Ah, les circonstances... (Walrus)
Comme gouverner, c'est prévoir (enfin, c'est ce que certains prétendent) pour m'aider à trouver le mot de la semaine, j'établis des listes, souvent bien à l'avance pour, généralement, en choisir un autre le moment venu.
Pour le B de ce jour, j'avais prévu, il y a bien longtemps, "Balalaïka". Oui, vous l'avez échappé belle, je me demande ce que vous auriez pu gratter là-dessus !
Pour ne pas me faire suspecter d'ironie féroce face à l'âme russe, je lui en ai donc prestement substitué un autre mais lui aussi lié au climat actuel.
Vue d'ici, la campagne électorale française fait figure de joyeuse farce (même si remise en contexte, elle tendrait plutôt vers la tragi-comédie). Cela, même si côté baratin, nos politichiens n'ont rien à envier aux vôtres.
Bon, maintenant que j'ai réussi à glisser le vocable attendu dans mes élucubrations, faut que je me casse voir si la moitié française de mes petites-filles (elles ont la double nationalité, comme si être belge n'était pas assez éprouvant en soi) ont réussi à voter au Heysel, ces cumulardes.