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Le défi du samedi
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9 janvier 2016

Défi #385

Etrange disparition

Disparition

Pour satisfaire notre curiosité

faites nous connaître vos explications éclairées

à samedidefi@gmail.com

Merci à vous !

A tout bientôt !

 

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9 janvier 2016

Ont suivi le rythme

9 janvier 2016

Participation de Venise


Quand le JAAAAZZ EST
Quand le JAAAZ est là !!!

OK OK   !!! c’est un sans faute Avec ce rythme tu va prendre l’ascenseur social !

Et dis à tes congénères que tu ne passeras pas inaperçue .
Quant à moi je vais de faire franchir les ruisseaux frais qui coulent au fond des vallées intimes du succès .

Néanmoins il y avait un je ne sais quoi dans cet enthousiasme qui semblait déplacé après ma piètre interprétation.

Le rythme , le rythme ce mot me dérangeait .
Mon cœur était traversé d ‘une course  folle , un sanglot se traça un chemin jusqu’à ma gorge et je me suis mise à danser barracuda de cloclo!!!

Je suis dans ta vie , je suis dans tes bras !!! J’ai plus d’appétit qu’un barracuda !!

Mon cœur sortait de ma poitrine et lui criait vas y tous ensemble on est avec toi .

T’es qu’un foutu menteur , je n’ai aucun rythme je chante faux et je me suis levée pour foncer sur mon père qui était au piano .
Tu m’a s déjà fait le coup avec le patin à glace tu voulais faire de moi une étoile !!

Tu as du talent , pas un talent phénoménal dit mon frère qui passait par là
Tu sais peu de gens savent ces choses là !!
Et en léchant les bon culs tu peux faire une carrière .
C’est là qu’il a pris la tarte aux fraises de maman en pleine gueule.
Le voilà mon rythme frérot .

ve01



J’ai 93 ans ce soir et cette soirée mémorable je m’en souviens encore , mais ce soir mon rythme cardiaque me joue des tours il se pourrait que cela soit le dernier spectacle que je donne bonne année .

9 janvier 2016

Et passe le temps par bongopinot

bo01

 

Mes pas effleurent le sol

Petits pas petit rythme

Si tendre et si calme

Je saute et m'envole

 

Au loin une symphonie

Se faufile dans le vent

Sur le boulevard du temps

Je souffle mes bougies

 

Il court à la vitesse du son

Laissant sur moi de belles traces

Entre poésie et silence

Et tournent les saisons

 

Il tape et donne la mesure

Sur un champ de partitions

je suis ma composition

Qui m'emmène vers mon futur

 

Des odeurs d’hier

Des moments de pourquoi

Des épisodes de joies

Des tableaux de lumière

 

Une course contre la montre

Que l’on ne peut remonter

Avance, à rythme régulier

Pour nous faire ... disparaitre

 

9 janvier 2016

Alors on danse (Laura)

Qui dit que le temps est pourri
Et qu’il n’y a plus de saisons
Alors on se tait et on sourit
Alors on danse sous la pluie !
 
Qui dit que les Bleus sont des zéros
Sans avoir jamais couru après un ballon
Alors on chante « La Marseillaise » à fond
Et on danse sur « We are the champions »
 
Qui dit que les politiques sont des salauds
Sans avoir jamais voté une seule fois
Alors on serre les fesses et on danse
En attendant que ça passe
 
Qui dit que la poésie ne marche plus
Sans jamais acheter livre ou revue
Alors on serre les dents et on écrit
En chantant très fort avec Nagui
 
Qui dit que tu bouquines sans cesse
Avec un air un peu méprisant
Alors on chante en lisant
Et on danse dans la bibliothèque
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9 janvier 2016

Piqure de rappel (Vegas sur sarthe)



Le rythme est affaire d'outils et si l'on n'a pas les bons instruments, le rythme n'y est pas.
Certains disent avoir le rythme dans la peau; je ne pense pas que ce soit le meilleur endroit, à moins d'avoir une peau de timbale ou de conga.
Alors pour ceux qui auraient manqué mon cours de percussions du 5 mars 2011, voici à nouveau un extrait de mon lexique: La percussion pour les Nuls


Congas: De la famille des fûts elles se reproduisent dans les caves et vont du supertumbas au quinto en passant par le fameux ricardo qu'on sert toujours bien frais.


Claves: Grosses clavettes utilisées pour jouer la clave et tenues fermement en main contrairement aux chevillettes qui choient ou qui cherront. (Voir Chaperon Rouge)


Cymbales: Eléments de la batterie dite de cuisine encore appelés couvercles, elles permettent de jouer comme une casserole.
La cymbale porte le nom charmant de charleston lorsqu'elle est agitée par une pédale.


Mailloche: Dès 1930, celle de Lionel Hampton vibra tôt. (Voir vibraphone)
Elle est utilisée pour battre le rythme et accessoirement les jaunes d'oeuf additionnés de moutarde, d'où l'expression "Passe-moi la mailloche"


Maracas: Quenouilles que l'on secoue comme des idiophones pour en prendre de la graine. Tenues à l'envers, elles perdent leurs graines et portent alors le nom de sacaram.


Tam-tam: Son répété produit par l'écho d'un vieux gong qui fait Tam.
Le vieux gong qui fait Pouet produit également des Pouet-pouet appelés claque-son.


Timbale: Chaudron à déconfiture utilisé avec bonheur par Mahler dans sa 3ème symphonie et aujourd'hui très recherché pour son cuivre.
Proche de la cymbale par le nom et aussi par la pédale qui lui tire la peau.
La timbale possède sa tessiture comme le chaudron sa confiture.


Triangle: Originaire des Bermudes où il fut théorémé par Pythagore, c'est le plus petit idiophone de l'orchestre et aussi la terreur des potaches.
Pythagore est aussi l'inventeur de la corde tendue ou hypoténuse qui fait partie des cordophones et non pas des percussions.


Vibraphone: xylophone dont le xyloto est remplacé par un vibrato. On dit très justement que dès 1930 Lionel Hampton vibra tôt.


Xylophone: vibraphone dont le vibrato est remplacé par un xyloto.
Très populaire dans les bals où il porte le nom de balafon ou baladonf.

9 janvier 2016

Rythmes (Emma)

9 janvier 2016

Rythmes (Marco Québec)


Printemps, été, automne, hiver
Rythment mon année
Vêtements d’hiver
Pour me protéger
Vêtements d’été
Quitte à en rajouter
Pneus d’hiver
Pneus d’été
Sports d’hiver
Ski, patin et raquette
Sports d’été
Baignade, kayak et bicyclette

Les repas
Rythment ma journée
Déjeuner
Pris avec avidité
Dîner
Que je vais souvent sauter
En raison de mon heure de lever
Souper
Généralement partagé
Sans oublier les collations
Qui arrondissent mon bedon

Ombre et lumière
Rythment mon âme
Les jours de joie
Ma vie près de toi
Les heures de peine
Les heures de haine
Le temps de la fierté
Le temps de la mocheté
La vie à genoux
Et la vie debout

Naissances, maladies et décès
Rythment la vie
La mienne
Et celle des gens que j’aime
Naissance de jumeaux
Maladies chroniques
On diagnostique
Un cancer des os
Et le voilà passé
De l’autre côté

Engagements choisis
Amours et amis
Défi du samedi
Rythment ma semaine
Un rythme que  j’aime
Vous l’avez compris

9 janvier 2016

Brrr (Rêves de plume)

 

Et une, et deux, et ...
Pirouette vent d'hiver
Je cherche mes gants

 

9 janvier 2016

LES RYTHMES (Alain André)

 

Un jour, il y a longtemps, dans un pays tout neuf aux mœurs brutaux et esclavagistes,  les nègres magnifiques imaginèrent  le Jazz ! Issu du mariage entre la symphonie des dieux et les tams-tams de l’Afrique! Issu des rythmes des labeurs  enchainés, gueulant le désir de vivre libre, marchant en chœur sur le chemin du ciel, martelant  la douleur et le désespoir, la foi et l’espoir, et le bonheur aussi, celui de vivre, d’être unis dans la même vibration,  de croire et de vouloir, sûrs, au fond d’eux mêmes que viendraient des jours meilleurs .

Gospels.( God spell, interpellant Dieu  en chœur), sublimes et émouvant mon âme jusqu’au trognon, fouillant mes certitudes, balayant mes doutes, m’emplissant d’une joie frisant l’orgasme,  et moi, comme un con, pleurant d’émoi, basculant dans le vide, oscillant au rythme des mains noires.    

Puis des  mains  d’or désargentées, s’usèrent sur des guitares de fortune  pour donner le jour à des rythmes mélancoliques : Blues des hommes libres mais méprisés, rejetés, pauvres. Des blancs inspirés en firent leur musique : Rythm and blues, berce et roule, populaire et folk.

 Des mots jetés au cœur d’accords unis aux battements des cœurs.  Nos oreilles sont leurs héritières, nous avons reçu la richesse de ces sons, nous les nantis, heureux et insouciants, nous en fîmes notre bagage luxueux, et nos cœurs battent à l’unisson de leurs rythmes qui riment aujourd’hui avec frisson, joie, danse, sens.

 

9 janvier 2016

Entrez dans la danse (Clémence)

Elle avait annoncé sa venue tout en douceur. Des frissons, des frémissements, un engourdissement, des grondements, des déchirements et puis tout à coup, une sérénité absolue. Comme en apesanteur. La musique atonales des longues conversations était un bercement paisible, bien que certaines inquiétudes crissaient déjà de leur bémol. Les jours avaient laissé leur place aux semaines, celles-ci s'empressèrent de céder le pas aux mois.

 

Une nuit, l'orage se déchaîna. Arrachements, étouffements et douleurs. Un éclair, un cri.

De longues arabesques bleutées, elle est là, toute menue. C'est le printemps, le printemps du monde, le printemps de sa vie.

 

Mais déjà, elle danse, de bras en bras. Elle danse de ses premiers pas, elle danse de ses premières courses. Elle danse et les autres entrent dans sa danse.

C'est le temps de l'insouciance, c'est le premier temps de sa vie, celui où elle est le centre du monde.

 

Danser puis courir. Sauter à pieds joints dans la cour de récréation. La ronde des comptines et des crayons de couleurs. Les arcs-en-ciel d'aquarelle, les soleils oranges et les lunes bleues.

La course arrive, au galop pour les garçons, en rondes pour les filles. Les ballons de foot et la balle au chasseur.

Les sucres d'orge et les berlingots pointus.

Les premières promesses. Les premières déclarations, les premières déceptions. Les premiers toujours, le premiers jamais.

 

Danser, courir, puis se mesurer !

Les superlatifs, les absolus, les extrêmes. Les défis, les paris.

La tête plus haute que les étoiles, la tête remplie de tous les possibles.

Oui, elle rendra le monde meilleur. Certes, elle ne reproduira pas les mêmes erreurs.

Elle n'est plus le centre du monde, elle est le monde.

La toile est son univers.

 

Elle a des millions d'amis, mais elle se sent si seule. Avec les factures, les premières fractures.

Un bout de rêve s’effiloche, un pan de vie s'effondre.

Retour à la vraie vie.

Pas celle du bonheur absolu, mais celle des petits bonheurs et des petites joies qui se succèdent.

Pas celle du malheur absolu, mais celle des petites peines, des petites douleurs qui s'amassent dangereusement.

Fragile équilibre a reconquérir chaque matin, à consolider chaque soir.

 

Telle une horloge géante, Chronos devient chronophage, dévorant tout sur son passage.

Les il faut remplacent les j'aimerais. Les tu dois remplacent je choisis.

Les impératifs commandent au présent sous la menace d'un futur cataclysmique.

Danser sur un fil.

Courir dans son couloir,

Toujours plus vite.

Le temps aux trousses !

 

Quel rythme d'enfermement. Trouvera-t-elle la faille ? La toute petite faille par laquelle elle glissera, une main, une pointe de pieds, un bras en arabesque.

 

Retrouver les volutes bleues de la lenteur.

9 janvier 2016

Un grand classique (MAP)

Visser des boulons ...

surtout garder le rythme

visser des boutons !!!!!

..................

Visser tout ce qui se présente !!!!!

*

A quel film cela vous fait-il penser ?

A quel acteur ?

Facile n'est-ce pas !

Un petit extrait rien que pour vous !

9 janvier 2016

Participation de Nhand

LA RETRAITE

 

 

Quand la limace prend son temps
Pour défigurer sa laitue
Dont les jupons verts froufroutants
Font traîner aussi la tortue,

Je cours,
Au long de la sainte journée,
Je cours,
Année après année...

Quand un bateau va doucement
Sur le bleu de la mer étale
Qui s'étend paresseusement
Dans sa splendeur horizontale,

Je cours,
Dès que s'illumine l'aurore,
Je cours,
D'abord, et puis encore...

Quand j'en aurai vraiment assez
De foncer à toute berzingue
Derrière mes dossiers pressés,
J'abandonnerai ce bastringue,

Mais toi,
Seras-tu là, dans le virage,
Dis-moi,
Ou n'es-tu qu'un mirage ?

 

 

LOGO NH-PF

9 janvier 2016

Laughing in rythm (Walrus)

Quand MAP a parlé rythme, comme je ne suis ni enseignant ni élève, je n'ai pas pensé "rythmes scolaires", un sujet qui, vu d'ici, semble passionner la France entière. Je n'ai même pas non plus imaginé qu'elle nous demande de pondre des bouts rimés rythmés.

Non, en ex-grand-amateur de la chose, j'ai immédiatement pensé "Jazz" et singulièrement à un morceau de Slim Gaillard et Slam Stewart intitulé comme ce billet. Je l'ai retrouvé sur Youtube mais je ne l'ai pas trouvé très convaincant, comme quoi les souvenirs sont parfois trompeurs.

J'ai par contre retrouvé les mêmes gaillards (si j'ose dire) participant à une scène forcément endiablée puisque tirée de Hellzapoppin' (ce qui signifie quelque chose comme "ça pète en enfer" ou "ça pète d'enfer").

Et ne me dites pas que ça manque de rythme !

 

9 janvier 2016

Participation de Fairywen

Liberté

Chad eut juste le temps de s’écarter lorsque la lourde porte s’ouvrit. Ou plus exactement, claqua violemment contre le mur et se brisa en deux. Le jeune homme aperçut vaguement une silhouette masculine de haute taille passer devant lui avant que des éclairs rouges et or ne se mettent à fuser sur un rythme infernal. Instinctivement, il se plaça devant Taanit pour la protéger de l’espèce de démon qui détruisait tout autour de lui et qui se tourna vers eux dès qu’il ne resta plus un seul être vivant autre qu’eux trois et la panthère. Les muscles tendus, prêt à défendre sa compagne au péril de sa vie, il n’entendit que vaguement les paroles de la jeune fille.

— Nous n’avons rien à craindre, c’est mon frère.

Chad ne bougea pas, fixant toujours celui qui s’approchait d’eux. À présent qu’il ne déchaînait plus ses sortilèges, il reconnut en lui un être humain et non un démon. Ils avaient sensiblement le même âge, et sa ressemblance avec Taanit était indéniable. Pourtant, s’il se détendit légèrement, Chad ne se décidait pas pour autant à s’écarter, ce qui parut beaucoup amuser l’arrivant.

— Je vois que ma sœur s’est trouvé un chevalier servant digne de ce nom. Mais rassure-toi, je n’ai pas l’intention de vous faire du mal, ni à toi ni surtout à elle.

— Tu m’excuseras, mais ta démonstration d’il y a cinq minutes ne plaide pas en ta faveur.

— Disons que j’étais un rien en colère.

Chad remarqua alors que la captivité avait laissé des traces sur le corps de son interlocuteur, qui avait plus que visiblement souffert de sa détention. Il finit par céder à l’injonction de Taanit et s’écarta, laissant enfin la jeune fille sauter dans les bras de son frère, qui la serra tendrement contre lui.

— Merci, petite sœur. Je savais que tu réussirais.

— Jamais je ne t’aurais abandonné. Tu vas pouvoir retrouver ta place, maintenant.

— Oui, et j’ai dans l’idée que des têtes vont tomber très bientôt. Mais avant…

Il refit face à Chad.

— Si j’ai bien compris, je te dois des remerciements à toi aussi.

— Ravi d’avoir rendu service.

— À moi ou à ma sœur ?

Une lueur malicieuse brillait dans les yeux de l’ancien captif. Chad eut une grimace faussement contrite.

— Disons que Taanit n’est pas quelqu’un à qui on peut dire non.

— Oh, crois-moi, ça, je le sais…

— Ce qui veut dire, grand frère… ? intervint une voix dangereusement calme.

— Mais rien du tout, petite sœur, rien du tout…

Le roi se tourna brusquement vers Chad.

— Que penserais-tu de rester dans notre monde ? Comme conseiller royal, par exemple ?

— Moi, un conseiller royal ?

— Peut-être que si vous êtes deux, on arrivera à faire quelque chose de ce royaume… les coupa la voix devenue moqueuse.

— Tu comprends mon problème ? soupira ostensiblement le roi, entrant dans le jeu de la fausse dispute mille fois répétée.

— Oui, je comprends, sourit Chad, pas dupe pour deux ronds.

Il se perdit dans les prunelles émeraude qui le regardaient avec amusement avant d’ajouter.

— Je comprends et je suis tout disposé à te soutenir…

9 janvier 2016

St-Copé (par joye)

cha cha cha2

2 janvier 2016

Défi #384

Quel rythme !!!!!

 

Quel rythme

Nous attendons avec grand plaisir

vos participations rythmées 

 

Rythme

à samedidefi@gmail.com

 

A tout bientôt et

Très belle nouvelle année

à toutes et à tous !

 

Feu d'artfifice

 

 

 

2 janvier 2016

Ont marché le nez dans les étoiles

2 janvier 2016

Mais d'ou viennent les étoiles filantes ? (MAP)

Mais d'ou viennent les étoiles filantes

2 janvier 2016

Bonne année par bongopinot

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Des lampions, des guirlandes

Sur les arbres en fêtes

En habit de lumière,

Dans leurs belles toilettes

 

Pour une nouvelle année

En gaité pour nous armer

En tendresse pour tout calmer

En respect pour l’amitié

 

Des couleurs qui scintillent

Des corps qui bougent

Des enfants qui s’amusent

Des arbres qui dansent

 

En famille ou entre amis

Sous un ciel étoilé et joli

Cotillons et douce folie

Réveillon et confettis

 

De mon petit coin de Caen

Je vous souhaite chers défiants

Santé, bonheur, moments souriants

Au soleil, sous la pluie, la neige ou le vent

 

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