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Le défi du samedi
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6 février 2021

Abalone (L'homme parenthèse)

 

1ère partie

A écouter avec Peter Dallas (Discoball)
A lire avec un poisson à bulle euh une boisson à bulle
Genre Truc qui pique (comme une lance), qui tord le dedans (comme le hara-kiri chatouille l'intestin) et écarquille les Yeux (comme les poissons d'étalages lorgnent les glaçons)

2ème partie Loma (Thorn)

Je ne connais pas le nom de cette émotion quand on à envie de crier et de pleurer en même temps

Le S de mon ordinateur commence à défaillir
Il disparait
ZUT (j'étais pas (l)à L.A. semaine dernière)

S qui ne répond plus que par la Force
NOIR sur BLANC touss boucan
Bruit de respiration dans la main (à essayer)

Tss tss tss
Serpent à Hocquet

S somme oui j'ai bien dit somme de mon impossibilité d'être singulier
Affaire à suivre

Mille et une image
Voyez vous la créature humaine tombé du dernier bateau (par mégarde ou par manque de miséricorde de qui vous voudrez) et qui au gré de la vitesse va disparaitre dans l'immense idée

Homme qui shouine sans larmes

Je Suis, sans les s c'est Ouïe
Dans la mer il existe un espace particulièrement fini (contrairement aux restes infinies)
Un jour je suis revenue là où tout à commençé (par magie, par accident, par une porte secrette)
Dans le ventre de ma mère pour ceux qui ne suivrait pas (avant qu'elle ne tire la chasse et après la levrette)
Pour moi c'était pakbot à voir, à sentir cette émotion immergée, ces premières inquiétudes lianesques des lors partagée
Le radeau de la méduse me réchauffe les mains comme mon bain d'huile les pieds

3 ème partie (libre, il vous suffit de vous connecter sur FIP nouveauté)


Il existe une perle en chacun de nous

Je suis un cousin germain de l'huitre
Et tu n'es pas près de la voir ma pépite
La clé est cassé, je n'ai pas le double, prête moi ta plume

SS putain merde ça remarche
Con de Klavier
J'ai pas de Ku

Je suis le Mollsuque de ma Vie
Moudu, bolduque, molukse, sucmolle, moule-frite 9euro 50 dernière sommation
Adjugé
Triple smile
Envoi double compte quinte
Multiball en King size
Tilt Titi et Tigrou sont sur un bateau
Qui m'aime meuh boule de suife
Anchois moi au ciel
Bi good

Mouchoir en papier
J'essuie l'haliotide qui me coule du nez

Final Peur Bleu (Rivage)

Rien là je ne dis rien j'écoute j'accquiesse je ne pense pas à ces gamins que je croise depuis peu et dont j'ai entendu parler de problèmes de scarification que je vois de mes propres yeux incapables eux de lever les leur de parler de se tenir de s'ouvrir alor quoi bon Dieu L'abalone c'est rien qu'un joli mot un foutu rêve imposible à ouvrir pied de biche coup de coudes GNAP laiden de nacre BOOMe TeNuT AimeTaMère l'asticot
Le pèr(l)e (se la joue) rare
La mère qui sur la tombe du kiki pleure encore son petit sac noir sans merde à la main

Bonsoir,

L'homme parenthaise (vendredi 23H03)
Et qui vous l'aurait deviner avant de perdre le S avait déjà perdu le POINT

Relecture 23H13

Envoi 23H23
 

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6 février 2021

Caché dans ta coquille (petitmoulin)


Ab petit Ab
À quoi penses-tu
caché dans ta coquille
blotti à l'intérieur de toi
sous ton habit
de grise lune
À quoi penses-tu
accroché à ton rocher
de solitude
vagues à l'âme
portées par les caprices
du vent
As-tu peur de l'orage
As-tu peur de la nuit
Ab petit Ab
À quoi penses-tu

marée haute marée basse

Ab (is) alone
dans l'océan
de notre insuffisance
à déchiffrer
ses silences
 


6 février 2021

Alors quoi ? (Yvanne)

 

Abalone ! Abalone ! Est-ce que j'ai une gueule d'abalene ?  dit la baleine.

 

y2

 

 

6 février 2021

ABALONES CHERIES (TOKYO)

 

v1

 

Poules mouillées au menu des restos ce matin confinement oblige.

 Du coup j’ai dû renoncer à mes abalones chéris.

 Mon envie d’amour augmente j’ai été testée positive à la courbe du blues.

 En cas d’aggravation des symptômes faites le numéro du site de rencontre

   ‘un de perdu dix de retrouvé .><

 On m’avait promis la fiole aventure.

 Je mène une véritable guerre à la dépression qui vient.

, La demande parait il est trop forte les pécheurs sont en rupture de stocks, faute d’abalones

 Le covid passe les abalones ne repoussent pas .

 Sur le site de rencontre/ nibe .

Aucune offre alléchante

 Des toréador sans haciendas.

Balle au centre je change de site.

 Le site’ la peau des fesses ‘ a été racheté par Bolloré ça pue l’arnaque.

 Je tente ma chance alors sur abalone .com

  Un site canadien bucherons à volonté.

 Les offres sont stupéfiantes

 On dirait un tunnel pavés d’or qui mène jusqu’au Qatar .

 Au-dessus du panier pourtant un certain David H ;

 L’affaire est emballée en dix minutes.

Et voilà in petto que je me dis

 On va nous tester tous deux positifs à l’amour.

Maillots chamarrés et yacht en été, certes sans villa aux Hampton –

 Nous marchons tous les deux sur les bords de la méditerranée

 On a acheté un smic d’abalones on en a jusqu’à la fin du confinement en 2025

 

6 février 2021

La mer n'est plus...(maryline18)

 

m18

 

Je me souviens de ses éclaboussures rieuses quand elle me poursuivait. Sa mousse lactescente se répendait sur mon infortune et alors, il faisait beau, si beau !

Patiente, elle me surveillait de ses mille yeux pétillants d'amour. Je me souviens de ses coups de langue qui m'aidaient à me relever, toute fière d'avoir cet bel équilibre... Elle se montrait aussi attentive à moi qu'une lionne aurait pu l'être avec ses lionceaux. Ses vagues me lavaient l'âme de toutes ces couches d'incompréhension qui recouvraient ma confiance, jusqu'à l'asphyxier. Elle devait être complice avec le soleil pour travailler à un programme urgent de desquamation accélérée !

Protectrice, elle m'entourait de ses grondements, au combien nécessaires ! En effet, il aurait suffit d'un seul de ces : "t'es pas cap !" de mon frère, pour que devant ses yeux d'éberlué, je porte des bateaux et leur équipage à bout de bras, que je touche le ciel juste en allongeant les doigts, que je cours sur l'eau jusqu'à toucher l'horizon, ou encore que je me laisse flotter jusqu'en Angleterre afin d'y déguster quelques abalones.

La retrouver me mettait le coeur en fête ! Moi aussi je lui manquais, je le sais parce que dès mon arrivée, à peine mon maillot de bain enfilé, elle me tendait les bras et m'embrassait si goulûment que le sel de ses baisers m'assaisonnait la peau jusqu'à me redonner l'appétit à la vie... Elle m'accueillait comme une de ses grand-mères idéales qu'ont toujours les enfants dans les contes et elle me berçait, longtemps, doucement. Ainsi réinvestie, à chaque belle saison, par une insouciance lumineuse et heureuse, mon petit corps se laissait balotter des heures pendant que mon coeur chavirait en de merveilleux nauvrages.

Parfois, fatiguée de nos jeux, je m'alongeais près d'elle, sur la grande serviette. Je fermais les yeux et elle me racontait ses histoires de mer...J'aimais son intonation apaisante. Oh, bien sûr, c'était toujours les mêmes récits qu'elle me déroulait alors, espiègle, je n'attendais jamais leurs fins pour les lui faire ravaler à grands seaux d'eau et je riais, je riais, de tout mon bonheur !

Non, la mer n'est plus...

 

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