoureux de toi…
Ton ami pour toujours.
Ma
belle de nuit,
On a eu des
beaux moments et surtout des longues nuits. J’ai apprécié ta douceur, ta
légèreté, ton confort. Dix ans que je prends soin de toi.
Ce matin, je
t’ai tailladée. Je t’ai mise en pièces. Finie la belle chemise de nuit
vaporeuse ! Tu vas devenir chiffons pour faire briller mes cuivres…
Ombeline.
Toi
Et moi
C'est fini.
Tu ne sais pas
Tu ne comprends pas
Que ca ne marche pas,
Que ca ne peut pas coller.
Alors pourquoi me fatiguer?
Pourquoi m'acharner a tout sauver?
Il n'y a plus rien pour moi ici.
Dieu,
Au cours de ma prière quotidienne en date du 21 avril 2009, je t'ai sommé de t'expliquer sur divers agissements dont tu t'es rendu coupable :
- nomination d'un Pape con comme une valise sans poignée
- guerres dans le monde, plein
- défaite du PSG à domicile
Ces faits constituent une faute grave que je ne saurai tolérer plus longuement.
Je suis donc au regret d'opposer une fin de non recevoir à ma croyance en ta personne. Cette cessation sera effective dès le point final de cette phrase, au terme de laquelle je ne prononcerai même plus ton nom.
Adieu.
Ps : et merde…