Vendredi (déjà!) ou l'écriture sauvage (L'homme parenthèse)
La semaine à été longue comme un...
Comme un xylophone (allez pourquoi pas)
Pas une note de temps pour moi
Ni un gling ni deux glongs
Tintamarre quand tu me prends par la peau de tes calebasses, je n'aime pas ça
Bientôt 18H et ses 9 dings, 9 dongs
Ai-je encore le droit d'écrire (mes partitions xylophonesques) ?
Chut (doigt sur la bouche euh sur le masque)
J'entre ma tête blanche dans mes épaules
Rien à droite, larme de piano à gauche
Je vais goguette vous pulvériser mon flot sémaniale sans rimes et sans trilles (de la la semaine)
Sans baguettes, (que) nini triangle
A mains nues, 5 lignes majeurs pour toutes les dents du bonheur qui scies luminent
DO oh oui DORMIR
RE éh oh REVER
MI mi mi MIAULER
Facil
Cil te plait, donne moi du lait Papa euh Maman (mascara trompeur, double croche)
PAMANMAPA
MAPAPAMAN
Biche, ça swingue
On dirait du fip
Ricochet de cymbales
Seins qui s'emballent (tessiturement parlant)
Colostrome
COLOSTROME
COLOSTROME
Je veux et j'exige un mot alléchant, un mot allétant, un mot immunoglobuline
Un mot silencieux, révérencieux... premiers cieux
Un Défi sans accouphène (s'il te plait xalrus)
"Et je coupe le son"
Merde y'a pas de prise sur mon Xylophone New Age (Wernick à 2222 Euros)
Hymen doré, boisé, un tantinet love bondage sur tes interstices, je te salue (vite-vite)
Dernière salve aphone de l'homme parenthaise (le Robinson du klaxon)