Train d'enfer (KatyL)

Notre vie est un train d'enfer
Parfois nous sommes sur des rails, accompagnés dans un wagon... parfois nous sommes seuls sur un quai de gare et nous regardons les gens passer.. toute cette agitation autour de nous ...
parfois le train dérape ... et si nous nous en sortons , il faudra en prendre un autre, quelques fois nous sommes assis avec quelqu'un pendant un moment et nous pouvons regarder passer les lieux de notre parcours en bonne compagnie..cela peut durer longtemps, pourquoi pas tout le voyage ???
Par contre on ne sait jamais à quelle gare sera le terminus ?? ni si on sera seul, ou bien accompagné sur le quai des adieux ...

Comments

[katyL]

tous ces commentaires prouvent que je suis en bonne compagnie dans le wagon, nous allons faire connaissance pendant le voyage .. merci au plaisir de vous lire

[zigmund]

je me joins aux autres pour vous féliciter et vous remercier pour ce beau texte et pour vous souhaiter la bienvenue !

[valerie]

Bienvenue!
Une jolie image. Comme Vanina, j'aurais aimé en lire un peu plus...

[Vanina]

Intéressante métaphore que celle du train et de la vie: a développer!
Sourire
Vanina

[papistache]

Bienvenue Katyl.
parfois, profitant d'un ralentissement du train ne peut-on en descendre et s'arrêter pour le regarder partir ? D'un train d'enfer faire une halte paradisiaque.

[joye]

L'enfer, comme le train, c'est les autres (qui nous bousculent, les bougres !).

Bienvenue à toi, bravo pour ton texte !

[venise]

un train philosophique!

[tiniak]

Quel train de vie, dis !

[trainmusical]

Bravo KatyL pour ce texte et j'aime beaucoup la dernière phrase "Par contre on ne sait jamais à quelle gare sera le terminus ?? ni si on sera seul, ou bien accompagné sur le quai des adieux ..."

Bienvenue à bord:-)

[Adrienne]

c'est vrai, l'image du voyage avec le train se prête très bien à cette comparaison!

[MAP]

Bienvenue à toi KatyL parmi les défiants.
Pour ta première participation tu as réussi un condensé de vie très explicite !
Te voilà sur les rails ...

[Walrus]

Ah, vous me rappelez Brassens et ses passantes et par voie de conséquence, Kloelle. Merci !