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Le défi du samedi
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5 décembre 2009

""un job in.0.vent" (rsylvie)

recherche d’emploi… nouveau métier….. vos qualités pour le job


P
ourquoi moi ?

-        Mais parc’que c’est ce que je fais le mieux et surtout, que cela me fait tant de bien personnellement que je voudrais partager mes compétences avec d'autres.

Quelles sont mes références ?
- 47 ans derrière moi à me coucher tous les soirs à 19 heures et me lever très tard dans la matinée. A cela il faut prendre en compte les temps de siestes que je faisais 2 fois par jour jusqu’à l’âge de 10 ans. Puis par la suite, une seule fois l’après-midi de 13 à 17 heures. Sans compter, les minutes à dormir debout dans les différents moyens de transport en commun pour me rendre au Pôle Emploi de mon quartier. Ni oublier les endormissements occasionnels faute d’inactivité ! Je pense que toutes ces précieuses années de ma vie, offertes gracieusement à la science, me confèrent le titre de docteur en la matière !

Ce qui me diffère des autres ? - Parmi les innombrables candidats ici présents, j’ai l’avantage de posséder tout le matériel adapté pour vos stages de formation. Tant pour l’instant crapuleux d’une sieste réparatrice d’après un repas d’affaire bien arrosé, que le joli canapé d’un hall d’accueil administratif ou celui non moins confortable d’une salle d’attente de psychothérapie ….


Le temps ?
- Pas d’inquiétude à avoir à ce sujet… je n’ai encore signé aucun engagement définitif pour le moment. Donc je peux dès à présent, vous consacrer tout le mien.

Le coût ? - Mes frais de déplacement et la nourriture sont compris dans la totalité du montant global que voici : 54 €uros la séance de ¾ d’heure…. Que vous pouvez bien sur, augmenter à loisirs.



Le petit plus en me sélectionnant ?
- Tous les matins je me lève du pied droit ! Exercice de style qui n’est pas à la portée de chacun et que je me propose d’enseigner durant notre formation.
Enfin pour terminer cet entretien, une fois ma bonne hygiène de vie inculquée à vos différents collaborateurs
ou partenaires professionnels, fini pour vous le sentiment de gaspiller inutilement ces miettes de votre vie où vous fermez les yeux.

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28 novembre 2009

"évidences.... passe le temps ! ou miroire suite" par rsylvie

Nous sommes samedi, iil est exactement 9heures1. Bien qu’elle ne soit pas encore toute à fait réveillée Mag, (comme aime à l’appeler familièrement son entourage), est de bonne humeur. Aujourd’hui c’est le défiDUsamedi. Pieds nus, pas le temps de chercher l’autre mULe égarée sous le lit. Qu’elle s’affaire à pas menus. Prendre les bûchettes préparées la veille pour ravigotter le vieux poêle dans la pièce principale. Mettre la bouilloire à chauffer. Pendant que l’eau frémissante entamera le chant mélodieux des gouttelettes libératrices de l’enivrant nectar, qui se dégagera de la cafetière, repue du précieux breuvage. Aller faire un brin de toilette avant de s’habiller chaudement car le froid qui pointe son bout de nez, ne laisse rien présager de bon. Cette année, l’hiver sera rude. Mais avant tout, alLUmer l’ordinateur. Car ses petits enfants le LUi ont bien dit et répété !

Mamie Mag, l’est nUL ton ordi ! Il est obsolet et bien trop vieux,  pour que tu puisses surfer sur le net tranquillement. Tu devrais investir mamie.. sinon t’auras toujours des délais d’attente interminables avant d’obtenir la moindre connexion » !

Qu’importe. Du temps ? Elle en a encore un peu en réserve. Et puis

Investir ! pense MarieMagdelaine en appuyant sur le gros bouton gris de l’unité centrale, rangée sous la tablette faite expressément par Pierre son fils, pour permettre à sa mère de travailler sa mémoire. Car le docteur de l’hôpital de jour l’a bien écrit dans son bilan médical : détection d’une forte probabilité de maladie d’alzheimer !


Du haut de votre lucarne... nous vous proposons cette semaine d'écrire un texte humoristique où l'on trouvera au moins 10 mots commençant par les lettres "LU" ... à envoyer à l'adresse bien connue : samedidefi@hotmail.fr Bonne inspiration et à très bientôt ...

Humoristique ?

Agréable, comique, divertissant, joyeux, réjouissant, spirituel, …..

-« …. faire rire.

Sourire ? oui…. un peu.

Mais à gorge déployée… ne sais pLUs » !

Nostalgique, MarieMagdelaine regarde l’image que lui renvoie (ce qu’elle pense être) un psyché soigneusement disposé sur une coiffeuse année 50. Quand soudain, elle se penche vers la glace, et d’un doigt mal habile, souligne les traits d’un visage qui LUi devient de pLUs en pLUs étrange.

D’un trait grossier, elle dessine le contour d’une bouche qu’elle veut rose et charnelle. En hardie, elle s’attaque aux yeux quelle colorise de bleu. Attentive aux moindres détails, elle trace quelques bouclettes de cheveux et contemple son œuvre.

-«  Miroir, Ho mon beau miroir,

laquelle est plus belle que moi » ? interroge-t-elle en chantonnant

.

-Je n’ai besoin de personne,

hors harley davidson !

Beaujour MarieMag, vous chantonnez ce matin  ? interroge la jeune femme qui pénètre dans la pièce après avoir frappé quelques coups sur la porte de chambre. Je ne vous ai pas fait peur au moins ? Vous étiez tellement occupée que vous n’avez pas entendu mon appel, lorsque je suis entrée.

Mais que faites vous devant l’ordi, de si bon matin?

J’espère que vous l’avez bien éteint cette nuit…

Allez !  faites-moi voir… Mais ça a l’air très joli ce que vous avez tracé sur l’écran ».

Ensemble les deux femmes contemplent l’œuvre. Quand MarieMargdeleine, encouragée par l’avis complaisant de la jeune auxiliaire de vie, se met de nouveau à faire des courbes qui se rejoignent pour former une jolie paire de lunettes rouges sur le bout de nez.

comme c’est amusant, MarieMag, vous venez de métamorphoser Marilyn en maîtresse d'école» !

-« vous savez ma petite,

à 20 ans, je rêvais de ressembler à B.B.

Et bien maintenant que le temps a passé

je trouve que c'est elle

qui me ressemble ! Non » ?

 

et toutes les deux, d'éclater de rire sans retenu tant le bonheur est simple..

21 novembre 2009

"miroir, ho mon beau miroir, dis moi ce que tu vois en moi" rsylvie

 

"miroir, ho mon beau miroir, dis moi ce que tu vois en moi" par rsylvie

Maternité
Innocence 
Ravissement 
Ondes positives
Insouciance 
Rosir de plaisir devant l’image

 

                                     aiMer

                                 avenIr

                                      pRojets

                                   façOnner

                                     exIster

                                rougiR de plaisir face à l’image





réquieM
vieillI
dormiR
 
l’enfant d’O
finI
cassée, l’image dans le miroiR

   

   
14 novembre 2009

Suite de Sebarjo (rsylvie)

EDEN DOG chez le Baron de la Fiente (Sebarjo)

Milord et Milady, le chien et la chienne du baron de la Fiente -qui par ailleurs produit un excellent champagne (voir étiquette ici-bas)– se reposaient au soleil, allongés inhabituellement sur le dos dans le gazon fraîchement tondu par Nicolas le jardinier, près du bassin où des carpes japonaises bullaient paresseusement.

La gueule levée vers l'azur d'un ciel limpide, ils discouraient librement en évitant tout (ac)croc... Les banalités d'usages fusèrent, pour lancer les débats et s'orientèrent évidemment sur la climatologie et autres niaiseries météorologiques.

Milord : fait chaud hein ??? J'en frétille de la queue...
Milady : J'en ai le poil tout retourné !!! Les rayons du soleil me chatouillent tout le corps, j'en ai la truffe humide... Hmmm... La canicule est de retour, dirait-on...
Milord, un temps : Quand tu penses que Canicule vient du latin Canicula  et que cela signifie Petite chienne, ça me donne chaud... O Ma belle, M'amie Lady, ma petite chienne... (il pousse quelques jappements évocateurs)
Milady : Et quand tu penses également que ces crétins d'humains, lorsqu'il pleut des cordes, parlent d'un temps à ne pas sortir un chien... Quellle absurdité !!!
Milord , déçu que son approche n'ait pas fonctionné et se disant qu'il l'avait dans l'os, mais bon joueur malgré tout : Tu l'as dit, chérie... Ils sont fous ces humains !!!
Milady : Mais regarde, il y a tout de même quelques nuages qui approchent...
Milord : Effectivement... Tiens, c'est amusant... Regarde-bien ce cumulus, il ressemble à un cubitus, non ?
Milady : Oh Milord, nous sortons à peine de gamelle, et toi tu penses déjà à manger !!!
Milord : Que veux-tu, je suis un gourmet panseur !!!

Un long temps... l'un panse tandis que l'une pense, tant la profondeur philosophique de ces derniers propos est intense et apéritive...

Milady : Dis donc Milord, je viens de voir des espèces de cloportes sauter deci-delà...
Ne me dis pas qu'ils viennent du bassin aux carpes !!!... Allez, avoue, tu ne t'es donc pas baigné ce mâtin ??? Tu es encore plein des puces !!!
Milord : Enfin ma puce euh...M'amilady... tu sais bien que je trouve le bain trop bath !!! I'm so british !!! je ne le manquerai sous aucun prétexte ! Ce n'est pas la peine de me passer un savon !!! ... Ce doit être encore des poux à Toto...
Milady : Oh oui tu as raison, je l'avais oublié ce garnement !!! Oh, quel sale gosse tout de même !!! Le Baron devrait dire à la gouvernante Pou-pou-ne de lui raser la tête, sinon on ne s'en sortira jamais...
Milord : Ouh là !!! Comme tu y vas !! Tu connais Pou-pou-ne ???!!! Si monsieur le Baron lui dit de lui raser la tête, elle va la lui couper carrément !!! O + O = plus de tête à Toto !!!
Milady : Tu as raison, je n'y avais pas sangé...
Milord : parlons-en plutôt au précepteur, Joe Krapov, il s'y connaît en cochon lui...

Nicolas et Toto se dirigent vers les deux cabots, l'air cabotin... Que va-t-il arriver à nos deux héros canins ??? Vont-ils succomber à cause de ces serpents qui sifflent déjà sur leur pomme ???

champ

Juste le temps d’une page de publicité, pour un excellent champagne, laissons Milord et Milady moelleusement languissants au soleil, pour revenir une petite heure en arrière. C’est à dire au moment où, Joe Krapov précepteur de son état fait intrusion dans la pièce où l’attend le petit Toto. Comme à son habitude, le garçonnet n’a de cesse de gesticuler tant l’anxiété de la situation le tenaille. Il a surpris 10 minutes plus tôt, entre la gouvernante et Mr Krapov une conversation à son sujet dont la tournure l’a quelque peu inquiété. En gros, les propos étaient les suivants :

ça ne peut plus durer ! déjà  8 semaines que je fais de mon mieux pour endiguer ce fléaut,,,, Et ce p’tit garnement, qui ne suit aucune de mes consigne, et n’en fait qu’à sa tête. Va voir de quel bois j’me chauffe » !

Joe qui ne sait quoi refuser à Pou-pou-ne (qui elle par contre, s’est toujours refusée à lui) profite de la situation pour proposer ses services, avec l’intention à peine dissimuler d’amadouer la belle.

Pou-pou-ne, je suis votre homme. A nous deux, c’est bien foutaise si nous n’arrivons pas à bout de cette petite crapule pouilleuse » !

c’est ainsi, que sans avoir eu le temps de dire ouf, Toto qui avait suivi le plus docilement possible son précepteur afin de ne pas envenimer les foudres de guerre qu’il pensait recevoir, ou éviter la volée de bois vert qu’il savait mériter faute aux souris déposées par inadvertance dans le lit de sa sœur Mimie, s’est retrouvé pieds et poings liés contre le torse velu de Mr Krapov. Qui le maintenait la tête au dessus d’une barrique en bois, disposée pour la situation à l’extérieur de la cuisine. Que mademoiselle Pou-pou-ne avait délaissée, le temps d’une tonsure salvatrice envers la communauté Fientesque de ces lieux.

Ni les cris, ni les larmes du garnement ne firent renoncer nos deux tortionnaires. C’est ainsi, qu’au bout d’1/4 d’heure, « y avait plus un ch’veux sur la tête à Toto » !

Fourbus et quelque peu courbaturés des coups donnés par l’enfant, nos deux protagonistes le laissèrent meurtri sur l’herbe pour se diriger de nouveau vers la cuisine, y prendre un bon verre de cidre réparateur. Les yeux larmoyants, le cœur plein de haine notre Toto n’a de cesse de crier VENGEANCE, quand son regard tombe sur le rasoir laissé là. Qu’il s’empresse de mettre aussitôt dans sa poche.

pardon Monsieur Nicolas, mais j’ai oublié mon chapeau. Vous vous doutez bien que par ce soleil, il me faut maintenant redoubler de vigilance » ! Surpris de tant de lucidité, le jardinier ne peut qu’acquiescer un

va petit… tu me retrouveras dans le quartier de mes chères odorantes »

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Toto s’enfuit en direction du château, dont il se détourne dès que le brave homme n’est plus dans son champ de vision. Et, c’est pas à pas, sans faire le moindre bruit, que le garnement rebrousse chemin pour venir le rasoir en main se jeter sur Milord et Milady, deux magnifiques setter irlandais au poil soyeux. En s’écriant :

- -Dis donc Milord, je viens de voir des espèces de cloportes sauter deci-delà...
Ne me dis pas qu'ils viennent du bassin aux carpes !!!...
Allez, avoue, tu ne t'es donc pas baigné ce matin ???
Tu es encore plein des puces
!!!
et bien j’ai la solution …..
»

Mais allons plutôt retrouver ….

et cette 'tite photo,
car tous ne sont pas des garnements !

14 novembre 2009

A l'encre de tes yeux (rsylvie)

 

« Où, nus, allongés sur le dos, nos deux héros*

discourent de la forme des nuages,

de la caresse du soleil sur la peau,

des petites bêtes qui peuplent la lande et du plaisir,

tandis qu’à l’horizon, l’adversité tisse ses noirs desseins »

Bernadette lève les yeux au ciel, d’un air qui ne laisse aucun doute possible,

cette dictée du professeur remplaçant l’ennuie.

Tandis qu’à l’horizon…………….. l’adversité tisse ses noirs desseins »

monologue une voix venue du fond de la classe.

« Tandis qu’à l’horizon» écrit l’écolière à l’encre bleue.

-«.... J’ai bien fait de changer de couleur »,

 pense-t-elle en regardant la pointe de son stylo plume.

 Qu’elle idée j’avais eu de la prendre marron !

                                                     …point final. 5 minutes pour relire.

Vous déposerez les copies sur mon bureau en sortant »

dit l’enseignant en regagnant son bureau

point final ! mais j’ai pas fini moi,,,,

pst… Sophie, c’est quoi la fin » ?

t’es pénible Bernade,  ses noirs desseins » répond à demi voix une jolie brunette aux cheveux délicatement tressés en une natte, qui se termine par un joli ruban de la même couleur que son chemisier blanc.

Bernadetteréfléchit quelques instants puis écrit :

« Ces noirs dessins »

Ferme la copie. Range son précieux stylo dans sa trousse et se lève pour déposer sa feuille sur le tas qui envahit déjà le bureau du professeur. Qui n’attendait plus que cette dernière pour prendre les précieux écrits et quitter la pièce. Non sans avoir jeter un dernier regard en direction des élèves et souhaiter à chacune un bon Week End

Bernadette pousse sa voisine d’un coup de coude et l’interpelle de la sorte :-« à lala,,, tu les as vus » ?

-« oui, répond Sophie en éclatant de rire.

C’est autre chose que les yeux de cochon de monsieur le Neuf.

Toi t’es encore tombée amoureuse» !

ben non, pourquoi ?»  s’empresse de balbutier Bernadette rouge de confusion.

-« comme ça. Juste que t’as encore changé de couleur » dit Sophie qui, d’un geste complice, tire sur le bandeau qui retient une queue de cheval, haut perchée sur la tête de l’écolière.

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17 octobre 2009

... (Rsylvie)

   

« Qu’il ne faut jamais reporter sur les autres ce que l’on doit faire soi-même» !

Voilà ce que Vitaly avait retenu de l’affaire.

En promettant bien que jamais, « HO grand JAMAIS »,

Elle ne recommencerait tant elle avait pleuré de chaudes larmes à l’idée de ne jamais plus revoir son amie …

 

Sophie, jeune chienne qu’elle avait reçu en cadeau d’anniversaire par sa grand-mère la comtesse Rostopchine, n’avait pas semble-t-il gardé de stigmate de cette horrible mésaventure. Mais il s’en était fallu de peu qu’elle perde l’odorat, tant elle avait mordu, déchiqueté, la muselière qui lui emprisonnait le museau. A tel point que celui-ci en était tout ensanglanté quand sa jeune maîtresse l’avait retrouvée errante dans la campagne environnante du conté de l’Aigle.

En fait tout s’était passé si vite, que Vataly ne savait par quel bout commencer le récit de la triste mésaventure. Quand Claude, le grand ami de François, et fils du jardinier, arriva en courrant pour se joindre à la foule de badauds entourant la gamine…

comment va-t-elle » s’écria-t-il d’un air de compassion plus que douteux !

elle est au mieux, répondit Vitaly, mais encore jeune, elle n’a pas su utiliser son odorat afin de retrouver le chemin du château. C’est une chance qu’un fermier nous l’ai reconnu et conduite rapidement à la propriété. Sinon, elle serait certainement morte de faim et de froid dans les bois ».

mais comment cela a-t-il pu arriver » demanda un voisin démangé par la curiosité d’en savoir plus.

et bien, en fait je ne sais pas vraiment, car Sophie était comme à son habitude, couchée bien tranquillement dans son panier quand nous sommes parties, mes sœurs et moi pour l’école... c’est un mystère que je ne m’explique pas. Surtout que le fermier nous a assuré qu’il avait réussi à s’en saisir grâce à une muselière complètement triturée qui lui pendait au cou !

Je n’y comprends rien ! s’écria-t-elle. Folle de rage de ne pas savoir.

C’est alors que, remarquant l’arrivée de son frère dont elle se rappelait qu’il n’avait pas eu cours le matin même, elle l’interpella de la sorte :

et toi, tu n’aurais pas une vague idée de ce qui est arrivée à Sophie » ?

rouge d’un trouble certain, il balbutia

 –« un ben non, j’sais pas moi,,,,, ben non …

c’est ton chien, après tout t’avais qu’a l’faire » !

faire quoi », s’exclama Vitaly

ben la sortir pour faire ses besoins, comme tu le fais tous les matins, mais cette fois, Mademoiselle n’était pas prête,,,, fallait qu’elle se fasse belle pour le nouveau dl’ classe…. Et gnagnagni et gnagnagna…alors ,,,,,

alors, t’as laissé le chien comme si…. en fait tu l’as oublié !

et moi, comme c’est pas mon boulot, après tout c’est pas mon chien et ben j’ai d’ mandé à Claude d’y aller …. Après tu vois avec lui » !

et Vitaly de tout de suite comprendre la situation.
Claude n’aime pas les animaux et Sophie le ressent.
Alors elle n’a pas du être docile, ce qui explique la muselière et la fuite….

Cette fois c’est sur, la leçon était bien comprise.
La frayeur avait été trop importante…
toutes les attentions d’un inconnu ne valaient pas
l’affection et le dévouement de son animal préférée.
Fois de Vitaly, elle ne le ferait plus….

 

   

   

10 octobre 2009

A toi, Marie Jo (rsylvie)

« à toi, Marie Jo »




Tout donné, elle avait tout donné…

encore quelques mètres
Ce n’était pourtant pas la mer à boire
 !

-« mais quand on ne sait pas nager

en eaux troubles » !

Rêver, elle en avait tant rêver…

400 Mètres, 200 Mètres à pied !

-« 200 Mètres à pied, ça use, ça use.

400 Mètres à pied, ça use les coussinets

de l’âme, aussi » !

être une des leurs, elle l’avait tant espéré.

l’esprit d’équipe, tant valorisé par la fédé !

-« on l’appelait, vilain petit canard,

mais intérieurement, elle seule savait » !

 

3 octobre 2009

Diplodocus ou foie de p'tit chaperon rouge ! (rsylvie)

rsylvie

26 septembre 2009

"T R E M O L O dans la voix, ou merci à vous" (Rsylvie)

Pst…. J’ai peur »

l’ordinateur se retourne. Machinalement le clavier s’arrête.

Une voix venant du fond de la pièce se fait entendre à nouveau.

elle range tout. … elle fait du vide… je vous avoue avoir très peur »
dit la voix ( ( le premier qui ose rappeler que l’obligation de sponsor c’était la consigne précédente, et qu’il n’est pas futé de ma part de vous imposer LA VOIX,,, celle communément appelée mystère sur TF1… HA vous ne regardez pas SECRET story !!!! ben moi non plus d’ailleurs c’est juste ma bande d’ados qui….. )….. )

Pst…. J’ai peur »

ha oui, la voix !

La boite informatique ne semble pas disposé à faire un effort. Le clavier quant à lui ne voudrait d’aucune façon contrarier

l’unité centrale. Alors tout deux décident de faire comme s’ils n’avaient rien entendu.

P A U S E

Pst…. Soyez sympas, aidez moi » reprend la voix qui semble tirer profit de cette consigne. Ben oui, depuis le temps qu’elle laisse ses p’tites participations par-ci par-là.

Enfin un défi à sa hauteur. « Objets inanimés, avez vous donc une âme ... »

pas besoin d’être écrivain pour deviner que LA Sylvie l’aime plus ».

T R E M O L O S

-« Pas une caresse, un effleurement… Rien !
Par contre des babioles ? ha ça oui, j’en suis couverte !
Alors comment voulez vous que je travaille » ?

S O U P I R S

Pst…. Dites lui, que je lui pardonne, insiste la voix

dites lui combien j’aime la caresse de ses doigts sur mes touches,

la résonance du frappé sur mes cordes,

le souffle de sa voix sur la partition ».

V I B R A T O

Rien ni fait, LA Sylvie est en pleine crise de rangement

Ni tambour ni trompette

 de bousculer guitare et piano..

et d’astiquer les vieux meubles

 et de dépoussiérer l‘instrument
V E L O C I T E
La suite... LA suite...


Et bien là, en cet instant que je tapote le clavier avec toute la vigueur de mes années de gammes et solphége derrière moi, je ne sais quelle direction faire prendre à cet article

.… Petite puis jeune fille, j’ai détestais mais aussi appréciais (si si c’est vrai j’aimais) de passer du temps à chanter au clavier de mon piano  (une splendeur moderne, à la boiserie incomparable qui illuminait la pièce. Ce qui faisait que le premier coup d’œil en entrant dans le salon allait vers lui.. et forcément de demander à La Sylvie de jouer… mais là , j’avoue (si si c’est vrai j’aimais pas du tout) détester faire le spectacle. Alors devant les yeux rougis de ma mère qu’une fierté innommable inondait de larmes et le sourire peu fier de mon père, je m’exécutais et en mourrais à petit feu comme la maladie qui les rongeait discrètement , pour me les enlever un matin d’hiver… emportant dans leur sillage les partitions du bonheur partagé.

….Ma voix et mes doigts, comme la lumière d’une bougie qui s’éteint au loin, n’ont plus illuminé le piano qui s’est désaccordé, la guitare détendue et les aigus inaccessibles.

Et puis le printemps est arrivé, joliment accompagné de l’été,
aussitôt chassé par une autre saison que les années ont propulsé jusqu’à ce jour,
où non loin du piano j’écris ces quelques mots emplis de nostalgie.

M E T R O N O M E

Mais le cœur n’y est plus, et tant de travail

à reprendre à zéro pour à nouveau faire chanter l’instrument…

Un jour peut-être ?

Oui, un jour certainement !

N O I R E …. B L A N C H E ….

Et si ce jour était maintenant ?

M E L O D I E

19 septembre 2009

"pour 250 Gr de beurre" ! (rsylvie)

-« Un sponsor, un sponsor ! et puis pourquoi pas se déclarer au registre du commerce » ! ronchonne dans son coin mademoiselle Aufray, intendante du pensionnat des Hirondelles à « Mentent Les Jolies » région Pivoleuze, en décachetant l’enveloppe d’un fournisseur  pour pâtisseries industrielles..

Tout avait commencé, il y a de ça 5 jours, quand la mère supérieure avait appris qu’une plaquette de beurre de 205 gr, avait disparu du réfrigérateur de l’internat. Tout de suite, les soupons s’étaient portés sur la plus ancienne des sœurs. Celle là même qui n’avait plus toute sa tête. Et de ce fait, certainement rangé la dite tablette à un endroit non approprié. Qui, faute de bonne température, avait du la faire fondre comme neige au soleil.

Seulement voilà, aucune des habitantes de la congrégation ne semblait se satisfaire de cette réponse. Et surtout pas sœur Charlotte, qui le sonHAUTtonne en permanence déréglé hurlait à qui voulait bien l’entendre sans mentir, tout le voisinage à plus de 3 km à la ronde que ce n’était pas elle, dieu lui en était témoin ! C’est ainsi, qu’après le goûter de 4 heures, la prière de 16 heures, la congrégation réunie au grand complet votait à mains levées (pfff, j’ai bien vu que sœur Tilège avait levé la main, parqu’elle craignait les représailles de sœur Tonnerre… et la p’tite nouvelle, la caramélite, ai bien vu qu’elle faisait comme toutes les autres pour ne pas déroger à la régle…) …votait que moi, Mademoiselle Aufray, seule civile du pensionnat, sans parler bien sur des jeunes filles que nous accueillons et à qui nous enseignons l’amour de son prochain….serait préposée pour trouver le coupable et surtout, offrir une solution afin qu’un tel acte ne se reproduise plus. Car voyez vous, c’était la 3ème fois, que nous constations d’étranges disparitions au sein de notre Etablissement.

La première fois, veille de mardi gras, je n’en ai même pas parlé, pensant à une erreur de livraison. Il est vrai que depuis que notre fournisseur, Monsieur Baratte a pris sa retraite, la jeune crème qui lui succède est quelque peu novice en la matière et de ce fait, portée à commettre quelqu’étourderies !

la deuxième disparition ne m’a pas étonnée car nous étions surtout elles en pleine période de carême, et qu’à telle période de l’année, je diminue de moitié les quantités à commander !

Hors ce matin, quand une fois de plus j’ai du constater qu’il manquait 1 plaquette de beurre de 250 Gr dans le réfrigérateur de l’internat, je n’ai pas eu d’autre recours que d’en parler à la mère supérieure. Alors là, attention les yeux ! Sa Supériorité de nous jouer le grand jeux de l’enquête policière et « les coupables seront sévèrement punis » 

Ni une ni deux, je me mets en poste de filature et guette tout c’qui bouge !

pas une ombre, un bruissement ne m’échappent !

je suis partout et nul part à la fois,

on me voit, on ne me voit plus…..

je suis chat elles sont souris, je suis le poulet dans cette basse court.

je suis ici, je suis là, j’n’suis plus !

….je n’y suis plus , c’est le cas de le dire , écoutez bien le dénouement de l’histoire .

En moins qu’il n’en faut pour l’écrire, je glisse furtivement de pièce en pièce, quand mon soulier vernis s’embrouille en pirouettes artistiques pour m’envoyer valser au fond du prétoire d’un parquet ciré, à tel point que j’en ai la cheville morcelée…. Et le poignet cassé !

Aux commentaires avertis de l’urgentiste  devant le pale cliché d’une radio fraîchement développé
-« une fracture en motte de beurre,,,, oui Madame Aufray » !, J’ai pleuré de douleurs et de rage.
Mais j’ai vu jaune, devant les explications de sœur Bernique
myope comme une taupe qui avait confondu crème pour les boiseries et plaquettes de beurre… Hors je n’étais pas dupe !
Légèrement handicapée par un plâtre que je devais garder 3 semaines, j’avais eu le temps d’observer le manége de nos jeunes pensionnaires, qui n'imaginaient  pas être démasquées. Seulement c’était mal me connaître, que de penser que l’idée ne me viendrait pas de les soupçonner en voyant leur petit manège devant les fenêtres du dortoir quand arrivait le fournisseur de produits fermiers !

Et ces demoiselles d’avouer avoir volontairement mis le beurre dans la boite de cire d’abeille, afin de faire revenir plus rapidement le charmant fournisseur !

12 septembre 2009

Une heure de repassage (rsylvie)

Une heure de repassage »! s’exclama-t-elle.

« comme vous y allez… Ché donc bien long, mAdame.

Mais chi ché comme vous l’dites, vais la faire » !



Nadine, nouvellement embauchée au manoir n’ose répondre que ce soir elle a rendez-vous avec son amoureux. Alors sans rien dire, la demoiselle tourne sur elle-même pour se diriger vers le tas de linge disposé dans d’énormes paniers d’osier, quand elle se rappelle avoir laisser quelques morceaux à peine secs sur l’étente, afin de profiter des derniers rayons du soleil automnale.


Ni une ni deux, la voilà en direction du jardinet quand

au détour de la grande bâtisse, elle se souvient devoir

contourner les écuries, là où travaille son prétendant.

Comment résister à l’appel de l’amour ?

ne pas regarder dans sa direction,

surtout ne pas penser à ce soir,

à sa main dans la sienne,

à ses épaules accueillantes,

à l’odeur de sa peau au travers de la chemise entr’ouverte,

ne pas penser….




Et Nadine de passer et repasser devant la sellerie, les bras chargés de linge, sans oser lever les yeux de peur de croiser le sourire envoutant de son amoureux. Quand l’horloge du clocher se met à sonner l’angélus du soir, la fin des corvées journalières au Domaine.

Quoi déjà », s’écrit Nadine sans regarder les autres blanchisseuses. Le tout, en rangeant le plus délicatement possible l’ouvrage qu’elle reprendrait le lendemain

avec tous tes aller-r’tourmurmure la Jeanette, d’une voix moqueuse.

La plus ancienne de toutes qui a bien compris le manège de la petite nouvelle,

C’est l’heure de passage et repassage la plus courte que j’connaisse »

5 septembre 2009

A travers les Yeux de soeur Dominique (rsylvie)


Confortablement installés dans la 2 CV nous allions bon train, au rythme des virages qui venaient rompre la monotonie du voyage. Quant au détour d’une courbe beaucoup moins docile que les autres, je me retrouvais les 4 fers en l’air, projetée à l’arrière de la « 2 Pattes », gracieusement prêtée par la révèrente mère du couvent des Hirondelles. Dans la bousculade je perdais de vue l’horizon pour me retrouver le nez dans les nuages.

-« regardez mon père, celui sur votre gauche….

Ne dirait-on pas le visage d’un prince avec sa couronne sur la tête » ?

-« ma sœur, je ne vois pas comme vous…..

Il me semble que c'est plutôt celui d’un ange » !

Je détournais les yeux, mais restais persuadée d’avoir vu le visage

d’un prince, pourfendant le ciel d’une démarche assurée, au pas de son fier destrier.


Le voyage était encore long jusqu’au prieuré voisin. L’abbé Limace peu bavard, bercée par les secousses de la route je sombrais vite dans le sommeil. Quand, une ornière plus profonde que les autres fit, le temps qu’il fallait pour le dire, perdre le contrôle à mon conducteur, qui d’un geste salvateur redressa la pauvre citroéne et du coup, me réveilla brutalement. Le regard encore plein de rêves, je levais les yeux au ciel pour remercier notre seigneur de ne pas avoir perdu la vie, quand !

-« regardez mon père, ce nuage sur votre droite….

Ne dirait-on pas un cœur transpercé d’un autre plus petit » ? 

-« Ma fille, vous avez l’imagination trop fertile pour une nonette qui va bientôt prononcer ses voeux . Il me semble que cela est plutôt un papillon» ! 

Je détournais les yeux, mais restais persuadée d’avoir vu battre le cœur de mon prince !




Or, dieu m’en est témoin,

je ne mens pas, et l’autre non plus.

Chacun de raconter ainsi qu'il a vu.

31 juillet 2009

Défi de rsylvie

Ben voilà avec Jean nous avions décidé de partir à la plage et de descendre au même hôtel qu'il y a 10 ans, lors de notre lune de miel. Mais, au dernier moment, à cause d'un problème au travail, je n'ai pas pu prendre mon vendredi. Nous avons donc décidé que je prendrais l'avion demain, et lui est parti hier.

Arrivé comme prévu et après avoir loué la chambre d'hôtel, il se rend compte que dans la chambre, il y a un ordinateur avec connexion Internet. Et décide alors de m'envoyer un courriel. Mais il s’est trompé en écrivant l'adresse.

C'est ainsi qu'à Perpignan, une veuve qui venait de rentrer des funérailles de son mari mort d'une crise cardiaque, reçoit mon mail.

La veuve consulte sa boîte aux lettres électronique pour voir s'il n'y a pas de messages de la famille ou des amis, et s'évanouit à la lecture du premier d'entre-eux. Son fils entre dans la chambre et trouve sa mère allongée sur le sol, sans connaissance, au pied de l'ordinateur.

Sur l'écran, il pouvait lire le message suivant :
"A mon épouse bien-aimée. Je suis bien arrivé. Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles maintenant et de cette manière. Ici, ils ont des ordinateurs et tu peux envoyer des messages à ceux que tu aimes. Je viens d'arriver et j'ai vérifié que tout était prêt pour ton arrivée, demain vendredi. J'ai hâte de te revoir. J'espère que ton voyage se passera aussi bien que s'est passé le mien.
PS : Il n'est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtements : il fait une chaleur d'enfer ici !"

-« Alors quand j’ai appris la nouvelle aux JT de 20 heures, tu comprends que j’ai pas eu le cœur à rire ! Surtout qu’avec Jean on part en VVNF ».

-« En quoi » ?

-« En VillageVacancesNouvelleFormule., en fait c’est un camp de naturiste »

-« ha « !

-« et comme l’autre soir au cinéma j’ai surpris une conversation entre deux pénis :

« tu viens ce soir on se fait un cin »é ?

« oui, je veux bien mais pas un porno ».

« Ben pourquoi » ?

« J’étais épuisé l’autre soir, j’ai passé toute la séance debout » !

-« et vois-tu j’ai de plus en plus de difficulté à me convaincre du bien fondé de ces principes de retour vers le naturel, de faire corps avec la nature, tu connais mon homme. Le moindre sein qui bouge et il est tout émoustillé ! alors un camps entier de femmes nues, j’ai peur pour notre couple d’ailleurs l’autre soir, m’a répondu bizarre » !

Un petit garçon arrive en courant et il dit à sa mère :
- "Maman, j'ai vu le coq s'accoupler 10 fois ce matin !"
Sa mère lui répond :
- "Va donc dire ça à ton père, il va comprendre ..."
Le jeune va voir son père et lui dit :
- "Papa, maman m'a dit de te dire que j'ai vu le coq s'accoupler 10 fois ce matin !"
Son père lui demande :
- "Est-ce que les 10 fois c'était avec la même poule ?"
- "Non !"
- "Alors va le dire à ta mère, elle va comprendre ..."

Vous l’aurez compris, tout cela pour vous dire que je pars en vacances et donc,,,,, serai quelque peu distraite et pas toujours présente sur le blog,,,, merci de m’en excuser par avance bisous et doux mois d’aout à tous Zé toutes !

A la tcha0.

24 juillet 2009

NUE sous l’saule (rsylvie)

Combien de fois, elle a été surprise par la nuit tombée, et de
devoir rentrer rapidement à la ferme pour la traite.
Que son brave père, avait due commencer…
D’ailleurs elle l’entend encore :-« ‘riv’ras-tu un jour à prendr’le travail pour sérieux ? »
Ma pauvr’tiote mais qu’est-c’qu’on va ben faire de toiée » ?
Et oui, car il avait l’accent du terroir le père.
Alors il disait » toiée et moié »… « p’tête ben qu’oui » et aussi « vindieu qui pieu » !

…Tiens il pleut,
Un 26 juillet !
mariage pluvieux….mariage heureux !
D’ailleurs j’entends carillonner au clocher.


Mais c’est ben vrai qu’il y a mariage

On n’parle que d’ça au village.
C’est la p’tite qui r’vient avec son prétendant
Comment d'jà qui s’nomme ? Un drôle de nom.
-« Doit pas être du canton » ?
-« Mais d’oùXéTi  qu'il est son charmant » ?
-« Qu’ça peut ben foutre, à toé la ma’gu’rite.
T’en souviens quand elle était p’tite » ?
-« Pour sure, une ben belle pétiote.
Et point sotte » !
Sous le saule pleureur, ELLE rigole doucement, car elles ne la voient pas.
Mais ELLE les entends et doucement replonge vers la nostalgie
du temps des cris dans la coure de récréation,
quand la grosse cloche sonnait la fin des devoirs….

…Tiens j’entends carillonner au clocher
C’est le 26 juillet
Tous sont réunis
Les anciens comme les nouveaux amis
Pour les voir passer
Pour les saluer


Avec douceur ELLE se souvient du Gaston qui courait derrière ELLE. Petit Pierre, qui l’attendait après le souper,  pour aller au bord de l’Orne, goûter encore une dernière fois, avant de rentrer se coucher,  les délices de l’eau rafraîchissante entre les doigts de pieds, en ces chaudes journées d’été. Et puis il y avait Maria,  la complice des jeux de mots. Son amie, presqu’une soeur tant elles se complétaient et s’entendaient à merveille.  Maria avec qui ELLE inventait des histoires de princesse et de prince charmant vêtus d’or et de diamant, tel Solaire illuminant le ciel…

…Le soleil resplendit
ce 26 juillet, tout leur sourit !
Un vœu ?
Mariage d’amoureux….mariage heureux !
Plus qu’un souhait.
J’entends carillonner au clocher.

c'est fête au village de toujours
ELLE est de retour
Val se marie
Vindiou.... qu'elle est jolie !

plus qu'un conte, cet article est une fiction des gens du pays,.
Cette nouvelle arrangée pour la p'tite histoire est
un voeux de bonheur pour VAL
 
qu’est AUJOURD’HUI

toute de coton parée…


"
HE
sylvie stop !!!!
c'est en rien à voir avec la consigne c’que tu nous chantes là !
-"mais non, c'est bon, t'inquiètes.... écoutes voir
"

C’est un après midi comme un autre
Il fait bon sous le saule pleureur.
A l’abri des regards, ELLE aime venir s’y reposer.

Loin des yeux de chacun négligemment elle retire une manche,

et se laisse dévêtir d’un coup de vent pour se retrouver

aussi légèrement vêtue qu’une promise en sa nuit de noce.

 

-« hé m’dites pas qu’c’est pas hérotique

qu’ça « NUE sous l’saule » !

23 juillet 2009

69… consigne érotique ! ( rsylvie)

Ce matin, pour la première fois depuis longtemps,
j’ai ressenti comme un penchant tout particulier
envers la feuille de mon "blog d’écriture".

La pâleur de son teint, semblable à l’ivoire de cette perle,
que tu portes quelque fois au cou, m’a troublé les sens.

 

Moi d’habitude si pudique, j’aspire à cet instant de bonheur où,
les mots savamment orchestrés, se marient entre eux 

pour former une harmonie que l’on appelle romance


Je me surprends à rêver au stylo qui,
d’un geste,
d’un trait mal à droit,
vient caresser la page blanche,
pour l’inonder de bleu.
Semblable à tes yeux, quand ils me disent encore.

J’espère la violence de l’idée qui se fait obsession.
d’un geste je retire cette armure, qui me ceint la taille.

J’envie la plume qui, méthodiquement, place les mots ça et là vers le texte.
Comme moi, je pose les mains sur ton corps, quand il s’offre à moi

.

J’aspire à cet instant magique, où l’on ne voit plus que la représentation
artistique des phrases, qui se mêlent les unes aux autres.

Pareille à notre image
après l’amour, 
endormis dans les bras l’un de l’autre.

Je désire cet instant de jouissance, où l’écrivain,
comme un cheval fourbu après la bataille,
s’effondre maculé de sueur, du devoir accompli.

-"My god!!!
... que cette consigne m’inspire
"

21 juillet 2009

l'effeuillade (rsylvie)

il me manquait de retrouver cette odeur bien particulière des bords de mer. Alors sans vraiment tenir compte de l’heure avancée, je pivotais et prenais la direction opposée.
La grande porte d’entrée était en chêne. La trace du temps avait marqué son passage, elle n’en était que plus belle. C’est avec beaucoup de respect que je franchissais le seuil de la demeure me jetant à corps perdu dans la nuit noire. Sous mes pas la gravier faisait de petits crissements qui me rappeler de redoubler de discrétion afin de ne pas réveiller ou alerter la famille endormie. Mais tout le monde ne dormait pas. En levant les yeux vers l’immense bâtisse. Je vis 3 fenêtres encore éclairées. En cherchant bien la disposition des différentes pièces. Je devinais la chambre de mes parents, celle de mon cousin p‘tit Pierre et celle de Camille.


Ahhhhh Camille… douce Camille.
Maintenant que je t’ai retrouvé je sais que dans tous mes songes…. mes désirs, mes rêves les plus fous, c’était toi, toujours toi ma douce Camille.

Au pied d’un très vieux saule pleureur je m’installe confortablement, le regard fixé sur l’unique fenêtre restée allumée.

Ohhh Camille, le spectacle qui s’offre soudain à mes yeux me transporte de joie.


Dans un halot de lumière, tu apparais simplement vêtue de ton costume de scène.

La pièce est terminée, ce fut une réussite. Les spectateurs debout ont applaudi tant et tant qu’il y a eu plus de 6 rappels. Et ce succès te revient de droit. Toi l’héroïne de mon histoire… la tragédienne de mon cœur, je me meurs à petit feu de ne pouvoir t’approcher, te toucher.

Les mains moites, le corps frémissant,

assis par terre, j’assiste impuissant, à l’effeuillage d’une fleur.

tel un nénuphar s’effeuillant d’un pétale à l’autre à la douceur du soleil, tu offres au miroir de partager l’instant. Négligemment, tu portes la main vers le cordon qui enlace une taille finement dessinée. Délicatement tu effleures d’une main l’épaule, faisant glisser une brettelle et découvrir la naissance d’une poitrine jeune et arrogante.

Le torse dénudé, tu te mets en devoir de retirer l’enveloppe qui entrave des jambes au galbe discret d'une élégance vertigineuse.

Et, le plus naturellement du monde, tu retires une blanche dentelle et là, devant le miroir, tu restes nue, offerte à la nuit.

Tel un roseau vibrant sous la caresse du vent, je sens en moi s’affirmer une virilité, qu’un élan passionnel ne fait que renforcer.

Tout mon être s’élève vers toi

Mes bras t’attirent… Tendrement, ta tête se penche vers moi.

Mon épaule , tel un champs de blé de ta chevelure,

Frissonne au rythme de nos cœurs à l’unisson.

Sur mes yeux, tu déposes une perle de rosée.

Je suis au paradis, tu t’offres à mon étreinte.

Mes mains enhardies par la chaleur de ta peau, s’égarent par de vers toi.

Et toi, sans livrer bataille, confiante tu te laisses conquérir.

Je suis en nage. Le froid de la nuit tombée me fait frissonner.

Le nez au vent, perdu dans mes pensées, je n’ai même pas vu que tu avais éteint la lumière. Machinalement je relève le col de ma veste et me lève fébrilement. Je suis épuisé. Un coup d’œil vers ma montre indique qu’il est 0h35 et qu’il serait grand temps d’aller se coucher si je veux faire bonne figure demain, enfin plutôt ce matin

18 juillet 2009

"pour un petit coin de paradis" suite et fin (rsylvie)


……les mains jointes sur la poitrine,

bien en dessus des draps de lit,

sœur Marie Rose de l’enfant Jésus ferment les yeux

« une nuit, j’ai fait l’amour avec la mer »

« sœur marie rose de l’enfant jésus,,,, venez vite, venez vite

il y a le feu dans l’aile gauche de la tour saint benoit … 

vite vite venez, vite ! « 

Encore dans son rêve lointain, elle ne réalise pas vraiment.

Ce n’est que le son de la cloche de la sacristie qui la tire du sommeil,

 et lui fait prendre conscience de la tragédie qui se joue salle des béatitudes.

En moins de temps qu’il ne le faut pour l’écrire, elle est debout et enfile la chasuble bleue roi, symbole de la congrégation des hirondelles. Dans le couloir c’est la panique… à grands coups de manches dans tous les sens, s’envolent les oiseaux de paradis.

Mes sœurs, mes sœurs, ressaisissez vous !

Et que l’on appelle les pompiers. »

-« Oui c’est cela. Que l’on appelle des pompiers »

-« Les pompiers…. Au secours » !

-« Eau secours !

oups pardon, je m’égare !! »

-« Bénit soit cette eau qui nous tombe soudainement du ciel

 devriez vous dire, sœur Dominique !

Sœur Miséricorde couvrez vous,et

 allez donc leur ouvrir, j’entends la sirène. »

Dehors le combat fait rage. Les langues rougeâtres lèchent avec gourmandise les façades du XIIX siècle. Tel Belzébuth se querellant avec les gardiens du temple, le feu et l’eau s’unissaient dans un tourbillon d’éclairs plus flamboyants les uns que les autres.

Au pied de la grande bibliothèque, les pompiers oeuvrent de leur mieux. Tel des archanges des temps modernes, les hommes se battent pour libérer le monastère de l’emprise du démon. Quand soudain son regard croise les yeux du capitaine Michelangelo.

Là sur la grande échelle, tel Michel Ange chevauchant la Sixtine

pour y laisser son empreinte. Ce ne peut être que lui.

Comme frappée par la foudre,

sœur Marie Rose de l’enfant Jésus s’écroule et reste prosternée, incapable de dire un mot.

Ce n’est qu’à l’aurore que le feu est enfin circonscrit. Jamais telle agitation n’avait été observée au sein de la congrégation. De toute part c’était embrassades et congratulations.

Sœur Marie Rose de l'enfant Jésus, avait jusque là réussi à l’esquiver, mais à présent cela était impossible. Car il était bien là, à deux pas de son cœur, à fleur de peau de sa bouche.

Alors comme si, les aiguilles du temps s’étaient arrêter en ce jour de juillet sur la crique des Pins. Aussi timidement qu’à ses 16 ans, Rose se laissa envahir par le feu du désir qui vous habite et vous porte par de là l’extase.

Les yeux dans les yeux, il la regarde et la désire comme au premier instant. Aucune n’a jamais réussi à lui faire oublier l’odeur de sa peau, la chaleur de son étreinte, la délicatesse de ses gestes, le battement de son cœur…

Il l’avait tant aimée que ses lèvres avaient encore le goût salé de sa bouche

-« Sœur Rose de Marie … dites vous » ? sont les seuls mots qui lui viennent à l’esprit, la main dans celle de la responsable de la congrégation des Hirondelles.

-« oui, en fin non, plutôt Sœur Marie Rose de l’enfant Jésus

depuis maintenant 4 années » répondit-elle.

4 années déjà. Mais alors, elle n’a que 20 ans. Et à cet age tous les projets d’avenir sont permis. Oui tous, car en ce moment Michelangelo rêve d’une nouvelle vie auprès de celle qu’il vient de retrouver et s’est bien décidé à ne pas laisser partir une seconde fois. Mais l’affaire semble corsée !

 

Corset ! voilà ce à quoi il pense depuis cette nuit d’automne où ils avaient été appelés en urgence à la caserne pour éteindre un feu au couvent des Hirondelles. Le travail avait été long et pénible, mais ses collègues avaient bien fini par circonscrire le foyer principal. Mais pour celui de son cœur, c’était une autre affaire. Et oui, depuis que ses yeux avaient retrouvé le chemin de son cœur, il n’avait de cesse de vouloir qu’elle devienne sienne pour la vie. Son envie était si intense qu’il passait ses nuits à rêver des baisers qu’ils échangeraient …

Lui tendre et prévenant, déshabille fébrilement une taille qu’un joli corset bleu roi enlace méticuleusement. Il caresse la nuque d’une main et de l’autre retire négligemment une mèche de cheveux. Un cou de signe laiteux, se laisse conquérir par une vague de baisers, que seul l’attrait d’un mamelon frémissant détourne d’une déferlante impulsive. Sous la caresse d’une main ferme et conquérante, la poitrine se soulève au rythme des assauts d’une langue indiscrète que l’hardiesse d’une victoire annoncée, émoustille et ravit à loisir.

 

Convoquée par la mère du saint siège!

Voilà ce qui met sœur Marie Rose de l’enfant Jésus en rage. Depuis cet incendie, tout tourne de travers dans le monastère. Les nonettes de la congrégation ont le sourire aux lèvres. La mère Marie Noel fait des sermons plus longs qu’à la coutume, sœur Dominique fredonne en permanence… et qui plus est, la supérieure la convoque dans son bureau.

sœur Rose Marie de l’enfant Jésus, il faudrait vous ressaisir » !

depuis cette nuit tragique, votre esprit n’est plus parmi nous. Je vous vois bien au moment des prières. Vous êtes ailleurs. Votre conviction n’est plus la même. Mon enfant, je comprends votre désarroi, mais il vous faut faire un choix. On ne peut aimer un homme et Dieu à la fois. Je vous laisse jusqu’à demain pour me donner votre réponse. Que notre sainte Vierge Marie vous vienne en aide ».

 

……les mains jointes sur la poitrine,

bien en dessus des draps de lit,

sœur Marie Rose de l’enfant Jésus ferment les yeux.

Sous la chemise de coton le corps d’opale d’une fleur pure et fragile,
lutte contre ses démons. Le cœur en feu l’enfant de la plage se rappelle la douceur des mains
sur sa peau, la chaleur de son souffle sur sa bouche. Et le délice de sentir monter en soi
le plaisir naissant qui conduit mystérieusement à l’extase.

Petit à petit, se laisser pénétrer pour ne plus faire qu’un.

Etcela l’amour de Dieu ne pouvait pas le lui donner… mais
le beau pompier pouvait-il le lui donner ? elle ne savait rien de lui, était-il marié,
seul,,,,,,,, libre de toute entrave.

Que faire, surtout qu’il n’avait pas donné signe depuis l’intervention ? Attendre un signe.

Les mains jointes sur la poitrine,

bien en dessus des draps de lit,

Rose ferment les yeux…

15 juillet 2009

par une chaleur pareille, ... rien de mieux qu'une p'tite consigne érotique ! (Rsylvie)

 

Maintenant que sœur Marie Rose de l’enfant Jésus, savait devoir passer le restant de sa vie derrière ces murs, rien n‘avait plus d’importance. Non vraiment rien ! Bien sur elle aurait pu se révolter, désobéir au choix familial qui envoyait son frère aux armées des Indes, la condamnait à la prière et la chasteté. Mais non, rien… pas un mot.

Pas même un soupir, non rien. Un soir d’été, elle avait connu le loup…

de mer alors, comme si le feu qui activait ses sens depuis ce rêve d’une nuit s’était soudainement éteint, elle garda les mains jointes sur sa poitrine et se remit à prier……

C’était un soir, sur le chemin qui mène à la crique.

Insouciante, Rose se dirige vers l’océan afin d’aller s’y baigner les pieds.

Il fait si chaud en ce mois de juillet que l’idée d’une promenade au bord de l’eau,

 loin de l’agitation de la maison familiale lui paru des plus rafraîchissante.

 L’esprit libre de tous ces projets d’avenir que l’on veut faire pour elle, Rose n’est plus qu’à un détour de la plage, quand ses yeux se posent sur une silhouette masculine au bord de l’eau.

L’homme, d’une vingtaine d’année ne semble pas porter d’importance à l’environnement. C’est ainsi qu’en moins qu’il ne faut pour l’écrire, il commence à se dévêtir et jeter négligemment sa chemise vers le sol. D’un geste rapide, il fait glisser le corde qui lui ceinture la taille et déboutonne d’une main habile les 3 boutons qui finissent de maintenir le jean sur les hanches.

Soucieuse de ne pas troubler l’instant, l’adolescente s’assoie sur un banc placé là, et en profite pour retirer les espadrilles qui enlacent ses chevilles. Rose d’émotion, elle lève à nouveau les yeux vers la plage, pour apercevoir le bel échassier, retirant la toile bleue faisant découvrir la partie charnue de son anatomie.

D’un pas assuré l’apollon, dont le hale de la peau laisse deviner qu’il est plus qu’un simple vacancier, s’est jeté dans les vagues pour disparaître dans le sillon d’un poisson argenté.

Happée par le sac, et le ressac… Rose avance silencieuse.

Le sable encore chaud des rayons du jour, lui caresse les pieds.

Les yeux rivés sur l’horizon, elle s’engage par delà les vagues.

Les ailes du vent soulèvent le voile d’une robe qu’éclaboussent des perles océanes.

Sirène d’un instant, elle se dirige vers le large et rejoint l’amant des eaux troubles.

Rose est jolie…

Les doigts se cherchent, les corps se frôlent. Au rythme des eaux bleues, les corps s’attirent et se repoussent.

L’homme est charmant…

Les yeux se cherchent, les mains se trouvent. Au rythme des eaux bleues, les bouchent s’appellent et s’enhardissent.

En cet instant, ils sont jeunes, beaux et Rose… insouciante et heureuse.

……les mains jointes sur la poitrine,

bien en dessus des draps de lit,

sœur Marie Rose de l’enfant Jésus ferment les yeux

« une nuit, j’ai fait l’amour avec la mer »

8 juillet 2009

défiCLE (rsylvie)

La clé  ou la cléf ?

La clémentine et la clémence.

La clé0pattes

la clé UBS !

La cléVoulez vous ?

 

Bien sur il en est tant étang qu’elle ne savait plus à laquelle se vouer.

Le passe partout en poche, elle se dirigea vers le crochet et décida d’en faire l’inventaire.

 

D’abord par ordre de taille. De la plus petite à la plus grande,

des petits mots clés, à lourd passe partout de l’église.

Par ordre géographique, en reliant d’une seule traite au moyen de sa bicyclette

 la clairière et la clé des champs.

Puis par ordre de valeur. Mais, de la clé de sol ou de fa,

comment savoir quel rossignol sonnait le plus juste.

Impossible de dire à laquelle se fier. Il en était de même, quand elle prit dans les mains la clé du coffre à jouets et la clé du coffre de la banque pour les ranger par ordre de prix !

Vint l’ordre d’arrivée, de la clé de la maternité à la clé du paradis..

de Adam à Dieu le père, qui fait la poule et qui fait l’œuf ?

Et puis il y a aussi, la clé de douze, la clé de huit… la clé de nulle part !

Alors de là à la clé de la réussite, il n’y avait qu’un pas !

Soudain… Non d’un trou sot !

Mais c’est bien sur

Woody Allen 

Lui seul détenait la clé du succès !  

"Non seulement Dieu n'existe pas.

Mais essayez donc d'avoir un plombier le week-end."

29 juin 2009

"puzz'ltions" (rsylvie)

-"hé merde ! j’ai perdu une pièce !
Jean Paul chéri, tu m’aides à ranger les morceaux du puzzle ?

tu es

» ?

–« mais là, ma chérie »

-« Nu » ?

–« sous le soleil »

-« Allongé sur le dos » !

–« nous discuterons de la forme des nuages

de la caresse du soleil sur ta peau

des petites bêtes qui peuplent la lande»

,

-« ben dit donc, ça t’inspire .. j’savais pas tes talents cachés pour la poésipuzzlienne.

par contre je crois que tu es entrain de tout mélanger à force de gigotter dans tous les sens et te trémousser de la sorte. Je sais pas ce que tu as, mais tu me sembles bien excité d’un coup !

Allé sois sérieux, je ne voudrais pas qu’un morceau soit écorné, je ne pourrais plus l’entrer dans son orifice !

T’inquiètes ma puce, je gère .

Regardes, j’en ai retrouvé un

oups ! pardon j’m’ai trompé » .

-« jean PAUL !

c’est amusant comme l’esprit peut vagabonder rien qu’à farfouiller ou tripoter

ces jolies formes arrondies. Regarde celle-ci,

on dirait comme une paire de fesses.

Si, j’t’assure. ,

ça me fait le même effet ! » 


Jean Paul merDE, tu t'concentres oui ?

ou alors, c’est pas la peine de faire mine de m’aider parc’que tu vas voir

tandis qu’à l’horizon, l’adversité tisse ses noirs dessins »…

pupuce…. Là comme ça sur la moquette…

parmi les pièces de puzzle… J’ai envi de toi.

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Le défi du samedi
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