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Le défi du samedi

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17 octobre 2009

ça sophie comme ça ! (Poupoune)

Sophie la chipie se trouvait fort jolie.

Elle aimait les confiseries et faire des plaisanteries, la petite souris et écouter des poésies. De sa maman elle était la princesse chérie.

 

François le bêta se trouvait trop gras.

 

Il aimait le chocolat et les fraises tagada, la galette des rois et croquer du nougat. De son papa il était le petit bouddha.

 

Sophie la chipie, à l’école et le mercredi, aimait qu’on la trouve trop mimi, qu’on la gâte à l’infini et elle ne disait pas merci.

 

François le bêta, dans la cour et pendant le repas, aimait qu’on ne le voie pas, qu’on ne l’entende pas et que Sophie soit là.

 

Sophie n’aimait pas François, mais François aimait Sophie. Alors François le bêta lui donnait ses langues de chat, ses bonbons qui collent pas et faisait ses devoirs parfois. Sophie la chipie se moquait de lui, disait qu’il faisait pipi au lit et qu’il était bête comme un salsifis.

 

Un jour de crise de foie, à cause d’un gâteau aux noix offert par François, Sophie a vomi son repas de midi et elle s’est salie. Elle fit tout un plat, accusa François, qui soudain pleura et dit dans un cri « depuis tout petit je t’aime ma Sophie ». Sophie le moqua et François rougit.

 

La maîtresse gronda et elle expliqua qu’on ne moque pas les plus gros que soi. Sophie n’a rien dit, a été punie et elle a souri d’un sourire gentil. François le bêta s’est dit « cette fois elle m’aime je le vois ! ». Il lui proposa une sucette au choix et elle lui dit « tu es trop gentil ».

 

Puis elle raconta par-ci et par-là qu’il faisait caca la nuit dans ses draps.

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17 octobre 2009

Sophie… ou les malheurs ! (Borsolina)

Le grand jour est enfin arrivé. Sophie est toute excitée d’enfiler sa jolie robe blanche ornée de petits volants en dentelle. Elle est d’autant plus fière de pouvoir s’habiller avec sa maman qui ressemble à une princesse dans sa robe de mariée. Sa maman va enfin épouser Jérôme, le papa de François.

François qui va devenir son frère, est un petit fripon et n’a de cesse de la chahuter et la taquiner. D’ailleurs, au moment d’enfiler ses jolies chaussures vernies, Sophie pousse un grand cri et retire ses pieds qui semble-t-il se sont faits chatouiller par un petit lézard. Sophie commence à crier après François, mais très vite, sa maman, se retenant de pouffer de rire, la rassure en lui disant qu’une grande fille comme elle ne devrait pas avoir peur d’une aussi petite bête.

La grande maison familiale grouille de monde. C’est le branle-bas de combat, lorsqu’Henri, son grand-père, lance le signal : « C’est l’heure, il faut partir ! ».

Arrivée sur le parvis de l’église, Sophie rejoint sa cousine Julie qui porte la même robe qu’elle. Les deux petites demoiselles d’honneur attrapent la longue traîne de la mariée et s’apprêtent à remonter l’allée centrale. Les premières notes de Wagner emplissent la nef, les petites filles rougissent de plaisir.

La marche nuptiale est magique, Sophie, très coquette, s’imagine dans un conte de fées. Tout le monde sourit en les regardant passer, et la cérémonie débute enfin.

Les enfants sont assis au premier rang et sont ravis de voir leurs parents si heureux, même si François n’arrête pas de gigoter sur son banc.
Le moment tant attendu de l’échange des consentements arrive enfin. Les amoureux sont émus. Les invités sont attentifs et retiennent presque leur souffle avant de pouvoir faire éclater leur joie. Alors que le prêtre est prêt à donner la bénédiction, François commence à nouveau à embêter Sophie et Julie et leur fait croire que c’est maintenant qu’elles doivent se munir des petits paniers enrubannés pour aller faire la quête. Sophie ne se méfie pas, impatiente de passer entre les rangées des invités et ainsi parader, recevoir des compliments des oncles et tantes sur sa jolie coiffure, elle attrape la main de Julie et entreprend d’aller récupérer les pièces. Mais tout ne se passe pas comment elle l’espérait. Au lieu d’être félicitées, les invités leur disent de vite aller se rasseoir en leur faisant de gros yeux et en leur disant que ce n’est pas le moment. Sophie ne comprend pas mais devient toute rouge de honte quand elle croise le regard désapprobateur de sa maman. C’est alors qu’elle entend François à coté d’elle, à voix basse, lui chantonner ce petit refrain « les sœurs qui quêtent ! les sœurs qui quêtent ! les sœurs qui quêtent !!! ».

 

17 octobre 2009

Drimineblou (Tiphaine)

Cher Papistache,
C'est avec grand plaisir que j'ai le bonheur de vous annoncer que j'ai retrouvé le texte de votre petite Vitaly. Sa maîtresse a de drôles de goûts, tout de même, je la soupçonne fortement d'être un peu fleur bleue…
Voici donc le texte manquant, il s'agit des paroles d'une chanson commise au début des années 80, et plus précisément d'un duo savoureux entre Sophie Marceau (qui aurait sans doute dû suivre les conseils de son père le célèbre mime qui l'incita de nombreuses fois à la réserve) et François Valéry (qui aurait dû suivre pour sa part les conseils de son ancêtre Paul qui l'aurait sans doute incité à se concentrer sur les jeunes parques plutôt que de porter son dévolu sur les jeunes au parc…).
Les auteurs-compositeurs de cette "bluette" sont Pierre Delanoë, François Pédron et François Valéry "himself".
Pour conclure, je me permets de vous aider un peu en répondant moi-même à la dernière question posée par la maîtresse de la petite fille de votre voisine.
Que prouve la dernière phrase? La dernière phrase prouve que notre culture française n'est vraiment plus ce qu'elle était…
Je vous souhaite bien du courage, cher Papistache !
Mamy Blue

Paroles de la Chanson : Dream in blue

François : Have you learned your text ?
Sophie : J'ai pas eu le temps, Monsieur…
François :Très mauvais prétexte !
Sophie : On ne fait pas ce qu'on veut !
François : Petite romanesque !
Sophie : Ça vous amuse, Monsieur ?
François :Un petit peu...

François : Have you learned your song ?
Sophie : J'ai pas eu envie, Monsieur…
François : Tell me what is wrong ?
Sophie : Tout va pour le mieux, Monsieur !
François : On se moque du monde ?
Sophie : Ca, c'est pas vrai, Monsieur !
François : Oui, un petit peu…

François et Sophie :
Dream in blue,
Je rêve en bleu, I dream in blue,
Lorsque je pense à vous,
C'est entre bleu et blue
Dream in blue,
Je dream en bleu, je rêve en blue,
Tout est bleu, all is blue… blue !
Ooooohhhhhhh dream in blue

Sophie : Do you know something ?
François : C'est moi qui pose les questions !
Sophie : I am expecting !
François : Qu'est-ce que vous attendez donc ?
Sophie : Que l'on me devine !
François : Voulez-vous des bonbons ?
Sophie : Eh, qu'il est con !

François et Sophie :
Dream in blue,
Je rêve en bleu, I dream in blue,
Lorsque je pense à vous,
C'est entre bleu et blue
Dream in blue,
Je dream en bleu, je rêve en blue,
Tout est bleu, all is blue… blue !
Ooooohhhhhhh dream in blue


Sophie Marceau et François Valéry - Dream in blue
envoyé par gcolombat. - Regardez plus de clips, en HD !

17 octobre 2009

Sans titre... (Laura)

Sophie est une enfant sage, peut-être trop sage. L’idée de faire des bêtises ne lui vient même pas car elle est trop timide. Il faudrait de la confiance en elle pour faire un coup d’éclat ; or, de la confiance, elle n’en a pas, même dans ce qu’elle fait de bien : l’école, être gentille avec sa famille. Elle a sans cesse peur de mal faire. Son objectif, c’est d’être sainte.

François est un joli garçon blond ressemblant à un ange et au prince charmant du « pays de Candy » que regardent Sophie et son amie Lucie.

Un jour, en classe, la cancre de service fait une bêtise ; le maître demande à ses élèves qu’on dénonce le coupable.

Comme on prend la réserve de Sophie pour de la suffisance, on la déteste et on la dénonce.

Sophie n’ose démentir mais est mortifiée.

Elle est si troublée qu’à la récréation, elle tombe en se faisant très mal.

François se porte à son secours.

17 octobre 2009

les jolis ballons (Zigmund)

« Oh la jolie boite de ballons sur la table de nuit « à » tonton ! », s'exclame la jeune Sophie .

Si Sophie s'est contentée de déchiffrer lentement la marque "viens poupoune...c'est la fête", François a pris connaissance silencieusement du reste des indications sur l'emballage coloré.

Déjà Sophie a extrait un ballon de son emballage carré…hum ! ce sont des ballons parfumés à la banane…étonnant.

François avant de s’éclipser discrètement a soufflé à Sophie : « inutile de souffler dedans, tu  y mets de l’eau çà gonfle beaucoup…  tu fais un noeud, tu vas voir, çà fait comme  de la gelée et tu balances par la fenêtre sur les passants ...! ». Sophie a suivi les conseils de son grand frère mais le deuxième ballon est bien trop gonflé d’eau et quand elle le prend dans ses mains pour le porter à la fenêtre  celui ci explose, inondant à ses pieds  la moquette de la chambre.

Dans l'escalier, tonton monte, trempé et visiblement énervé ...

 

(la vraie fin du texte que la timide institutrice  mademoiselle Opportune ne connait pas est légèrement différente :

Dans l’escalier, tonton monte, visiblement énervé en marmonnant : « préservatifs à la banane » et puis quoi encore ?)  


  • Qu’est-il arrivé à Sophie ?  elle a touché à une boite sans demander l'autorisation
  • Pourquoi pareille mésaventure lui arrive-t-elle ?  parce qu'elle n'a pas réfléchi
  • Quelles qualités lui manquent encore ?  elle devrait mieux lire le mode d'emploi sur la boite
  • Comment nommer l’attitude de François ?  faux cul comme tous les grands frères(c'est du "vrai cu")
  • Que prouve la dernière phrase ?    qu' elle va drôlement se faire gronder surtout que les ballons "viens poupoune" c'est pas facile d'en retrouver

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    17 octobre 2009

    Un bon bol d'air (Papistache)

    François gare son coupé sport, gris fumée, le long d’un charmant bosquet. Il en descend, une cigarette extra-longue mentholée aux lèvres, contourne son engin et glisse sa clé dans la serrure du coffre.
    Oh, la Sophie... elle est contente, la Sophie à Papa... elle est contente, mais oui... elle est jolie la Sophie, susurre-t-il.
    Une adorable petite teckel, à peine âgée d’un an, montre le bout de son museau. D'une main tendre, François soulève le jeune animal et le pose délicatement au sol.

    Les fourrés fourmillent d’odeurs ; le petit être bondit dans les broussailles. La chienne follette  flaire une piste. Comme elle est excitée ! Sa queue frétille. Tous les parfums que le lieu exhale enivrent Sophie. Elle court d’un arbre à un boqueteau, recommence...

    François, d’une gracieuse pichenette envoie le mégot de sa cigarette dans les hautes herbes que le soleil de cette fin de juillet blondit comme blés mûrs. Il s’installe au volant de son bolide et fait crisser les pneumatiques flambant neufs.

    Les six cylindres du moteur italien rugissent dans la campagne, François sort son téléphone portable de la poche de sa chemisette  et compose le numéro de son domicile.
    — Ça y est, Chérie, c’est fait, prépare les valises ; on part ce soir !

    17 octobre 2009

    Une petite fille imprudente (Anthom)

    Ma collègue du CM1, toujours soucieuse de proposer à ses élèves des textes dont l'intérêt pour l'apprentissage de la langue puisse se doubler utilement d'une valeur éducative, écrit souvent elle-même les supports de ses exercices. Très fière du dernier qu'elle leur a concocté, elle me l'a fort généreusement donné,avec ses propres commentaires pédagogiques entre parenthèses, afin que je puisse l'utiliser à mon tour.

     

      (Tu peux dicter le texte au lieu de donner une photocopie, cela fera un bon exercice d'orthographe et cela limitera les contacts inévitables lorsqu'on distribue des documents)
     
       Sophie, gentille petite fille de neuf ans, attendait avec impatience (il faudra leur faire découvrir le mot "impatience" quelques jours avant et leur donner les mots de la même famille- c'est une bonne occasion de leur donner la définition du nom  " un patient", ce qu'ils risquent tous de devenir un jour ou l'autre) le week-end (ça, tu l'écris au tableau) de son anniversaire. Ses parents lui avaient promis de l'emmener à Disneyland.(tu pourras à l'occasion leur expliquer que ces parents sont bien imprudents d'envisager une telle sortie au milieu de la foule, en cette période de pandémie...).
      Mais Sophie devait attendre encore quinze longs jours (bonne occasion de vérifier qu'ils font attention à l'accord de l'adjectif placé avant le nom) avant la sortie promise.
      Ce matin-là elle était pressée d'annoncer la nouvelle à son copain François, aussi elle entra dans la classe sans passer par le lavabo où les élèves devaient se laver soigneusement les mains  afin d'éviter d'amener le virus de la grippe à leurs petits camarades. (il faut les faire réfléchir sur l'orthographe des infinitifs) Dès qu'elle l'aperçut, elle se précipita pour lui faire la bise, sous le regard courroucé de la maîtresse. (tu leur auras fait réviser le passé simple)
    Quelques jours plus tard, à deux jours de l'anniversaire tant attendu, une forte fièvre et de la toux clouèrent Sophie au fond de son lit. Le médecin était formel: c'était la grippe tant redoutée.(Ce sera l'occasion, pour toi, de leur rappeler les conseils d'hygiène...) Il n'était pas question d'aller à l'école et encore moins d'aller passer le week-end à Disneyland!
      Sophie téléphona à François pour lui raconter sa déception, " A cause de toi,lui dit-il, nous sommes obligés de porter des masques et de rester chez nous! Je suis bien content que tu sois privée d'anniversaire, c'est bien fait! tu es punie!"


    Voilà les questions auxquelles ils auront à répondre chez eux (ils pourront ainsi en parler avec leurs parents, ce n'est pas plus mal!):
        * Qu’est-il arrivé à Sophie ?
        * Pourquoi pareille mésaventure lui arrive-t-elle ?
        * Quelles qualités lui manquent encore ?
        * Comment nommer l’attitude de François ?
        * Que prouve la dernière phrase ?

    17 octobre 2009

    Consigne 77 (Vegas sur sarthe)

    Echevelé et les joues cramoisies, Paul entra en courant dans le petit salon:
    "Où qu'elle est encore ma zinecou?"
    La comtesse leva un oeil, visa l'importun et lui balança sa souris sans fil en signe d'agacement .
    "Plait-il François?"
    Elle l'avait toujours appelé François et Paul avait renoncé depuis belle lurette à lui en faire la remarque.
    Le ton sec, marque de fabrique des Segur, l'obligea à rectifier son langage... la vieille était autant intransigeante sur le langage que perverse pour les punitions, surtout quand on osait l'interrompre dans la rédaction de son blog.
    "Qu'est-il arrivé à ma cousine Sophie?"
    La Rostopchine, comme l'avait surnommée Paul eut un rire nerveux et, comme elle se levait brusquement pour récupérer sa souris, Paul entreprit un recul stratégique en direction de la porte.
    "Jeune homme, au lieu de prendre exemple sur mes petites filles Camille et Madeleine dont le comportement irréprochable fait le succès de mes romans, cette gourgandine de malheur en a encore réussi une bonne en m'inscrivant à mon insu à la Nouvelle Star, ce qui lui vaut aujourd'hui sa vingt cinquième punition du mois... et nous ne sommes que le 17!"
    "Mais Rosto... euh.. comtesse qu'elle va r'venir?"
    La souris sans fil avait reprit sa place dans le creux chaud de l'illustre paume:
    "Et bien... lorsque cette insolente aura réparé son ignominie et recopié cinq fois sans aucune faute d'orthographe le texte officiel du Grenelle de l'environnement relatif à la contribution climat-énergie plus vulgairement appelé taxe carbone, nous songerons à lui rendre un semblant de liberté"
    François-Paul avait failli s'endormir à taxe carbone, mais le mot liberté le fit sortir de sa torpeur.
    La sexagénaire n'avait pas son pareil pour construire des phrases alambiquées et Paul allait renoncer à chercher un quelconque rapport entre une émission télévisée et celle des gaz à effet de serre.
    Mais qu'avait-elle voulu dire par lui rendre sa liberté? Où l'avait-elle séquestrée?
    A la cave? Dans la serre?   
    La serre... oui, elle avait suggéré l'effet de serre... Trop cool, c'est d'la balle!
    A eux deux s'ils parvenaient à squatter la photocopieuse ils auraient vite fait d'éponger la punition et alors, à eux la teuf!   

    11 octobre 2009

    Pour patienter en attendant le 17 octobre 00 h 01

    vendrediOnt accepté de dépanner la petite-fille de Mme Yvonne :
    Joye ; Vegas sur sarthe ; Anthom ; Papistache ; Zigmund ; Laura ; Tiphaine ; Borsolina ; Poupoune ; Jo Centrifuge ; MAP ; Joe Krapov ; Val ...

    10 octobre 2009

    La consigne #77 (plus un service qu'un défi)

    Mes amis du défi, je suis un peu ennuyé (c'est un euphémisme, vous l'avez décrypté). Cette semaine, je voulais vous donner à lire un petit texte charmant qui m’avait ému ; je l’ai égaré.

    C’est Vitaly, la petite-fille de Madame Yvonne* — arrière-petite-fille pour être exact, elle a neuf ans et tremble sous la molle férule d‘une institutrice qui s‘effraie de la moindre poignée de mains —  qui me l’avait confié afin que je l’aide à en faire le commentaire. Ne me restent que les cinq questions que la défiante (pour "circonspecte") maitresse a fait copier dans le cahier de brouillon de la petite Française au prénom russe.

    *Madame Yvonne ? Ma voisine !

    Vous m’obligeriez, chers amis, en tentant de retrouver, sinon le texte original, du moins un qui lui ressemblerait.

    Vrai ?  Vous acceptez de relever le défi ! Oh, c’est gentil !

    Je vous livre les questions :


    • Qu’est-il arrivé à Sophie ?
    • Pourquoi pareille mésaventure lui arrive-t-elle ?
    • Quelles qualités lui manquent encore ?
    • Comment nommer l’attitude de François ?
    • Que prouve la dernière phrase ?

    Vous enverriez  à samedidefi@hotmail.fr pour le samedi 17 octobre ?
    Je vous embrasse.
    Papistache

    10 octobre 2009

    Le rondeau des sportifs (Joe Krapov)

     

    C’est à l’insu de mon plein gré

    Que je m’suis chargé de gagner.

    Je n’ai pas le dos plein d’seringues

    Vu que je suis un looser-né

    Mais…j’ai glissé sur une meringue !

     

    Ces matches nuls sont tous truqués !

    Faut voir comme on nous paie, c’est dingue,

    A l’insu de notre plein gré !

     

    Homm’s-sandwich’s des marchands de fringues,

    Perdant vos vies à la gagner,

    Prêts à mourir dans la déglingue,

    Sportifs, vous nous faites bien suer

    A l’insu de votre plein gré !

     

     

    P.S. Désolé de ne pas avoir fait plus long cette semaine mais le 21st Century Schizoid Man

    que je suis avait besoin de faire du vélo et du jogging afin d’être en forme dimanche pour participer à « Tout Rennes court » !

    GetAttachment

    10 octobre 2009

    Reportage impossible (MAP)

    Reportage

    10 octobre 2009

    Coupe de Radio Ridicule (Joye)

    I.  MATCH NUL

    [Générique d’ouverture]

    Ici Radio Ridicule…avec Jessy Embêtante. Et les sports !

    Aujourd’hui, interview avec Fifi Kif-Kif, grande joueuse de tennis.

    - Fifi, bonjour.

    - Bonjou’.

    - Fifi, parlons de ce match extraordinaire l’autre jour…

    - Quel match ?

    - Bah, le match où Mata L’Amazone vous a écrasée 40-0.

    - Bin, c’était un match nul.

    - Match nul ? Mais non, elle vous a battue…

    - C’était nul, vous dis-je, nul de chez nul, ce match.

    - Mais non, Miss Kif-Kif, au jeu de tennis, un match nul n’est pas possible.

    - Puisque je vous dis, hein ?

    - Mais non, miss Kif-Kif….euh…Fifi…euh, qu’est-ce que vous allez faire avec cette raquette…

    - Je vais vous montrer un peu ce que je veux dire…c’était NUL [whack] de chez NUL [whack]…ce match !  D’accord ?

    [Silence]

    - D’accord ?

    - …Oui, Miss Kif-Kif…Ceci a été Radio Ridicule, les sports avec Jetté Embêtaaaaaaante…

    [Générique de la fin]

    II.  DÉFAITE

    [Générique d’ouverture]

    Ici Radio Ridicule…les Sports avec Ron Plassan, pour Jessy Embêtante à qui nous souhaitons un prompt rétablissement.  Aujourd’hui, nous reprenons la conversation avec Fifi Kif-Kif, grande joueuse de tennis.

    - Fifi, bonjour !

    - Bonjou’.

    - On va parler de…

    - Ah non, on ne va pas recommencer, hein ?

    - Pardon ?

    - J’ai dit qu’on ne va pas recommencer…

    - Oh, noooooooooon, non, non, non, miss Kif-Kif, aujourd’hui, on va parler de votre défaite récente contre cette grande star américaine : VENUS WILLIAMS.

    - C’est un mec.

    - Pardon ?

    - J’ai dit que c’est un mec !

    - Mais non, Miss Kif-Kif, Miss Williams est UNE femme. Euh…miss Kif-Kif, euh…qu’est-ce que vous comptez faire avec cette raquette ?

    - Je vais vous montrer un peu ce que je veux dire…c’est [whack] un [whack] MEC !

    - Ouf !

    - Vous comprenez ???

    [Silence]

    - Vous comprenez ?!?

    - Euh, euh, oui, Miss Kif-Kif..euh…euh…Ceci a été Pron Récent avec les Ridicule, sur Radio Sports…

    [Générique de la fin]

    III. VICTOIRE

    [Générique]

    Ici Radio Ridicule avec la plus grande star de tennis du monde : Fifi Kif-Kif.

    Pour les scores :

    Hier, c’était Kif-Kif – Embêtante :  6 – 0,. 6 – 0, 6 – 0 !

    Voici le commentaire d’Embêtante après le match :

    -  eUhEuH….

    Après, c’était Kif-Kif – Plassan : 6 – 0, 6 – 0, 6 – 0.

    Plassan, avez-vous des commentaires ?

    - EuHeUh, EuHeUhEuHeUhEuHeUh !

    C’est ce que je pensais, merci.

    Ah tiens, j’ai encore remporté la Coupe de Radio Ridicule.

    Je me félicite !

    Bravo moi !!!!

    Ceci a été Radio Ridicule avec la plus grande star de tennis du monde : Fifi Kif-Kif

    Et n’oubliez pas : Si vous n’êtes pas d’accord….

    [whack]

    [Générique de la fin[


    Coupe_de_Radio_Ridicule

    10 octobre 2009

    INTERVIEW (Martine 27)

    "On a gagné, on a gagné, on a gagné" braille l'équipe de foot de Trifouillis les Gonesses sur l'air des lampions.

    "Désolée Laurence, pas moyen d'en tirer autre chose, il faut croire que ce n'est pas la baballe qu'ils ont mis dans les buts, mais leur cerveau"

    "On a gagné, on a gagné, on a gagné"

    "Bon d'accord les gars on a compris, on a compris, on a compris, navrée Laurence, c'est contagieux"

     

    "Match nul, bon d'accord, match nul, mais il faut quand même le reconnaître nous étions les meilleurs, en fait l'autre équipe a fait de l'anti-jeu pour nous empêcher de marquer"

    "Voilà Laurence, c'était la déclaration de l'équipe de Trifouillis les Gonesses, je vais voir l'équipe de Trifouillis les Sarcelles maintenant et je vous transmets de suite son interview"

    "Match nul, bon d'accord, match nul, mais il faut quand même le reconnaître nous étions les meilleurs, en fait l'autre équipe a fait de l'anti-jeu pour nous empêcher de marquer"

    "Excusez-moi Laurence, mais je crois que les deux équipes ont le même service de communication"

     

    "Bonsoir Laurence, voilà l'équipe de Trifouillis les Gonesses a perdu le match qui aurait pu lui éviter la relégation, je vais essayer d'obtenir les impressions de l'entraîneur"

    "Monsieur l'entraîneur, votre équipe a perdu ce match à quoi cela est-il dû à votre avis ?"

    "... ... ..."

    "Oui, certes, posons la même question au capitaine de l'équipe. Alors capitaine 10 à zéro quelles conclusions en tirez vous ?"

    "... ..."

    "Bien et vous les membres de l'équipe, comment comptez-vous remonter la pente ?

    "... ..."

    "... ..."

    "... ..."

    "Chère Laurence, je fais maintenant une dernière tentative auprès du goal. Alors, pourquoi aviez-vous les doigts en caoutchouc ce soir ?

    "... ..."

    "Désolée Laurence, mais il semblerait que cette défaite reste comme une arête de poisson en travers de la gorge de l'équipe et qu'elle leur cause une extinction de voix, je vous rends donc l'antenne"

    10 octobre 2009

    Sport 3 - Langue 0 (shivaya-warduspor)

    DEFAITE A ROLAND GARROS

    - Yon, je me rapproche de vous et j’imagine bien que vous êtes encore sous le coup de cette th’errrrible défaite. Cependant, vous comprenez que tous vos admirateurs (et vos admiratrices, heu heu) si ce n’est tooooute la nation qui a vibré avec vous tout au long de ce th’errrrrible match aimeraient vous entendre de vive voix.
    - Yeah… well… it’s that fucking leg… hurts too bad… da hell widit !
    - Eeeeeeet oui, merci, thank you Yon, thank you beaucoup. Et oui, donc, Yon qui nous explique que hélas, hélas, il n’a pas été en mesure, aujourd’hui, malgré des conditions a priori plutôt favorables au développement de son meilleur jeu, qu’il n’a pas pu, donc, libérer tooooutes ses capacités physiques – amoindries, comme nous le redoutions avant la rencontre, par les séquelles de sa blessure du printemps dernier. Dites-nous quand même Yon… que s’est-il passé dans votre tête quand vous avez senti le jeu vous échapper dans la troisième manche ? What did you think during the third set whilst it was dripping away?
    - What? What the fuck are you talking about?
    - Okaaaaay! Thank you very much, Yon! Yes, thank you, bye bye, you’re wonderfull! Ah… quel dh’éésappointement, vous l’aurez compris, chers téléspectateurs : un graaaand champion quitte le tournoi, ce soir. C’est toujours un moment bien amer, mais Yon nous assure de sa combativité et nous comptons bien le retrouver en pppl’eeeeine forme en Australie.


    NUL A SAINT-DENIS

    - Bon, les gars. Je vous présente Mademoiselle Olga Zeth-Dukwen. Elle vient prendre vos impressions d’après match. Il me faudra un volontaire pour aller en faire le compte-rendu à la tribune de presse, juste après… qui s’y colle ?
    - Non, mais avant tout… Bonsoir, messieurs… Exprimez-vous librement sur le match de ce soir. Comment expliquez-vous ce résultat ?
    - Ah ben ça… on a pas eu de chance, hein. On menait, et puis bon, le terrain était un peu lourd…
    - Ouais, ça et puis le ballon qui glissait…
    - Sans compter les supporters adverses qui faisaient du bruit plus que les nôtres, alors…
    - Y en a même un qu’a traité ma mère !
    - Sans déc’ ?
    - J’te jure ! La tête de ma mère !
    - nnnnnd’accord… résumons-nous : « Bien que le score nous ait été longtemps favorable – ce qui récompensait nos efforts constants pour dominer la partie, les conditions de jeu se sont vite dégradées et le match a pris une toute autre tournure. Nous quittons le terrain sur un résultat nul qui reste prometteur. »
    - Kékédi ?
    - Oué oué, c’est ça (laisse faire, toi)…
    - Mais elle a pas parlé d’ta mère, si ?


    KO VAINQUEUR A BERCY

    - Ouais t’as vu ça comment j’y ai défoncé sa tronche à c’bâtard !
    - Donc, je note : « Je suis content de ma performance qui m’a permis de prendre vite de l’ascendant sur mon adversaire.. Il n’a aucunement démérité et a merveilleusement défendu les lettres de noblesse de cet art qui est le nôtre. » Allez, à toi.
    - OK mec… alors : « Chu trop content de ma performance sur l’ascen… l’ascen- quoi déjà ?
    - l’ascendant, mais…
    - ah ouais… sans dents, tu m’étonnes, avec c’que j’y ai mis ! « … trop content de ma perf’ sur l’aut’ sans dents qui l’a bien mérité dans la noblesse que j’y ai mis dans l’lard. »

     

    10 octobre 2009

    A toi, Marie Jo (rsylvie)

    « à toi, Marie Jo »




    Tout donné, elle avait tout donné…

    encore quelques mètres
    Ce n’était pourtant pas la mer à boire
     !

    -« mais quand on ne sait pas nager

    en eaux troubles » !

    Rêver, elle en avait tant rêver…

    400 Mètres, 200 Mètres à pied !

    -« 200 Mètres à pied, ça use, ça use.

    400 Mètres à pied, ça use les coussinets

    de l’âme, aussi » !

    être une des leurs, elle l’avait tant espéré.

    l’esprit d’équipe, tant valorisé par la fédé !

    -« on l’appelait, vilain petit canard,

    mais intérieurement, elle seule savait » !

     

    10 octobre 2009

    Défi 76 (Vegas sur sarthe)

    Marre des interviews insipides des sportifs après match (courses, combats...)!
    Souriez, vous êtes pressentis pour rédiger leurs déclarations.
    Soumettez au jury 3 textes :


    1/ en cas de défaite du sportif:
    On nous a dit au départ qu'y fallait finir dans l'étang mais on l'a jamais trouvé; c'est comme ça dans l'désert, on est souvent déportés dans les mirages.
    Si on n'avait pas perdu soixante quinze minutes, on serait là depuis une heure et quart...

    2/ en cas de match nul:
    Si on leur a mis une heure et quart dans la vue, c'est surtout grâce à Optik de Mille... Merci Monsieur Sponsor.
    Hein? Comment ça, on avait soixante quinze minutes de pénalité? Comment ça, on est Ex et Quo? Je connais encore mon nom et celui du copilote, merde!

    3/ en cas de victoire:
    Qu'est ce que vous dîtes? On leur a pris une heure et quart? On a pris la tête? J'aime pas m'prendre la tête, et on a rien pris à personne, compris? Remballe ton micro pauv'type! Le jour où j'gagnerai, c'est pas toi qu'auras l'interview... Hein, c'est pas un micro, c'est la coupe du vainqueur? Rien à foutre.

    10 octobre 2009

    Commentaire sportif‏ (Gilsoub)

    Oui, bonjour, ce soir, au stade Jules Ilaperdu, l’équipe de France a subi une magnifique défaite, comme nous n’en avions plus vu depuis des années. Enfin, un magnifique 4-0 infligé par des joueurs adverses en manque d’inspiration, dont le jeu, sans grand intérêt, il est vrai, consistait juste à ce faire des passes jusqu’à arriver au but de nos valeureux Français où, sans aucune originalité ils n’avaient plus qu’à pousser le ballon au fond des filets. Heureusement que les Français ont su développer un magnifique jeu qui, s’il n’avait pas été anéanti par des adversaires sans aucun scrupule, aurait très certainement été payant ! Quel dommage que les valeurs sportives de nos vaillants joueurs ne soient pas partagées par tous !

     

    Ici Gilsoub pour radio sport, à vous les studios...

     

     

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    Mesdames et messieurs, bonsoir, ce soir l’équipe de France et celle de Petaouchnock on fait match nul. Jamais un score n’a si bien reflété une partie, qui fut vraiment nulle, à se demander si de chaque côté les sélectionneurs n’avaient pas eu des problèmes à recruter le nombre de joueurs nécessaire à une partie normale de football. C’est à la quarantième minute que le match a pris un nouveau tournant, quand l’arbitre a jeté son sifflet et abandonner la partie de lassitude. C’est son premier adjoint qui l’a remplacé. Le but français est arrivé à la cinquantième minute, sur un dégagement aléatoire qui à vue le ballon roulé tout seul dans les filets, alors que le gardien Petaouchnokois était en train de Twitter sur son portable la prochaine action que son équipe envisageait.

    C’est quelque minute plus tard qu’a eu lieu l’égalisation sur un coup de génie... du destin qui suite à une série de ricochets, façon flipper, entre diverses paires de jambes, vint tromper le gardien français qui était en train de prendre une photo souvenir du public.... Bref, ceci se finit sur un match nul, mais alors vraiment nul...

     

     

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    Lamentable, vraiment lamentable cette victoire de l’équipe de France, sans aucun panache, comme si notre équipe avait prit un malin plaisir à écraser un adversaire bien trop faible ! Quel plaisir peut-on avoir à se qualifier pour cette grande épreuve d’une aussi lamentable manière ? Je vous le demande ! Le panache aurait voulu que nous nous laissions battre afin de rendre les choses un peu plus difficiles dans des barrages qui s’annoncent relevés. Au lieu de cela, nous avons préféré la facilité d’une victoire jouée d’avance. Le sport n’a vraiment rien à gagner de ce genre d’attitude et qui n’est pas à l’honneur de notre équipe et de ces soi-disant sportifs ! Je pense qu’après une telle victoire il serait temps de reconsidérer la légitimité du sélectionneur largement mis en cause ces derniers temps par ce type de résultat !

    10 octobre 2009

    Finalement (Walrus)

    Finalement, le bon vieux refrain n'était pas si con. Il s'adaptait à tous les cas de figure. Même au mien :

    "J'essaierai de faire mieux la prochaine fois !"

    10 octobre 2009

    RESULTAT LOGIQUE (Jo centrifuge)

    -Clément! Clément! S'il vous plait!

    -Oui?

    -Pas trop déçu par le résultat de ce match?

    -Non, je crois qu'il y a eu de très belles actions de part et d'autres. Nous n'avons pas su concrétiser malheureusement. Nos adversaires ont pu trouver une faille. Cette défaite est un résultat logique. Mais l'équipe dispose d'un bon collectif et il faut laisser à chacun le temps de mieux s'intégrer.

    -Justement, Clément, c'était votre grand retour à la compétition ce soir. Le Président s'est laissé dire que c'est la Générale TP, le principal sponsor du club, qui a insisté pour que vous retrouviez le terrain. Vous pouvez nous en parler?

    -Euh... C'est un immense plaisir de retrouver ce club. J'espère que mon expérience apportera un plus à cette équipe, à charge pour moi d'y trouver ma place...

    -En tout cas, tout semble vous sourire à présent. Votre retour va mettre fin à vos problèmes financiers et on dit que vous filez le parfait amour avec madame la député RIVIER.

    -Ah! Ah! Ah!  je crois qu'on va arrêter là...Merci.


    -Clément! S'il vous plait! Clément!

    -Oui?

    - C'était un match très disputé ce soir.

    -Oui, c'était la rencontre de deux équipes de qualité. Chacun a essayé de développer son jeu mais les défenses ont su contrecarrer les attaques. Et puis nous avons manqué de chance sur plusieurs actions. Donc ce match nul est un résultat logique.

    -Il semble que vous ayez enfin pris vos marques au sein de cette équipe. Pourtant le Président semble ne pas être satisfait de vos performances. On dit que vous ne jouerez pas le prochain match la semaine prochaine. N'est-ce pas là la conséquence des choix de votre compagne qui n'est rien d'autre que la présidente de la commission d'attribution du marché public de construction d'un nouveau stade?

    -Quoi? Non! Je crois qu'il ne faut pas tenir compte de ces rumeurs. Je suis en excellent terme avec le Président et, pour ce que j'en sais, je continuerai à mon poste de titulaire. Quoiqu'il en soit je saurais montrer mes qualité au cours de ce championnat. Vous pourrez rassurer le président sur ce point.

    -On dit que la Générale TP, votre principal sponsor, n'aurait pas été enchanté par les déclarations de Madame la député Rivier et que...

    -Bon...

    -S'il vous plait! Est-ce la nature de vos relations avec Madame RIVIER qui a motivé votre réintégration?

    -Je crois qu'on va arrêter là...




    -Sil vous plait Clément!

    -Ah Ah! Oui!

    -Quelle finale, Clément! C'était vraiment un match merveilleux!

    -Oui, je crois que cette victoire est la consécration d'un travail collectif qui a permis à chaque individualité de donner le meilleur. Cette victoire est le résultat logique des efforts de chacun.

    -Ce doit être un grand réconfort après les évènements tragiques de ces derniers jours.

    -...Hmm... Oui...C'est vrai...

    -Le meurtre de votre compagne a dû beaucoup vous affecter.

    -Eh bien... la vie continue n'est-ce pas... et...

    -Le suppléant de Madame RIVIER a attribué officiellement le marché de construction du stade à votre sponsor. Que répondez-vous à ceux qui pensent que votre position vis à vis de la générale TP font de vous un meurtrier idéal?

    -C'est ridicule! C'est de la diffamation pure et simple, je...

    -Est-ce là ce que vous répondrez aux forces de l'ordre qui vous attendent au vestiaire?

    -Je… Je crois qu'on va arrêter là...

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