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Le défi du samedi
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5 novembre 2016

Participation de JAK

titre mutation sam defi

 

Un chat, Minou, trop dorloté par sa propriétaire avait envie de connaitre d’autres lieux

Il voulait expérimenter le grand amour

Le garder pour toujours

Grisette de La Rue, passait par là un beau jour de printemps

Couché sur le bureau de sa maitresse où il se languissait,  Il l’aperçut

D’un bond, d’un seul le voilà dans la rue courant après la belle.

Elle filait comme une 308, avec l’allure féline, et pour cause, sans retourner la tête.

Elle avait décidé de retrouver sa campagne natale, le chien Médor et les poules caquetant, la laitière, toute la ferme en somme, y compris les odeurs, tant de choses qu’à la ville on ne renifle pas .

.

Minou légèrement empâté par ses nombreuses siestes, s’essoufflait à la suivre.

Au bout d’une journée après moult dérapages, ils arrivèrent enfin dans ce joli hameau où se cantonnait la ferme .

La laitière aussitôt reconnut la minette qu’on lui avait volée   il y avait  longtemps.

 Illico elle trouva un brin d’avant-toit pour loger sa revenante et son compagnon qui semblait si câlin

Ils vagabondèrent durant l’été follement amoureux se gavant de baisers, d’eau fraiche et de maïs, dans le champ d’à côté.

Au bout de 9 semaines, la laitière un matin, jetant un cri d’horreur, distingua    dans son pré un assaut de souris qui jouaient à chat perché.

 

Contrairement à l’espoir qu’avait suscité le ventre rond de Grisette,
un fait étrange apparu :

 

 

L’ADN de nos deux amoureux, nourris d’amour, d’eau fraiche et de maïs avait muté, et les bébés chatons s’étaient transformés en souris vertes, qui couraient dans l’herbe……

Moralité ne faites pas confiance au maïs lorsqu’il est transgénique, là où le mercantile est passé.

 

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29 octobre 2016

Participation de JAK


IMITATION OÙ EST TA LIMITE ?


Imitation, que de choses faites en ton nom,
Je singe, tu copies, il caricature, nous paradions, vous contrefaites, ils plagient
Je reproduis, tu calques, il emprunte, nous mimons, vous décalquez, ils piratent
 Je pistache, tu imites, il déplombe, nous marchons sur les brisées, vous picorez, ils pillent
A tous les temps,  avec les je, tu, il, nous, vous, ils......Au présent, au passé surtout composé, à l’imparfait souvent lacunaire, au plus que parfait jamais exemplaire, au futur du jamais vu, au futur antérieur en réincarnation, assez irréalisable, au gérondif- passé, dans un âge bien avancé.
Cela me rappelle un cas bien connu :
Une imitée célèbre, la JOCONDE, a été copiée des myriades de fois mais à ce jour elle ne le sait toujours pas. Elle dont on ne connait d’ailleurs pas l’exactitude de son existence.


 Alors ...    J’ai compilé pour vous certains de ces chefs-d’œuvre.
En véritable experte du copié collé,
Voici ci-dessous l’apparence de quelques-uns de ses différents visages vus par de grands peintres.
 

Essai anthologique by Jak
 

travail joconde


On peut en voir certains au Louvres
J’aime particulièrement celui de Picasso mon idole, et j’admire l’audace de Duchamp qui lui a adjoint une moustache, bacchante agrandie plus tard par Dali.
&
Je ne vous extorquerai pas un ris en exhibant aussi le canevas de la Joconde brodé au point de croix par ma Tantine, prénommée   Mona-Lisette, j’aurai trop peur de provoquer chez vous un choc anaphylactique me doutant de votre hypersensibilité   devant cette abomination artisanale !  Que je garde cependant par affection, au grenier, mais à l’abri des regards, en espérant sournoisement que le temps fera son œuvre avec cet ouvrage.
 
Signature (authentique) d’une dilettante plagiaire

jak pour bricol

22 octobre 2016

Participation de JAK

j


Depuis la sixième – ça a commencé, avant peut-être, mais elle n’en a souvenance, elle collectionne les fotes d’orthographe.
Le plus dur c’est surtout la grammaire. La conjugaison, elle exècre.
 Quand un mot lui plait elle le transforme en néologisme, comprenne alors qui peut !
Foutu Bescherelle  ,  tout juste bon à enrichir un éditeur, elle n’en ouvre jamais les pages, encore bien moins celles du Bled -quel drôle de nom qui fait penser aux champêtres, les ceusses du fin fond de leur campagne, qui sont illettrés, les bienheureux !
Bref vous l’aurez compris sa collection déplait à l’intelligentsia, tiens, un mot qu’elle sait écrire !
Par contre elle collectionne la gentillesse, le dévouement, la charité et toutes autres bondieuseries qui la mèneront droit au paradis.

Après tout c’est ça qu’elle recherche, collectionner le bonheur sous toutes ses formes ,dans le grand inconnu.

 Et surtout n’allez pas lui parler de collectionner les livres sur des histoires de réincarnation !
 Elle ne voudrait surtout pas revenir sur cette terre comme une érudite, la tête nantie de trop - savoir, il lui semblerait qu’elle fût alors devenue pédante.  
 Peut-être   à la rigueur aimerait-elle être réincarnée, en Shi Tzu, pouvant alors se faire se faire dorloter, sans avoir besoin de connaître la syntaxe.   
Et en gentil petit toutou affectueux, d’origine tibétaine, somme toute, proche de ces contrées lointaines où il est couramment pratiqué, elle communiquerait en Haïku, et s’en régalerait comme d’un pâté de mots, les clabaudant   à tout venant, à tous les vents, phonétiquement, sans en connaitre l’orthographe

15 octobre 2016

Muet comme une tombe (JAK)

j


Le vieux grincheux- baptisé Jules par ses parents, cela remonte à combien d’années ? -est debout appuyé sur sa bêche, zieutant chaque jour le passage de son voisin. Mine de rien il donne l’apparence d’être appliqué par les nouvelles du jour.

Dès qu’il l’entraperçoit, il le hèle d’un « oh Léon » comme le font les autochtones de la campagne d’autrefois, pour lui enjoindre de venir trinquer.

Il sort rapidement du puits sa piquette de vin blanc devant un Léon, fourbu, et en sueur maintenu par son antique vélo qui lui sert ainsi de canne d’appui.

Il vient de terminer sa tournée postale bien arrosée ! Il est fort assoiffé par la cote et les nombreuses escales qu’il a fait dès potron-minet.  

Il ressent cependant une certaine réticence devant ce Jules, pressentant inconsciemment une escobarderie, mais malgré tout il acquiesce à l’invitation désaltérante.

 

Ils devisent du temps, de la lune rousse, ou des poules qui ne pondent plus en ce moment.  Parfois ils gaussent sur les dirigeants qui nous gouvernent, et qui   ne sont pas à la hauteur. C’est du moins ce qu’ils écoutent le soir à la télévision, avant d’aller se coucher ensuite écœurés de tout ce foutu fourbi là-haut à Paris. Ils finissent par s’endormir devant l’écran, en ronflant.

 

Souvent un saucisson, sec comme un coup de trique, est sorti du tiroir comme pour mieux amadouer LeLéon ; c’est ainsi qu’il nomme, son voisin.

 

Ce Léon est sa seule distraction de vieux sauvage blasé, mais surtout il aimerait savoir… et il essaie de lui tirer les vers du nez pour connaitre ce qui lui parait être un grand secret de fabrication.

 

En effet depuis des lustres, il désire connaitre, cela devient une idée fixe, comment Leléon réussit si bien à obtenir   des citrouilles qui ont la cote dans le pays et gagnent souvent le concours des plus belles des cucurbitacées du coin.

 

On vient de loin pour les admirer à la foire annuelle de fin octobre et Leléon en tire une certaine fierté.

 

 

Sournoisement, Jules l’espionne au moment du semis des graines, dès les premières gelées passées. Il veut à tout prix découvrir le geste auguste du semeur.
 Il cherche à savoir avec quel engrais secret naturel ils les coucounent, cela l’intrigue car plusieurs fois il l’a vu les arroser avec un jet d’urine, lui qui est diabétique !

 

Il le bigle, le lorgne dans tous ses faits et gestes. Et lorsque Leléon est parti, il saute la barrière de son jardin pour de visu faire des constats, tâter, sentir, tout comme Watson l’aurait fait avec sa loupe.

Il l’épie sans cesse.

Péniblement après la sieste sacrée, il grimpe sur l’échelle du grenier se faisant un passage au milieu des toiles d’araignées pour le zieuter encore et encore.
Et là, tout essoufflé il se sert   d’une une chaise vermoulue pour observer sans être vu par la lucarne qui donne sur le jardin du Léon.
Jusqu'au jour où s’étant penché un peu plus, il glisse sur le toit moussu et atterrit droit direct sur la plus grosse des courges la rendant invendable.

Mais surtout le vieux Jules y perd la vie.

On l'enterre en grande pompe, chacun derrière le corbillard se demande ce qu’il est allé faire là-haut sous les combles.

Maintenant il est au cimetière situé à côté de leur jardin respectif. Le brave Léon, à chaque automne, vient déposer délicatement sur la tombe du vieux grincheux, avec une pensée émue, des fleurs de cucurbitacée, celles qui repoussent parfois à l’automne sans toutefois donner de fruit et qui font le bonheur des cuisiniers modernes s’en servant pour le décor de leurs assiettes faisant la réputation de leur restaurant 3 *

Jules se retourne alors dans sa tombe, toujours aussi désespéré de n’avoir pu percer le secret de Léon.

8 octobre 2016

abracadabra (JAK)

 

j

 

Elle imaginait qu’un mot magique lui ouvrirait les portes du bonheur ce mot était amour

Mais les tourments commencèrent  dès qu’elle  su écrire ce mot magique. Elle avait 6 ans : elle devint  orpheline

Elle imaginait qu’un mot magique lui ouvrirait les portes du bonheur ce mot était amour

Mais le malheur est entré par la grande porte du mariage, après deux ans de mariage son mari l’a abandonnée, elle et ses triplés

Elle imaginait qu’un mot magique lui ouvrirait les portes du bonheur ce mot était amour

Avec ses triplés il a peu duré, elle n’était pas armée pour   les guider, et dans leur adolescence ils lui ont fait connaitre l’enfer. Devenus adultes ils l’ont, eux aussi abandonnée

Elle imaginait qu’un mot magique lui ouvrirait les portes du bonheur ce mot était amour……..

 

Abracadabra…..

 

Elle rêvait  trop, n’avait pas le sens de la réalité : le bonheur n'est pas une, éventualité, c’est une aptitude, dont elle méconnaissait l’usage. Elle n’était pas née pour être confrontée à toute la misère du monde.

Ayant pris de l’âge et du recul elle finit par commencer à comprendre.  Elle se fit magicienne des mots, écrivit des termes magiques qui ouvrent toutes les portes, et surtout celles où derrière elle s’était enfermée

Maintenant, elle lace les mots, les entrelace, les enchevêtre, lesmanigance à sa manière en invente. Ils tournent cependant toujours autour du même mot : amour

 

Elle sait maintenant qu’un autre mot magique lui a ouvert les portes du bonheur ce mot est l’écriture et celui qu’elle préfère c’est abracadabra

 

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1 octobre 2016

Poudre d'escampette (JAK)

j

 

Des presque bambins sous l’œil attendrit des parents font leur première grande escapade

Ils sont chargés d’immenses cartables flamboyants, sûrement en prévision de toute la science qu’ils vont acquérir ! Certains les ont posés à terre, d’autres s‘y agrippent de mains fermes comme si quelqu’un allait le leur dérober. Ils arborent le tee short dernier cri, a la queue leuleu, ils zieutent le début du rang pour voir le spécimen dont on leur a tant parlé : l’instituteur.

C’est l’entrée, en primaire

Les parents sont aussi émus, tout comme à la maternelle et s’éloignent impuissants : leurs petits sont pris dans le gouffre de la vie

 

Sortie à 16 h 30 très animées et pleine d’exubérance.

 

Ils se jettent dans les bras de leur géniteur, ils ont tant de chose à raconter !

 

La semaine s’émousse ainsi : C’est le samedi, repos.

 

Une note dans le cahier à l’attention des parents :

Attention une épidémie de poux surveiller la tête de vos enfants !

 

Les mamans s’affolent, le pharmacien est pris d’assaut, en fin connaisseur il avait prévu de s’approvisionner, tout le monde aura droit à son flacon de Marie Rose

Et voilà que je te frotte que je te lave que je te coupe que je surveille avec une loupe, la matinée du samedi y passe.

Pourtant il y en a un qui s’inquiète d’avantage, c’est le Pediculus humanus capitis, il va devoir s’échapper avec ses petits qu’il a pondu à foison : les lentes.

 

Mais rassurez-vous il reviendra sur d’autres têtes blondes, il est résistant….

Des œufs de poux ont été retrouvés dans des restes de cheveux d'une dépouille datant d'il y a 9000 ans !!!!

 

 

Nota histoire vécue il y a pour moi belle lurette !

 

24 septembre 2016

AUDACE FORTUNA JUVAT (JAK)

AUDACE FORTUNA JUVAT   ?????

 

 

j


La fortune sourit aux audacieux, la fameuse formule latine, Il est vrai que si l’on tente tout, on aura plus de chance d’arriver à obtenir un résultat.
Combien de fois n’a –t-on entendu dire : je n’ai pas de chance je n’ai jamais gagné au jeu, oubliant de rajouter’ je n’ai jamais rien tenté.’
L’audace, la hardiesse, ne sont pas non plus, toujours des garanties de réussite. Cependant alliées à la persévérance, sûrement elles donnent leur fruit : la réussite
Tel le cas des chercheurs, qui a défaut de devenir fortunés, obtiennent des résultats probants, qui eux vont bénéficier à tout le monde.
Dans la mythologie grecque on trouve des héros entreprenants qui n’ont pas eu toujours du succès
La tentative courageuse de voler pour échapper du labyrinthe, a coûté cher à Icare …. On sait tous ce qui lui est arrivé.
Et celui-ci un peu plus récent….
Né dans un milieu bourgeois, son père procureur, la voie était tracée : Il deviendra sûrement un excellent magistrat. Son tempérament est impétueux, sa fougue oratoire l’emmène dans toutes les audaces.
De l’audace, de la résolution il en a, et pour vaincre, faisant front il dit :
« Il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, et la France sera sauvée ! »,
Mais l’infortuné périt sur l’échafaud le 16 germinal an II, Il s’appelait Danton.
 
AUDACE FORTUNA JUVAT  un vaste sujet hypothétique qu’il nous faudrait étudier, et si le mot fortune veut dire possession, la phrase de Confucius me convient tout à fait
« Un homme heureux est un homme qui se contente de peu (Chinois, Confucius) »
 
Mais j'en vois rétorquer, si personne n'avait avancé dans la vie, on en serait encore à la bougie !
Oui, mais étant donné le désastre où nous en sommes, nous les humains, je me pose des questions !
Oui, je n'aurais pas d'ordinateur, pour communiquer avec vous,
Oui je serais peut-être sous mon pommier en train de me régaler de pommes véreuses et non calibrées n'ayant jamais entendu parler de pesticide !

AUDACE FORTUNA JUVAT la controverse existe à chacun sa propre philosophie.

 

17 septembre 2016

Le grand saut (JAK)

queue leuleu remonte pente final abre marron

10 septembre 2016

Participation de JAK

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3 septembre 2016

Participation de JAK


Dernière carte de l’étéj





Une nouvelle légende de Loch Ness

Souvenez-vous après mes malheurs conjugaux, j’avais trouvé une masure à louer, en Irlande.
Je l’ai fait retaper sommairement par le brave paysan qui m’a remis de mon coma éthylique.
Il maçonnait un peu.  
Voir ruines whisky et petites pépées - Mes ateliers d'écriture

 J’ai maintenant un toit et suis à l’abri des bruits.  Je me promène dans la lande, pêche avec une petite barquette dans le lac, bref je suis heureux. J’écris dans le calme
Désormais ce sera mon lieu de vacances..
 
Je ne vous l’ai pas dit, mais ma dernière carte au sujet des collections, c’était l’histoire d’une lointaine cousine Irlandaise éduquée en France. Elle avait décidé de revenir finir ses jours dans ce pays de rêve ; là où elle est née
Mystère et boule de gomme - Mes ateliers d'écriture

J’ai eu l’idée désastreuse d’écrire à cette parenté, qui s’est empressée de me rejoindre et m’a soumis son énigme de cartes postale. J’ignorais tout de cette histoire n’ayant que peu fréquenté sa famille dans ma jeunesse.
 Ma curiosité aidant j’ai décidé de l’aider,
J’aurais bien tenté l’inspecteur la Bavure, mais j’ai craint des représailles de la part de son chef qui en a l’exclusivité. Cet inspecteur de plus lui est entièrement dévoué, et n’aurait pas été infidèle à son supérieur...
J’ai pris les 3 cartes en mains et avec cette Suzanne, nous avons emprunté ma frêle esquisse pour la traversée du lac.
En effet sur la rive opposée, j’avais ouï-dire qu’un cheval extraordinaire murmurait   à l’oreille d’un maréchal ferrant, lui révélant toutes sortes de mystères.
Quelle idée m’a pris ! ma cousine a eu de mal de mer s’est penchée malencontreusement sur le bac pour expédier le copieux repas qu’elle avait ingurgité. Et floc, elle est tombée à l’eau.
Elle barbotait ne sachant pas nager.
Je vole à son secours je me jette à l’eau oubliant évidemment les cartes dans ma poche. Celles-ci bien sûr m’ont suivi dans mon élan. Nous avons pu les repêcher, mais l’écriture au stylo encre, comme la coutume des années 30, a été effacée par cette trempette inopinée : on ne pouvait plus rien lire !
Nous avons néanmoins décidé de continuer car nous n’étions pas loin du rivage de notre destination.
 Réchauffés devant un bon verre de whisky, en riant de nos exploits, nous avons décidé tout de même   d’aller voir le maréchal ferrant, en lui expliquant tant bien que mal l’affaire …des fois que son cheval saurait quelque chose
Le brave maréchal ferrant, très obligé, en a parlé à son cheval.
  Celui-ci, un véritable Tinker, n’a pas eu l’air de nous apprécier
Il a murmuré à l’oreille de son maitre :
 « Va te faire fiche », continue à me ferrer afin que je puisse galoper pour rejoindre ma belle ce soir
Et il a henni si bruyamment que nous sommes partis au trop d’un cheval de course


Ainsi on ne saura jamais le fin fond de cette histoire, mais moi, hélas j’ai pressenti que ma cousine reviendrait l’an prochain : elle tient absolument que je lui apprenne à nager.
A son âge, ! là encore c’est une histoire de fou.

Ça y est je rentre en France et vous dit Tchao, pour du sérieux

27 août 2016

Mystère et boule de gomme (JAK)

 

Cette dernière semaine a été éprouvante moralement pour Suzanne.

Il lui a fallu débarrasser la vieille maison de sa mère, où elle vécut une partie de son enfance, et devenue maison de vacances abandonnée.

Vendue à un promoteur pour démolition. Il parait qu’un bel immeuble moderne y prendra place.

D’antiques meubles furent bradés par un brocanteur d’avantage véreux qu’eux, mais il fallait faire vite.

Les déménageurs devaient arriver en fin de semaine

Aussi a-t-elle profité de ce délai pour faire un tour dans le grenier où elle a tant aimé fouiner dans sa jeunesse

 Un album, au fond d’un coffre, a attiré son attention : sa mère y avait gardé des cartes postales. Elle a feuilleté l’album, machinalement, mais trois d’entre elles l’ont intriguées et longtemps elle les a   examinées pour comprendre.

 

Cartes

 

La première adressée à sa mère, elle ignore totalement qui est ce Pierre, le signataire. Sa mère avait-elle connu un Pierre avant son père ?

La seconde adressée à sa mère et à elle-même, le plus intriguant, la signature Arsène alors que le prénom de son père était François. Elle n’a jamais entendu parler dans la famille d’un quelconque Arsène

La troisième, adressée celle-ci ci à sa grand-mère Pierrette, Elle n’y reconnaissait          pas sa propre écriture ; une de ses grands-mères se nommait bien Pierrette, mais elle, Suzette, à l’époque où elle est écrite n’était pas encore née, et elle était la seule   petite fille de la famille. Pour quelle raison a-t-elle été conservée précieusement avec les deux autres sur une même page de l’album ?  Cette carte était cependant signée <

Des mystères dissimulés dans la famille ? Des non-dits, maîtres muets de la destinée ?

Cela pourrait être la cause de son caractère ombrageux et déconcertant ?

 

 

Voici les textes au dos des trois photos    

1

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2

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3

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Il lui revient en mémoire, avoir saisi des silences dans son enfance, lorsqu’elle entrait brusquement dans une pièce où sa mère, Marie, bavardait avec sa meilleure amie Linette.

 

Elle ira voir Madame Irma et vérifiera si elle a bien une boule de cristal, pour peut-être connaitre la vérité, car elle désire ardemment éclaircir ce mystère, n’ayant plus de proches pouvant la mettre sur la voie de ce dilemme ?

 

 

« PS Signification de mystère et boule de gomme

Vous savez que, chez une voyante, la boule de cristal permet de découvrir un certain nombre de choses, passées ou à venir, et à expliquer certains mystères concernant la personne qui consulte l'experte en divinations. Il va de soi que c'est la limpidité du verre qui favorise ces découvertes étonnantes (pour qui y croit).

Mais si, à la place d'une boule de cristal, madame Irma utilise une boule d'un matériau sans transparence, comme une boule de gomme, par exemple, elle ne pourra rien voir et le mystère restera inexpliqué. »

  vu  sur www.expressio.fr/expressions/mystere-et-boule-de-gomme.php

 

Mais peut être devrait- elle mieux imaginer et écrire une histoire qui serait plus salvatrice. Genre roman à l’eau de rose par exemple

 

Allez tchao à la semaine prochaine

20 août 2016

Participation de JAK

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13 août 2016

Ruines whisky et petites pépées (JAK)

 

Chers amis

Délaissé par ma belle, déçu de mes promenades dans les rues à contempler des scènes bonnes pour les badauds, je décidais d’aller chez mon oncle   surnommé dans la famille ; l’étranger de L’Irlande du Nord où il résidait plus précisément, dans un coin perdu

Je n’y étais jamais allé.  J’allais donc découvrir cette maison qu’il me décrivait dans ses courriers occasionnels, me recommandant entre autres de venir le voir.

Mais depuis longtemps je n’avais pas eu de ses nouvelles, et bien que le sachant très original, et un peu loufoque je ne désespérais pas malgré son âge, de le retrouver encore sportif et en pleine santé.  Je décidais donc de partir pour lui faire la surprise

Après de nombreuses péripéties routières et ferroviaires, j’arrivais enfin dans sa contrée, entre le comté du Kerry, et le comté de Galway, (mon once avait épousé une belle rousse Irlandaise).

À l’adresse indiquée au bord d’un lac je trouvais enfin ce semblant de maison, qui était plus que délabrée !

 

ja1

 Et je lus une annonce   plaquée sur les vieux murs ;

À louer !

 

En français, bien sûr, mon tonton ne sachant écrire le gaélique irlandais région où l'anglais y est proscrit et naturellement cela va de soi, le français aléatoirement !

Vous dire si cette affiche dénotait doublement !

Heureusement que le ciel était bleu, sinon j’aurais sombré dans le désespoir. Aventureux comme vous me connaissez, j’avais laissé repartir le brave paysan qui m’avait rendu jusqu’ici sur un chariot de fortune, cahin-caha sur des chemins caillouteux, en lui disant que je me débrouillerais bien tout seul.

C’était la fin de la soirée en attendant de prendre une décision pour la suite des évènements, et surtout d’enquêter sur ce qui avait bien pu se passer je décidais de dormir sur place.

J’avais un duvet dans mon havresac cela ferait l’affaire, et une nuit à la belle étoile n’allait pas gâcher mes vacances, j’avais déjà donné, et cela me permettrai d’épater mes potes en racontant mon odyssée au boulot, à la rentrée.

J’allais m’endormir sous un beau ciel étoilé, quand m’apparut Peter O'Tool.

Il avait avec lui quatre bouteilles de whisky du GLENTURRET 27 ans d’âge, Single Malt Ecosse comme vous pouvez le supputer.

Bizarrement je ne fus pas surpris bien que le sachant mort. Il devait errer en fantôme dans son pays d’origine comme ils en existent des myriades par ici.

Il me proposa de trinquer avec lui, Je ne refusais pas,       ayant moi-même un gout notoire peur ce délicieux breuvage.

A la deuxième bouteille, nous chantions à tue-tête le célèbre chant de Michel Sardou ; Les Lacs du Connemara

A la troisième il me propose qu’à nous deux nous jouions un remake de lord Jim où pendant une tempête, un officier de marine abandonne son navire et pour expier sa veulerie, se lance dans des aventures les plus périlleuses.

Courageux mais pas téméraire j’arrive à lui baragouiner, la langue pâteuse, que j’aimerai mieux choisir autre chose.

À la quatrième je l’implore de me faire apparaitre   la princesse. Margareth, la petite sœur de la reine Elizabeth, qui en son temps a été folle d’amour pour lui et avec qui il a eu une aventure……

 …………afin que nous nous en occupions un peu….

♥♥♥♥♥

 

Le lendemain matin, c’est authentique, le brave paysan qui m’avait déposé sur les lieux est revenu inquiet de mon sort … et au nombre de cadavres de bouteilles qui m’entouraient, il m’a rafraichi avec un seau d’eau qu’il était allé quérir dans le lac, bien frais.

Je n’avais plus aucun souvenir, mais deux choses étaient certaines la pancarte à louer n’y était plus, et sur un fil tendu entre deux arbres flottait au séchage un joli dessous féminin, qui avait forte ressemblance avec ceux qu’arborait la charmante Lady Antony Armstrong-Jones qui n’avait jamais eu la pudeur de cacher les siens du temps de son vivant ...

 

 

Après une bonne tisane requinquante, je vous dis tchao à la semaine prochaine

6 août 2016

Cinquième carte de l'été :La petite fille et le mime (JAK)

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30 juillet 2016

Participation de JAK

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23 juillet 2016

Carte postale n 3 Mais où donc est passa mon ego (JAK)

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16 juillet 2016

carte postale n °2 (JAK)

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9 juillet 2016

carte postale 1 : c'est le cirque (JAK)

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2 juillet 2016

Participation de JAK

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25 juin 2016

Participation de JAK

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