Zut, alors ! (tiniak)
Parfaite, la courbure éthérée vire au sang
sur la vague engourdie d’un plus calme océan
Il nous faut patienter un instant; tu vas voir…
Le vent porte un soupir inhumain, d’un autre âge
jusqu’à notre désir d’enchanter un partage
Et ça grouille, vois-tu ? à la crête du soir...
Perdus pour ce moment, les pièges matériels !
(la lune en sait assez, vaquant, sa ronde au ciel)
Oh ! T’as vu ? ça frétille… Ah, oui ! c’est pour bientôt...
Il flotte des parfums de profondeur marine
la tienne, à mon épaule n’est pas moins saline
Là, tu vois ? Ce bouillon approchant le rivage ?
???
Nuées d’autres lointains, allez pleurer ailleurs
il se forme un festin qui nous rendra meilleurs
Oh, non ! le vent grossit en son ventre un orage !
Naïades, revenez ! bénir notre présence
et l’espoir qu’on avait d’enjamber votre danse…
!!!
Zut, alors !
C'était pil'-poil; bah… c’est mort.