ROMANBIERE À CLÉ (Joye)
Devant ce défi musclé, je n'ai rien de taclé à
cercler, mes pieds nickelés, j'ai renaclé, pas de texte bâclé ni recyclé, oh non
! mais j'ai tout de même un peu sarclé en attendant ma raclée.
Devant ce défi musclé, je n'ai rien de taclé à
cercler, mes pieds nickelés, j'ai renaclé, pas de texte bâclé ni recyclé, oh non
! mais j'ai tout de même un peu sarclé en attendant ma raclée.
Un.
Il y a comme un éclair, un petit couic !
Deux.
La lumière, tenace, revient pour nous rassurer.
Trois.
Elle repart. Définitivement, cette fois-ci.
Quatre.
On attend. Un peu. Non, la lumière ne revient pas.
Cinq.
Appel chez la société d’Électrification Rurale.
Six.
Oui, ils sont – excusez l’expression – au courant.
Sept.
Allez, faut sortir la génératrice, pas question que les animaux meurent de chaleur.
Huit.
Le tracteur assure, ronron, il fait son boulot, que ce soit labourer les champs ou illuminer la ferme.
Neuf.
Tentative de rétablissement, oui, tout revient au normal, on rentre le 4020 au garage.
Dix.
Il y a comme un éclair, et puis un petit couic !
Au moment où le réveil a sonné, j'ai regretté d'avoir accepté ce voyage.
Au moment où le réveil a sonné, j'ai regretté d'avoir accepté.
Au moment où le réveil a sonné, j'ai regretté.
Au moment où le réveil a sonné.
Au moment.
Comme ça, je m’en allais vers un autre pays, où je ne connaissais personne, loin de tout.
Comme ça. je m’en allais vers un autre pays, où je ne connaissais personne.
Comme ça, je m’en allais vers un autre pays.
Comme ça, je m’en allais.
Comme ça.
Éperdument, je t’avais demandé de m’accompagner, mais sans une larme, tu m’as refusé.
Éperdument, je t’avais demandé de m’accompagner, mais sans une larme.
Éperdument, je t’avais demandé de m’accompagner.
Éperdument, je t’avais demandé.
Éperdument.
Et voilà que nous avons enterré tout notre amour, notre vie à deux, notre passion.
Et voilà que nous avons enterré tout notre amour, notre vie à deux.
Et voilà que nous avons enterré tout notre amour.
Et voilà que nous avons enterré tout.
Et voilà.
C’est ainsi que j’ai appris à vivre ma vie jour par jour, moment par moment.
C’est ainsi que j’ai appris à vivre ma vie.
C’est ainsi que j’ai appris à vivre.
C’est ainsi que j’ai appris.
C’est ainsi.
Keiko ajusta soigneusement l’obi de son kimono noir
et blanc ce splendide matin calme d’août. Il était déjà 8 h 13 et si elle
ne se dépêchait pas, elle serait en retard pour ses cours à l’université
d’Hiroshima…
D'abord, mettez fort la musique : http://listen. Montego_Bay
et puis mettez votre maillot,
préparez-vous un joli rum drink
et puis...dégustez !
I. DEVANT MOI, LA MER
Devant moi, la mer
l'horizon gris foncé
Et puis vert, vert, vert
des trous de
verdure là
en pleine mer
parmi les bleus
Et les vagues qui s'enroulent
qui se
précipitent vers moi
dans leur hâte de me connaître
Et juste avant d'arriver
elles sursautent
en crachant leur surprise
des bulles toutes blanches
Qui moussent et qui disent,
qui bourdonnent
et qui crient
Bienvenue,
la jolie
Comme nous sommes contents
de te
connaître
II. HILTON HIGH
Là, au bon bout de ce Paradis verdoyant
Au
bout du chemin, là, où le shandy t'accueille
Là, au bon bout du monde
Yé monne, iré
Le colibri à deux queues faufile de rouge en
or-
Ange parmi les taches de bleu et d'amour
Tu goûtes le cacao blanchement de sa coquille
Yé monne, iré
Les petits bouts pas blonds te chantent dans
leur école
Talé mi bananeux
L'accueil te réchauffe mieux que le rum punch
Yé monne, ya monne, yesse monne
Au bout du chemin où no woman no cry
Là au
bon bout de ce Paradis
Yé monne, iré
Talé mon bonheur
III. CLICHÉS DE MA PLAGE
Frotte-frotte, frotte-frotte
Le mec à côté
Est maintenant
Bien huilé
--
Ta verte transparence
Me coupe le souffle,
Puis être vague
N'est pas toujours un crime.
--
A faire :
Commander de la dorade
Pour ce lys
--
L'homme Très Important
Parle au GSM
Une
jolie fille le suit
A cinq pas derrière
--
Oui, et donc
Ce corps lisse
Ça te sert à
quoi ?
--
Papa à la grosse bédaine
Avec la fillette
aux genoux
Hou hou
--
Bonjour les doigts de pieds
Vernis dans
votre meilleur rouge
Vous me faites signe
Sur l'arrière-plan vert-bleu
- Pourquoi tu pleures ?
- ...
- Cette musique que tu écoutes ?
- ...
- Elle est belle ?
- ...
- C'est quoi cette enveloppe ?
- ...
- Ahhhhhh, on t'a envoyé un disque ?
- ...
- Comme cadeau ?
- ...
- Mais c'est gentil, ça, faut pas pleurer !
- ...
- Mais arrête de sangloter, ma chérie, est-ce si triste ?
- ... !!!
- Je peux écouter ? Oui ? Allez, donne un peu tes écouteurs.
- ...
- Glups ! Mais qui t'a envoyé ça ? Ah oui ? Alors, oui, je comprends que tu pleures.
- ...
- Bah oui, à entendre cette musique, c'est clair que la personne qui te l'a envoyée te déteste ! Ah oui, carrément !
- ...
- Bah non, ne pleure pas, on va se venger. On va lui envoyer du Tiny Tim, tu veux bien ? Alors, oui, c'est fini, hein, ces larmes. Va chercher ton manteau, on ira directement à la Poste après.
- ...
- Oui, oui, oui, ma douce, la vengeance est une platine qui s'écoute froide, parfaitement.
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Il faisait beau, ce jour-là, il y a quatre ans. Ce jour-là, Majid avait pris un seau rempli d’acide et il l’a versé sur la tête de la belle Amenah, la fière, celle qui avait refusé de l’épouser, la garce !
Ce jour-là, le corps d’Amenah s’est mis enfin à fondre devant les demandes de l’homme qui la désirait.
L’acide a rageusement rongé ses jolis yeux noirs. Il a fait liquéfier son beau visage. Il a transformé la jeune femme en noix de beurre amer – aveugle et cicatrisé.
Voilà comment Majid et l’acide ont cherché à l’embraser, enfin.
- Je n’ai rien fait de mal ! a-t-il protesté encore, tout en se moquant acerbement de la « hideuse » lors du procès.
Mais la loi du talion précise autrement.
La loi du talion dit un œil pour un œil, un corrosif pour un corrosif.
Et parce qu'un homme vaut
deux femmes, Majid perdra ses deux yeux. Le tribunal l'a condamné à
recevoir dix gouttes d'acide sulfurique dans chaque œil.
Amenah, qui avait proposé cette punition, au lieu de l'argent,
a demandé au tribunal : « Retirez-lui ses yeux pour qu'il
devienne comme moi ».
- Ne vous inquiétez pas.
Je saurai lui faire la leçon, susurre l'acide.
Les Oiseaux du nuit
Lui : T’as eu quand même dix com’s.
Elle : Oui, mais t’as pas vu tous les autres qui en ont eu davantage ?
Lui : Quelle importance ?
Elle : T’as raison, cela ne veut rien dire.
Lui : Wala.
Elle : Et puis si tu n’en avais que dix ?
Lui : Dix ? Dix] quoi ?
Elle : Dix com’s ?
Lui : Quelle importance ?
Elle : T’as raison, cela ne veut rien dire.
Lui : Parfaitement. Mais puisque tu demandes…dix-sept.
Elle : Dix-sept quoi ?
Lui : Dix-sept com’s. J’en ai eu dix-sept.
E lle : Non, vraiment ?
Lui : Vraiment.
Elle : Je veux plus te voir !!!
Lui : Hein ?
Elle : Non ! Même pas en peinture !!!
Lui : Tu rigoles, oui ?
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao,
J’veux plus que tu parles de Mao
Je
lirai le reste dans le dazibao
Au revoir, adieu, bye bye, tchao.
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao,
Ton manifeste m’a mise K.O.
Je ne
peux plus de ton know-how
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao.
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao,
T’as bu ton dernier cacao
On se
reverra peut-être bien là-haut
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao.
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao
Je ne veux plus de ton chaos
Je
m’envole comme un calao
Au revoir, adieu, bye-bye, tchao
Je ne dis pas adieu, je ne crois pas à Dieu. J’ose alors dire « à plus tard ». Comme ça, ce ne sera pas grave si ce plus tard n’arrive jamais. La science nous permet de ne pas craindre l’inconnu. On se retrouvera, et nous serons même un peu plus jeunes à la fin du voyage. Puisque l’énergie n’est ni créée ni détruite, la nôtre existera pour toujours, même si ce n’est pas dans cette forme actuelle. Donc, jusqu’au jour quand nos atomes se retrouveront crochus autrement et ailleurs, je t’embrasse.
Lettre d’adieu d’Oliver Winchester, l’inventeur de la célèbre carabine du même nom, à sa femme, Jane :
Ma
chérie,
Je
me tire.
O.
Lettre d’adieu de Copernic à ses frères chanoines :
Messieurs,
Je
m’éclipse.
Nic’
Lettre d’adieu du Soldat inconnu :
Peuple
français,
Je
décampe.
X
Lettre d’adieu de Pénélope à son mari, Ulysse :
Mon
amour,
Je
file.
P.
J'ai dîné avec de belles plumes, toujours superbes, ma foi
J'ai pris tapas, ah oui ! quelle classe ! chez caro, que de joie !
Mes quelques plats pour Janeczka étaient tous des succès
Elle m'a chanté un rap de fée, avec sa harpe, après.
Dîner de gouache pour Papistache était plein de merveilles
Sous une guitoune, gelée-Mamoune au citron-et-groseilles.
J'ai tant ri avec Valérie, belle comme dans une peinture
Et puis cette fille, elle s'est enfuie, hélas, dans sa voiture !
Walrus m'a invitée, en plus, à un beau restaurant
Près d'une échoppe de miscroscopes, ce qu'il adore tant.
J'ai soupé avec ma tilleul dans son jardin joli
Elle m'a aidée à prononcer son pseudo, hihihi !
Un méchoui d'Captaine Lili à bord d'un grand navire
Et puis dans l'Oise avec Berthoise, c'était un beau délire !
Tiphaine a raconté des scènes de sa prochaine pièce
Et rsylvie a tout repris dans ses poèmes-déesse !
Jolie Tiniak, en chapeau claque, était resplendissante
Et puis Laura, son bel aura de poète, exaltante.
Un soir, Poupoune avec une spoon m'a servi de la glace
Et Vanina, lors d'un repas, a souri comme un as !
À l'agora la Pandora a bu pas mal d'ouzo
Comme digestif, apéritif et entremets ! Banco !!!
Avec le Zeph', Alice et Teb, j'ai pu faire ripaille
Et Cartoonita, tout de suite, ah ! Oui ! Une boustifaille !
Et alors, Shivaya-warduspor (la rime reste un défi)
Mais notr' repas fut un gala, j'en reste ébaudie !
Pour Plume Dame, y avait pas de drame, une jolie collation
À satisfaire un légionnaire tout plein d'admiration.
Petit festin chez le gratin dans une très belle mangrove
Petit pique-nique, tout beau, tout chic, pour Isaure et Krapov.
Non, pas d 'oubli, avec Virgibri, au barbecue texan,
Et Martine 27, de la dînette, ah oui, sur l'île de Man !
Vegas-sur-Sarthe, une à-la-carte, oui, à la Tour d'Argent
Avec Akel, pour mettre du sel, le nec plus élégant !
Cinderela, ah, oui, celle-là, en rentrant tard du bal,
Au sur-le-pouce pour la petite douce, je donnais mon aval !
Et puis pour MAP, ma plus belle nappe sur une table pour deux
Ou même pour trois, à Mardi Gras si Zigmund vient, heureux !
Tant d'entrecôtes pour vous, mes potes, les auteurs que je trouve bien
Car y a pas mieux de tous les lieux qu'un défiant samedien !!!
Bisou.
1.
Quelle est la réponse de Méduse à
Aphrodite et Athéna ?
A. Il (Poséidon) m'a tuée de rire au moins 4
heures.
B. Mon sèche cheveux m'a lâché ce matin, je sais pas comment je vais faire.
C. Ah oui, l'excuse
D. Vas-y bébé, vite !
2. Jason
qui s’en va avec les Argonautes découvre que (qu’)…
A. Il doit galérer 2 heures.
B. Il est parti au cinéma avec sa copine.
C. Y'a un fournisseur et un (rires) et un
client.
D. (Il) faut valider valider valider.
3. Qu’a dit le roi Œdipe lorsqu’il se rend compte qu’il a tué son propre père afin
d’épouser sa propre mère ?
A. Maman moi...
B. J'étais choqué aussi.
C. Ben nan genre ya ça tu vois.
D. Je sais pas si elle les a regardé(e)s.
4. Lorsqu’Orphée descend aux enfers,
quelle est sa première réflexion ?
A. Oh ça y
est bon ben j'm'en vais.
B. ..Je
maîtrise pas mais je maîtrise mieux que la finance.
C. Il fait sec là il fait froid.
D. De toute façon on se voit
là-bas.
5. Au retour
de son mari, Pénélope dit à Ulysse :
A. Tu es
parti 3 mois.
B. Oh ça y
est bon ben j'm'en vais.
C. Ça a
foiré parce que...
D. Putain ça
va pas quoi.
6. Sisyphe, devant sa pierre, se
demande :
A. C'est quoi ces trucs ?
B. Ah ben c'est ça ?
C. C'est mieux qu'aux répétitions la DS
(déesse?)
D. Faut pas l'inviter celle-là,
je suis vénère parce que je croyais que c'était neuf (9?).
7. En terminant ce quizz, je me dis :
A. Ah oui effectivement je pensais que c'était plus clair que ça.
B. Ben nan genre ya ça tu vois.
C. ... va à l'école...
D. Tu savais pas ?