Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le défi du samedi
Visiteurs
Depuis la création 1 049 933
Derniers commentaires
Archives
31 octobre 2020

Défi #636

 
Bon, pas de fausse-note hein !

Neume

6361

Publicité
31 octobre 2020

Ne s'y sont pas Trumpés

31 octobre 2020

Cann-elle (Laura)

 

Cann-elle n'est pas mé-ga-lo-mane elle est pas mé-ga-lo-mane

L'est pas mélomane-elle aime presque tout écouter
"Elle est pas com-mode - non elle est pas comme Aude[1]"
Elle est pas sociable elle est pas asociale pour la ville

Erotomane elle est pas mythomane

Elle est pas menteuse pu-tain qu'est-c'qu'elle est chieuse!

 

Cann-elle est pas sectaire "elle est pas comme ma mère[2]"

Elle est biblio-thé-caire elle est biblio-phile

Elle est pas adroite - "elle est pas-sion-née[3]"

"Elle est pas fute - fute oh elle est pa-thé-tique[4]"

L'aime pas tous les gens l'est pas anti-social
elle est pas bien-veill-ante

Elle est fran-che - elle est pas hypo-cri-te

Elle apas voulu d'enfants elle est pas égoiste
"Elle a qu'à s'envoler[5]"

Cann-elle" l'est pa-ri-sienne l'est pas pré-sen-table"
Elle est pas jo-lie elle est pas moche non - plus
L'est pas forte l'est pas faible
Elle est pas - ma-l-heureuse

 

Cann-elle est pas mégalomane
Elle est pas cocainomane
"Elle est pas jo-lie - elle est pas moche non - plus"
"Elle est pas tou-jours" souriante
Elle est pas - en couple elle est pas céli-bataire

Elle est con-serva-trice - elle est pas nation-aliste


Elle est pa-tibulaire elle est pas-telliste
Elle est pas - mégalo elle fait pas l'intello

 


 

31 octobre 2020

Sarah par monts et par vaux (Kate)

 

Ma chère Marianne,

Merci pour ton accueil à Béziers, me voilà rassurée : j'entends bien !

À mon retour, une invitation pour un week end en région parisienne m'attendait, changement de décor !

Non, pas Versailles ni Fontainebleau mais Vaux-le-détour Vicomte !

Coïncidence fort agréable puisqu'on avait revu chez toi le film "Le Roi, l'Écureuil et la Couleuvre" et que j'avais lu cet été "Le Vicomte de Bragelonne" !

Je n'ai donc pas vu passer la semaine : tout en faisant découvrir l'empreinte romane de la ville (et gallo-romaine), je me projetais déjà chez Nicolas Fouquet.

 

L'accueil de notre groupe a été des plus chaleureux et après les présentations d'usage, visite guidée de ce lieu somptueux.

En effet, comment ne pas en être jaloux, même si on est le roi de France,  et même si la devise de la famille Fouquet :"Quo non ascendet" peut prêter un peu à sourire ?

Peut-être en se posant des questions sur la provenance d'une telle richesse et d'une telle ascension pour quelqu'un qui, justement, n'était pas d'ascendance noble "stricto sensu" ?

Enfin, tu connais la suite, l'arrestation, le procès, la forteresse de Pignerol...

Mais pour l'heure, un buffet digne du grand Vatel et quelques rafraîchissements nous attendaient à l'extérieur : ambiance amicale et de bon ton dans ce cadre grandiose.

L'après-midi nous permit de continuer la visite et la soirée d'échanger sur celui qui fit de l'ombre au Soleil par sa mégalomanie et son irrésistible ascension...

Au plaisir d'avoir de tes nouvelles,

Bises,

Ta cousine Sarah

(P.S. : portrait par Charles Le Brun)

 

 

31 octobre 2020

Lettre à Pierre (Pascal)


Tout va bien, mon Pierrot ? Comment passes-tu l’isolement de ce Covid ? Depuis la retraite, as-tu des nouvelles des uns et des autres ? J'ai eu un bref échange avec Hoc, (Pham Xuan) sur le net ; de l’horoscope aux sites de rencontre, il est toujours à la recherche de sa bonne étoile ; c’est difficile de trouver la bonne étoile, quand on n’est pas astronome. Fin 2019, je suis passé au boulot, j'ai vu Christophe, Franck était en préretraite, Nico m'avait fait la bise, comme si j'étais un vieil oncle revenu d’Armorique, Véro était partie sous d'autres cieux ; enfin, nos bureaux et nos décors, c'était un autre monde…

Parfois, le boulot me manque ; non, c'est surtout les vingt ans de moins qui me manquent. Dans les couloirs, les parfums et les sourires des filles (des femmes), le bruit des talons de leurs chaussures était comme une marche militaire en robe d’été et, sans nous en rendre compte, nous marchions tous au pas. Avec ces onguents rajeunissants, l’ego lustré comme à la parade, montés sur nos ergots, il y avait de quoi nous tenir impeccables, nous raser chaque jour de près ; dans ce présent faussement féerique, on avait le plaisir d'affabuler avec le passé ; on était tous un peu mégalomanes avec le futur…  

Les bonjours du matin, les mains fraîches, le café, les vannes, le langage technique, c'était à l'intérieur de notre petit monde autarcique ; c’était notre pain, notre confinement quotidien dans nos locaux. Nos rencontres fortuites dans les couloirs, comme des embuscades convenues de tous les jours, où nos bises claquaient sur des joues, étaient des grands moments d’air frais. Je peux te le dire, aujourd’hui ; à divers degrés, j’étais un peu amoureux de toutes…  
Je savais l’haleine perfectible de celle-ci, la petite tache de renvoi sur l’épaule du nourrisson de celle-là, les semelles boueuses de celle-ci, le fil de l’ourlet défait sur la couture de la jupe de celle-là, les lèvres de celle-ci, jamais loin des miennes, la mèche de cheveux de celle-là caressant ma joue. Je reconnaissais les voix dans le couloir, le bruit des pas sur le carrelage, et encore le parfum timide ou sauvage, dans un courant d’air, entre deux portes. Je savais leur humeur, leur besoin de rire, leur tristesse ou leur contrariété même cachée par du maquillage au masque hypocrite.
Il y avait toujours un coup de téléphone perturbateur, un péquin, avec une affaire à la main, qu’il fallait débrouiller, un dossier urgent à gérer, une petite réunion informelle, pour rompre le charme de nos retrouvailles matinales. Et puis, chacun vers son bureau, on repartait à nos activités ; on se replongeait dans la routine du devoir professionnel.  

Entre nous, tu vois, je préfère n’en rencontrer aucune. Encore ambitieux, je laisse à mes souvenances, le soin de toujours les pomponner au mieux de leur féminité, comme mes yeux de vieux quarantenaire séducteur les admiraient à l’époque.
Depuis, elles se sont même épanouies dans les brumes avantageuses d’une compassion aussi sage que généreuse que mon sablier a saupoudré, avec ces dix années de retraite, bien loin de ces champs de bataille.
Quand on a baissé les armes, mis l’armure de sa libido au crochet, sur le cintre d’à côté, on regarde en premier ses mémoires de femmes ; je crois que ce sont les meilleurs souvenirs qu’on puisse avoir dans le placard du Passé ; j’ai jeté la clé pour ne jamais les oublier…  

Aujourd’hui, toutes ces têtes nouvelles dans les bureaux, peu ou prou, on les a formées à notre profession ; même s’ils bossent avec des outils modernes, avec un autre langage, c’est peut-être les enfants virtuels qu’on a eus avec nos collègues de l’époque. Aucun ne m’a dit papa, c’était rassurant ; avec ma retraite de cigale, j’aurais du mal avec les retards de pension…  

Porte-toi bien, mon Pierrot ; si l’on ne peut se protéger des rides, on peut encore espérer, face au Covid.

Bien à toi.


Pascal.

Publicité
31 octobre 2020

Mégalomane (petitmoulin)


Il ne sonne pas, il entre. Il ne s'assied pas, il trône. Il ne voit pas, il se regarde. Il n'entend pas, il s'écoute. Il ne doute pas, il sait. Il ne questionne pas, il répond. Il ne tente pas, il réussit.
Sa vie s'écrit en MAJUSCULE.
J'arrête là parce que :
1 - Je crains d'être démasquée et en ce moment c'est un délit  à 135 €.
2 - Je ne voudrais pas ridiculiser La Bruyère.
3 - Et surtout... mon inspiration se situe très au-dessous du niveau de la mer.

31 octobre 2020

Mégalomane (TOKYO)


J’avais décidé de participer à un colloque de chercheurs du centre de Hutchinson.

Ils étaient tous bardés de diplômes ,alors que j’avais passé ma jeunesse à trainer dans les bois .
Je savais qu’une chose // en matiére de recherche ce sont les questions les plus importantes et pas les réponses.
Et moi des questions restées en suspens j’en avais des tonnes.
J’avais commencé par donner une conférence dès mon arrivée sur le tarmac.
Les chercheurs jouaient des coudes pour être sur toutes les photos et moi je me prenais pour moi .
Le pays avait besoin qu’on lui remonte le moral qu’on lui dise que le covid était un lointain cousin de la grippe et moi je me sentais l’homme de la situation .
Comme des fleurs s’inclinant au bout de leur tige , les micro virevoltaient autour de moi .

Mon anglais n’était pas des plus mauvais, mais ma diction lente pouvait en incommoder plus d’un .
J’avais la curieuse habitude   de tapoter mon briquet bic à chaque envolée lyrique.
 Je faisais tout mon possible pour répondre aux questions jusqu’à ce qu’un journaliste ait crié /c’est qui ce malade ?
Brisons  lui la colonne vertébrale ce mégalo nous la joue roman à l’eau de rose .
C’était le pire jour de ma vie .

Je me surpris à crier que le métier de chercheur était une noble profession que je venais honorer.

Je ne connaissais rien à vrai dire des recherches sur le covid mais j’avais été pris par un élan patriotique pour mon pays.
J’avais été refusé par toutes les grandes universités mais je ne désespérai point un jour de prouver au monde entier mon talent de visionnaire.

31 octobre 2020

Chassez le naturel, il revient au mégalo ! (Joe Krapov)

Un·e mégalomane, c’est quelqu’un·e qui aime beaugacoup la mugasique.

Un·e mégalopyromane c’est quelqu’un·e qui met le feu à toute sa ville rien qu’en la prenant en photo.

201010 Nikon 064

Un·e mégalomordéfinomane c’est quelqu’un·e de complètement piqué qui trouve son bonheur en déposant un texte chaque semaine sur le Défi du samedi.

Et par-dessus-tout ça il y a le mégalomusic-hallomane qui se croit obligé de trouver et chanter une chanson relative au mot choisi par le mégalowalrusonowheremane qui est le tenancier de ce lieu de mégalodébauche ou de mégaloperdition.


P.S. Mégalomane ! Mégalomane ! Il n’existerait donc pas de mégalowomane ?

 

31 octobre 2020

Minet miné (Lecrilibriste)


Prince, comme Lily le nomme
dans la flaque  où il a fait pipi
sans se soucier de la litière
qui lui est dûment asssignée
et le dernier de ses soucis
Il regarde son reflet fasciné
Puissant, majestueux, magnifique
il se brigue d'être un tigre
Fini le minet tigré
Il sera le roi
Il sera le shah
tout seul, il fera sa loi
règnera incontesté
sur les matous du quartier
Il s'étend sur le sofa, autarcique
à tous il inspire la panique
avec ses dents acérées
avec ses griffes aiguisées
avec ses bonds fantastiques
Chez le véto fallut l'emmener
pour sa conduite inadaptée
pour son caractère déjanté
Là son rêve s'est effondré
le  véto l'a qualifié
de maniaco- déprécif
l'attrapant par la peau du cou
avant qu'il ait pu faire ouf
le véto a dit qu'il fallait
pour contrer ses espiègleries
lui mettre le nez dans sa flaque
avec une petite claque
chaque fois qu'il le ferait
Et le voilà désespéré
lui, le fier tigre mégalotigré
par ce foutu diagnostic
subitement s'est retrouvé
totalement désarmé
 Minou, Minet et miné.

31 octobre 2020

mégalo, man ! (joye)

31 octobre 2020

Mégalowomanes  (Vegas sur sathe)


« Dis-moi mon bichon, c'est quoi un mégalomane ? »
Germaine a toujours eu l'art de poser des questions élémentaires.
J'hésite un peu malgré tout : « Euh... c'est un type qui a un gros … comment dire ... »
« Je vois » me coupe t-elle avec un rire gras.
« Non tu vois pas Germaine, c'est un type qui a un gros ego »
« Un gros zégo ? C'est comme Rocco Siffredi»
« Pas du tout, c'est un type qui a un gros amour-propre si tu préfères »
« En effet, si c'est de l'amour propre ça peut pas être Rocco »
Chacun soupire mais pas pour la même raison.
« Non Germaine, ça ne peut pas être Rocco, un mégalomane c'est quelqu'un qui a un désir de puissance et de gloire »
« Comme Herbert Léonard dans Châteauvallon... qu'est-ce que j'ai aimé... Puissance et gloire Dans l'eau trouble d'un regard L'aventure et la passion, Nananère»
« Oui mais c'est pas ça non plus, c'est quelqu'un qui aurait... comment t'expliquer … la folie des grandeurs, voilà »
« D'accord, donc on peut dire que De Funès était mégalomane ? »
« Pas exactement Germaine, les mégalomanes notoires ça serait plutôt Louis XIV, Napoléon Bonaparte ou Hitler »
« Ouais … encore une fois y'a que des mecs... donc pas de mégalowomanes ? »
« Mais non, voyons ! Mégalomane ça s'adresse aux femmes comme aux hommes, d'ailleurs mégalomanie c'est un mot féminin»
«Je m'en serais doutée... tout ce qui finit par manie c'est pour les femmes !  Tu sais quoi ?  Donne moi un exemple et je te croirai ! »
J'adore quand Germaine s'emporte mais j'ai intérêt à lui dégoter un bon exemple.
« Et bien... Marylin est un bon exemple »
« Maryline... celle du dessous ? »
Je tombe des nues : « Hein ? La voisine du dessous s'appelle Marylin ? »
« Mais non ! Quand j'parle du dessous c'est de son jupon qui s'envole sur la bouche de métro ! »
« Alors c'est Marylin Monroe, son nom c'est Monroe»
« Et donc la Monroe elle avait un gros... ego ? »
« C'est du moins ce qu'on dit depuis qu'elle est morte»
« On peut en mourir ? Ça ne se voyait pourtant pas »
« Tu sais Germaine, l'ego ça ne fait pas partie des mensurations des starlettes »
« Et t'en connais d'autres des mégalowomanes ? »
« Euh... Lady Gaga et puis Madonna, Calamity Jane, Bécassine, la Reine des Neiges... »
Germaine fronce les sourcils.
« T'es sûr de ça ? »
« Euh... pas pour la Reine des Neiges. Au fait, pourquoi veux-tu savoir à tout prix ce qu'est un mégalomane ? »
J'aime bien quand Germaine suçote le bout de son crayon, ce crayon qu'elle plante rageusement dans sa choucroute façon Bardot.
« Je cale sur une définition pour un mot de dix lettres commençant par mega »
« C'est quoi la définition ? »
« Unité de puissance d'une charge nucléaire »
« J'aurais tendance à dire que c'est Megatonnes mais s'agissant d'une bombe sexuelle ça fait aussi penser à Marylin »
Germaine fronce à nouveau les sourcils.
« Là t'es en train d'penser à la voisine du dessous ! »
Je prends l'air stupéfait : »Me dis pas qu'elle s'appelle Monroe ! J'peux pas y croire. On a une Monroe dans l'immeuble !»
Germaine arrête de suçoter le bout de son crayon : »Je sais même pas son nom. Toi non plus parce que vous vous appelez par vos prénoms, hein ? »
Ça ne va pas être facile de sortir de cette ornière.
Je tente : »Tu sais bibiche, elle ne s'appelle pas plus Monroe que je ne m'appelle Rocco... alors t'as rien à craindre »
Germaine soupire ou plutôt elle finit son apnée : »T'as raison bichon. Elle s'appelle sûrement Bécassine »
Je respire aussi.
Je hais ses mots croisés.

31 octobre 2020

Monsieur Fléau par bongopinot

b

 


C’est le plus grand des menteurs
C’est aussi un sacré mégalomane
Il s’empare de votre cœur
Sans même besoin d’une arme

Il a la folie des grandeurs
Un orgueil surdimensionné
Il se croit toujours le meilleur
Il me donne la nausée

Il n’a pensé toujours qu’à lui
Il se sert des autres puis les jette
Il abime tout et il détruit
Et je suis sûr que jamais il ne regrette

Il se croit le plus fort le plus malin
Il aime se donner de l’importance
Je plains ceux qui croisent son chemin
Moi j’ai traversé juste à temps quelle chance

 

31 octobre 2020

Cool ! (Walrus)

 
Rien à faire cette semaine !

À peine avais-je posté le sujet que mon épouse me montrait cette image sur Fesse de Bouc :

w6351

Pratique, non ?

31 octobre 2020

Blagues revisitées par Vanina

 

La chirurgie, c'est l’échec de la médecine...

 

Je n’aime pas particulièrement les médecins (sauf ceux qui sont mes ami(e)s !) encore moins les chirurgiens. Ce n'est pas seulement la discipline qui me dérange, mais l'état d'esprit qui règne chez ces hommes-là. Oui, je dis hommes et pas femmes car je vous parle de mon expérience.

Ma mémoire a sans doute été marquée dès mon enfance par le docteur Léger, qui ne l’était pas en réalité, infecte avec le personnel soignant -sans lequel il n’était rien-, au point que même moi enfant, j’en avais conscience. Puis, vint son remplaçant, le docteur Chiche ! Sans blague, est-ce un nom pour un chirurgien ! Et l’autre que j’ai croisé plus récemment, dont je ne me souviens pas du nom, qui devait plus souvent revenir des îles que du bloc opératoire, la blouse entr’ouverte sur un torse bronzé, poilu, se croyant irrésistible, en fait je n’éprouvais que du dégoût, c’était obscène... 

C’est pourquoi j’adhère à une devinette très connue :

Quelle est la différence entre Dieu et un chirurgien ?

Dieu ne se prend pas pour un chirurgien…

 

Mes galops, Man !

va

 

24 octobre 2020

Défi #635



Mais si !
Vous en trouverez bien un sans peine
par les temps qui courent...
 

Mégalomane

6352

24 octobre 2020

Se sont mis en boucle

24 octobre 2020

Juliette et rodéo (Vegas sur sarthe)


Tu rêvais de l'Asie, enfin de grands espaces
de contrées inconnues et du bush australien
Tu parlais du lasso des gauchos brésiliens
je n'ai pas vu venir tes tours de passe-passe

Tu as voulu jouer Juliette et rodéo
Je t'avais prévenue qu'au début on s'enlace
et qu'aux jours ennuyeux, assombris on s'en lasse
blasés, désabusés, loin de nos idéaux

A trop vouloir gagner, tirant sur la ficelle
la boucle coulissante a tué mes ardeurs
j'avais de ton blabla perdu le décodeur

Tu peux bien remballer tous ces mètres de corde
sur les hommes en troupeau répandre la discorde
je caracole en paix vers d'autres jouvencelles

24 octobre 2020

La disparition du lasso (Kate)

 

La disparition du lasso

Zorro a disparu

A t-il pu ?

Son Z aussi

Qui vous l'a dit ?

Gloria Lasso itou

Six maris inclus

Tous tous tous

Allons droit au but

Simplifions

Façon rasoir d'Ockham

Ah, lasso !

À l'assaut !

Là, saut !

Au Colorado

Hidalgos

Rois ou gigolos

Hashtag

Santiags

0-1 2

Zorro n'a pas disparu

Anna Maria l'a vu

Son lasso siffla

Son coup droit lifta

Ah,  l'coup du lasso...

 (photo de l'auteur, octobre 2020)

 

24 octobre 2020

Lasso et autres souvenirs de télé (Laura)

 

Il y avait beaucoup moins de chaînes, beaucoup moins de temps d'antenne en général et pour les enfants en particulier mais la télé de mon enfance m'a rendu addict à la télé pour toujours, je crois, malheureusement. Il y avait beaucoup de westerns avec d'un côté les bons et de l'autre côté les méchants, les indiens et les autres. Il y avait les films avec John Wayne qui ressemblait un peu à mon grand-père. Il y avait "Bonanza[1]", une série qui a duré longtemps je crois. Enfin, il y a "Les mystères de l'ouest[2]" avec les deux beaux acteurs dans le train que mon mari aurait aimé. Deux remarques que je n'aurais pas faites quand cette série était diffusée dans mon enfance.

 


[2] https://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=286.html

 

24 octobre 2020

L'indicible advenu (petitmoulin)


Quand viendra le lasso
Capturer la dernière
Échappée
Nouer ce qu'il reste
De voix
Repliée dans le murmure
Du vent
Abolir la trace
Sur le seuil de la nuit
Où l'effroi seul
Cherche patience

Quand surgit le lasso
Des cruelles ténèbres
Devant le voyageur
Des chemins éveillés

L'indicible advenu

Publicité
1 2 3 4 > >>
Newsletter
Publicité
Le défi du samedi
Publicité