Duplicata de CV
pour dossier
n° 1920-PRI-01
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Alice Christine PRIN
née le : 2 octobre 1901 à Châtillon-sur-Seine (Côte-d'Or)
Adresse actuelle : Brasserie La Rotonde, 105 boulevard du Montparnasse 75 Paname (demander Kiki)
Tél : épris Kiki croyez prendre !
Email : dentaire, comme tout le monde ! Blanc et brillant !
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FORMATION
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LANGUES
De velours, palais d’amour, corps diplomatique, paluches baladeuses et tout le reste, bonne poire, à l’avenant
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Châtillon-sur-Seine 1901-1913
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BA BA de la cambrousse bourguignonne chez Mamie Renée (avec initiation aux galipettes par la grâce du cousin Roger dit «L’as Vegas surpatte»).
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Paname-sur-Seine
1913-1914
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Apprentissage de la lecture à l’Ecole communale de la rue de Vaugirard
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LOGICIELS
Plastique. 2.0 ; Khol 8 ; Rouge à lèvres Rouge vif 31 ; Coiffure Qu’au bol 10
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Paris
1914-1915
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Diplôme de Démerde-toi ma grande sur le trottoir de la rue Dulac (sans tomber dans la galanterie non plus, nonméo ! C'est pas mon genre !)
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EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE
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Paris 1915
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Maison d’édition Raoul Soulmanteau
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Brocheuse de Kamasutra
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Paris 1915
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Interflorus
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Livreuse de bouquets de violettes
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Paris 1915
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Latécoère
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Visseuse d’ailes d’avion (poste de haut vol)
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Paris 1915
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Félix Potin
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Laveuse de bouteilles (ben quoi ? Y’en a bien d’autres qu’elles essuyent les verres au fond des cafés !)
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Paris 1916
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Boulangerie Thénardier
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Vendeuse surexploitée
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Paris 1916
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X (Désolée, j’ai oublié son blase au vioque à qui j’ai montré ma boutique pour la première fois !)
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Modèle pour sculpteur
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Paris 1917-1920
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Maisons Soutine S.A., Mendjizki Ltd, Societa Modigliani, Foujita Sushishop
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Modèle pour peintre
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Paris 1918-1920
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Auto entrepreneuse (start-up La Femme libérée)
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Portraitiste talentueuse de bidasses heureux d’être sortis des tranchées
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Paris 1920
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Chez Papa Libion, piège à touristes amerloques
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Pilière (ça se dit ?) de bar puis agent d’ambiance à La Rotonde
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CENTRES D’INTÉRÊT
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La chanson de salle de garde, l’amour des hommes, le dessin, la diplomatie de charme. Mais surtout l’espionnage et le service de la France. J’aimerais bien être Mata-Hari mais pour le compte de Marianne et qu’on ne me fusille pas sur la fin.
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