Walrus persiste et signe
Oui, restons-en aux statistiques, n'en déplaise à notre chère Yvanne qui semble développer une allergie à leur sujet. Ça m'étonne d'ailleurs : les statistiques ce n'est finalement qu'un constat. On collecte, on compte et paf, c'est fait !
Ainsi, la semaine passée, avant que Lothar (bienvenue à lui) ne vienne modifier les résultats, la moitié des participants avait décidé de s'en tenir au mot pur et dur et, logiquement, l'autre moitié d'emprunter des détournements divers.
Là ou ça se corse, comme diraient I Muvrini la main sur l'oreille, c'est quand on essaie d'échafauder des prévisions à partir de ces constatations.
Là, on entre dans le domaine des probabilités et ça c'est une autre paire de manches (et la belle) ! Et c'est vrai que ça peut faire peur, car rien ne permet d'affirmer qu'aujourd'hui, en restant dans notre cas particulier, la répartition entre les orthodoxes et les déviationnistes sera pareille à celle constatée la semaine passée.
C'est ici que vous intervenez en formulant des vœux pour qu'on en vienne enfin au sujet de la semaine.
Je suis au regret de vous dire que nous sommes en plein dedans !
C'est la fin d'une année et il est de tradition d'échanger tous azimuts des vœux. Comme il se doit de bonheur, de santé, de réussite, j'en passe et de pires !
Mais qu'en est-il de la réalisation de ces souhaits ?
Si vous vouliez que vos vœux se réalisent vraiment, les statistiques vous enseigneront par exemple à tous les coups que dans l'état actuel du monde, il serait préférable de souhaiter que les guerres se prolongent plutôt qu'elles s'arrêtent. Vous voyez ce que je v(o)eux dire ?
Comment ?
Vous souhaitez que j'écrive moins de conneries ?
Vous me connaissez pourtant : c'est donc un vœu pieux supplémentaire que vous venez de formuler !