Défi #385
Etrange disparition
Pour satisfaire notre curiosité
faites nous connaître vos explications éclairées
Merci à vous !
A tout bientôt !
Etrange disparition
Pour satisfaire notre curiosité
faites nous connaître vos explications éclairées
Merci à vous !
A tout bientôt !
Laura ; Walrus ; Vegas sur sarthe ; Fairywen ; Emma ;
Marco Québec ; Rêves de plume ; Alain André ;
Venise ; Clémence ; bongopinot ; joye ; MAP ; Nhand ;
Quand le JAAAAZZ EST
Quand le JAAAZ est là !!!
OK OK !!! c’est un sans faute Avec ce rythme tu va prendre l’ascenseur social !
Et dis à tes congénères que tu ne passeras pas inaperçue .
Quant à moi je vais de faire franchir les ruisseaux frais qui coulent au fond des vallées intimes du succès .
Néanmoins il y avait un je ne sais quoi dans cet enthousiasme qui semblait déplacé après ma piètre interprétation.
Le rythme , le rythme ce mot me dérangeait .
Mon cœur était traversé d ‘une course folle , un sanglot se traça un chemin jusqu’à ma gorge et je me suis mise à danser barracuda de cloclo!!!
Je suis dans ta vie , je suis dans tes bras !!! J’ai plus d’appétit qu’un barracuda !!
Mon cœur sortait de ma poitrine et lui criait vas y tous ensemble on est avec toi .
T’es qu’un foutu menteur , je n’ai aucun rythme je chante faux et je me suis levée pour foncer sur mon père qui était au piano .
Tu m’a s déjà fait le coup avec le patin à glace tu voulais faire de moi une étoile !!
Tu as du talent , pas un talent phénoménal dit mon frère qui passait par là
Tu sais peu de gens savent ces choses là !!
Et en léchant les bon culs tu peux faire une carrière .
C’est là qu’il a pris la tarte aux fraises de maman en pleine gueule.
Le voilà mon rythme frérot .
J’ai 93 ans ce soir et cette soirée mémorable je m’en souviens encore , mais ce soir mon rythme cardiaque me joue des tours il se pourrait que cela soit le dernier spectacle que je donne bonne année .
Mes pas effleurent le sol
Petits pas petit rythme
Si tendre et si calme
Je saute et m'envole
Au loin une symphonie
Se faufile dans le vent
Sur le boulevard du temps
Je souffle mes bougies
Il court à la vitesse du son
Laissant sur moi de belles traces
Entre poésie et silence
Et tournent les saisons
Il tape et donne la mesure
Sur un champ de partitions
je suis ma composition
Qui m'emmène vers mon futur
Des odeurs d’hier
Des moments de pourquoi
Des épisodes de joies
Des tableaux de lumière
Une course contre la montre
Que l’on ne peut remonter
Avance, à rythme régulier
Pour nous faire ... disparaitre
Le rythme est affaire d'outils et si l'on n'a pas les bons instruments, le rythme n'y est pas.
Certains disent avoir le rythme dans la peau; je ne pense pas que ce soit le meilleur endroit, à moins d'avoir une peau de timbale ou de conga.
Alors pour ceux qui auraient manqué mon cours de percussions du 5 mars 2011, voici à nouveau un extrait de mon lexique: La percussion pour les Nuls
Congas: De la famille des fûts elles se reproduisent dans les caves et vont du supertumbas au quinto en passant par le fameux ricardo qu'on sert toujours bien frais.
Claves: Grosses clavettes utilisées pour jouer la clave et tenues fermement en main contrairement aux chevillettes qui choient ou qui cherront. (Voir Chaperon Rouge)
Cymbales: Eléments de la batterie dite de cuisine encore appelés couvercles, elles permettent de jouer comme une casserole.
La cymbale porte le nom charmant de charleston lorsqu'elle est agitée par une pédale.
Mailloche: Dès 1930, celle de Lionel Hampton vibra tôt. (Voir vibraphone)
Elle est utilisée pour battre le rythme et accessoirement les jaunes d'oeuf additionnés de moutarde, d'où l'expression "Passe-moi la mailloche"
Maracas: Quenouilles que l'on secoue comme des idiophones pour en prendre de la graine. Tenues à l'envers, elles perdent leurs graines et portent alors le nom de sacaram.
Tam-tam: Son répété produit par l'écho d'un vieux gong qui fait Tam.
Le vieux gong qui fait Pouet produit également des Pouet-pouet appelés claque-son.
Timbale: Chaudron à déconfiture utilisé avec bonheur par Mahler dans sa 3ème symphonie et aujourd'hui très recherché pour son cuivre.
Proche de la cymbale par le nom et aussi par la pédale qui lui tire la peau.
La timbale possède sa tessiture comme le chaudron sa confiture.
Triangle: Originaire des Bermudes où il fut théorémé par Pythagore, c'est le plus petit idiophone de l'orchestre et aussi la terreur des potaches.
Pythagore est aussi l'inventeur de la corde tendue ou hypoténuse qui fait partie des cordophones et non pas des percussions.
Vibraphone: xylophone dont le xyloto est remplacé par un vibrato. On dit très justement que dès 1930 Lionel Hampton vibra tôt.
Xylophone: vibraphone dont le vibrato est remplacé par un xyloto.
Très populaire dans les bals où il porte le nom de balafon ou baladonf.
Printemps, été, automne, hiver
Rythment mon année
Vêtements d’hiver
Pour me protéger
Vêtements d’été
Quitte à en rajouter
Pneus d’hiver
Pneus d’été
Sports d’hiver
Ski, patin et raquette
Sports d’été
Baignade, kayak et bicyclette
Les repas
Rythment ma journée
Déjeuner
Pris avec avidité
Dîner
Que je vais souvent sauter
En raison de mon heure de lever
Souper
Généralement partagé
Sans oublier les collations
Qui arrondissent mon bedon
Ombre et lumière
Rythment mon âme
Les jours de joie
Ma vie près de toi
Les heures de peine
Les heures de haine
Le temps de la fierté
Le temps de la mocheté
La vie à genoux
Et la vie debout
Naissances, maladies et décès
Rythment la vie
La mienne
Et celle des gens que j’aime
Naissance de jumeaux
Maladies chroniques
On diagnostique
Un cancer des os
Et le voilà passé
De l’autre côté
Engagements choisis
Amours et amis
Défi du samedi
Rythment ma semaine
Un rythme que j’aime
Vous l’avez compris
Et une, et deux, et ...
Pirouette vent d'hiver
Je cherche mes gants
Un jour, il y a longtemps, dans un pays tout neuf aux mœurs brutaux et esclavagistes, les nègres magnifiques imaginèrent le Jazz ! Issu du mariage entre la symphonie des dieux et les tams-tams de l’Afrique! Issu des rythmes des labeurs enchainés, gueulant le désir de vivre libre, marchant en chœur sur le chemin du ciel, martelant la douleur et le désespoir, la foi et l’espoir, et le bonheur aussi, celui de vivre, d’être unis dans la même vibration, de croire et de vouloir, sûrs, au fond d’eux mêmes que viendraient des jours meilleurs .
Gospels.( God spell, interpellant Dieu en chœur), sublimes et émouvant mon âme jusqu’au trognon, fouillant mes certitudes, balayant mes doutes, m’emplissant d’une joie frisant l’orgasme, et moi, comme un con, pleurant d’émoi, basculant dans le vide, oscillant au rythme des mains noires.
Puis des mains d’or désargentées, s’usèrent sur des guitares de fortune pour donner le jour à des rythmes mélancoliques : Blues des hommes libres mais méprisés, rejetés, pauvres. Des blancs inspirés en firent leur musique : Rythm and blues, berce et roule, populaire et folk.
Des mots jetés au cœur d’accords unis aux battements des cœurs. Nos oreilles sont leurs héritières, nous avons reçu la richesse de ces sons, nous les nantis, heureux et insouciants, nous en fîmes notre bagage luxueux, et nos cœurs battent à l’unisson de leurs rythmes qui riment aujourd’hui avec frisson, joie, danse, sens.
Elle avait annoncé sa venue tout en douceur. Des frissons, des frémissements, un engourdissement, des grondements, des déchirements et puis tout à coup, une sérénité absolue. Comme en apesanteur. La musique atonales des longues conversations était un bercement paisible, bien que certaines inquiétudes crissaient déjà de leur bémol. Les jours avaient laissé leur place aux semaines, celles-ci s'empressèrent de céder le pas aux mois.
Une nuit, l'orage se déchaîna. Arrachements, étouffements et douleurs. Un éclair, un cri.
De longues arabesques bleutées, elle est là, toute menue. C'est le printemps, le printemps du monde, le printemps de sa vie.
Mais déjà, elle danse, de bras en bras. Elle danse de ses premiers pas, elle danse de ses premières courses. Elle danse et les autres entrent dans sa danse.
C'est le temps de l'insouciance, c'est le premier temps de sa vie, celui où elle est le centre du monde.
Danser puis courir. Sauter à pieds joints dans la cour de récréation. La ronde des comptines et des crayons de couleurs. Les arcs-en-ciel d'aquarelle, les soleils oranges et les lunes bleues.
La course arrive, au galop pour les garçons, en rondes pour les filles. Les ballons de foot et la balle au chasseur.
Les sucres d'orge et les berlingots pointus.
Les premières promesses. Les premières déclarations, les premières déceptions. Les premiers toujours, le premiers jamais.
Danser, courir, puis se mesurer !
Les superlatifs, les absolus, les extrêmes. Les défis, les paris.
La tête plus haute que les étoiles, la tête remplie de tous les possibles.
Oui, elle rendra le monde meilleur. Certes, elle ne reproduira pas les mêmes erreurs.
Elle n'est plus le centre du monde, elle est le monde.
La toile est son univers.
Elle a des millions d'amis, mais elle se sent si seule. Avec les factures, les premières fractures.
Un bout de rêve s’effiloche, un pan de vie s'effondre.
Retour à la vraie vie.
Pas celle du bonheur absolu, mais celle des petits bonheurs et des petites joies qui se succèdent.
Pas celle du malheur absolu, mais celle des petites peines, des petites douleurs qui s'amassent dangereusement.
Fragile équilibre a reconquérir chaque matin, à consolider chaque soir.
Telle une horloge géante, Chronos devient chronophage, dévorant tout sur son passage.
Les il faut remplacent les j'aimerais. Les tu dois remplacent je choisis.
Les impératifs commandent au présent sous la menace d'un futur cataclysmique.
Danser sur un fil.
Courir dans son couloir,
Toujours plus vite.
Le temps aux trousses !
Quel rythme d'enfermement. Trouvera-t-elle la faille ? La toute petite faille par laquelle elle glissera, une main, une pointe de pieds, un bras en arabesque.
Retrouver les volutes bleues de la lenteur.
Visser des boulons ...
surtout garder le rythme
visser des boutons !!!!!
..................
Visser tout ce qui se présente !!!!!
*
A quel film cela vous fait-il penser ?
A quel acteur ?
Facile n'est-ce pas !
LA RETRAITE
Quand la limace prend son temps
Pour défigurer sa laitue
Dont les jupons verts froufroutants
Font traîner aussi la tortue,
Je cours,
Au long de la sainte journée,
Je cours,
Année après année...
Quand un bateau va doucement
Sur le bleu de la mer étale
Qui s'étend paresseusement
Dans sa splendeur horizontale,
Je cours,
Dès que s'illumine l'aurore,
Je cours,
D'abord, et puis encore...
Quand j'en aurai vraiment assez
De foncer à toute berzingue
Derrière mes dossiers pressés,
J'abandonnerai ce bastringue,
Mais toi,
Seras-tu là, dans le virage,
Dis-moi,
Ou n'es-tu qu'un mirage ?
Quand MAP a parlé rythme, comme je ne suis ni enseignant ni élève, je n'ai pas pensé "rythmes scolaires", un sujet qui, vu d'ici, semble passionner la France entière. Je n'ai même pas non plus imaginé qu'elle nous demande de pondre des bouts rimés rythmés.
Non, en ex-grand-amateur de la chose, j'ai immédiatement pensé "Jazz" et singulièrement à un morceau de Slim Gaillard et Slam Stewart intitulé comme ce billet. Je l'ai retrouvé sur Youtube mais je ne l'ai pas trouvé très convaincant, comme quoi les souvenirs sont parfois trompeurs.
J'ai par contre retrouvé les mêmes gaillards (si j'ose dire) participant à une scène forcément endiablée puisque tirée de Hellzapoppin' (ce qui signifie quelque chose comme "ça pète en enfer" ou "ça pète d'enfer").
Et ne me dites pas que ça manque de rythme !
Liberté
Chad eut juste le temps de s’écarter lorsque la lourde porte s’ouvrit. Ou plus exactement, claqua violemment contre le mur et se brisa en deux. Le jeune homme aperçut vaguement une silhouette masculine de haute taille passer devant lui avant que des éclairs rouges et or ne se mettent à fuser sur un rythme infernal. Instinctivement, il se plaça devant Taanit pour la protéger de l’espèce de démon qui détruisait tout autour de lui et qui se tourna vers eux dès qu’il ne resta plus un seul être vivant autre qu’eux trois et la panthère. Les muscles tendus, prêt à défendre sa compagne au péril de sa vie, il n’entendit que vaguement les paroles de la jeune fille.
— Nous n’avons rien à craindre, c’est mon frère.
Chad ne bougea pas, fixant toujours celui qui s’approchait d’eux. À présent qu’il ne déchaînait plus ses sortilèges, il reconnut en lui un être humain et non un démon. Ils avaient sensiblement le même âge, et sa ressemblance avec Taanit était indéniable. Pourtant, s’il se détendit légèrement, Chad ne se décidait pas pour autant à s’écarter, ce qui parut beaucoup amuser l’arrivant.
— Je vois que ma sœur s’est trouvé un chevalier servant digne de ce nom. Mais rassure-toi, je n’ai pas l’intention de vous faire du mal, ni à toi ni surtout à elle.
— Tu m’excuseras, mais ta démonstration d’il y a cinq minutes ne plaide pas en ta faveur.
— Disons que j’étais un rien en colère.
Chad remarqua alors que la captivité avait laissé des traces sur le corps de son interlocuteur, qui avait plus que visiblement souffert de sa détention. Il finit par céder à l’injonction de Taanit et s’écarta, laissant enfin la jeune fille sauter dans les bras de son frère, qui la serra tendrement contre lui.
— Merci, petite sœur. Je savais que tu réussirais.
— Jamais je ne t’aurais abandonné. Tu vas pouvoir retrouver ta place, maintenant.
— Oui, et j’ai dans l’idée que des têtes vont tomber très bientôt. Mais avant…
Il refit face à Chad.
— Si j’ai bien compris, je te dois des remerciements à toi aussi.
— Ravi d’avoir rendu service.
— À moi ou à ma sœur ?
Une lueur malicieuse brillait dans les yeux de l’ancien captif. Chad eut une grimace faussement contrite.
— Disons que Taanit n’est pas quelqu’un à qui on peut dire non.
— Oh, crois-moi, ça, je le sais…
— Ce qui veut dire, grand frère… ? intervint une voix dangereusement calme.
— Mais rien du tout, petite sœur, rien du tout…
Le roi se tourna brusquement vers Chad.
— Que penserais-tu de rester dans notre monde ? Comme conseiller royal, par exemple ?
— Moi, un conseiller royal ?
— Peut-être que si vous êtes deux, on arrivera à faire quelque chose de ce royaume… les coupa la voix devenue moqueuse.
— Tu comprends mon problème ? soupira ostensiblement le roi, entrant dans le jeu de la fausse dispute mille fois répétée.
— Oui, je comprends, sourit Chad, pas dupe pour deux ronds.
Il se perdit dans les prunelles émeraude qui le regardaient avec amusement avant d’ajouter.
— Je comprends et je suis tout disposé à te soutenir…
Quel rythme !!!!!
Nous attendons avec grand plaisir
vos participations rythmées
A tout bientôt et
Très belle nouvelle année
à toutes et à tous !
MAP ; Fairywen ; Lorraine ; Vegas sur sarthe ;
Rêves de plume ; Laura ; Venise ; joye ; bongopinot ;
Des lampions, des guirlandes
Sur les arbres en fêtes
En habit de lumière,
Dans leurs belles toilettes
Pour une nouvelle année
En gaité pour nous armer
En tendresse pour tout calmer
En respect pour l’amitié
Des couleurs qui scintillent
Des corps qui bougent
Des enfants qui s’amusent
Des arbres qui dansent
En famille ou entre amis
Sous un ciel étoilé et joli
Cotillons et douce folie
Réveillon et confettis
De mon petit coin de Caen
Je vous souhaite chers défiants
Santé, bonheur, moments souriants
Au soleil, sous la pluie, la neige ou le vent