Commentaires sur je fuis tes mots (par joye)
- C'est vrai que parfois les mots font mal et c'est pour cela qu'il faut les utiliser avec prudence, comme les couteaux! Méfions-nous des petites phrases assassines...
Qu'est-ce que j'ai dit de mal encore ?
J'ai juste chanté :
"Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie
Et l'aimer même si le temps est assassin
Et emporte avec lui les rires des enfants
Et les mistrals gagnants"
Et même, pour une fois, j'étais dans le ton ?
Bon week-end quand même, dear "Fragility Joye" !
J'ai juste chanté :
"Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie
Et l'aimer même si le temps est assassin
Et emporte avec lui les rires des enfants
Et les mistrals gagnants"
Et même, pour une fois, j'étais dans le ton ?

Bon week-end quand même, dear "Fragility Joye" !
- Je trouve cela vraiment curieux.
Quand je vois "tu" - et surtout dans un texte littéraire - je ne pense pas automatiquement que l'auteur s'adresse à moi. C'est comme entendre une conversation qu'il a avec quelqu'un d'autre.
Pareil pour "je" - c'est le narrateur, pas forcément l'auteur d'un texte.
Bizarre, bizarre, bizarre.
- Oh Walrus, si tu savais ! J'avais pensé à massacrer mon exemplaire de "Du côté de chez Swann" avec des ciseaux, rien que pour toi. Et puis je me disais que ce serait difficile d'en avoir un autre....et celui-ci contient toutes mes notes du cours de littérature. Alors, me suis contenté de ce que j'ai pu produire sans mettre ton Proust à la Question.
- Merci beaucoup, Prudence.
Dis, auras-tu trouvé un moment pour enregistrer ton texte ? J'aimerais beaucoup l'entendre. (hint, hint)
(oui, je me répète, mais je sais que tu as une vie ailleurs, donc, si tu ne peux pas ou si tu ne veux pas, c'est comme ça et merci quand même pour ta belle musique qui s'écoute même sans être enregistrée)
Puisque je ne veux pas t'embêter, je ne demanderai plus, promis.
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