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Le défi du samedi

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13 juin 2015

Participation de Venise

ve01

 

            Dans ma jarre il y a toute la colère du capitaine haddock

                ECOUTEZ !!

      Bachi-bouzouk

Mille millions de mille sabords

BOUGRES De FAUX JETONS à LA SAUCE TARTARE.

COLOQUINTE à  la GRAISSE De HÉRISSON

ESPÈCE DE MÉRINOS MAL PEIGNES

ZOUAVE INTERPLANÉTAIRE

ECTOPLASME à ROULETTE.

JUS DE POUBELLE.

LOUP GAROU à LA GRAISSE DE RENONCULE.

AMIRAL DE BATEAU LAVOIR

BOUGRES D’EXTRAIT DE CRETINS DES ALPES.

CONCENTRE DE MOULES à GAUFRE.

BON Là je remets le couvercle !!!

Vous en voulez encore ?

ASTRONAUTE D’EAU DOUCE. GARDES COTES à  la MIE DE PAIN

Je garde précieusement cette jarre  aux milles éclats avec tendresse car elle a enchanté mon enfance.

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13 juin 2015

Participation de JAK

ILS ONT DECOUVERT UN TRESOR DANS LEUR JARDIN

 

                  Extrait…   lire l’article en page 20

 

ja01

 

Reportage en direct by Jak descendante de rois fainéants

Pour le défi du samedi #354 le mystère de la jarre

 

Vu sur

http://www.savoirs.essonne.fr/sections/histoires/ils-ont-decouvert-un-tresor-dans-leur-jardin/

13 juin 2015

Ismee Djara... (par joye)

ismee djara

الجرّة

viens écouter mes secrets

je suis née dans l’argile de l’antiquité

la terre cuite est mon héritage

depuis des millénaires

je prends forme

sous les mains de l’homme

je lui sers

je porte ses essences et ses vivres

son eau, son huile, ses graines

l’homme aime mes rondeurs

ma beauté,  mon utilité, mes mystères

mes ancêtres sont prisées

recherchées, vendues, gardées

mes contemporaines sont jetées

brisées, abandonnées, méprisées

moi, je m’appelle djara

et mes secrets sont

les tiens

13 juin 2015

LA JARRE (EnlumériA)

Ce matin-là, Lord était dans tous ses états. Comme s’il avait passé la nuit sur un nid de frelons. Lui, d’habitude si pondéré, avait même failli me renverser une tasse de thé sur les genoux.

Lord m’avait convoqué – oui, c’était bien le mot, convoqué. Son ton comminatoire, la veille au téléphone, résonnait encore dans ma tête comme un ordre et non une invitation — Lord m’avait convoqué, disais-je, à la première heure. Sans faute ! Je sonnai chez lui à huit heures précises. Il me reçut échevelé, la chemise débraillée, les yeux divaguant en tous sens. C’était la première fois que je le voyais dans cet état. Il me fit entrer rapidement, non sans avoir jeté un regard inquiet dans la rue où seule une paisible vieille dame promenait son chien.

— On ne t’a pas suivi ?

Je haussai les épaules. Pourquoi diable m’aurait-on suivi ? Alors qu’il s’affairait dans la cuisine à préparer cette fameuse tasse de thé, je m’installai sur le sofa – mon fauteuil habituel étant hélas encombré de mystérieux documents jetés en vrac, d’une grosse loupe et d’un pied-de-biche.

Lord revint de la cuisine, trébucha, rattrapa de justesse la tasse de thé et me demanda de m’asseoir. C’était déjà fait. Il regardait sans cesse la pendule sur la cheminée. Plus le temps passait, et plus il faisait montre d’agitation. Je bus mon thé à petites gorgées en attendant une accalmie. Au bout de cinq interminables minutes, je lui demandai enfin les raisons de tout ce cirque.

— J’attends un colis.

— Tu attends un colis. Soit. Et alors ?

Lord se laissa tomber à côté de moi, croisa les jambes, les décroisa, renifla, s’éclaircit la voix, agita les mains devant son visage comme si les mots qui se bousculaient dans sa gorge avaient décidé de se précipiter tous en même temps vers la sortie.

— Oui ?

— J’attends…

— Un colis. Je sais, tu me l’as déjà dit. Je te signale qu’il est à peine neuf heures du matin et qu’aujourd’hui, c’est dimanche. Je doute que le facteur travaille le jour du Seigneur. Et tu m’as tiré du lit à sept heures, un dimanche, pour m’interpréter je ne sais quelle danse de saint Guy. J’attends des explications !

Lord prit une profonde inspiration.

— En fait, il ne s’agit pas d’un colis postal. C’est… disons… un arrivage clandestin. Par une société privée et confidentielle, si tu vois ce que je veux dire.

— Non. Pas vraiment.

Lord attrapa un des documents qui trainaient sur mon fauteuil habituel. Un cahier assez épais et jaunâtre dont les pages avaient été cornées jusqu’à l’épuisement. Il l’ouvrit. Les pages étaient couvertes d’une écriture cursive, serrée et nerveuse, illustrées çà et là de croquis à l’encre sépia. On discernait des plans, des schémas couverts de chiffres et de flèches et en page centrale une amphore de forme étrange. Le doigt nerveux de Lord se pointa sur le dessin. Je remarquais l’ongle en deuil. Décidément, cela n’allait pas bien chez mon ami ce matin-là.

— Regarde cette…

On frappa à la porte d’entrée. Cinq coups secs façon Gestapo. Lord bondit.

— Les voilà !

Quelques secondes plus tard, deux armoires à glace vêtues de noir pénétrèrent dans le salon. Leur mine peu engageante dénotait un total manque d’humour. Ils charriaient une imposante caisse de sapin marquée d’une série d’inscriptions en arabe. Lord leur demanda de poser la caisse près de la cheminée. Le plus grand des hommes sortit un document de sa poche sans dire un mot. Lord signa et les deux lascars prirent congé sans cérémonie. Je lançai un au-revoir ironique qui ne fit rire que moi. Pendant ce temps, Lord déclouait la caisse avec le pied-de biche.

— Viens voir. Tu vas comprendre, dit-il dans un jaillissement de paille.

De plus en plus intrigué, je m’approchai. Dans la caisse, une grosse jarre émaillée luisait doucement. De la même forme étrange que le dessin du cahier. Le col était obturé par un bouchon de cire noire. Des symboles chaldéens couraient en spirale autour du ventre de l’objet. Lord le souleva doucement et le déposa sur la table non sans prendre la précaution de le bloquer avec deux gros livres ; pour l’empêcher de rouler.

Je m’impatientai.

— Mais à la fin, vas-tu m’expliquer ?

Lord m’imposa le silence en posant son index sur ses lèvres. Il chuchota :

— Te rappelles-tu le voyage que j’ai fait à Noël dernier au Proche Orient.

— Oui, bien sûr. Tu es allé rejoindre des amis à Tel Aviv, mais…

— Je ne suis pas resté en Israël.

— Ah !

— Je me suis rendu en Syrie, dans la région de Palmyre, plus exactement. Oui, je sais, par les temps qui courent, ce n’est guère prudent, mais écoute. Tu connais ma fascination pour les anciennes légendes. Or, il se trouve qu’à l’automne dernier, j’ai découvert tout à fait par hasard, ce vieux manuscrit dans les affaires de cet oncle qui venait de décéder, souviens-toi.

L’affaire prenait un tour inattendu. Je m’approchai du bar et j’attrapai la bouteille de scotch et servit deux verres. Il était tôt mais une fois n’est pas coutume. Je bus l’alcool cul sec et attendis la suite du récit tout en inspectant avec attention la jarre sous ses moindres détails.

Lord délaissa le verre que j’avais posé près de lui.

— As-tu entendu parler de la pile électrique de Bagdad ? Dans les années 1930, un archéologue autrichien du nom de Wilhelm König a découvert une poterie assez étrange. Une vieille chose qui daterait de l’empire des Sassanides.

— Les Sassanides. Tu m’en diras tant.

C’est à cet instant précis que je retins avec peine un fou rire qui n’échappa pas à Lord.

— Oh ! Mais tu peux te marrer. C’est tout à fait sérieux, monsieur le cartésien. C’était un dispositif fermé par un bouchon en bitume. – il me désigna la jarre – un peu comme celui-ci. À l’intérieur, on a retrouvé une tige de fer entourée d'un cylindre de cuivre. Ces deux éléments étaient isolés par un tampon de bitume. Le cylindre était soudé en son fond par un alliage de plomb et d'étain. Une sorte de pile en quelque sorte. Voilà sa petite sœur. C’est un dissident djihadiste plutôt dégoûté qui me l’a vendue pour un aller simple au Brésil. Comme je ne pouvais faire entrer cet objet en France par les voies officielles, j’ai eu recours à un prestataire de service.

— Et qu’est-ce que tu comptes faire de cette… pile ? Alimenter ton congélateur ? Un conseil, fais-toi équiper de panneaux solaires.

Lord affichait la mine dépitée des grands jours.

— Tu ne crois pas un traître mot de ce que je te raconte. Mais comprends-tu vraiment les enjeux de cette découverte ?

Sans écouter plus que ça ses lamentables explications, je m’emparai de la grosse loupe qui attendait sur le fauteuil.

— Viens voir. Regarde là. Juste sous cette drôle d’inscription. Tu vois ?

Lord se pencha et regarda à travers la loupe que je maintenais sous son nez. Son nez qui s’allongeait, qui s’allongeait encore.

— Je crois, mon vieil ami, que ton dissident djihadiste t’a pris pour un jambon.

Sous la loupe, on distinguait distinctement l’inscription : « Made in China ».

 

Évreux, le 11 juin 2015

13 juin 2015

La jarre (EVP)


J’ai mis dans la jarre.
Tous les mots qui ne devaient pas être dit.
Les petites mesquineries et les grosses jalousies.
J’en avais sans doute marre,
Des couardes hypocrisies, des maousses flagorneries.
Mais d’une sincérité urticante, le commun a frémi.

J’ai rempli la jarre.
Des gaudrioles en sempiternelles litanies.
D’urgences en pisse-copies, le vide est si vite rempli,
La règle neuve est à part.
Alors qu’on ne veut que le moyen, l’ordinaire, le petit,
Tenant l’emmerderesse pour prétention bouffie.

J’ai bien enterré la jarre.
Pour oublier vite, tous ces tristes faux-amis,
Sous le sable ocre d’un très lointain et lumineux pays.
A présent c’est bizarre,
Qu’on veuille ressortir ce qui est enfoui.
Parce qu’on découvre que le silence est bavard aussi ?

J’ai retrouvé la jarre.
Elle était pleine de temps passé, chiffonné, blessé.
Elle était pleine de cette pulvérulence toute rose-doré.
Il était bien trop tard,
Il n’y avait rien d’autre que du vent léger, léger.
Et les friselis de l’inconséquence d’une fragile humanité.

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13 juin 2015

LE SECRET DE LA JARRE (Lorraine)


Dans ma jarre il y a

- des pinceaux de couleur pour reverdir l’hiver, dessiner un ciel bleu, et semer partout dans les prés le coquelicot rouge  éphémère ;
-
- Gagné à je ne sais quelle loterie -un billet d’avion pour l’Espagne, jamais utilisé et gardé comme un dérisoire porte-bonheur ;

- le murmure de la mer ;

- des souhaits de bonheur et d’anniversaire, pleins de l’amour maladroit
 d’enfants  devenus depuis des hommes et des femmes, qui envoient désormais des mails mais plus les « Je t’aime » d’autrefois ;

- Dans ma jarre, il y a aussi des souvenirs, des chagrins, des joies ailées, des visages disparus, des aveux d’hier, une rose au corsage, un baiser dans les cheveux, une éphémère bouderie, l’immense soulagement des réconciliations, l’immense désespoir du deuil, et la vie qui continue.

- Dans ma jarre il y a l’adieu. Le mien. Celui qu’ils trouveront quand je ne serai plus.

13 juin 2015

La jarre à tête de pacha (Vegas sur sarthe)

Oncle Hubert gardait jalousement à la cave un grand vase de terre cuite au contenu mystérieux.

Chez nous l'importance des mystères se mesurait à la taille de la frottée qu'on nous promettait si on y risquait une main ou même un oeil!

La jarre était si ventrue qu'en la qualifiant d'engrossée, nononque s'était enorgueilli d'une métamphore (comme il disait) en partant d'un énorme rire qui le secoua des pieds à la tête.

J'appris plus tard que ce qu'on appelait en fait métaphore - une figure de style substituant un mot par un autre - n'avait rien à voir avec les vases étrusques.

On eut beau lui demander si ça se mingeait, si ça se picolait ou si ça protégeait du mildiou ou de la Mélusine, jamais Oncle Hubert ne lâcha le moindre indice sur son contenu.

Jamais il n'en retira quelque chose et jamais il n'y jeta la moindre chose ce qui faisait pourtant grossir le mystère jour après jour.

Nous montions la garde à tour de rôle mes cousins et moi, reluquant par la borgnotte à chaque fois qu'Oncle Hubert descendait à la cave c'est à dire trois à six fois par jour selon le degré d'évaporation des fillettes d'aligoté.

Par contre il nous confia qu'il la tenait d'un soldat inconnu qui l'avait arrachée en 1683 sous les murs de Vienne au grand vizir Kara Mustapha en personne, juste avant sa décapitation par le sultan Mehmed IV... ce que personne ne crut puisqu'il nous avait déjà fait ce coup-là trois ans plus tôt avec son gri-gri! (http://vegas-sur-sarthe.blogspot.fr/2012/12/amulette-de-surete.html)

On en vint à dire que la jarre était vide et que nononque nous avait entubés.

Il était grand temps de lever le doute et de confondre l'imposteur aux yeux de tous y compris de tante Anastazia qui ne manquerait pas de lui chanter Ramona en polonais!

 

Petit Paul qui était petit à cause de son nom n'eut aucun mal à passer par la borgnotte à l'heure bénie de la sieste et les ronflements continus de nononque étaient là pour nous rassurer sur notre entreprise.

Après avoir rebeuillé autour de la jarre, Petit Pierre pinçant son nez entre deux doigts nous assura que ça viaunait pire qu'à la décharge et qu'il lui fallait remonter fissa.

Le virot l'avait rendu pâle comme un mort et on eut un mal de tous les diables à sortir l'aventurier de son trou.

Y'a un cadavre, là-d'dans!” cracha t'il en vomissant son repas sur nos sandalettes “c'est p't'être bien la tête du grand vizir Mustapha”

Je lui répondis pertinemment que depuis 1683 les restes du vizir ne risquaient pas de viauner quoi que ce soit et comme il tombait d'accord avec moi, je le persuadai d'y retourner.

Equipé d'une pince à linge sur le nez et requinqué d'un galopin de sirop de cassis, Petit Pierre retourna dans l'enfer putride de l'antre au secret.

On pu alors le voir découvrir la jarre, y plonger un pochon qui traînait là, tartouiller, nadouiller puis remonter une sorte de liquide verdâtre et visqueux qui tenait plus de la morve que d'un divin nectar.

Alors on entendit Petit Pierre pousser un horrible cri tandis qu'il jetait le pochon dans la jarre et la refermait vivement; déjà il tendait les bras vers nous, plus pâle qu'au départ.

 

On l'assit doucement contre un mur, suspendus à ses lèvres exsangues dans l'attente d'une révélation.

Il m'a regardé” parvint-il à prononcer “j'ai vu ses yeux, les deux!”

Dans un sens Petit Pierre nous rassurait car nous n'avions pas affaire à un cyclope mais à une créature munie de deux yeux comme nous.

Le “comme nous” est l'expression la plus rassurante pour les êtres munis de deux yeux... restait à savoir qui possédait deux yeux dans un pochon de matière visqueuse?

Parle, Vindiou!” réclamait notre petit groupe. On n'est jamais trop nombreux pour faire parler un mort vivant.

Il m'a fait les gros yeux” bafouilla Petit Pierre “et en plus il louche!”

Cette information acheva de nous horrifier. On peut combattre un adversaire au regard droit mais pas un esprit faux qui vous regarde de travers et vous jette sournoisement quelque diablerie...

Petit Pierre revenait à lui mais ne put donner plus de détails sinon qu'il avait bel et bien croisé au fond d'une louche le regard du grand vizir Kara Mustapha en personne, pourtant décapité par le sultan Mehmed IV en 1683.

Ainsi nononque avait-il hérité en même temps que la jarre d'une tête de pacha!

A ce jour nous n'avons jamais évoqué le sujet avec Oncle Hubert ni pu dire comment avait disparu ce satané pochon.

 

 

borgnotte: petite fenêtre

fillette: demi-bouteille

galopin: verre

nadouiller: jouer avec du liquide

nononque: Oncle

pochon: louche

rebeuiller: fouiller

tartouiller: tripoter

viauner: sentir mauvais

virot: mal au coeur

13 juin 2015

La jarre du Globaï. (Emma)


Il y avait, à Oxbridge un très sérieux professeur d'histoire ancienne, nommé Willybillie Poe, que la reine avait anobli  pour avoir trouvé en Éthiopie orientale des vestiges des écuries d'Alexandre le grand.
Au cours d'une mission dans les monts désertiques du Globaï, il découvrit, dans une grotte à demi bouchée par le sable, parmi des débris de poteries, une jarre en parfait état, contenant une  tablette d'argile gravée de signes.
La découverte était d'importance, car, selon la théorie du professeur Poe, Zarathoustra, devenu muet, aurait fini sa vie exilé  dans le désert du Globaï.
Il entreprit donc de comparer les signes de la tablette, qu'il avait appelés "écriture globaïlienne", avec toutes les écritures qu'il connaissait : Chaldéen, Assyrien, Hittite, Egyptien de toutes les époques.
En vain.
Puis, frénétiquement,  au mépris de toute logique, il étendit ses recherches au Chinois antique, au Tartare moyen et bas, au Sibérien, à l'Iroquois, au Navajo, et aux signes des pyramides Maja… à toutes les langues répertoriées dans la grande bibliothèque d'Oxbridge.
Aucun résultat.
Sir Poe passait toutes ses nuits dans une fièvre de plus en plus troublée.
Il en perdit son latin.
Puis sa santé.
Puis sa femme.
Enfin il fut licencié par l'université pour manque de résultats, et excentricités diverses. Il mourut peu après, victime d'une infection transmise par les cloportes des grottes.
 
Or donc il arriva que le mois suivant, Harry Beans, Californien de 16 ans et demi, surfeur sur la vague le jour et  sur internet la nuit, tomba sur la photo de la plaque du Globaï dans National geographic.
Il lui fallut exactement 8 minutes pour casser les codes d'accès au "CIA cryptoservice niveau 7", et déchiffrer les signes.

Et il lut :

- un sac de farine
- 2 gros poulets
- une jarre d'huile
et ne traîne pas en route !

13 juin 2015

Rassurez-vous, j'vais pas vous la chanter (Walrus)

Jarre02

13 juin 2015

Participation de Fairywen

Le chat et la jarre.


D’une jarre sortit une souris
Devant le chat surpris
Derrière un souriceau suivit
Puis un autre, et un autre aussi
Qui s’en allèrent ravis
Devant le chat pas du tout marri
Mais heureux de retrouver ses amis
Et de chausser ses ailes jolies
Pour rejoindre les oiseaux qui volent ici
 
En souvenir d’un fait réel : la tête inénarrable de mon chat Réglisse quand une souris est sortie de son paquet de croquettes…


Fairywen/Ysaline

Défi 354 du samedi 06 juin 2015

6 juin 2015

Défi #354

Le secret de la JARRE

 

JARRE

à nous révéler à

samedidefi@gmail.com

A tout bientôt !

 

6 juin 2015

Ont tiré les bonnes cartes

6 juin 2015

Une partie de cartes par bongopinot

bo01

 

Une partie de cartes

Ça réconforte

On bat on distribue

C'est le début

 

Une petite bellotte

Ça ravigote

On s'appelle on se réunit

Pour toute la nuit

 

Une partie de nain jaune

Ça rend aphone

On crie on rigole

Tout le monde s’affole

 

Une bataille corse

Ça nous renforce

Valet dame et roi

Nous mettent en joie

 

Une partie de pouilleux

Ça rend heureux

On devient tous allergique

Au valet de pique

 

Une partie de rami

Ça nous ravit

En famille ou entre amis

On se défit

 

Un jeu avec ou sans joker

Ça dépoussière

On devient tous complice

Et plein de mâlice

 

Seul ou en équipe

On participe

Et sur un petit calpin

On note les points

 

 Une belle découverte

Le jeu de cartes

Du petit au plus grand

Restons enfants

 

6 juin 2015

Drôle de jeu (MAP)

Je ne cacherai pas mon jeu, j'ai cherché avec méthode

jusqu'à en devenir timbrée

une réponse à ce défi

-mais qui donc au fait nous l'a proposé- ???

...........................

A moi René, viens à mon aide !

................

Ah tu es là mon bon Descartes !

Grandement je te dis MERCI !!!

Descartes

  

6 juin 2015

Participation de JAK

ja01

Il était une fois un jeu dont les participants devaient créer ensemble le plus merveilleux des contes de fées...

Et ces intervenants se trouvaient chaque samedi à minuit, heure fatidique pour faire apparaitre des  récits-fantomatiques

Les élucubrations allaient bon train, au delà de la déraison

Certains très érudits sortaient  le jeu de leurs connaissances, et épataient tout le monde

D’autres poètes dans l’âme trouvaient toujours quelques rimes  au chapeau en sonnet

Des out-atlantiques,  aimaient faire jaillir de leur youtube des  pantins animés qui nous ravissaient.

Des fantaisistes animaient leur récit d’images pour mieux convaincre.

Les valets étaient rois, les dames reines, et leurs enfants les mots pullulaient  de vocables rares ou savants qui  s’étalaient comme du miel sur le pain beurré, ils  se gaussaient, se gargarisaient,  quelquefois nous alarmaient, faisaient rire ou parfois  grincer les dents.

Le conteur qui parvenait  à rendre une histoire intéressante l’emportait par un nombre élevé de commentaires.

Mais tous étaient des joueurs invétérés, accros à leur rendez vous.

 

Le rendez vous de la jovialité

 

6 juin 2015

Participation de Nhand

 

MON ATOUT MAÎTRE

 

 

Si je me pique à ton as de pique,
C'est que j'en ai mon soûl des valets ;
Mon atout maître, étends tes filets,
Plie-moi donc à ta forme olympique !

Voulant être ta dame de cœur,
Je te promets une suite épique ;
Ô noble cavalier atypique,
Pioche-moi, cesse ce ton moqueur,
Nous ferons la paire,
Enfin... Je l'espère !

Me laisseras-tu sur le carreau
Par la faute d'un joker minable ?
Tenteras-tu l'excuse imprenable
Pour passer ton tour, comme au tarot ?

Après m'avoir effeuillé le trèfle,
Dis-moi que le jeu continuera,
Qu'un brelan de petits bouts viendra...
Effeuille-le moins vite, mon trèfle,
Mais plus follement,
Plus passionnément !

Si je me pique à ton as de pique,
Voulant être ta dame de cœur,
Me laisseras-tu sur le carreau
Après m'avoir effeuillé le trèfle ?

 

 

LOGO NH-PF

6 juin 2015

Je ne sais pas vous (Walrus)

... mais moi, que ma destination soit proche ou lointaine, j'ai toujours un jeu de cartes dans ma voiture mon épave.

Je suis en celà les recommandations du fournisseur du premier GPS que j'ai acquis : "Ne vous fiez pas aveuglément à votre appareil, vérifiez toujours sur une carte".

gps

Si vous êtes sages, je vous donnerai la marque de ce grand ouvreur de parapluie.

6 juin 2015

Participation de Venise

ve01

6 juin 2015

Diable ! (par joye)

6 juin 2015

LA PREDICTION DES CARTES (Lorraine)

 

Les cartes devant moi étalent leur mystère

Voici l’homme étranger qui dans la nuit viendra

Le beau valet de cœur va chercher à me plaire.

Une amie éplorée l’aime et me haïra

 

Si ma vie se pouvait jouer en cet instant

Je tournerais le sort comme on tourne les pages

Le Roi de cœur serait à jamais mon amant

Et le Roi de Carreau s’en irait en voyage

 

Les piques quitteraient mon chemin hasardeux

Je ferais de l’amour mon plus bel oriflamme

Je ne prédirais rien que des demains heureux

Des nuits et des matins épargnés par les larmes

 

L’as de carreau serait le porteur de nouvelles

Qu’on espère toujours et ne reçoit jamais

Le huit de cœur aurait la douceur éternelle

Des mots dits doucement comme on dit un secret

 

J’éloignerais de moi le neuf de carreau trouble

Qui annonce rupture,  retard ou manquement

Le neuf de cœur serait le bonheur qui découle

 D’une rencontre amie et pleine d’agrément

 

Le sept de trèfle aurait pour moi une pensée.

Le valet,  très galant,  donnerait sa lumière

Au dix de cœur joyeux qui me ferait danser

A la fête où j’irais déguisée en bergère

 

Les cartes devant moi n’ont plus aucun mystère

Je sais que le bonheur  pour moi s’est arrêté

Et qu’il repartira par la porte cochère

Des amours éternels qu’on ne peut oublier.

 

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