25 décembre 2010
LITTERATURE (PIVOINE)
C’est vraiment la foule pour le Lagarde et Michard.
Mon unique texte prêt pour l'offset, je me colle en bout d'imprimerie.
La charmante poétesse qui me précède clame à grand cris ses strophes poignantes.
Se tournant vers moi, elle alexandrine: « Passez donc devant moi, vous n’avez qu’un dizain… »
A quoi je rétorque : « Chère comtesse", "Pour un ou deux pieds, quelle différence? »
Ô manège des mots... J’en bois encor l'encre fraîche
Publicité
Commentaires
V
L
V
J
W
T
3
M
J