Depuis hier, je n'ai plus accès à l'ancien éditeur de Canalblog.
Le problème avec le nouveau, c'est que l'on n'a plus accès à l'édition HTML des billets, sauf à utiliser une version premium à 49€ par mois.
L'autre problème c'est qu'en virant définitivement à la nouvelle version, Canalblog a supprimé tout ce qui avait été publié sur le blog après le 17 février.
Comme j'avais senti venir le vent, j'avais entamé une version parallèle sur Blogger.
Vous pouvez donc retrouver cela (en dehors des commentaires lesquels sont hélas irrémédiablement perdus) à cette adresse :
J’étais comme un nouveau-né dans mon berceau ,observé par une association de sorcières bénévoles. Et pour être dans le ton, tel un astéroïde dans l’espace je prononçais le mot qui tue
Et si on le disséquait !!
J’avais survécu à Proust, à l’Assommoir, aux Thibault je pouvais affronter KAFKA et sa métamorphose. J’avais la sensation que la dissection d’une œuvre pouvait monter que d’une lecture attentive et collégiale. Alors maintenant je peux le dire /Ils nous arrivaient d’être pris d’une quinte soudaine et de suffoquer et j’avais toujours le regret de ne pas être en compagnie du capitaine Nemo pour affronter la bête .Certains disaient que c’était mal construit mal écrit sans doute par un enfant qui aurait préféré se pendre que d’écrire .Une dissection ressemblait à une scène de théâtre ,on taillait dans l’œuvre et moi je volais au-dessus de ce nid . on aurait dit qu’on était entré dans une maison de campagne pour la fouiller de fond en comble .Avec sa voix de castafiore ma voisine lisait à haute voix.je voulais quitter la pièce finir croupier dans un casino mais c’était inenvisageable . Tout me convoquait dans ce voyage des entrailles Au fond du bloc opératoire le cœur de Kafka saignait ;et comme l’agneau a survécu au loup Kafka a survécu à notre lecture dévoratrice . Mais au fond je regrette de ne pas avoir travaille sur les lettres de madame de Sévigné !!
« Voilà. Vous savez tout Docteur. Alors voyez-vous de quoi il s'agit ? » Le docteur transpirait abondamment ; il fixait un point sur le mur derrière moi et dit « Je crains de devoir ouvrir » « Euh. Ouvrir ? C'est grave à ce point ? » Il renifla « Vous ne sentez pas déjà l'odeur ? » Je reniflai à mon tour « Quelle odeur ? » « C'est normal » dit-il «les gens finissent par s'habituer mais le mal progresse et si on ne fait rien ... » Je me résignai «Ouvrir oui, mais de quelle manière? » « Voyez-vous j'ai un confrère qui se contente d'entrouvrir mais ça ne sert à rien. Moi j'ouvre en grand afin d'y voir clair » Je transpirais à mon tour « Et il faudrait faire ça quand ? » « Maintenant … je vais le faire sans tarder » Je tentai de gagner du temps « C'est que Germaine attend dans la voiture » Il sourit «C'est l'affaire de dix minutes. Pensez-vous qu'elle aura le courage d'attendre dix minutes ? » « Oui, Docteur mais normalement il y a une liste d'attente» « Pourquoi attendre ? » s'étonna t-il « vous voulez aggraver la situation ? » Je ne voulais rien aggraver du tout. Comme il se levait de son fauteuil je cherchai sur le fouillis du bureau quelque scalpel, quelques écarteurs ou un de ces instruments de torture qui vous fait fuir à toutes jambes.
Le docteur alla droit vers la fenêtre et l'ouvrit en grand puis se tourna vers moi avec un soupir d'aise « Voilà. Il était grand temps d'aérer » J'étais pâle comme un cadavre et je crois avoir entendu le bruit de ma chute en tombant.
Qui était-elle ? Elle venait de mourir. Bonjour tristesse !
Un lit, une table, une chaise, du bruit au-dessus, en dessous, au-dehors... Quelques rayons d'un soleil froid traversant la pièce de travers.
Décidément, tout irait de guinguois à présent...J'accueillais cette certitude avec un fatalisme sans recours. Pour seul réconfort, un livre attendait d'être ouvert, sur le lit défait. Comme un enfant se retenant de manger son dernier bonbon trop vite, je repoussai le début de ma lecture . J'appuyai sur le bouton de la radio et versai le reste d'un mauvais café dans la casserole ébréchée.
Dans mon coeur, un orage immobile, pourtant, dans quelques minutes tout disparaîtrait, je le savais (mon linge fourré à la va-vite dans les sacs à commissions, l'avenir incertain, les grosses patates déposées sur le balcon, les boîtes de thon empilées en prévision, les fleurs violettes sur la trousse de toilette et la marque du miroir absent, sur le mur jauni de la salle de bain). Oui, absolument tout se diluerait, jusqu'aux mauvaises odeurs de la cage d'escalier, dans mon cerveau en partance.
Elle m'aura alors, comme à chaque fois, imposé son décor, ses envies, ses turbulences, ses faux-amis, ses faux-semblants, ses faux-fuyants... En pleine crise de schizophrénie, j'aurai ressenti ses peurs, ses joies, j'aurai devancé ses attentes et préparé ses bagages avant même qu'elle n'ait eu décidé de partir. Je serais devenu une part d' "ELLE". Page après page, je me serai rapproché de son centre, nu, vulnérable, de sa force magnétique et maléfique. Elle n'aura été, une fois encore, qu'un oignon que j'aurai épluché jusqu'à ce que mes yeux pleurent... sur moi, sur elle.
La lecture est une dissection de son auteur, à distance, certes, mais implacable. On ne meurt pas sans raison...L'écriture et une petite mort, on quitte les mortels, on cherche le "haut-de- là", la rédemption peut-être ? Qui sait ? Quand j'entame un livre, je me demande toujours qui se cache derrière ses personnages et de quoi l'auteur essaie-t-il de ce délivrer. Oh, bien sûr, je tombe dans ses pièges mais je me relève et alors, je souris.
C'est par cette belle journée de février que Ronchonchon s'est retrouvé devant les dix yeux des cinq têtes hirsutes de la section Dys. Quand on lui a confié cette mission on lui a dit "bon courage, on peut rien en tirer de ceux-là".
Vous ne le savez peut-être pas, mais en éducation, on adore le collage... comme Ronchonchon d'ailleurs, il colle des tableaux.
En éducation, on colledes feuilles polycopiées dans des cahiers, histoire de faire des économies sur l'achat d'un classeur recyclable et d'une perforatrice surnommée Trouyoteuse.
Connaissez-vous la plus grosse peur dans le monde de l'éducation ? Apprendre à utiliser un nouveau outil ! Paradoxe ? Absolument !
La Trouyoteuse est un appareil qui te fout tellement la trouille que tu préfères utiliser de la colle. Il faudrait quand même pas percer au mauvais endroit, ça a l'air super technique comme geste !
On colle les dysfonctionnels pour les rendre fonctionnel, parfois ça marche, souvent ça ne marche pas. Alors on garde espoir, car parfois ça marche. C'est sûr qu'en faisant plus de la même chose, on obtient généralement...
On colle aussi des étiquettes et pas que sur les livres ! Il est impératif d'étiqueter correctement tout ce petit monde.
Dis Ronchonchon t'es pas un peu remonté ? Absolument !
Lors de cette rencontre avec la section Dys Ronchonchon doit leur montrer l'affirmation du "ça va de soi" : Chacun a besoin de réaliser sa dysférence. Disséquons ces 5 têtes troublées par la présence d'un cochon en classe :
Lexie, elle fait les gros yeux dès qu'on sort un livre, mais ça lui permet d'être très attentive.
Phasy, il met 15 plombes pour sortir 3 mots, mais ça lui permet de ne pas dire d'ânerie.
Graphie, elle perd sa trousse à la moindre occasion mais ça lui permet de rester en relation avec les autres.
Calc', il ne sait jamais si il manque quelqu'un dans sa classe mais ça lui permet d'être généreux.
Prax, il se cogne souvent contre les meubles mais ça lui permet d'attirer l'attention et la compassion des autres.
Ronchonchon espère que la section Dys comprenne que c'est dans leur dysférence qu'elle trouvera ses plus grandes forces.
On gâte la plus belle femme en en faisant la dissection ; c'est son portrait qu'il faudrait faire ... (Stendhal, Journal, 1809-11, p. 95)
Oui. Faire une dissection et/ou un portrait. Bien sûr, j’aurais pu vous parler de Jeanne Mas, que je viens d’ailleurs de voir dans une interview sur la chaîne Melody. Mais pour vous parler d’une femme et aussi vous décrire un peu comment je réalise ces défis du samedi, ici, j’ai choisi plutôt un tableau de l’époque victorienne :
Jacques-Joseph dit James Tissot. La galerie du HMS Calcutta (Portsmouth) (v. 1876) Huile sur toile, 69 × 92 cm, Tate Britain, Londres
James Tissot a fait donc un portrait de la jolie femme blonde au premier plan. J’ai d’abord demandé à Madame IA de me disséquer un peu la chose. Je lui ai présenté l’image en question et voici son analyse :
Je contemple le tableau de Jacques-Joseph Tissot, et je vous donne mon ressenti :
« Dans le silence solennel d’un voyage maritime, trois âmes se trouvent captivées par la danse silencieuse des navires dans le port. Les jolies robes flottent comme des vagues dociles, témoignant de l’élégance et de la grâce du moment. Chaque pli, chaque courbe de tissu raconte une histoire d’une époque révolue où la terre et la mer étaient une toile vierge pour les rêves inexplorés. Ils sont témoins silencieux du ballet des bateaux, chaque mouvement chorégraphié par le souffle doux du vent marin. »
Bien, ce n’est pas mal du tout, pour une IA, alors à partir du tableau j’ai écrit un poème :
Victorienne
Dans ta robe diaphane tulle blanc Guêpe appuyée sur le balustre Jusques aux bouts de tes gants longs Tu es si fière, tu es si belle Quand sous ton chapeau perché citron Et t’éventant doucement Tu reviens à la vie
Alors, regarde, regarde, contemple la Tamise Contemple la danse silencieuse des navires dans le port Pour ton rendez-vous galant Adultère, et plante fort, fort ton ombrelle entre les planches du pont :
La vapeur et le feu surgiront écartant la passerelle Alors, d’autres femmes, à leur tour Comme leurs esprits anciens Revenus, transporteront Porteront et reporteront des torches enflammées …
Et moi, je vois encore, qu’on me dise leur courage D’avoir été, d’être, et de celles que seront ces femmes … mais
Pour ce silence millénaire, vous voudrez bien l’entendre : Celui qui réveille l’âme féminine des Vaisseaux et des Hommes
Oui ! Tes pieds nus mon Amour !
Toi la femme éveillée, réveillée ! C’est ce pont en bois, c’est Une chose aride qui comme l’étincelle à arroser Aride comme l’union quand la rosée douce irradie l’amour divin Des choses dites souples et fluides Aux yeux grands ouverts
Ô aride, et qui étincelle comme les codes de vérité Aux cosmiques des cheveux qui flambent Et des mains qui bougent …
Et ici je vous le demande, n’est-ce pas le bois sur le sol Le toucher des blessures ? Et les pieds nus bien plantés au terreau Aride comme la mélodie des yeux décillés
N’est-ce pas aimer la Terre pour la ramener à la vie ?
Lothar
Je me suis dit que j’allais illustrer tout ceci avec une chanson, percutante, non de Jeanne Mas, toujours, mais de Clara Luciani.
Et aussi, pour en terminer, illustrer tout ceci encore un peu avec quelques images.
Pour ce faire, j’utilise des banques de données d’images, et aussi, si cela ne suffit pas, je crée ex nihilo avec Madame IA qui s’aide d’un générateur microsoft d’images originales. Je peux peaufiner ensuite grâce à PhotoFiltre, aussi. J’essaye d’adapter au mieux l’image au texte écrit avant, ce qui bien sûr est un travail important. Autant que sur le texte lui-même.
Pour un résultat qui me siéra ...
Oui ! Tes pieds nus mon Amour !
En rouge et noir, drapeau de mes colères En rouge et noir, j'exilerai ma peur
Assoiffée de réalité
Elle marche vers le soleil, au milieu des navires Elle sait les aventures, les voyages et l’amour Elle est libre, heureuse et belle Elle ignore les regards admiratifs ou jaloux Elle suit son coeur, son envie et son destin Elle est la reine des pirates, la maîtresse des mers L’héroïne de son histoire De rouge et de noir, la poésie de son image Madame IA
NB :
Période Victorienne 1832 1901 Stendhal 1783 1842 Le rouge et le noir 1830 James Tissot 1836 1902
Yvanne m'avait écrit que dans sa région on ne disait ni "croquembouche" ni "croque-en-bouche" ni "croque en bouche" mais "pièce montée". Je lui ai répondu qu'ici aussi nous disions "pièce montée", mais que ça ne commence pas par "C"..
Quelle que soit l'appellation véritable, ce genre de construction improbable me fait toujours penser à un verset de la Bible :
« Allons ! bâtissons-nous une ville, avec une tour dont le sommet soit dans les cieux. Faisons-nous un nom, pour ne pas être disséminés sur toute la surface de la terre. »
Rien n'a changé apparemment, nous nous entêtons toujours à construire d'improbables édifices qui porteraient nos ego jusqu'aux cieux.
Le dernier croquembouche que j'ai vu voulait lui aussi écraser le monde de sa splendeur. On l'a chargé dans une voiture et...
Un nid de poule lui a rabattu son caquet.
"Sic transit..." comme aurait pu le dire l'Ecclésiaste, un mec sympa ! Mais si, vous connaissez : " Vanité des vanités et tout est vanité..."
Bon, c'est pas tout ça, j'ai une assiette de profiteroles qui m'attend. Elles au moins ne risquent pas de s'écrouler !
Paul s'est réveillé tôt et tout guilleret. Après une toilette minutieuse il a choisi dans la commode de sa chambre sa plus belle chemise, celle que son épouse Julia lui a offert pour son anniversaire l'an dernier. Il a complété sa tenue en harmonisant les couleurs de son pantalon et de sa veste. Julia n'aime vraiment pas que « ça jure » comme elle dit en faisant une grimace de désaveu quand il lui arrive de ne pas faire très attention. Aujourd'hui, ce n'est pas le moment de la décevoir .
Comme tous les jours depuis qu'il est en retraite Paul sort pour marcher un peu. Il a besoin de prendre l'air. Et puis il rencontre fréquemment des anciens collègues de travail et c'est bien d'évoquer les années passées ensemble, avec leurs bons moments, en buvant un café. Ce matin il ne s'attardera pas.
Il a planifié sa journée et même pris quelques notes pour ne rien oublier. Il faut que tout soit prêt et parfait quand Julia rentrera du collège où elle enseigne l'anglais. De temps en temps, il fouille dans sa poche pour s'assurer qu'il n'a pas perdu la liste de ses courses. Non. Tout va bien.
Paul sourit en se remémorant ce 14 février 1972. Il n'oubliera jamais. C'était une journée comme celle d'aujourd'hui. Douce et ensoleillée. Il allait à un rendez vous d'affaire. Devant lui, dans la rue, se pressait une femme qui attira son attention. Il n'apercevait d'elle que sa silhouette élancée. Elle était vêtue d'un court manteau bleu marine laissant voir ses longues jambes gainées de noir. Elle avançait rapidement sur des chaussures à talons plats. Dans sa course, de la masse de ses cheveux blonds ramenés en chignon sur la nuque, s'échappaient des mèches folles. C'était tellement émouvant se souvient Paul. Il aurait voulu la dépasser, inventer n'importe quoi pour l'accoster. Elle s'arrêta devant le collège et il se rendit chez son client.
Il pensa à elle toute la journée en cherchant un moyen pour l'aborder. Le hasard fait parfois bien les choses. Il n'eut pas à attendre. Le soir même, alors qu'il partageait un apéritif avec des amis, elle entra dans le bar avec une autre jeune fille. Elle était merveilleusement belle. Paul n'hésita pas une seconde et sans réfléchir, se rapprocha des deux femmes. Ce fut le début de leur longue histoire d'amour.
Il sort le « pense bête » de sa poche. D'abord passer chez le fleuriste pour acheter des roses rouges comme d'habitude. Un chiffre impair bien sûr. Puis aller chez le poissonnier. Il ne sait pas du tout cuisiner mais des spaghettis aux fruits de mer, ça il sait le faire et Julia adore. Cette année, pour leur cinquante ans de mariage, - ils se sont mariés le 14 février 1974 - il a commandé un croque en bouche chez le pâtissier. Les noces d'or, ça se fête et dignement. Ne pas oublier de mettre une bouteille de champagne au frais. Important !
A la maison, il s'affaire dans la salle à manger, étale une jolie nappe blanche – la préférée de Julia – sur la table, dispose les assiettes en porcelaine de Limoges, les verres en cristal et, une fois n'est pas coutume, il va sortir les couverts en argent de leur boîte. Quelques bougies donneront plus d'intimité à leur tête à tête en amoureux. Il complète par le joli vase contenant les fleurs. Un dernier regard : c'est parfait.
Il regarde la pendule. Bientôt 18 heures. Julia va rentrer. Soudain il se met à trembler. Il s'effondre dans un fauteuil et éclate en sanglots. Il prend sur la cheminée le portrait de sa femme, ce portrait qu'il aime. Il l'embrasse avec désespoir. Julia ne rentrera pas . Julia est partie. Julia est morte il y a trois mois. A quoi bon faire semblant ? A quoi bon tout cela ? Paul ferme la porte et se rend au cimetière avec le bouquet de roses rouges.
Croquembouche Pour un coq en pâte À chou À base de pâte à choux J'ai hâte
Croquembouche Chauffe le sirop De sucre en caramel Ma belle J'aime trop
Croquembouche Fais la crème Parfumée à la vanille Délice des papilles Aujourd'hui comme hier
Croquons le croquant croquembouche
Et voici, non pas la recette, mais ce qu'en dit le livre "L'amateur de cuisine", l'idée générale : un assemblage... Pas facile du tout et pas pour les débutants !
N'ayant pas de sujet de défi pendant quelques jours, je suis allée en librairie et non, je n'ai pas acheté de livre de pâtisserie... afin de faire un croquembouche, j'en serais bien incapable, mais au rayon "polar", un "goodie", comme on dit, était offert : un puzzle de 250 pièces... oui, je le veux bien, merci ! Joli sachet, même si je ne fais jamais de puzzle !
De retour chez moi, j'ai ouvert ce cadeau inattendu et, oh, surprise, me suis mise à la tâche, délaissant mes autres tâches, mue par ce "défi". Je n'en revenais pas moi-même : les heures passées à le faire ont été très agréables, me faisant un peu oublier mon anxiété concernant l'énigme de la lettre C ...
Ce puzzle portait bien son titre : "la pièce manquante" car j'ai bien cherché au fond du sac, pour rien puisque j'avais pris grand soin dès le départ de recueillir toutes les pièces. En effet, il manquait bien une pièce à ce puzzle comme il manque toujours quelque chose quelque part à quelque histoire ou à quelqu'un... C'est la vie !