2021, L'Odyssée estivale continue et persiste (joye)
Coucou, glouglou, tout le monde
J’absorbe avec intérêt les histoires des inondations terriennes, anciennes et actuelles. (NB : Un·e Estivalien·ne ne lit pas, nous absorbons le savoir, c’est plus efficace.)
Or, nous n’en avons pas ici sur Estivale. En fait, cette substance n’existe pas du tout sur notre planète. Heureusement, nos systèmes physiologiques sont tellement avancés que nous ne dépendons pas du monoxyde dihydrogène pour la survie comme les pauvres Terriens.
Voilà pourquoi les images de la Terre qui montrent l’eau me fascinent. Tout le monde sait que la Terre est à 71 % recouverte d’eau, et que 97 % de cette eau est trop salée pour la consomption humaine ou agricole.
Et pire, jusqu’à 60 % d’un corps huma-terrien est de l’eau aussi. Le coeur et le cerveau sont à 73%, et les poumons - ce que les Terriens utilisent pour respirer - sont à 83 % ! Cela n’a aucun sens. Les poumons sont quasiment aquatiques, mais un Terrien ne peut pas respirer de l’eau sans mourir. Faut dire que le système est mal fichu ! Inutile de vous signaler que nous les Estivaliens rions poliment lorsque nous lisons des propos sur le « dessein intelligent ». Fl÷fl÷fl÷ !! [NDLR : c’est l’équivalent estivalien de « hihihi »]
Alors, ces systèmes primitifs pour voyager sur l’eau, ce qu’on appelle les /bateaux/ sont nec plus rigolos ! Je les contemple avec plus de pitié que d’intérêt. Il faudrait vraiment trouver un moyen d’aider les Terriens à avancer. C’est peut-être ce que je ferai avec ma vie.
Voilà pourquoi il me semble que ce monoxyde dihydrogène est très nocif. Ma preuve : il paraît que cela sorte des yeux des Terrien·ne·s lors des crises d’émotion ! C’est horrifiant, ça ! Comment font-ils pour ne pas se noyer dans leurs propres larmes ?
Cas d’espèce : j’ai découvert dans les archives d’antiquité au CSU une petite vidéo (Fl÷fl÷fl÷ !! cette technologie bizarre me fait toujours rire) faite par une Terrienne il y a plusieurs années terriennes. Les images ont été faites et offertes par un autre Terrien dont les éléments ont été retransformés en poussière d’étoiles. Il paraît que l’eau sorte des yeux de l’auteure à chaque fois qu’elle la regarde, parce que son photographe-ami n’a plus sa forme de Terrien vivant. Je ne sais toujours pas comment elle fait pour ne pas se noyer à chaque fois qu’elle la regarde.
fin de transmission