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Le défi du samedi
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15 janvier 2011

Ont franchi la porte du magasin

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15 janvier 2011

Mon cinépicerie (Vegas sur sarthe)

J'habite le 7ième et c'est pas un hasard
si je fais mes achats à l'Epicerie d'Art
là où le client-roi sonne toujours deux fois
et où la grande bouffe a le goût d'autrefois.

J'y prend l'aile ou la cuisse et la soupe au canard
du poulet au vinaigre labellisé Oscar
la soupe au chou du Glaude et la cuisine au beurre,
les pruneaux indigestes des tontons flingueurs.

Si j'osais je prendrais un western spaghetti,
des macaroni, oui... mais des Don Camillo
l'orange Meccano et le Chut! des agneaux
la course à l'échalote en version ralenti.

Pour régler l'addition j'ai un truc infaillible
qui ne me coûte rien car c'est l'argent des autres,
et si bien des navets ne sont pas comestibles
mon cinépicerie c'est la vie et rien d'autre.

15 janvier 2011

EPICERIE D’ART (Lorraine)

La boutique s’alluma parcimonieusement quand je poussai la porte. Je fis un pas, mes yeux s’embuèrent, mon cœur battit plus vite, je me sentis comme happée par un sortilège : j’étais dans l’Epicerie d’Art.

 Je venais pour acheter quelques dattes, du sucre candi en ficelle, une « tisane d’Orphée » dont on parlait à voix basse dans le village et la « liqueur sans nom » qui n’avait pas de goût non plus, mais rendait heureux ceux qui y trempaient les lèvres.

 Un parfum de gingembre tournoyait autour de la Victoire de Samothrace prête au sublime envol au tournant d’un couloir. La vitrine aux aromates vendait une once de perlimpinpin, mais aussi des partitions de Beethoven dont on entendait en sourdine « L’Hymne à la joie « .Un muscadin sortit d’une porte, laissant un sillage de muscade. Au passage, j’achetai de l’anis et de la cannelle, je tournai à droite, arrivai dans une pièce lumineuse et pleine d’un monde d’autrefois, rieur et chantonnant. Je m’asssis sans façon auprès de Renoir qui, entouré de ses personnages, festoyait au Moulin de la Galette. Il m’entraîna dans une polka endiablée et je me retrouvai devant le comptoir de l’Epicerie d’Art où un chat énigmatique aussi haut que moi faisait ses comptes. Il me jeta un regard filtré entre ses yeux verts et miaula :

 - Heureuse ? 

 J’allais répondre par pure courtoisie. Mais je me retrouvai dans la rue, devant la crèmerie ordinaire « Chez Maria » où je vais d’habitude. Maria était sur le pas de la porte. Elle s’inquièta :

 - Vous allez bien, Madame ?...

 - Oui…Non…Ce sont ces sacrés Défis…Ils me mettent la tête à l’envers…

 Je rentrai chez moi. J’avoue que j’ai pris un petit remontant…

15 janvier 2011

magasin d'art (Sable du temps)

Ah le marchand d'art a rouvert ses portes !

Bonjour ! Alors que me proposez-vous cette semaine ? Oui, que du frais, du grandiose, de la belle oeuvre, bien sûr ! Assurément votre palette est large.

Watteau ? excellent. Mettez-moi quelques touches de Gilles, oh très peu , je ne m'embarque pas pour Cythère quand même ! J'organise juste un déjeuner sur l'herbe, non non, pas au moulin de la galette, mais peut-être, au bord de la Seine à Chatou. Je prendrais volontiers un soupçon de Van gogh, pour les fleurs. Vous reste-t-il du Braque pour la musique ? - plus de violon - tant pis.  - Munch – dîtes-vous,  non merci, les cris perçants, très peu pour moi. Voyons voir, que va-t-il me manquer ? Mais oui, bien sûr, ces quelques fruits, vraiment Gauguin, c'est la fraîcheur assurée ! et puis je ne résiste pas à la perle de cette jeune fille, je reconnais bien là la qualité Vermeer, du premier choix !

Eh bien je pense avoir tout prévu. Quelles emplettes ! J'adore jouer les glaneuses.

Oh zut, je n'ai plus de Monet … je vous paierai la prochaine fois en vous rapportant la consigne des buveurs d'absinthe ...

15 janvier 2011

boutique de Walrus‏ (titisoorts)

Je suis moi une personne de technologie qui veux rester à la pointe.Le dernier écran tactile, j'ai .Le dernier téléphone ,j ai, la derniere télévision ,j'ai, la derniere voiture mais oui j'ai.Le déroulement de mon prochain week end ,je le connais, invitation à droite pour vendredi, invitation à gauche pour samedi, du sport le dimanche.qu est ce que l'imprevu? Arrivé dans cette ville du nom de ,je crois Lunéville ,comme à mon habitude suspendu à mon téléphone, j apercois un ecriteau l'épicerie d'art.Je passe le magasin tout en réflechissant ,c'est surement un concept nouveau une épicerie d 'art. Ca se mange? J'imagine un tableau d'arcimboldo réalisé en véritables fruits.Des fruits scultés servant de décorations;une mona lisa en patisserie.J 'entre et là derriere la porte je me trouve devant une pièce immense et vide ,personne pas de meuble que des murs blanc, si pardon ,le fond est tapissé de textes .Je commence à lire ,des histoires ,des idees ,des pensées écrites par des inconnus signé Tendreman spice ;Venise ;Vegas Sur Sarthe et par bien d'autres encore.Je lis et m aperçois de certaines realités ,certaines justesses dans les propos,défiant toute concurence et ça me dis ,cela me parle et m interpelle.Lorsque je ressorts du magasin quelque chose en moi à changé .Je n aurais imaginé que tant d 'artistes pouvaient me transmettrent autant d idees et de voyages .Ceci est bien une épicerie d'art je me sens rassasié et bien nourris merci.

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15 janvier 2011

L'épicerie d'Art (Sebarjo)

A l'époque, j'habitais un studio pourri dans un vieil immeuble déglingué mais avec vue sur Beaubourg. Enfin plutôt avec une vue que me cachait Beaubourg ! J'arrivais à Paris et me sentais bien seul, un peu perdu, toujours largué entre deux rames de métro. C'est pour ça que je me souviens bien de Momo... Momo il tenait l'épicerie d'Art, une petite épicerie de nuit, dans une petite rue aveugle un peu derrière La tuyauterie du mastodonte Pompidou...

Je me souviens qu'à chaque fois que j'y allais pour acheter un p'tit truc de dernière minute, je me mettais à chantonner ces paroles inspirées de la chanson de Brassens, Le Bistrot :



Dans un coin pourri
Du pauvre Paris
Loin du bled
L'est un' épic'rie
Tenue par l'ami
Mohammed...



J'essayais de la faire un peu raï mais bien souvent c'est ma voix qui déraille, alors j'arrêtais dès le premier couplet pour éviter qu'on me raille... D'autant plus que je n'avais pas le temps d'en chanter plus, car à ce moment de la chanson, j'arrivais déjà sous l'éternel parasol Coca-cola de Momo.

Il me connaissait bien Momo, j'étais un régulier. Tellement tête en l'air. A chaque fois que je faisais mes courses - pas bien loin, au Franprix là-bas derrière la place - j'oubliais d'acheter quelque chose. Je faisais pourtant mes listes bien soigneusement, en notant tout dans l'ordre des rayons du magasin, mais bien souvent je les oubliais sur la toile cirée rouge pétante qui recouvrait ma tablette battante  de cuisine. Une véritable kitchenette de poche. J'en étais fier, elle était presque aussi grande que ma chambre. Mais là n'est pas la question, revenons-en à Momo.

Momo c'était un chouette type avec les réguliers comme moi. A cause de moi ou plutôt grâce à moi, parce qu'il voulait me faire plaisir, il s'est mis à proposer des plaquettes de beurre demi-sel et des galettes de sarrazin (là on se retrouvait, à croire que le blé noir est arabo-celtique...). Réminiscences de ma Bretagne natale. Et ici on n'est même pas à Montparnasse, pour vous dire un peu le coin pourri...Pas un biniou en vue ! Il en vendait pas mal en plus, je n'étais pas le seul à lui acheter ces articles du grand Ouest, y 'avait de la demande sans qu'il le sache. Du coup, il avait investi dans le cidre et en offrait toute une gamme, parce que les gens avec les galettes ils veulent du cidre, c'est normal. On en trouvait plein de sorte et de préférence du finistérien (t'en trouves même pas à Franprix du comme ça), pas du Normandie, ça c'est bon pour boire avec des tartes aux pommes.

Alors-là bien vu Momo ! Parce que désormais, je venais même chez toi quand j'avais bien fait toutes mes courses avec un plan de route si bien suivi que je n'avais rien oublié ! J'étais passé de régulier à ultra-régulier (parce que les galettes moi, c'était tous les vendredis soir en alternance avec l'oeuf à la coque... et comme son cidre était le meilleur du coin...). Malgré ça, on causait pas beaucoup Momo et moi, on était plutôt du genre taciturne mais on s'appréciait, ça se sentait. Mieux vaut parfois le silence aux mots inutiles, c'est bien souvent comme ça qu'on communique le mieux. Pourtant avant, le bagout c'était son truc à lui. Avant... mais depuis que sa femme l'avait quitté... Radical, net. Momo est devenu presque muet, fondu dans la parole utile, la phrase toujours exacte. Pas de mots vains.

Il y avait encore des gens qui venaient dans son épicerie. Tous ne venaient quand même pas que pour sa femme ! Son Sidi Brahim attirait quelques gosiers et son coca quelques ménagères...un super détachant faut dire. Et puis les noctambules et les nyctalopes existeront toujours. Bon faut bien avouer qu'elle était belle sa femme... un peu comme dans la chanson de Brassens mais en moins bloc de glace, alors forcément... Plutôt que le voile, elle avait mis les voiles ! Et Momo restait seul depuis, dans ce coin pourri, dans son épicerie de nuit, espérant qu'elle revienne une nuit, échouer sur le sable caché sous les pavés de sa rue.

Et à l'heure qu'il est, il l'attend toujours son voilier magique... Mais il sait qu'il viendra avec son étoile d'Alger, sa femme tant chérie. Il ne l'attend pas seul car veille avec lui, couché à ses pieds sous la caisse enregistreuse, son chien. Une petite caresse de temps en temps, plonger sa main dans le poil soyeux de son lévrier afghan, voilà ce qui l'aide à traverser les nuits qui passent les unes après les autres. C'est pour ça qu'il est ouvert toute la nuit, , Momo... parce qu'il attend. Et savoir attendre, c'est tout un art.

15 janvier 2011

Dans quel état j’erre ? (Captaine Lili)

Une boite ronde et blanche pour les joies zen,

Un grand panier d’osier pour les gourmandes,

Un simple carton pour les joies de papier,

Un coffre en amarante pour les joies impudiques,

Un herbier pour les joies amoureuses,

Une malle vernie pour les joies en patchwork,

Pour les joies vives, une bonbonnière transparente

Une trousse pour les joies de secours,

Un écrin de soie pour les colliers de joies,

Un poudrier poudré pour les joies perlimpinpin,

Et des livres, des livres, des livres !

15 janvier 2011

À L'ÉPICERIE D'ART (Joye)

Nina, en Petitjean, son Cabat et sa bourse.

Qui Seurat bien fidèle, Lhermitte convoitée,

Au rendez-vous Degas, son amour à Vouet.

Cette belle artiste fait l’art de toutes ses courses.

Pinceaux, palette, et huiles, comme l’eau de la source

Pour cette jolie fée. Tant de charme É. Manet,

Son si tendre Bouquet, un parfum pour Monet,

Hélas ! de Bonnefoit, j’oublie toutes mes courses !

Si j’étais son Poussin ?  Elle sourit mais Baille…

J. Restout Clouet, mon pauvre cœur chamaille…

Son regard trop Léger rend bien Gros mon chagrin !

Je me Courbet pour faire signe Delacroix.

Perdant la Battaille, je suis resté pèlerin

À l’épicerie d’art, c’est là où Vanina.

15 janvier 2011

L'épicerie d'Art (Walrus)

Lorsque je pénétrai en ce lieu de la collusion avouée du grand art et du petit commerce, je découvris dans un coin obscur un homme assis derrière un petit bureau.
Bien qu'ostensiblement penché sur des comptes d'apothicaire, il ne trompait personne, gardant un œil rivé sur la cote et l'autre sur la marchandise.

15 janvier 2011

L'épicerie d'art (Tendreman Spice)

Tant d’épices en elle

Ses cheveux sont poivre noir

La pointe de ses seins comme noisettes à croquer
Sa langue douce comme une goyave

Sa voix, son rire comme douceurs sucrées

 

Tant d’épices en elle
Elle est épicerie d’art

15 janvier 2011

Allô, Adrienne ? Pourquoi tu tousses ? (Joe Krapov)

- Excusez-moi, madame l'épicière, mais à l'intérieur de cette boîte je n'ai trouvé ni crabe ni pinces d'or !

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- Ah bon ? Mais il ne fallait pas l'ouvrir ! Vous avez trouvé quoi à l'intérieur ? Du sucre en poudre ?
- Non, de la schnouf d'ecclésiastique !

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- Ecoutez monsieur Krapov, je crois que vous ne comprendrez jamais grand chose à l'art. Si la religion est l'opium du peuple, l'art est celle de l'élite. Voulez-vous, en guise de dédommagement, que je vous offre un tire-bouchon ?
- Moi, vous savez, je ne bois que de la Chimay bleue, de la Zubrowka ou de l'eau plate. Un décapsuleur, peut-être, plutôt ?
- C'est comme la boîte de crabe, ce n'est pas utilitaire, c'est de l'art. Choisissez votre modèle... et foutez le camp !



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Photos prises à Bruxelles en décembre 2010

15 janvier 2011

L’épicerie d’art (Venise)

J’ai déniché d’entrée sur les rayons du bas un joli jaune paille peint d’une seule main par mon ami Vincent.

On voit  que ses intentions toujours très hasardeuses rappellent la douceur des figues de Solliès Pont.

 

Je ne veux pas refaire cent ans d’histoire de ce bistrot des arts dont Dédé faisait la réputation.

Entre les tartes aux pignons, il ne fallait pas être experte pour reconnaître à l’oreille et emporter au loin les grandes voix d’opéra qui faisaient trembler le plancher de bois.

Les chants tout entier recouvraient les arbres et les marguerites.

 

La boutique avait bien entendu ses secrets, ses épices, ses risotto aux fruits de mer qu’on servait avec les fleurs du mal qui remontaient comme remontent ce qui encombrent nos cœurs.

Tout faisait barrage sur le fleuve des pages de notre ami Bobin.

L’épicerie bistrot blottie dans un écrin de verdure pareil à une belle journée libre nous offrait à volonté une glace anisée aux écorces de citron.

 

De grandes photos de Doisneau sous le bras je dansais sur la margelle en repoussant l’idée d’une averse de neige.

 

J’avais garé la voiture sur la petite place de l’église, et j’ai suivi la rue jusqu’à l’épicerie.

Dédé m’attendait, un pichet de vin rouge à la main.

 

- Un peu de jazz, dit-il.

 

Mais qui comme un orage déboula l’escalier ? C’est Georges Brassens qui gronde une chanson volée à Richepin.

Théo vient se coucher près d’un petit moineau, que Guillaume a trouvé près du pont Mirabeau.

 

C’est en servant la canette rôtie au miel de lavande que Sarah Bernhardt s’est levée pour passer les plats et parler du cinéma muet.

 

- Que de monde aujourd’hui dans notre épicerie, gueula Dédé en remontant de la cave un moulin à vent sous les bras, égaré par Daudet.

 

J’ai posé des cerises aux oreilles d’Éluard qui finissait son gaspacho aux amandes et aux fleurs de bleuets.

 

Je ne voudrais pas quitter Montand et Signoret qui parlent de théâtre, mais il commence à se faire tard et je n’aime pas rouler la nuit dans le brouillard, dessiné par Chagall, qui s’annonce déjà.

 

Dédé voudrait que je remonte la butte avec lui pour voir poindre le jour chargé de parfum de sève et d’écorce et faire comme Abélard et Héloïse s’endormir dans les prés.

 

- Non, dis-je réveillez moi quand le monde aura du talent et me voilà partie dans la voix de la Callas.

Venise

15 janvier 2011

L'épicerie d'art (32Octobre)

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PS : il y a parfois de drôles de coïncidences.

Ce texte m’est venu, jour pour jour, trente-deux ans après la vraie création de cette commun libre dans ma ville natale.

Et choc, j’y appris le départ il y a un an de son maire.

Comme quoi le Défi du Samedi permet de vivre de drôle d’aventure et de replonger dans son passé.

 

PS2 : photo empruntée au site et plus particulièrement à la page : Qui est Raphaël ?

http://bluemat.spaces.live.com/?_c11_BlogPart_BlogPart=blogview&_c=BlogPart&partqs=cat%3Dlitt%25c3%25a9rature 

15 janvier 2011

Vraiment excellente idée (KatyL)

originale ....
        Je ne peux que féliciter celui qui a eu cette idée, on viendrait acheter de l'épicerie et selon nous aurions "l'œuvre" qui va avec.
       
        exemple:

        des épices , genre cumin, curry , laurier et autres plantes
        tableau sur les feuillages et la nature, sur les plantes...
       
        du jambon
        justement ou autre salaison
        nature morte s'y rapportant.....
       
         quelques légumes !!
        et hop un personnage illustre !!ou le style Archimboldo
       
        du vin
ou quelques boissons
        des personnages à table ou bien le tableau de "l'absinthe"
       
        du sel
ou du poisson
        hop une  marine bien iodée.....
       
        bref vous voyez ce que je veux dire.

       
        Toute idée qui ouvre l'horizon des gens, tout ce qui les fait réagir, se parler, se poser des questions, tout ce qui fait que les gens
s'arrêtent de courir... est bien.
       
        Tout endroit peut être un endroit* pour exposer de l'art, que l'on aime ou pas, pourvu qu'il soit accessible*, bien arrangé, et pourquoi pas insolite ( sauf j'en vois déjà le dire !! les WC !! un  endroit intime et vraiment pas prévu pour cela , mais je vous assure que dans mes WC il y a au moins 6 petits tableaux) j'en ai tellement que j'en mets partout...
       
        Je vous adresse un tableau " le rendez vous des amoureux" ils sont dans la nature, la barque est prête à les emmener avec le pique-nique, les bonnes victuailles, les fleurs, le petit coussin .....le temps est doux, l'eau est limpide....les amoureux sont partis se promener à terre, ils s'embrassent avec effusion
        Ils voient quelques oiseaux s'envoler sur leur passage.
        Ils ont faim de tout...
       
        Du coup ! retour à notre épicerie d'art où ils ont achetés ce tableau et les victuailles pour leur balade sur l'eau....

le_rendez_vous_amoureux
 

8 janvier 2011

Défi #132

            Vous êtes tenté(e) de faire vos courses  dans cette épicerie originale ...

                                                                                                                  Racontez ...

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Envoyez vos trouvailles à samedidefi@hotmail.fr

A bientôt le plaisir de vous lire ...

8 janvier 2011

Se sont laissé emporter par le démon du jeu...

8 janvier 2011

Le jeu (Joye)

Trouvez le cyclope MOLOCH et assassinez-le au rez-de-chaussée, tout en sauvant Atlante, l'étudiant avant la suspension du jeu ! Mais attention ! Il est bien protégé par un assassin pince-sans-rire  : Le Walrusator !! Pour commencer, cliquez sur "PLAY GAME". Utilisez votre souris, visez le Walrusator  - qui aura un ou deux mots à vous dire - et cliquez pour tirer. Souvenez-vous que si l'on vous prend ou vous tue, les Défiants du Samedi nieront leur complicité dans vos actions. BONNE CHANCE !

 

 

 

 

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8 janvier 2011

Un conte moderne. (Tendreman Spice)

Un étudiant Atlante habitait le petit rez-de-chaussée d’une fortification.
Un jour en allant à la fac il rencontra dans le métro une lascive cariatide.
Celle-ci portait un masque de fée.

Il eu l’intuition que le Cyclope à crête de coq debout prêt d’elle, voulait la prendre en otage pour la donner en sacrifice au Moloch de sa banlieue-village.

L’étudiant accrocha le cyclo-coq en suspension à un crochet de boucher puis pris la fée lascive par la main.
Celle-ci l’accompagna à son cour.
Depuis ils ne se sont jamais quittés.

8 janvier 2011

Jouons ! (Captaine Lili)

Enfant, il avait reçu ce jeu de mots. Maintenant qu’il était adulte, il le retrouvait sans règle du jeu, et ne s’en souvenait plus.

Il le retrouva un soir de fête entre couples, dans un placard fourre-tout où il cherchait des bougies.

Dans la boîte, 10 mots, très peu enfantins. Qu’en faire ?

L’un ou l’une lit fornication au lieu de fortification.

Ce fût le début. L’étudiant se retrouva otage d’un cyclope, sauvé par sa voisine du rez-de-chaussée.  Sous son masque de femme terne, elle était une atlante, servante du seigneur Moloch. Elle eut l’intuition qu’en s’accouplant avec cet étudiant, elle pourrait se libérer

8 janvier 2011

Le Jeux des Dimo (Vegas sur sarthe)

Règle du Jeux des Dimo.

Avertissement: Cette règle est strictement réserver à cette jeu et ne doit pas être mélanger avec un autre jeu.
Ce jeu est le propriété de la société Kiveudesjeu. Il ne peut pas être échangé ni revendu sous peine d'être échangé ni revendu.
L'ouverture de la coffret se fait par ouverture de la coffret prévue à cétéfé comme écrit dans cette règle contenue dans la coffret.
On peut jouer seul ou à deux ou à trois ou à quatre ou à plusieurs joueur. Quand il y a moins que un joueurs on dit qu'on joue pas. (Voir Faim du jeux des Dimo)
La bouate qu'on porte normalement dix cartes et un dé de six faces qui ne serre pas pour le jeu.
Le dé de six faces ne doit pas être utilisé pour un autre jeu sous peine d'être utilisé pour un autre jeu.
Chaque joueuse tire une carte à son tour même si on joue seul.
La joueur doit faire deviner le mot gravé sur la carte aux autres joueuse - s'il y en a d'autres joueuse - par des gestes ou des sons qui font penser au mot toujours gravé sur la carte.
Exemple: Pour faire deviné le mot Cyclope, la joueur mettre un de ses oeil au milieu du front comme un cyclope.
La joueur qui joue seul n'est pas obliger de faire les gestes et les sons; il pourra dire le mot s'il le connait.
Quand il y a plus que dix joueuse, les joueuse doivent se couper une carte; exemples: pour la carte Suspension, il deviner les mots Sus et Pension.
pour la carte Rez-de-chaussée, il deviner les mots Raide et Chausser même si on jouer à l'étage.
La marque des poings:
La joueur qui trouve le mot gravé sur la carte marque un poing pour chaque lettre du mot et deux poings si la lettre est voyelle entre deux consonne plus un poing pour un tiret mais on compte pas un poing pour Raide et Chaussée même si on jouer à l'étage.

Quand on a trouver les Dimo, deux joueur peut mélanger les mots des cartes; exemple: avec les cartes Fortification et Masque on deviner les mots Mastification et Forque. Dans cette jeu on marque dix fois les poings si on peut gagné.
Faim du jeu des Dimo:
Après qu'on veut plus joué, on range les cartes dans la bouate prévue à cétéfé ainsi que le dé à six faces qui serre pas mais chaque joueuse garde ses poings.
On conserver la coffret dans un endroit sec et à l'abri des mauvais joueuse.
Bon Jeux des Dimo !

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