Le crépuscule des idoles (Laura)
Comme je suis passionnée par les images, comme mon idole Baudelaire, quand paraît le nouveau défi du samedi (ou autre sujet d'atelier), je regarde d'abord l'image, donc, sans être influencée, je crois par le souhait négatif des maîtres, je n'ai pas pensé à l'"idole des jeunes" ou autre idole de ce genre
mais à l'idole des hébreux, le veau d'or, avant que Dieu s'en mêle par l'intermédiaire de MOISE. Le veau d'or imite le taureau Apis des Egyptiens.
J'ai aussi pensé aux idoles que j'ai étudiées en sociologie quand j'étais en prépa HEC.
C'était plus l'aspect "culture générale" qui m'intéressait que les maths. Je pense aux peuples évoqués par Lévi-Stauss et ceux qui seront mis à l'honneur au Musée du Quai Branly et qui ont beaucoup inspiré les surréalistes. Comment ne pas penser aux idoles des Marquises évoquées par Gauguin? Je terminerais avec les Moai de l'Ile de Paques.
Ah j'allais oublier d'expliquer mon titre qui est celui d'un livre de Nietzsche qui est une référence ironique au "Crépuscule des dieux" de Wagner.
Tout cela n'est-il pas à l'opposé de l'idéologie du président normal? Y a t-il encore des idoles dans le cinéma, la musique? N'en avons-nous pas besoin?