« Allo JULIETTE? C'est CHARLIE» « Hein ? » « Tu me reconnais pas ? BRAVO ! « C'est une blague ? » «Y a de l'ECHO sur ta ligne... parle plus près du MICRO » « Qu'est-ce que ça veut dire ? » « Ça te dirait un tour au QUEBEC en NOVEMBRE avec PAPA ? » « Papa, Echo, Charlie ? C'est qui à l'appareil ? » «C'est OSCAR ! T'es pas drôle JULIETTE » « Oscar ? J'connais pas d'Oscar » « Ou bien on va faire un GOLF à l'HOTEL, après je t'offre un WHISKY » « Ça suffit ces conneries ! » « Raccroche pas JULIETTE, c'est RAOUL » « Raoul ? Quel Raoul ? » « Ecoute, on se retrouve au YANKEE. T'es toujours fan de TANGO ? » « Euh... le tango c'est pas mon truc » « C'est quoi ton truc ? » « Le fox-trot » « Ah ? Mon oncle avait un fox-trot à poil dur qu'il appelait ZOULOU... une vraie teigne. Tu préférerais pas plutôt qu'on aille... » (Clic)
« Complètement taré ce Raoul... et j'm'appelle pas Juliette »
- Super ! Tu la laisses danser et tu vas t'asseoir à la buvette pour écrire...
- Trop bruyant !
- Tu trouves un endroit calme...
- Et à l'ombre ! Pas facile ! C'est pour quand ?
- Ce soir, dix-sept heures.
- Dix-huit heures ?
- Dix-sept heures trente dernier carat et tu me joins quelques photos !
- Sur quoi ? Les melons, les chiens, les renards, les manèges, les stands de brocante ?
- Ce que tu veux, histoire d'illustrer ton texte sur le fox-trot.
- ...
- Merci Vince, n'oublie pas le fameux titre du bouquin de publicitaire...
- "Ne dites pas à ma mère que je suis dans la pubicité, elle me croit pianiste dans un bordel" ? Ça serait plutôt : "Ne dites pas à ma mère que j'écris un article sur le fox-trot (auquel je ne connais rien), elle me croit en train de faire une sieste sous un arbre avec une boisson fraîche après avoir écumé les stands de brocante pour trouver un vinyle", pour faire court !
- Ça roule !
Allez, une bouteille d'eau, un banc à l'ombre, mon carnet, mon stylo, mes lunettes et... je m'y jette !
Pendant que les bigotes font cuire de la compote Et pendant que Charlotte ramasse des griottes Que Javotte fait sa partie d’belotte Qu’Annelotte fourgue sa camelote Et que les dysigotes complotent Lancelot revêt sa redingote Il enfile lentement ses bottes Et quand les souris trottent Au cri de la hulotte, sa mascotte Liselotte s’enfuit de sa paillote Et comme elle a les chocottes Elle s’éclaire avec sa loupiote Tous deux iront à « La joyeuse gargote » Où ils feront danser toute la nuit le fox-trot Dans une ambiance hot ! hot ! hot ! Pour les chochottes, les patriotes Et les compatriotes
Fox-trot, j'te jure ! Y en a encore qui vont réclamer du français...
D'autant qu'en France, cette danse de salon que l'on nomme "Fox-trot" en Belgique et ailleurs, s'appelle plutôt... "Slow fox" (et ne me criez pas "Va doucement Killy !").
Si vous avez jeté un œil au titre de ce billet, vous pensez peut-être que je m'auto-encense pour avoir dégoté ce merveilleux vocable mais il n'en est rien.
C'est que chez moi, Fox-trot évoque immédiatement l'alphabet phonétique de l'OTAN utilisé pour épeler les mots essentiels lors des communications téléphoniques ou radiophoniques (mais si vous connaissez : "Allo Papa Tango Charlie"). C'est que je l'ai utilisé quand j'étais "planchette" à la batterie B (Bravo) du premier régiment d'artillerie (une batterie d'obusiers de 105mm montés sur affûts de chars Sherman hérités du débarquement).
Parce que dans ma folle jeunesse, j'ai été artilleur pendant six mois, à Spich, en Allemagne. Oui, non seulement j'ai été militaire mais mieux : j'ai fait la guerre ! Bon, froide la guerre, mais la guerre quand même, n'ayons pas peur des mots (ce qui serait un comble dans un blog comme celui-ci)... Pour voir comment ça se passait, jetez un œil au point 18 de ce vieux truc.
Pour les six derniers mois de mon service, je me suis planqué à Bruxelles au laboratoire du service de réception de l'armée, j'y testais les produits pétroliers, c'était un peu moins glorieux et on n'avait plus besoin du dit alphabet.
Z'avez bien tout compris ?
Ah, ça fait du bien de revenir au botter en touche, Bravo !
Personnellement, je n'en ai vu qu'une de ces (ou ses) expos : celle du Cinquantenaire à Bruxelles en 2004. Elle s'est déroulée dans le Musée de l'automobile, nous y étions allés avec nos petites-filles. C'était en février et à l'époque février était encore un brin frisquet, y a qu'à voir les chaussures des gamines.
C'était un peu bizarre ce mélange de Chats et de vieilles chignoles.
Bref, pour nous réchauffer, nous avons clôturé la visite au resto de l'endroit et les filles ont joué leur petit Geluck en attendant les plats.
Ouais, bon, y avait pas de quoi monter une expo et d'ailleurs, je ne m'appelle pas Geluck, ni même Docteur G !
Chat alors ! J’ai laissé passer la mi-août sans clamer avec Ray Ventura qu’à cette époque de l’année « c’est tellement plus romantique » !
Avant de déménager vers notre résidence d’automne ou notre palais d’hiver - en fait je ne bouge pas, je ronronne chez moi après mes folles nuits sur le toit - je passerai en revue cette semaine la gent féline, les Raminagrobis de tout poil qui encombrent ma mémoire quasi inutilement puisque, à part mon épouse, je n’ai pas d’animal chez moi. « Je n’ai jamais eu de chat, ou alors y’a longtemps ou y sentait pas bon » (Jacques Brel). C’est parti pour une partie de mistigri !
Puisque nous sommes dans la chanson commençons par là : le père Lustucru, qui est pourtant bonne pâte, n’a toujours pas retrouvé le chat de la mère Michel. C’est dommage parce que c’est peut-être dans la queue de ce chat-là qu’était caché l’esprit cher au médium dans la chanson des Frères Jacques. Henri Salvador, déguisé en matou, n’a toujours pas capturé Minnie la petite souris. Aristide Bruant cherche toujours fortune autour du « Chat noir », cabaret dans lequel j’ai trouvé beaucoup de mes amis. Georges Brassens regrette toujours cette « Putain de toi » qui a posé sur lui sa patte de velours et la jeune bergère Margoton qui dégrafait son corsage pour donner la gougoutte à son chat. Steve Waring, « l’inchantable », n’a pas pu se débarrasser de son matou qui revient dans ses pattes le lendemain matin, même quand on l’expédie en fusée trouver une place idoine à ce fêlé d’Elon.
A côté de celui-là, bien qu’il soit plus célèbre encore, le chat qui disparaît en laissant son sourire en place à Chester, au Cheshire et surtout dans le pays des merveilles d’Alice de Lewis Carroll est d’une discrétion et d’une distinction rares. Il en est d’autres qui la ramènent un peu plus comme le Chat botté ou celui qui est perché sur les contes de Marcel Aymé. Je ne vous embêterai pas avec Parpagnacco, le chat de Venise dû à la plume de Louis Guilloux car personne ne le connaît à part mon vénérable beau-père et moi-même. Il doit bien traîner chez Madame Colette ou M . Léautaud des textes sur leurs nombreux chats.
Anthropomorphe ou pas, le chat a pris sa place près du radiateur chez le cancre du fond qui préfère aux livres les bandes dessinées. Hercule s’entend tellement comme chat et chien avec son ennemi Pif qu’il arbore en permanence un sparadrap sur son museau jamais placide. Le siamois du capitaine Haddock donne au chien blanc Milou, dans les Sept boules de cristal, l’occasion de créer un mémorable ballet graphique dont Nestor, le majordome, est la malheureuse victime. Le chat de Gaston Lagaffe mène avec la mouette rieuse une autre danse affolante dans les locaux du journal Spirou. Pour des raisons purement idéologiques je connais moins Pat Hibulaire qui officie chez M. Disney. Autour de moi on aime beaucoup « Le Chat du rabbin » mais j’apprécie assez peu le dessin de Johan Sfar et le graphisme des bédés d’après l'an 2000. Félix le chat n’est jamais passé par chez moi, de même que Titi et Sylvestre (Grosminet ?), Garfield, Tom et Jerry mais je les connais et j’ai eu droit aux joyeux délires partouzards du dénommé Fritz the cat de Robert Crumb, surtout au cinéma. On est loin ici, j’imagine, de « L’Espion aux pattes de velours » et des « Aristochats » de l’oncle Walt. Et des vidéos de chatons envoyées sur internet. J'ai aimé aussi les calembours de Siné à propos de l'animal moustachu.
Retrouve-t-on un peu de dignité avec le « Duo des chats » de Rossini ? De quoi parle « La Chatte sur un toit brûlant » ? Qui connaît les jolis chats de Ronald Searle qui me séduisirent à Paris lorsque je vins m’y poser à l’âge de vingt ans ? Le groupe de rock-twist des années 60 « Les Chats sauvages » a-t-il laissé un titre impérissable avant de nous faire cadeau de Dick Rivers ? Qui se souvient encore, à Rennes, du café « Le Chat qui pêche » qui se trouvait place Saint-Germain ? Pour toutes ces questions, je donne ma langue au chat ! Mais dans la lignée des chapitres précédents de cette série d’été, on se rappelle très bien la Pomponnette de « La Femme du boulanger » de Pagnol.
Pour terminer, je souscrirai volontiers à l’idée de Jacques Sternberg selon laquelle toute la société a été organisée pour assurer le bonheur des chats qui deviennent ainsi, sans que les humains s’en doutent, les vrais maîtres du monde. Mais moi, je m’en fiche de cette vision-là : tant que ça ne déménage plus que ça dans ma mémoire, tant que mon unique neurone tient la route quand je monte « marouler » (1) sur le toit, tant que je ne « décaroche » (2) pas, comme disait ma grand-mère, je suis le plus heureux des hommes qui jouent le rôle bonnard de l’imbécile de service.
(1) en ch’ti (ou en picard) : faire la java, la cour, l’amour en émettant d’inqualifiables miaulements pour les chats grimpés sur un toit
(2) : perdre la tête, devenir fou, tenir des propos incohérents, radoter
Un calligramme est un poème dont la disposition graphique sur la page forme un dessin, généralement en rapport avec le sujet du texte. Le calligramme stimule l'imaginaire autant par son aspect visuel que par ses mots. Le calligramme est une forme poétique libre, c'est-à-dire que sa création n'est pas régie par un ensemble de règles. L'auteur peut donc laisser aller son imagination. Ce poème est interprété en deux temps. Tout d'abord, il faut l'analyser visuellement et ensuite, faire le lien entre l'image et le texte.
IX.
NB : Chaque poème que j'ai publié ici cet été a été précédé par une définition des formes que j'ai prise directement de soit Alloprof, soit Wiki, d'où la précision des explications. Elles n'ont pas été de moi, évidemment ! - joye
Elle aura passé sous les ponts tous les siècles des siècles écoulés guerres et flonflons reflétés maints et maints couvercles traversé villes et cantons sans trop faire d’histoires bien qu’il fût si loin, l’horizon elle voulut toujours y croire
Au Sud de la Loire, est-ce déjà l’Afrique ? Ou bien les gens là-bas ne sont-ils tous que des fadas ?
Notre bistrot-mémoire de la semaine sera consacré aux habitants de ces régions où l’eau est si rare que c’est criminel de boucher les sources et que c’est un délit de jouer comme sur cette photo à l’arroseur arrosé (un film des Frères Lumière, natifs de Besançon donc hors sujet !). Amusons-nous avec les gens venus du Sud !
A tout seigneur tout honneur, je viens de rendre hommage sur le site Filigrane à Marcel Pagnol dont j’ai redécouvert « L’Eau des collines » grâce à Jacques Ferrandez, bédéaste bath. Je connaissais les deux films de Claude Berri et surtout la trilogie « Marius » « Fanny » « César » avec son « Tu me fends le coeur ! » de la célèbre partie de cartes. Je peux ajouter les célèbres "moutonsses" de Louis Jouvet dans « Topaze » mais je ne sais pas trop ce que c’est que le « Schpountz » ni qui est « Merlusse ».
Un autre zélateur de la Provence, Monsieur Alphonse Daudet, est né à Nîmes. On connaît bien les lettres de son moulin, sa chèvre de Monsieur Seguin, son curé de Cucugnan, bien plus que le hussard sur le toit – quelle idée de monter là-haut par 38° ! - de M. Giono dont je n’ai rien lu. Je zapperai également M. René Char de L’Isle-sur-la-Sorgue dont les oeuvres poétiques ne figurent pas sur ma table de chevet.
Mais je n’oublierai pas en chemin Alibert et Darcelys, leur Petit cabanon et leur Partie de pétanque ni Fernandel avec son répertoire plus parisien et plus coquin : Félicie aussi, L’Ami Bidasse, La Caissière du grand café, Barnabé, Ignace, La Bouillabaisse.
Parmi les figures marseillaises plus récentes que Marius et Olive et que la sardine qui bouche l’entrée du port et fait jaser sur la Cane Cane Canebière, il y a bien sûr Robert Guédiguian et sa bande, Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin, Gérard Meylan (Marius et Jeannette) et aussi Emmanuel Mouret (Caprice, L’Art d’aimer, Changement d’adresse) qui prolonge au cinéma l’art de Marivaux et la veine d’Eric Rohmer.
Décalons-nous un peu à l’Ouest. Arrêtons-nous à Sète et avouons que nous connaissons plus de chansons de Georges Brassens que de poèmes de Paul Valéry. Rappelons-nous le séjour que nous y fîmes, la visite du cimetière marin, de Bouzigues et le vent qui aurait emporté le chapeau de Mireille (Mathieu?) le dernier jour. Tramontane et Mistral ne tournent pas la tête aux gens au nord de la Loire : ici les vents n’ont pas de nom.
A Narbonne est né le fou chantant, Charles Trénet. « Douce France », « Boum », « L’Âme des poètes », « Le Jardin extraordinaire », « Le soleil qui a rendez-vous avec la lune » et la bonne qui se donne du plaisir avec une passoire. Encore un joli fada, dites donc !
Castelnaudary nous a donné Pierre Perret qui ne nous fait plus vraiment rire avec ses dernières provocations mais dont nous avons aimé « Lily », « Le Café du canal », « Blanche », « Le Facteur », « Quand le soleil entre dans ma maison » et « Donnez-nous des jardins ». Toutes ses gauloiseries, « Estelle », « C’est le printemps » ou « Le Zizi » furent bien nécessaires et appréciées à l’époque opaque où elles sortirent mais sont redevenues taboues aujourd’hui où le monde l’est (à bout, le monde est à bout).
Chez les Piscénois, à Pézenas nous avons hérité de Boby Lapointe, sa Maman des poissons, ses avanies, ses framboises, ses virées en Aragon et en Castille avec un sentimental bourreau, son père et ses verres, sa méli-mélodie. Un personnage unique en son genre, admirable en tout.
A Lagrasse est né Charles Cros, auteur du "Hareng saur" et des délicieux poèmes du "Collier de griffes" et du "Coffret de santal" ainsi que du « Sidonie a plus d’un amant » de Brigitte Bardot.
Montpellier nous a donné Léo Malet, le créateur de Nestor Burma. Toulouse a vu naître et chanter Claude Nougaro ("Je suis sous sous sous sous ton balcon", « Cécile ma fille », « Ô Toulouse », « Le Coq et la pendule », « Le Jazz et la java », « Armstrong »)
Montcuq fut le dernier refuge de Nino Ferrer et de sa Mirza. Il y habitait la maison près de la fontaine, dans le Sud de la ville et oublia toujours – quel cornichon ! - son parapluie quand il partait en pique-nique.
Bergerac nous a donné Cyrano mais la célébrité de ce Savinien lunatique est surtout due à la plume d’Edmond Rostand, autre Marseillais notoire.
L’Auvergne nous a donné Fernand Raynaud sans lequel la blogosphère belge ne serait pas ce qu’elle est !
Le Limousin nous a fait cadeau de Raymond Poulidor, la Vendée de Yannick Jaulin et Saint-Etienne a sorti de son chaudron magique un Bernard Lavilliers aux mains d’or.
Tchic a tchic a tchic aïe aïe aïe ! J’ai failli oublier le pays basque et Luis Mariano, sa Belle de Cadix, son Mexico et son Rossignol de ses amours !
De même que Tino Rossi (Catarinetta bella tchi tchi !), i Muvrini et « L’Affaire corse », une enquête de Jack Palmer par René Pétillon.
Je sais que François Mauriac est associé à Bordeaux mais je m’en fiche ! Sa littérature n’est pas ma tasse de thé et Thérèse Desqueyroux, si elle ne me sert pas des grands crus qui font des petites cuites ou même le petit Bordeaux clairet de la supérette voisine, elle ne m’intéresse pas !
Je ne franchirai pas les Pyrénées d’où j’aurais pu ramener Salvador Dali et Carlos Nunez. Je ferai l’impasse sur l’Italie qui mérite un chapitre à part ! Des Grecs et des Pieds-noirs, je sauve pour terminer Angélique Ionatos et Georges Moustaki, Guy Bedos, Jean-Pierre Bacri, Georges Wolinski et surtout Enrico Macias qui a si bien chanté… les gens du Nord … de la Loire !
Un grand nombre de formes poétiques sont libres, elles n'ont pas de structure définie. Elles se distinguent par leur sujet, leur registre, leur longueur, selon les cas. À partir du XIXe siècle, les poètes privilégient les formes libres.
Je ne vous donnerai pas, chers participants, de tuyau pour réaliser le devoir de cette semaine !
Je suis moi-même assez contrarié par ce sujet ridicule.
Et non, je ne vous dirai pas où cette photo a été prise. Seulement que c'était à l'occasion d'un barbecue.
Oui, vous avez parfaitement raison : les deux protagonistes de la scène, malgré leur tuyau d'arrosage, auraient intérêt à ne pas trop s'approcher du foyer sous peine de rejouer le martyre de Saint Laurent sur son grill.
Vous auriez peut-être été plus inspirés si je vous avais proposé une scène ultérieure de la performance de ces joyeux drilles, encore que je doute...
Comment ? C'est à vous de juger ?
Bon, vous l'aurez voulu !
J'avertis quand même les âmes sensibles de s'abstenir, même si j'ai pris la précaution d'y flouter ces endroits que, pour citer le bon Georges, rigoureusement ma mère m'a défendu de nommer ici et qui auraient pu blesser la sensibilité facebookienne de certains.
D'ailleurs, vous n'êtes pas obligés d'aller contempler cela, suffit de ne pas cliquer ici.