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Le défi du samedi
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19 mai 2018

Dialogue (Walrus)

 

La femme du numismate :

"Chériii !?!
Tu en es où du repassage ? Parce qu'il te faut encore passer l'aspirateur avant d'aller chercher les enfants à l'école et passer par la pharmacie me chercher mes antimigraineux..."

 

Le numismate :

"Eh, oh, on n'est pas aux pièces hein !"

 

 

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12 mai 2018

Ô Kazoo (Walrus)

 

J'ai beau choisir les mots-sujets moi-même et en établir à l'avance toute une liste, ça ne m'aide pas quand il s'agit de pondre ma propre participation. Faut dire que côté anticipation, c'est pas gagné d'avance : une fois sur deux, au moment de rédiger la consigne, je remplace le mot que j'avais choisi par un autre sorti de je ne sais où (et qui ne m'aidera d'ailleurs pas plus côté rédaction).

Comment ?

Quel rapport avec le mirliton ?

Très bonne question !

J'essaie autant que faire se peut d'être original et c'est bien là que gît le problème :

  • proposer mirliton après lombric c'est pas malin, les vers de mirliton vont faire florès
  • proposer un mot qui commence par mi et finit en (boite de) ton va générer inmanquablement du Marlborough mironton mirontaine, du bœuf miroton (que même les Belges connaissent même s'ils ignorent la recette), du miston pour les Provençaux (comment, on n'en a pas ?).
  • on n'évitera pas la petite pâtisserie portant ce joli nom

Bref, essayer d'être original, autant souffler dans un mirliton !

Car vous êtes bien sûr au courant : souffler dans un mirliton ne sert à rien, il faut gringotter là-dedans pour en tirer un son.

À bon entendeur...

5 mai 2018

Le lombric (Walrus)

 

"Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour..."

Ben quoi ? Ce sont des vers, non ?

Comment ? Ils ne sont pas de moi ?

Ben non, ce ne sont pas des vers solitaires (petit aparté : vous ne trouvez pas étrange, vous, qu'on puisse mettre au pluriel les vers solitaires, hein ?).

Et si vous m'interrompez continuellement, nous n'y arriverons pas. J'efface tout et je recommence :

Au sortir de son trou, le valeureux lombric
Quitte le jardinet par sa bordure en briques.
C'est qu'il en a soupé de bouffer de la terre,
Il est grand temps pour lui d'explorer l'univers.
Sur le ruban d'asphalte, il rampe, conquérant !
Il s'en va, ventre à terre, le regard triomphant...

Quoi encore ?!

Les lombrics n'ont pas d'yeux ? Et du coup, le regard triomphant...

De quoi me mèle-je ? C'est une image, une façon de dire, une métaphore même, on ne te demande pas ton avis sur l'anatomie comparée des lombrics et des néréis qui en ont, eux, des yeux, bien qu'ils soient vers (non, pas les yeux verts, les néréis, vers marins) !

Bon, j'ai perdu le fil (Stop, pas de fine allusion au ver à soie, ce serait mal venu après le ver à soi) et surtout le rythme. C'est dramatique quand l'alexandrin te sort de l'oreille comme le lombric de son trou.

Bon, tant pis, c'est foutu, je continue en prose...

Allo ? C'est encore un alexandrin ? Et alors, pourquoi la prose n'aurait pas de pieds, y a bien des vers qui n'en ont pas ! Ah, ça t'en bouche un coin ça, hein ? Je peux y aller ? Mais non, pas au petit coin, je veux dire retourner à mon histoire.

Le ver est sur l'asphalte (et non pas dans le fruit),
À quelques décimètres du jardin qu'il a fui,
Arrive l'Adrienne qui aussitôt s'écrie :
"Oh, le pauvre lombric, perdu, loin de chez lui !
Si le temps vire au beau et que le soleil luit,
Voilà qu'il se dessèche, en un mot, il est cuit !
Par contre, si le ciel nous envoie de la pluie,
Il se noiera c'est sûr, ayons pitié de lui.
Et d'un geste élégant, de ses doigts délicats,
Elle cueille l'animal et chez lui le renvoie.


Moralité (oui, vous êtes sur un site à haute tenue morale) :

Si vous êtes tenté par l'esprit d'aventure,
Soyez prêt à tomber dans la déconfiture !

 

28 avril 2018

À question idiote... (Walrus)

 

Oh, Papé, c'est quoi la kermesse ?

 

 

Pour tout vous dire, non seulement c'est le nooord, mais c'est surtout la Flandre, qu'elle soit française ou belge.

Dans cette région où coexistent deux cultures, la fête annuelle rappelant la dédicace d'une paroisse à un Saint tutélaire se dit en français, par dérivation, (dédicace -> dicasse ->) "ducasse".

Les Flamands, eux, emploient "kermis" que les francophones se sont empressés de réadopter sous la forme de "kermesse".

Ils pensaient peut-être qu'ils auraient ainsi droit à deux fêtes patronales, on les reconnaît bien là ces guindailleurs invétérés.

Quoi ?

Vous ne connaissez pas guindailleur non plus ?

Normal, ça aussi c'est belge, vous savez bien, là-bas, vers le nord...

 

21 avril 2018

Vous croyez que je bulle ? (Walrus)

 

Eh bien pas du tout ! Ça fait trois semaines que nous avons appris que nous allions devoir déménager, alors, c'est la recherche (oui, comme Marcel, ne rigolez pas !). Épluchage des sites des agences immobilières, téléphone, visites...

Passionnant !

Nous voyons de tout : toutes gammes de prix, tous étages, avec ou sans ascenceur, avec ou sans garage, chauffage central ou individuel, cuisine équipée ou semi-équipée, plaques de cuisson électriques ou au gaz, quartiers calmes ou passants, peinture fraîche ou pas tellement, parquet (en bois ou synthétique), dallage, lino, avec ou sans terrasse, avec ou sans double vitrage.

Bref, la variété dans toute sa splendeur !

Une seule constante :

Jamais de jacuzzi !

 

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14 avril 2018

Évidemment ! (Walrus)

 

Avec mes idées de crétin
À près de minuit, je suis bien :
Pas la moindre idée, c'est la crise !
Il va falloir que j'improvise...

 

7 avril 2018

Cauchemar (Walrus)

 

La nuit a été rude, j'ai fait un rêve étrange...

Vous connaissez (certains d'entre vous en tout cas) ma passion pour les statistiques. Hier j'ai jeté un oeil à celles des participations (je crains qu'elles ne soient pas très très précises malgré mes efforts de mise à jour). J'ai donc pu constater que 172 contributeurs divers (et même d'été, comme dirait Vegas) sont passés au moins une fois par ce blog.

Voilà-t-y pas que dans mon rêve, la boîte mail du blog se mettait à se remplir à une cadence accélérée, un peu comme quand Harry Potter reçoit sa convocation pour Poudlard. Le 500éme défi avait éveillé en eux l'envie de reparticiper !

Certains, trop tôt disparus, jouaient même leur petit Chateaubriand et m'écrivaient d'outre-tombe...

Textes en tous genres, dessins, photos, animations, musiques, vidéos... je ne savais plus où donner de la souris et du clavier et comme par hasard au beau milieu de tout cela le message laconique habituel de Canalblog m'est apparu :

5013

Y avait de quoi devenir hystérique, non ?

 

31 mars 2018

Good Vibrations (Walrus)

 

Étrangement, je ne suis pas certain de connaître le prénom de mes deux* grands-pères.

Le premier, mon grand-père paternel, a, comme bien des hommes de sa génération, péri lors de la première guerre mondiale et je ne l'ai donc pas connu. Ma mère m'a dit un jour, il y a très longtemps, qu'on avait failli m'appeler Jean-Louis en souvenir de lui, ce qui m'incite à penser qu'il devait se prénommer Louis, ou plutôt Lodewijk (mais va savoir avec les Anversois, aujourd'hui, ils ont rebaptisé leur célèbre café "Roode Pelikaan" en "Pélican Rouge" parce que ça fait plus... international !). Mais en fin de compte, on m'a appelé Jean-Claude.

Le second, le père de ma mère donc, s'appelait peut-être Félix, comme son fils aîné, mais je n'en suis pas certain non plus : personne ne l'appelait par son prénom. Dans son patelin, on l'appelait par son surnom ou sobriquet (en wallon on dit parfois "Spot" un mot issu du flamand comme beaucoup de vocables de cet idiome), comme quoi on n'a pas attendu le Net pour inventer les pseudos (sauf que là, ce n'est pas vous qui le choisissiez).

Je ne l'appelais donc que "Bon-papa Guèw".

Et à Seilles, qui fait la frontière entre les régions liégeoises et namuroises, "lu guèw", c'est "la guimbarde". La version verviétoise est encore plus "parlante" : "Lu Gaw" où l'on entend bien le bruit caractéristique de la lamelle vibrante de la chose.

J'ai joué de cet étrange instrument (un truc à te niquer les dents pire que les carambars) au temps où je m'occupais d'une unité scoute, mais je dois bien avouer que j'avais du mal à concurrencer mon ami Écureuil, virtuose de la guitare folk. Mais paradoxalement, je n'ai jamais vu celui qui portait son nom utiliser de guimbarde.

 

 

* Vous serez peut-être étonnés d'apprendre que j'ai eu quatre grands-pères
mais ça, c'est une autre histoire.

 

 

24 mars 2018

Funambule -> Fil -> Filet (Walrus)

 

Vous avez vu la suite logique ?

Un funambule se déplace sur un fil et à l'époque actuelle, obsédée par le principe de précaution, il est impensable de pouvoir encore entendre l'annonce qui faisait les délices de nos jeunes années :

"Et remarquez que l'artiste travaille sans filet !
 S'il se tue...
 C'est la mort certaine !"

Et ne me dites pas que c'était cousu de fil blanc !

17 mars 2018

Va donc eh couillon ! (Walrus)

 

Écouvillon ! À quoi il pense ce mec !

N'a rien d'autre à faire que de se curer les oreilles ?

Si encore il l'avait mis au pluriel : écouvillons, ça aurait eu l'air d'un verbe à la première personne du pluriel de l'indicatif présent (tu parles d'un cadeau !).

Peine perdue, le verbe existe, mais c'est écouvillonnons (si, si, je suis allé vérifier à Nancy)

Il pouvait pas dire Q-tips, comme tout le monde ?

 

10 mars 2018

Chez les Walrus

 

... nous sommes tous fous*, de père en fils !

Mais est-ce que cela suffit pour faire une dynastie ?

 

*Pour le moment, par exemple,mon fils visite Tchernobyl en fauteuil roulant

 

3 mars 2018

C'est un scandale ! (Walrus)

 

Bien sûr, c'est ici que l'on regrette Georges Marchais pour donner un peu de poids à cette affirmation.

Mais de quel scandale s'agit-il ? Me direz-vous.

Ben du sujet du jour :

Le carrousel,

Le carrousel TVA !

24 février 2018

Trop c'est trop (bis) (Walrus)

 

Vous me direz que c'est toujours la même chose, mais une fois de plus, comme producteur de sujets, je fais un peu Lucky Luke (vous savez bien, celui qui tire plus vite que son ombre).

Où est le problème cette fois-ci me demanderez-vous...

C'est que dans mon pays, bistro, ça fait un peu exotique et pour tout dire franco-français avec un petit relent de gros rouge qui tache ou de blanc sec qui vous ulcère l'estomac.

Bien sûr, quelques établissements s'intitulent malgré tout "bistro", juste pour marquer un peu le coup depuis que la "bistronomie" fait florès et est venue rehausser le niveau de ces endroits en leur attribuant (à tort ou à raison) des qualités de convivialité et de bonne cuisine traditionnelle.

Chez nous, on parle plutôt de cafés, de cabarets, d'estaminets même, et la tradition est plutôt à la bière qu'au vin.

Avec le vin, on passe subitement à un niveau différent : les bars à vin et les  œnothèques qui se poussent du col (pas du faux-col comme les marchands de bière) en prétendant offrir des produits plus "haut de gamme".

Mais de toute manière, ça ne me concerne pas, je ne fréquente que les bars à eau, on est bobo ou on ne l'est pas, n'est-il pas ?

17 février 2018

Qu'est-ce que vous dites ? (Walrus)

 

Atrabilaire ?

Moi !?

Naaan !

Acariâtre, ça, peut-être...

Mais je ne vais pas vous raconter ma vie, hein ?

 

10 février 2018

Faut distinguer (Walrus)

 

Faut distinguer parce qu'il y a deux types de zébu :

  • le zébu court (sur lequel nous ne nous étendrons pas vu qu'il est trop court pour, et que je n'ai pas, de toute manière, le goût des phrases kilométricotarabiscotées comme certain Marcel sur lequel je ne m'étendrai pas non plus pour une simple question d'incompatibilité d'orientation sexuelle et pas d'orientation du lit comme ce pourrait être le cas si j'étais un adepte du Feng shui)
  • le zébulon pour lequel je vais faire très court parce que je manque de ressort

 

 

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3 février 2018

Népal Yéti qui veut ! (Walrus)

 

À peine avions-nous publié le sujet de la semaine (pluriel majestatif le "nous" puisqu'à force de défections au sein de l'équipage, je reste seul à la manœuvre de ce vaisseau du samedi qui finira bien par se transformer en vaisseau fantôme) qu'Emma me fait parvenir un message.

Et ce message contient un lien, pas sa participation, non, quelques mots gentils et un lien.

En le suivant, au bout de cinq minutes quarante cinq secondes d'un délire que seule pouvait produire l'ineffable Jacqueline Maillan (sauf si mon neveu Joe et son ami Vegas fondaient une association temporaire), vous apprenez que le Yéti s'appelle...

Marcel !

Prou(s)t alors !

Vous connaissez mon amour pour l'individu, mais si, par miracle, ce n'était pas le cas, je vous file un petit extrait pour que vous puissiez vous faire une idée.

En attendant je ne voudrais pas vous priver de la mine de connaissances à propos du Yéti fournie par la conférencière dont question ci-dessus et pour la découverte de laquelle je ne remercierai jamais assez notre chère Emma. (Ainsi d'ailleurs que pour m'avoir fourni ma participation)

 

27 janvier 2018

Et c'est reparti ! (Walrus)

 

Comme chaque semaine, je me demande ce que je vais bien pouvoir pondre sur le sujet que j'ai moi-même choisi. Mais trève de nombrilisme : je ne suis pas le seul à devoir me torturer les méninges : que vont faire les autres participants ?

Essayons d'imaginer les divers incipits :

bongopinot
L'Andalousie est une chanson douce

Caro_Carito
Pas de Xérès au Pérou !

JAK
JAK costai près de Jerez de la Frontera en remontant le Guadalete

Joe Krapov
Je t'écris de l'unique bodéga de Charleville

joye
Faut pas confondre Sherry et Cherry

Kate
Vous vous rappelez ma bouteille à la mer ? Elle avait contenu du Xérès, pas mauvais d'ailleurs...

Laura
J'ai déterré la barrique d'Amontillado d'Edgar Allan Poe !

Maryline18
Sur les rives paisibles du Guadalquivir,

Minuitdixhuit
T'en foutrai du Xérès, moi ! Et le Porto, alors ?

Nana Fafo
Le Xérès... amener ça au sommet du Bréquin, c'est pas coton !

Pascal
À Cadix, ça n'avait pas été facile de ramener discrètement à bord ce tonnelet de Jerez.

Thérèse
Sous la lampe de Gallé, le verre de Xérès jetait des éclats d'ambre

Tilleul
En retournant le fouillis de la cave, les enfants ont retrouvé une bouteille poussiéreuse

Vegas sur sarthe
Germaine ? Un doigt de Sherry, chérie ?

Venise
Il ne faut pas dire Xérès, je ne boirai pas de ton eau !

Walrus
Comme chaque semaine,

 

 

20 janvier 2018

Oufti ! (Walrus)

 

À une seconde près, je le ratais ce train !

J'ai juste eu le temps de sauter dans le dernier wagon avec l'aide du convoyeur qui m'a tendu la main après que j'ai eu jeté mon cartable sur le plancher alors que le train commençait déjà à prendre de la vitesse à grand renfort de nuages de vapeur.

Et le dernier wagon, en l'occurrence, c'était le fourgon.

C'était la première fois que je pénétrais dans ce type de voiture avec ses rayonnages et ses paquets entassés au sol (pour la suivante, il me faudrait attendre la visite du musée du train à la gare de Schaerbeek, l'an passé !).

Mon séjour n'y serait pas long : le temps de remercier l'employé pour son aide et à l'arrêt suivant de cet omnibus, j'irais rejoindre un wagon pour voyageurs.

Quand j'y pense aujourd'hui, à l'époque du sacro-saint principe de précaution, je doute que je puisse renouveler encore ce genre d'exploit. Mais de toute façon, ça n'a guère d'importance : il y a belle lurette que je ne cours plus après les moyens de transport.

 

w491

 

13 janvier 2018

Petite musique de nuit (Walrus)

 

De nuit parce qu'il était quatre heures du matin et j'étais fort occupé (comme chaque semaine me direz-vous) à vouer aux gémonies le comique qui avait imaginé d'utiliser ce mot comme sujet pour le défi.

Ben oui, je suis comme ça : le joueur d'aujourd"hui oublie bien trop facilement qu'il était l'animateur d'hier.

L'échéance se rapprochait et je n'avais toujours rien imaginé. Parce que, ressassais-je in petto, en dehors des moteurs de bagnoles et des foreuses à main, les vilebrequins ça ne se trouve pas sous le sabot d'un cheval ! 

Et c'est là que ça a fait "Tilt" !

Mais siiii !

Justement !

Comment croyez-vous qu'ils se meuvent les chevaux de bois galopant des manèges, carrousels et autres moulins de nos enfances ?

Hein ?

Leurs barres sont rattachées à des vilebrequins dissimulés dans le plafond et sous le plancher des dites attractions de foire !

J'en ai le limonaire (encore un mot qui ferait bien dans notre collection) tout retourné !

 

6 janvier 2018

T'en foutrai de l'ubiquité, moi ! (Walrus)

 

Chaque année, la famille proche se réunit à l'occasion de Noël et/ou Nouvel An.

Pendant longtemps, cette petite réunion festive s'est déroulée chez nous. Mais ces dernières années, généralement à Noël, elle s'organisait dans la maison ardennaise de notre fils, où l'on peut loger tout le monde, ce qui évite les retours nocturnes autant qu'imbibés.

Mais cette année précisément, notre fils séjournait pour Noël au Royaume-Uni. La fiesta traditionnelle a donc été repoussée au weekend prochain...

Deuxième "Mais..." (car il y a toujours un "Mais", n'est-ce pas) cette année également, Emilie et Borys doivent présenter un examen lundi dans leurs écoles respectives. On a donc décidé, après conciliabules téléphoniques multiples, d'organiser la rencontre en une seule soirée chez ma fille pour empiéter le moins possible sur leur temps de travail.

Et la rencontre a été programmée pour... ce vendredi soir !

C'est là que le don d'ubiquité m'aurait été bien utile : mon ubiquite numéro 1 serait allé jouer son rôle dans la réunion familiale, le numéro 2 se serait chargé de la surveillance de ce blog et le tour était joué !

Hélas, je ne dispose pas d'ubiquites...

Mais j'ai un portable ! (J'en ai même plusieurs, bien que je n'aie que deux mains)

L'ennui, c'est qu'en parfaite contradiction avec ma tendance naturelle à la procrastination, j'avais déjà écrit un autre billet.

Bah, ça tombe bien, il était un peu tiré par les cheveux.

Et côté cheveux... 

 

Picture 2

 

 (ben oui, j'ai une webcam, vous pas ?)

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