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Le défi du samedi
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17 avril 2021

Sans Tambour ni Trompette (JAK)

Klaxson

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10 avril 2021

Un bon prétexte pour changer…. (JAK)

jodhpur defi du samedi

3 avril 2021

Idole or not Idole (JAK)

 

Les gens l’appellent  Gogole  l’empoté  foiré de la toile
Mais il n’y en a pas qui l’envie car  sa bêtise n’ a pas de fin


Mais ils ne savent pas que souvent
dans la vie, dans sa p’tite tête  mal farcie 
Il  cherche des idées  à filouter  qu’il fait siennes
En faisant  de les copier/coller de  wiki

Sur son ordi  obstinément , il  s'entraîne
mais il ne fait que bêtement scribouiller et
Et souvent tard dans la nuit ,il insomniaque

Gogole est  une nouille qui toujours glandouille

Quelle infortune ! on ne le reconnaît jamais  dans    rue
et ça le chagrine

Pourtant depuis  longtemps, avidement, il cherche à  être notoire. 
Il aimerait  bien faire la conquête  des bloginautes  de la sphère
Mais niet, ceux-ci ne  lui  laissent   que de polis   commentaires

-

Et pourtant, et pourtant ♪ ♫…

 

Et pourtant, pourtant   Il a  tout  essayé pour sortir du nombre,
Mais il demeure  bien ancré  un fantôme   dans l'ombre
C’est pt’ être ben que  son style n’a jamais  été compris

 

Et pourtant, et pourtant ♪ ♫…

 

S’il  n’est  pas l’idole des jeunes
Aujourd’hui la sagesse des ans l’a guéri
Il renonce à plaire à tout prix
Il  ne sera jamais une idole
Et tant-pis c’est bien mieux ainsi

Sans un remords, sans un regret, il partira
Droit devant lui  sans espoir de retour

 

Nota

Un certain Charles et un dénommé Johny m’ont inspirée

 

27 mars 2021

Arc en ciel (JAK)

 

Aujourd hui je mélancole et broie  du noir
Eh oui, quoi, je reste coi, là  devant cette  page blanche
Ce mot   d’houille m’indispose.
Je songe  à chercher des rimes,
L’une  d’entre s’propulse  directe de ma matière grise
J’en deviens tout écarlate
Non jamais je n’oserais ici dactylographier
Le nom de d’un tel organe rosé !

Je pourrais parler du charbon, mais c’est  trop fuligineux
Ça manquerait de clarté,

 

Je me paie un petit noir  pour bichonner mes neurones
Mais mes idées restent  grivelées , tout se transforme en grisaille

V’là que  j ’ai les petzouilles, car il va me falloir conclure
Et ceci devient bien glauque. !

Alors ce billet  très particulièrement  smaragdin
Va-t-il partir dans la corbeille ?

Non car mes doigts aux ongles corallins, sur les touches du clavier tapouillent

J’espère,
Je   reprends des   couleurs,
Mon sourire redevient azurin,
Mes pommettes de joie rosissent, enfin révolu  le ton anthracite.

Vite, vite, à Walrus j’envoie toute  cette carabistouille,
C’est certain, tout au moins je l’escomptouille, il aimera mieux que du Marcel !

 

 

http://samedidefi.canalblog.com/archives/2021/03/20/38874851.html

20 mars 2021

Gargouille (JAK)

gargouille samedi

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13 mars 2021

Fortune (JAK)

 

Obeline depuis l’aurore  est d’attaque, mais ce n’est pas pour contempler le lever du soleil.

Non, elle est aux fourneaux, son emploi du temps rigoureux et chargé, l’y oblige. Elle doit  toujours trouver de nouvelles tambouilles, sinon ça rouspète dur autour d’elle

 Soixante  bouches à nourrir, elle doit   cogiter afin d’apporter du changement  à leur  subsistance. Mais son cœur de nullipare avec dévouement veille sur tous ces estomacs à remplir 

il faut dire qu’elle est cuisinière dans un internat  pour enfants déshérités, une   ribambelle de gamins que la vie n’a pas gâtés

Elle bosse dur, sans rechigner.

Ce n’est pas Léon, l’homme à tout faire, un fifrelin de la pire espèce qui ne pense qu’à courir le guilledou, qui peut lui donner un coup de mains. 

En douce pour se stimuler, elle lampe de temps à autre une lichette de rogomme

Cela lui réchauffe le coeur, et les membres.

Membres endoloris, engourdis par  l’arthrose.

Il lui semble alors être moins patraque

Son médecin lui a bien dit de ne pas forcer sur la dive bouteille, mais elle n’en a rien à faire, et évite de le rencontrer.

 Pourtant  , le mois dernier, elle a  bien dû  le voir  à  cause d’un sal virus, qui lui avait mis le tournis.

 

Bon, cela s’est passé au mieux  et  la voici de retour après 15 jours d’observation, qui a   repris sa besogne pour nourrir sa marmaille.

Ses galapiats qui ont  toujours bon appétit !

Mais ce matin, pour des raisons indéterminées, que même le psy du service ne pourrait analyser, elle en a  soudainement ras la casquette.

Elle a envie de crier Stop.

Dans sa petite cahute, de longue date, avec Jules le facteur, lui aussi arthrosique  ils ont pris l’habitude de faire la causette chaque jour,  juste avant le coup feu,

Il lui  évoque souvent sa prochaine retraite : il  réfléchit  à se retirer aux Caraïbes où il a un lointain cousin.

Il n’a rien d’un foutriquet  ce Jules, avec sa belle moustache gominée.

Obeline  s’octroie ces moments sans se désheurer.

 

Pendant qu’il pose le courrier, elle lui sert, un petit vulnéraire  alcoolisé, versé avec déférence  dans l’unique verre de cristal qu’elle a hérité d’une vieille tante, Itou, elle  s’en rempli  un douteux  gobelet  Durex. Et ils trinquent à leur santé respective,

Une sorte d’inclination a surgit en elle pour ce primesautier préretraité, et il lui semble que c’est réciproque

Et depuis qu’Obeline s’est remise de la corona elle voit tout différemment.

Aujourd’hui, pour Obeline, c’est décidé, toute honte bue, ce tantôt, elle va lui faire une proposition, à laquelle elle songe depuis peu:

 Elle projette lui offrir  toutes les économies de son escarcelle, et de partir avec lui !

Ce fin gourmet aurait une cuisinière indéfectible, c’est là son argument infaillible  

 Dans son rêve elle s’imagine dépaysée dans une thébaïde embaumée, se voit  décorant une hutte avec des hibiscus, et sur une  table en bois, avec seulement…. deux assiettes.

 

On  sonne à la porte, elle s’y  rend en courant ….

-Ah !

Une charmante blondinette est là, courrier à la main

 

-Jour M’dame, je suis la nouvelle préposée.

 

Je remplace Jules qui est parti la semaine dernière avec sa bourgeoise  aux Caraïbes.

 

Adieu vaches cochons couvées, il ne reste plus alors à la naïve

Obeline que de pleurnichailler dans son arrière-cuisine

 

2 janvier 2021

Participation de JAK

DEFI 644 1ER JANVIER 2021 DEFI DU SAMEDI

1 août 2020

Participation de JAK

 

Lorsque la  canicule  nous tient,

L’eau fraiche  nous procure un grand bien

Mais mille fois plus rafraichissant

L’hypocras  façon hibiscus  est glaçant

Alors,

profitez de mon humeur généreuse

céans,

je  vous exhibe cette recette mystérieuse.

 

j

 

Tout d’abord à la fontaine allez quérir 2 litres d'eau

Dans la réserve tisanière prenez 2 grosses poignées de fleurs d'hibiscus qu’antérieurement  vous aviez fait  sécher et stockées. (Vous pouvez les acheter en herboristerie) moins compliqué☺

A l’épicerie bio du coin,

Choisissez

- 2 citrons verts  que vous couperez en 4

&

-60 g de gingembre  que vous éplucherez et fractionnerez en petits morceaux.

 

Dans le sucrier en cristal, raflez 4 c. à s. de sucre de canne  en poudre

&

dans le placard à épices 5 ou 6 clous de girofle.

 

Un saut dans le jardin pour y cueillir 4 branches de menthe fraîche.

-si le soleil darde trop ses rayons prenez votre ombrelle, cela vous évitera une insolation-

 

Voici, vous avez en mains  vos ingrédients.

 

Alors aux fourneaux !

Mais sur plaque induction, cela ne fera pas monter la température de la cuisine !

vous  ferez alors  bouillir 1 litre d'eau, ajouterez les fleurs d’hibiscus, laisserez bouillonner doucement 10 minutes.

La vieille passoire de votre grand-mère servira à tout filtrer dans un pichet en terre

et  alors, vous ajouterez le deuxième litre d’eau,

Puis, le gingembre, le sucre, les clous de girofles et la menthe, les citrons.

Avec patience vous laisserez  refroidir et  réfrigérerez au moins 5 heures.

 

Alors avec amour décantez  ce breuvage,

 

Sans oublier, avant  de l’offrir de le  gouter et éventuellement ajouter du sucre

 

25 juillet 2020

Participation de JAK

Défi #621

18 avril 2020

Troène (JAK)

 

Dans mon jardin trône  un troène

Qui  vient  tout droit de Californie

Mais depuis peu , dans mon jardin, le troène s’ennuie et traine sa peine.

Car il ne voit plus trainer en chemin les petits

Les petits de l’école d’en face

Mais direz vous,  grand bien lui fasse

Son air n’est pas pollué ainsi

Et des atchoums il est garanti

Mais le troène ça l’agace

Car les petits de l’école d’en face

C’était  la vie  quoi ! ces ses- petits.

Et mon troène se fane et se défraichit,

il devient tout petit, tout flétri.

Et moi qui le regarde dépérir ainsi

Je me demande si tout sera un jour fini ?

 

14 mars 2020

Participation de JAK

 

O-rante O-désespoir !

 

« Agenouillez-vous tous les vilains de ce monde

Le sort en est jeté vous serez punis par la colère  divine . »

Me disait ma grand-mère âgée de 85 ans  , dans ses moments de grande foi.

 

Et aujourd’hui que je l’ai dépassé en âge, point question de mettre sur les genoux, l’arthrose est passé par là..

mais O-rante !  O désespoir !

Pire que, la colère divine   me voici confinée dans mon EHPAD.

Mes petits enfants profitent de l’occasion pour ne plus venir me voir

- la bonne excuse ! -

 

Les temps ont  bien changé.

La colère divine est devenue virus, de survie  il n'est dès lors  que la seule  obsession  !

 

Inclinons-nous, et espérons  sous ce ciel chargé d’ozone.

 

Nous avons maintenant tout notre temps pour surveiller nos rentes.

j

 

29 février 2020

Quand le mime osa (JAK)

 

Là, sur l’esplanade le mime  inlassablement mime les gestes des passants.

Je le regarde avec attention.

Il scrute mon regard, le mime, alors devin, y discerne

 mon sentiment.

Et lors au lieu  de m’imiter, il  a pris la parole

Et là ,sur l’esplanade,  devant la foule intriguée

le mime osa me dire : moi aussi je vous aime.

 

j

 

1 février 2020

Éclairement logique ( JAK)

j

25 janvier 2020

Saute-Mollusque (JAK)

DEFI 595 SAM DEFI

18 janvier 2020

Participation de JAK

j

j2

Photo  carte postale douaniers vue sur http://champ.delette.free.fr/douanes/valletd_006w.jpg

11 janvier 2020

Pruneaux pressants inconvenants (JAK)


Ma mémé aimait déguster les pruneaux crus ou cuits.

Avec ses mains arthrosiques elle nous confectionnait

de faramineux FARS.


C’était alors l’occasion pour elle 
D’ânonner très rapidement pour nous amuser :
« Pruneaux cuits-pruneaux crus » 
Cela la faisait bredouiller et rire comme
Des sacs de billes, nous les petits galopins.

 

 

Mon pépé, un poilu en avait 3 dans son omoplate.

 En hiver il souffrait de rhumatismes à cause de ceux-ci.

 On n’avait jamais pu les extraire.

 

Mon oncle, leur fils aîné les faisait tremper la nuit

  Pour ses besoins digestifs,

Il les engloutissait au petit matin, en trois coups de cuillère à pot

 

♫Et moi et moi♫

 

J’aime la prune d’Ente.

Et ne suis guère prudente pour en manger,

À jeun, jusqu’à satiété.

Et alors j’entre en farandole pour me rendre aux vatères.

Ce doit être une question d’hérédité.

j

Nota ma mémé♥ réussissait mieux ses Fars que moi mes aquarelles. ☺

Talent de cuisinière oblige

 

21 décembre 2019

Un choix douillet (JAK)

eveque sur son siege final pour sam'defi

14 décembre 2019

Qu’on se le dise ! (JAK)

 

Augustin le maire de Baldigny est dans tous ses états.

Depuis 20 ans qu’il est élu, jamais il n’a constaté telle chienlit dans sa bourgade.  

Chaque jour à son lot de suprise.

Dimanche dernier des protestataires se sont bousculés sur le ballodrome  de la place du marché, pour contrecarrer  le jeu de balle prévu a 11 heures. .

 Prétexte, certains riverains en ont assez des nuisances implantées juste devant chez eux, le dimanche seul jour où ils peuvent farnienter.

Augustin doit également biaiser devant la   revendication des nouveaux bordiers de l’église ancestrale, D’aucuns seraient gênés par le son du jaquemart à heures fixes qui décrètent   insupportable

Pis, à l’entour, un coq a été condamné pour nocuités décibelatrissimes : Chaque matin dès potron-minet, il annonçait le lever du jour.

Sans parler des vaches, à la périphérie du village,   qui ont été sommées d’ôter leur sonnaille car elles émettaient un son insoutenable pour des oreilles délicates, habituées au calfeutrage morbide des écouteurs

Augustin en a par-dessus la tête. Il     est entièrement affligé, au bord du burn-out.

Que faire ?

 

Ses administrés –hormis les récalcitrants- le soutiennent

Ils aiment leur village avec toutes ses composantes

Même l’odeur du fumier ne les rebute pas.

Lors, ras-le bol, dans le bistroquet du coin, réservé aux autochtones, une contre-jacquerie s’élance.

On décide derrière, une pinte de Chuche-Mourette que tout nouvel habitant devra montrer patte blanche avant de s’installer.

Prouver ses origines terriennes, son amour de la nature et surtout

présenter un certificat d’honnestre homme tolérant.

Tant pis pour la désertification, et  si le quota pour l’école, n’est plus atteint, des marmots, ils vont se mettre à en faire, dans la bonne ambiance générale, bien entre eux.

j

27 juillet 2019

Va savoir ! (JAK)

j

 

 

Elle avait un penchant pour le whisky

Il adorait gazouiller sous la pluie

Les passants indifférents passaient

Pendant qu’une intervieweuse s’pâmait

 

Cependant au loin on devinait

Un drame épouvantable   s’tramer

Un Route-Master à impériale,

Au tempo-rapidos accélérait,

Et soudainement déraillait !

Les fausses notes avaient dérouté Djak le wattman,

 Qui avait l’oreille absolue.

Et

L’homme au gants jaunes ne pût jamais à temps le stopper.

 

La « Général Compagnie » après tout ce train-train,

N’eut qu’à chèrement aligner, les £ de sa Majesté

 

Mais ce qu’il a de plus inexplicable

Ici,

C’est qu’aux Chorégies d'Orange

Les sons en tous sens volaient et

L’épouse de l’homme aux gants jaunes,

Sur son violoncelle jouait

Dans la 8 -ème symphonie de Mahler

 

 

Et l’astrophysique, l’abstraction des mathématiques et même la physique quantique, ne pourront jamais nous dévoiler pourquoi, des tas d’atomes

Entre eux s’remuent, communiquent et s’agitent,

 Sans qu’il y ait un sens précis à la vie.

 

19 janvier 2019

L’OURSON (JAK)


Maman OURSA a décidé d’aller faire un tour sur la montagne ce matin.
La neige fraichement tombée incite à l’excursion.

Nounours, son dernier né, est gai comme un pinson. Ce n’est pas aujourd ‘hui qu’il baillera aux corneilles, ou regardera Ted l’ourson à la télé, non il va gambader, découvrir, s’enivrer d’air frais et pur.
 
Il joue gambade, tournicote à droite à gauche, c’est si enivrant la neige.
Soudain, il se rend compte qu’il a perdu de vue sa maman.
Mais celle-ci, depuis la cime du raidillon, le surveille du coin de l’œil, campée droit sur ses pattes.
Nounours s’affole la cherche du regard, mais il ne voit pas plus loin que le bout de son nez.
Il grogne, s’affole et essaie d’escalader la pente neigeuse, perd l’équilibre, et recommence sans cesse vainement.

Mais voilà qu’OURSA s’ inquiète, elle marche d’avant en arrière, regarde anxieusement son petit qui peine, tout en levant les yeux vers un monstrueux oiseau de proie qui semble le guetter pour mieux l’appincher


Nounours arrive malgré tout à la fin de son ascension.
Voyant sa mère il court, se déhanchant sur ses quatre pattes, lorsque monstrueux oiseau de proie, qu’il n’entend pas- vole au-dessus de lui, très prêt .
OURSA le croit en danger.
Elle tente de donner un coup de patte à Nounours pour l’éloigner, mais cela entraine un roulé-boulé qui le fait chuter au bas de la côte.
Nounours à nouveau remonte la pente. Volontaire, il tient bon après plusieurs dérapages, et rejoint finalement sa mère.
Le monstrueux oiseau de proie s’éloigne et prend de la hauteur. Mais OURSA a eu bien peur.
Le monstrueux oiseau de proie était un Drone à l’affut d’images.

Bien sûr il est agréable de filmer ce qui n’est pas accessible.
Mais l’homme ne réfléchit pas toujours à la conséquence de sa curiosité malsaine, en dérangeant des animaux dans leur environnement paisible.


D’après un fait réel

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