Ont rentré la tête et poussé sur leurs pieds
Walrus ; Vegas sur sarthe ; Laura ; maryline18 ;
TOKYO ; Kate ; Emma ; Lecrilibriste ; Yvanne ;
joye ; Joe Krapov ;
Walrus ; Vegas sur sarthe ; Laura ; maryline18 ;
TOKYO ; Kate ; Emma ; Lecrilibriste ; Yvanne ;
joye ; Joe Krapov ;
Lettres volées
L'ange vint Marie
Lui déçu
Toi déchue
Élève de Pierre
Ami sincère
Et de camaraderie
En heures
De labeur
De partages
Sans ambages
On l'accusa d'être ton amant
On fustigea vos dites galipettes
D'adultes pourtant consentants
Complètement éreintés par les gazettes
Traînés dans la boue
K.O. debout
C'était il y a tant de temps
Pas tellement pourtant
Et même une femme savante
Veuve depuis si longtemps
N'avait pas droit d'être amante
De ressentir
Du désir
Lettres volées
Adultère dévoilé
Scandale avéré
Vies privées brisées
S'ensuivent duels
À l'épée
Et Nobel
En Suède à récupérer
Ou pas
Traînée si bas
Oui Marie ira
Si loin le chercher
Vos descendants
Arrière-petits-enfants
La vie est ainsi
Merci Yvanne pour ton beau texte ici
Qui m'a servi de prétexte pour celui-ci
Si ça ne fonctionne pas, essayez ce lien direct vers Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=M-EUwfmy1c0&t=27s
Alors que je rampais, singeant le mille-pattes
à l'affût des souris armé d'une tapette,
quel est ce malotru, qui est ce psychopathe
qui m'a mis au défi: trouver des rimes en 'pete'?
Cliquant sur le mulot, j'ai quitté ma carpette
sorti tous mes dicos, mis la main à la pâte
mais je ne trouve rien, j'en ai jusqu'à perpette
quand tant d'autres ont fini qui me narguent et m'épatent.
Je vous mets au défi, rois de la galipette
de chasser mieux que moi souris et souricettes;
vous semblez moins malins, j'en entends qui rouspètent
mais je sens que ça vient! Oui! Saperlipopette!
Me voilà rimailleur sans tambour ni trompette
je sens au bout des doigts la force centripète
qui détruit mon clavier et que plus rien n'arrête!
Restez! Ne prenez pas la poudre d'escampette.
Tandis que j'écrirai vous serez mes arpètes,
je jouerai du clavier et vous en salopettes
de tous ces souriceaux vous ferez des brochettes
pour mon plus grand plaisir... et pas d'entourloupettes!!
Pour bien faire des galipettes
Sept roulades et sept cupelettes
Cul par-dessus tête
Enlève tes bigoudis
Mais pour manger d’ la galette
Un deux trois quatre cinq six sept
A la fête d’Epiphanie
Tu as ton permis
Gémir, geindre, grogner autour d'une braguette
Amour physique qui s'achète
Lécher, sucer, caresse avant la levrette,
Interprète obsolète d'une scénette.
Pornographie des historiettes.
Erotisme pictural à Lyon: belle brochette.
Tentation, séduction aux oubliettes.
Tarder, attendre, enlever la nuisette
Enlacer lascivement les zezettes de Sète
Sur l'eau tarie, plus d'otaries.
Sur la grève plus de Dorripes.
"Au pays du long nuage blanc", plus de crocodiles.
Rendues par les crabes, les âmes des Maöris se cachent sous les fougères argentées.
Le silence fait loi.
Seul un Rouge-gorge obstiné continue de chanter à la cime d'un Eucalyptus.
(Quand le si trouille, le crabe crabouille).
Ouille la la ! La fin du monde est inscrite sur les restes de Dame Nature.
Comme les os après un festin, reliquat d'une richesse détruite, des pierres de Jade sont assemblées sur l'humus desséché longeant le Sépik.
< Ite missa est ! Amen.>
(Quand les Maöris parlent en latin, l'heure est grave...)
Toute pirouette (ou galipette) pour tenter de nous disculper sera inutile tout comme nos larmes de crocodiles...
- En fîmes nous, des galipettes !
- Même, nous cassâmes des lattes au lit !
- Quels pliages ! Quels origamis !
- Et quelle gaieté dans nos ébats !
- On était agiles ! On en faisait partout !
- Agités du bocage !
- Sur la plage !
- Sauf si elle était en galets !
- On n’avait pas de galette !
- On se pelait ! On se gelait ! Mais on restait d’humeur égale !
- T’étais ma petite marguerite ! Je t’enlevais les pétales !
- Tu m’as gâtée ! Epatée ! Toujours pliée de rire, avec toi !
- Je ne suis pas du genre qui glapit mais notre palette de couleurs n’est plus aussi étendue !
- C’est vrai. Palette de douleurs, tu devrais dire. C’est une pitié, de prendre de l’âge ! On pâlit, on pâtit, on prend la pâtée au palet, on tombe dans tous les pièges, plus rien ne nous égaie !
- On a toujours un pet de travers, on s’alite pour un rien ! On a des pétages de plombs dignes d’un gilet jaune dès qu’on entend le mot « élite » !
- Arrête de ronchonner, c’est l’heure qu’on descende nos deux étages. Le taxi vient d’arriver en bas. Allez, mets ta gapette et ton manteau, Papi. Et ne t’étale pas dans l’escalier ! Va pas te casser une patte ! Même si ça te ferait une bonne excuse pour ne pas aller jusqu’au funérarium !
- Quelle plaie, les funérailles ! Je déteste ça ! Ça lui faisait quel âge à Tatie Pélagie ?
- 98 ans ! Mais elle était bien tapée, l’ancienne prof d’éducation physique et sportive !
- Elles sont encore plus loin que nous dans le passé, ses galipettes à elle ! Elle est rendue à la dernière étape !
- Elle qui était plus souvent pagée qu’à son tour, à se tortiller dans son lit comme si elle avait attrapé la gale, elle ne bougera plus maintenant !
- Où est-ce qu’on disperse ses cendres ?
- Derrière le gymnase !
Suite des aventures de mes deux copains trufficulteurs Jacky et Paulo.
- Hé Jacky. Salut. Qu'est ce qui t'amène ?
- Rien de spécial. Salut Paulo. Tu fais quoi demain ?
- Demain ? C'est dimanche demain non ? Je sais pas trop...
- Tu vas pas à la messe si ? Alors t'es libre ?
- Si tu veux. Tu prévois quelque chose ?
- Je voudrais aller faire un tour à la pêche sur l'étang de Lascaux. Ça te dit ?
- Et pourquoi pas ? Je passe te prendre à 6 heures ? J'apporte le casse-croûte.
- D'accord. Je me charge de l'apéro et du pinard. Du rouge ou du rosé ?
- Comme tu veux. A demain.
Il fait un temps superbe. Les deux amis laissent leur voiture sur le chemin. Se munissent de tout leur barda et s'approchent tranquillement de leur coin de pêche préféré. Ils s'installent et attendent patiemment que ça morde. Les carpes sont paresseuses ce matin. Le petit bateau amorceur a beau faire sans cesse des allées-venues sur la pièce d'eau pour lâcher des appâts, ça ne marche guère. Il y a des jours comme ça. Mais ils s'en moquent. Ils apprécient surtout de passer un bon moment ensemble. La conversation s'engage.
- Paulo, tu sais ce que j'ai vu en début de semaine alors que je travaillais à la truffière de la Vigne Haute ?
- Oh je crois que je devine. Le Parisien ?
- Oui. Mais tu n'imagines même pas.
- Quoi ? Qu'est ce que t'as à te gondoler comme ça ? Le Parisien traîne souvent par là. Tu n'ignores pas qu'il rejoint la Lucette dans ta gariotte ? (cabane de berger du Sud Ouest en pierres sèches)
- On s'en fout. Ils se cachent même pas. La Lucette a la cuisse hospitalière et son homme s'en tape. Alors hein si ça leur fait du bien comme dit l'autre...Non, c'est mieux que ça.
- La Lucette aime bien b. dans la nature parce que le lit c'est fait pour dormir d'après elle. Tandis que sa moitié, lui, c'est l'inverse « question de principe « selon lui. Alors ils s'arrangent comme ça. Et t'as raison : on s'en fiche. Mais raconte. Qu'est ce qui est arrivé au Parisien ?
- Comme d'habitude en short genre moule b..., il s'amenait en sifflotant avec un panier dans une main et un bâton dans l'autre. Sans doute pour faire croire qu'il allait aux champignons. Dans cette tenue ça ne trompe personne ici. Mais il faut bien se donner une contenance. Il a voulu passer par dessus la clôture électrique pour aller dans le pré à côté de la truffière. Je ne sais pas comment il s'y est pris mais encombré par son gourdin il est resté à califourchon sur le fil. Il hurlait à chaque impulsion dans ses r... Quand il a pu se dépêtrer il a fait une galipette je te dis que ça. J'étais mort de rire. Même les vaches n'en revenaient pas. Quand il m'a vu il est parti la queue entre les jambes sans demander son reste.
- Oh oh Jacky ça mord. Elle est énorme ! Mouline. Mouline. Attention attention...Plouf !
- Tu diras pas à la Josette que je suis tombé à l'eau. Elle se foutrait de ma gueule.
- Ah je me demande ! Tiens un jaune. Ça va te remettre d'aplomb. M'en veux pas mais j'ai bien ri à te voir barboter. Heureusement que le Parisien n'était pas là...
Double éclat de rire !
Ici, on ne dit pas "galipette", on emploie, cela va de soi, un belgicisme : "cumulet"!
Et quand les Belges font des cumulets, ils font bêtement (ben oui, ils sont belges) exclusivement des cumulets.
Tandis que les Français quand ils font des galipettes font la plupart du temps autre chose que ce que l'expression laisse entendre au sens strict. Le français de France est compliqué, surtout pour les Belges... et le Français de France encore plus, c'est son côté gaulois. Car comme disait leur empereur (le bandit corse) "Un bon sous-entendu vaut mieux qu'un long discours !"
Tout ça pour dire que dans mon enfance je me suis longtemps demandé où Lina Margy voulait en venir avec le fils du forgeron...
Adrienne ; Lecrilibriste ; Laura ; Walrus ;
Vegas sur sarthe ; Kate ; Cavalier ; TOKYO ;
Yvanne ; Joe Krapov ; maryline18 ; joye ;
Mon grand-oncle Henri, le frère de mon grand-père paternel, convola en justes noces avec demoiselle Marie-Adélaïde C. dite Adi en janvier 1909.
Ce n'était pas une période faste question météo mais les mariages étaient la plupart du temps célébrés durant le calme de la saison froide. Ceci pour ne pas empiéter sur les travaux domestiques dans les fermes quand les invités étaient paysans. Ce qui n'était pourtant pas là forcément le cas mais sans doute d'autres raisons impératives avait conduit à choisir ce mois plutôt qu'un autre. Toutefois, on ne s'unissait pas en novembre puisque c'était sensé porter malheur au jeune couple. Cela en partie pour respecter les morts mais aussi parce que la superstition occupait une grande place dans les campagnes.
Il faisait donc très froid en ce jour d'hiver et un vent mauvais balayait le plateau de Millevaches. Les invités grelottaient dans leurs habits du dimanche à la mairie et à l'église et il tardait à tout un chacun de rejoindre au plus vite l'auberge Bagatelle où devait se dérouler le repas. Les mariés avaient fière allure et semblaient très heureux comme on peut le voir sur la photo sépia prise ce jour là. Ce n'était pas un mariage « arrangé » comme c'était souvent le cas à l'époque. L 'oncle avait rencontré sa promise lors de son apprentissage au métier de maçon chez le père d'Adi, entrepreneur. Ils étaient immédiatement tombés amoureux.
Henri avait une trentaine d'années. N'étant pas l'aîné de sa fratrie, il avait dû partir pour gagner sa vie, la ferme familiale ne lui revenant pas. Maçon accompli, il était « monté » à Paris comme beaucoup de Limousins et d'Auvergnats pour travailler à la construction du métro. Les parents de la tante, assez aisés, avaient tenté de s'opposer à cette union, voyant d'un mauvais œil le départ de leur fille pour suivre un mari désargenté à la capitale. Mais craignant un événement qui apporterait le déshonneur sur leur famille, ils avaient fini par céder. Leur inquiétude était cependant infondée puisque le couple n'eut pas d'enfant mais la prudence les guidait. On ne sait jamais.
Ce fut un beau mariage. C'est du moins ce que racontait mon grand-père. Quand il en parlait il ne manquait pas d'évoquer le repas pantagruélique qui fut servi à Bagatelle. D'abord c'était la première fois pour lui qu'un banquet de noce avait lieu dans une auberge. Habituellement on aménageait une grange, la plus grande du village, que l'on décorait de verdure et de bouquets. On y servait les plats des jours de fête : charcuteries, rôtis de porc ou d'agneau, volailles de la ferme, fromages, clafoutis, flognardes et autres pâtisseries limousines, principalement des tartes aux fruits. Le tout arrosé de vin du pays sans oublier le café et la goutte ! On dansait, on chantait et on s'amusait beaucoup.
A Bagatelle, ce fut tout autre chose mais pour lui cela resta un éblouissement. La salle était magnifiquement agencée. La vaisselle était de porcelaine de Limoges, les couverts en argent et les verres en cristal. Un véritable luxe qui avait mis quelques invités mal à l'aise. Les parents C. n'avaient pas lésiné sur la qualité de l'accueil. Pour épater la galerie assurait mon grand-père. Mais surtout, surtout ils avaient établi un menu, selon lui, digne d'un prince. On parle de nos jours de farandole de desserts quand au restaurant on amène un chariot rempli de mignardises et autres gâteaux. A l'auberge Bagatelle, ce jour là il s'agissait plutôt d'une farandole de plats tous plus originaux (pour la majorité des convives) et fastueux les uns que les autres. Mon grand-père citait avec gourmandise le saumon, les vol-au-vent, la poularde, les croquembouches et les glaces mais aussi des fruits exotiques qu'il dégustait pour la première fois, tels ananas et mandarines et bien d'autres mets encore dont il ne se souvenait plus. Tout ceci arrosé d'excellents vins et de champagne. Ce qui avait manqué à tous les jeunes c'est de pouvoir danser mais les mariés regagnaient Paris en train le lendemain.
J'ai peu connu cet oncle et cette tante même s'ils avaient acheté pour leur retraite une maison dans une commune assez proche. Cependant quand la famille leur rendait visite je ne manquais pas de les interroger sur leur vie à la capitale, lui travaillant à la construction du métro et elle, chez Marie Curie ce qui bien entendu m'épatait. J'aimais l'entendre évoquer les filles de Madame Curie et me parler d'Irène surtout qu'elle adorait.
Farandole de voeux 2023
Ferveur ou frivolité
Amour ou affection
Rêve ou réalité
Amitié ou abandon
Nature ou nervure
Défi ou déconfiture
Obligeance ou obole
Lumière ou lucidité
Evolution ou émotion
(Dimanche matin de janvier
Premier jour de l'année
Inspiration au détour d'un café
Mais panne de papier
Vite un griffonnage
Sur un emballage
Deux mille vingt-trois
Ma foi
Déjà
J'y crois pas)
Double farandole de voeux
À tous souhaitons le mieux
Farandole de souvenirs
Farandole d'avenir
Double farandole
C'est l'espérance folle...
Bonne année 1973 2023 !
Quand le grand-père emmenait sa petite famille au restaurant, en mai et en octobre, grand-mère Adrienne était toujours la première à refermer le menu.
- Tu as déjà tout lu ? demandait grand-père.
- Tu sais déjà ce que tu veux prendre ? demandait sa fille.
- Je prendrai comme vous, répondait-elle.
Elle savait bien que les autres finiraient par tomber d’accord sur le « menu gastronomique » en sept services – si pas neuf, l’époque n’était pas encore diététique – et que c’était de toute façon le même menu pour toute la table.
Par contre, ce qu’elle ne manquait pas d’avoir repéré, malgré sa lecture rapide, c’est « qu’il n’y avait de nouveau pas de patates ».
Puis en douce, à Mini-Adrienne assise à côté d’elle, elle soufflait :
- Tu as vu ? Il est marqué « Farandole de desserts »! C’est ça qui va être bon !
Et ses yeux brillaient.
Je voulais voir Venise et on a vu Dijon
Je voulais une bise mais toi tu faisais l' con !
Comme je trouvais l'temps long tu me conduisis à Laon
Manger des saucisses et puis aussi du jambon
Bon bon bon...
Avant de visiter Troyes on est arrivé à Châlons
Pour manger le boudin qu'on n' avait pas mangé à Laon
Il était blanc comme mon teint, comme ces matins sans saison
Et notre histoire je le sais, tournait déjà en rond
Rond rond rond...
J'espérais un baiser arrivée à Chaumont
Je sentais la moutarde avant d'avoir vu.. Dijon !
J'étais sûre qu'y avait pas d'phare à Dole
Et encore moins des gondoles
On est rentrer en bagnole avec Nicole et Carole
La fofolle...
Et ... on a fait une farandole toutes nues sur le parking de l'école
C'est sûr qu'on avait trop bu, encore plus qu'à la foire viticole...
1
Allons, en sortant de l’école,
Enfants, danser la farandole !
A l’instar de la ribambellle
L’heure est à se faire la belle
Sur de jolis chemins buissonniers
Voyez-vous bien au quai de la gare
Ce train aux wagons colorés
Où joue un orchestre bizarre
Musiciens en tenues bariolées ?
Montons sur la plate-forme !
Mettons un souk énorme !
Dansons ! Dansons
Ronds d’Saint-Vincent
Et laridés huit ans !
(Euh... je crois que ça s’écrit « huit temps »!)
2
Allons, en sortant de l’école,
Enfants, danser la farandole !
Faisons fi des garde-barrières !
Condamnons les faiseurs de guerres
A se tenir par l’auriculaire !
Comptez vos pas, tyranneaux grotesques !
Sautez, balancez en cadence
Vos bras, vos allures simiesques
Et suivez le rythme de la danse !
Cessez votre bla-bla !
Dansez la lambada !
Soyez, grands fous,
A no(z)s festou
Bombardés de binious !
3
Allons, en sortant de l’école,
Enfants, danser la farandole !
Le train nous emmène à la plage
Ramasser de beaux coquillages
Et voguer vers les îles parfumées
Au Japon des trois mousquetaires
Par quatre descendons au jardin
Faisons le tour de l’Univers
Dans notre sous-marin jaune ou vert
Dansons dans le printemps !
Donnons-nous du bon temps !
Fest-deiz ! Fest-noz !
La vie en rose
Rien d’autre n’est important !
Poil au dents !
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En sortant de l'école - collection PREVERT from Tant Mieux Prod on Vimeo.