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Le défi du samedi
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18 août 2018

Marions-nous (Venise)

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C’était toi

C’était moi

Nous nous étions reconnus avant même de nous apprivoiser

Nous aurions notre maison et de grasses matinées

J’ouvrirai mon âme et accueillerai la tienne dans mes mains.

Nous nous déporterons d’un JE vers un NOUS

Pour que nos cœurs ne nous lâchent pas.

Les amoureux sont les seuls vrais enfants que je connaisse.

Ils sèment la joie partout où ils passent.

Nos corps greffés l’un sur l’autre parlent une langue barbare

Faite de baisers mouillés, de paroles qui nous ressuscitent dès qu’elles sont prononcées.

Marions-nous. !!!

Chavirons de fatigue et de joie comme les algues sous la barque du pêcheur.

Marions-nous , nous qui sommes nés sans peau .

Asseyons-nous sur les premières marches de l’église toi dans ta robe de baptême

Et moi dans mon costume bleu ciel sans nuages.

Comptons nos pas sur les dalles comme si nous écoutions une sonate de Glen.

Aimer nous rend libres.

Rassemblons nos doigts dans une alliance qui brisera l’usure du temps.

 

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18 août 2018

Les roses blanches (Emma)

 

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Chante, petite caille, te voici parée pour l'offrande, corsetée pour la vie…

Plus jamais tu ne courras échevelée dans les chemins printaniers, plus de genou qui saigne, plus de brassées d'aubépine, plus de jeux avec les garçons du village. Plus de vélo au bord de la mer, plus de marelle, plus de fous rires.

Ta vie n'est plus à toi.

Chante, petite caille, te voilà prête à rôtir sur le bûcher des conventions…

Content qu'il est, ton papa ! 

De te caser, et d'une, il a quatre filles, le pauvre ! Et surtout de l'union de sa scierie avec le domaine forestier de beau papa.

Chante, petite caille, pour ta mère adorée.

Regarde là, c'est toi dans vingt ans, couperosée, et vingt kilos de plus. Sept enfants aussi. Dont ce crétin de Sven qui croit que tu ne le vois pas ricaner.

Elle aussi avait la taille fine, ta maman, il y a vingt ans, à cette même place, où elle a chanté "quand passent les cigognes" pour la dernière fois.

Pépé, c'est pas seulement "les roses blanches" qui l'émeuvent, il ne supporte pas la musique en général, ça lui rappelle toujours quelque chose. Il a versé des torrents de larmes quand l'oncle Gustav, déjà bien éméché, alors qu'on n'en est pas encore aux alcools forts, a entonné "la cantinière a du poil aux pattes ".

Heureusement qu'il ne se souvenait plus des paroles. Tous les vieux ont alors repris en chœur "Pom pom pom" pour couvrir sa voix. Et depuis Pépé se liquéfie, lui qui a servi dans le 13ème régiment de Uhlans.

Si tu te retournais, petite, tu verrais l'avenir dans le miroir magique…

En grand uniforme, ton joli mari à la fringante moustache blonde, souriant sur le piano dans un cadre doré barré d'un crêpe noir. Lui que tu aimeras vraiment, bien que ce ne soit pas gagné au départ…

Et puis ta petite fille, enterrant sa vie de jeune fille, braillant "les roses blanches" avec ses copines, sur les genoux d'éphèbes mercenaires… avant un mariage d'amour, qui durera trois ans…

Ne te retourne pas, et chante, petite, le champagne pétille !

peinture de Gunnar Berndtson : la chanson de la mariée

 

18 août 2018

Une vie à deux par bongopinot

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Ça sent bon le café
Je m’en sers une tasse
Quelques bonnes gorgées
Petits instants fugaces

Sur cette tasse voyez-vous
Est écrit une citation comme un vœu
« Pour être heureux Mariez-vous »
Espérons que vous serez chanceux

Car rien n’est jamais gagné
Mais si vous trouvez la bonne personne
Qu’importe les années passées
Tant que vos cœurs toujours résonnent

Cette phrase vraie ou pas quelle importance
Le principal étant d’être bien dans sa vie
Aimer et être aimé est une chance
Profitez de ces moments amis

Je vous souhaite tout l’amour
De vos conjoints ou compagnons
Donnez leur votre affection en retour
Pour de beaux moments à l’unisson

Car en binôme tout est plus facile
Pour partager les intervalles de bonheur
Coupés par tous ces moments difficiles
Et pouvoir vieillir à deux en douceur

15 août 2018

Je déménage

Oui, je sais, vous me direz que ce n'est pas nouveau !

D'ailleurs, pour être exact, j'ai déjà déménagé. L'ennui, c'est que mon opérateur télécom a oublié mon transfert de ligne. Si bien que dans mon nouvel appartement, je n'ai ni téléphone, ni Internet, ni la télé.

Je suis donc obligé de passer par FON pour accéder à l'internet. Vous voudrez donc bien excuser ma faible présence sur le blog et les éventuels retards dans la publication de vos passionnantes participations.

Meilleures amitiés à tous.

 

Walrus

 


11 août 2018

Défi #520

 

5201

Quoi ?

 

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11 août 2018

Ont senti frémir leur âme de bûcheron

11 août 2018

Plus on va vers le Nord, plus on se retrouve à l'Ouest ! (Joe Krapov)

DDS 519 120935262

C’est l’été, je crie « Pouce ! »
Il ne faut pas se faire de mousse
Et en boire une petite en douce !

Qu’elle soit brune, blonde ou rousse,
A la va comme je te pousse
Ou bien savourée avec fièvre,
Il faut bien y tremper sa lèvre.

C’est l’été, je demande : « Patron !
Il ne faut pas se casser le tronc !
Servez-moi un Perrier citron ! »

DDS 519 John Wilhelm 4 Juste un petit castorC’est l’été, je photographie,
Et je trouve sur mon chemin
Un jeune plaisantin d’Helvétie
Qui fait le même bouleau ( ?) que le mien :

La façon dont il voit la vie
Me rend mort de rire et songeur :
Il semble répondre au Défi
Avec cette photo de rongeur !

 

DDS 519 John Wilhelm 3 Walbrushing

 

 

Connaît-il notre oncle Walrus ?
Est-il familier avec lui
Pour le portraiturer ainsi
En amusante compagnie ?
 

 

 

DDS 519 John Wilhelm 1 Le parapluie à beau temps

C’est l’été, la saison magique
Où l’on s’interroge à foison :
Que serions-nous si d’aventure
On nous supprimait sans raison
Nos fournisseurs de confitures,
Les aimables Suisse et Belgique ?

Devant cette nouvelle misère
Il nous faudrait noyer le chagrin dans la bière :
« Patron ! Le monde tousse !
Servez moi donc une autre mousse ! »

N.B. « L’Univers de la famille Wilhelm » est une exposition photographique vue avec un plaisir immense par votre serviteur-cycliste en la ville de Dol-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine). Le travail photographique de John Wilhelm est visible, entre autres lieux, ici. L’abus de surréalisme est conseillé pour la santé : à consommer sans modération !

DDS 519 John Wilhelm 2 le dîner est servi

11 août 2018

Tyrotrypophobie (Minuitdixhuit)


   Bien sûr, a priori, cette image ne devrait pas susciter l’impression de peur, mais c’est bien de cela qu’il s’agit pour moi.

   Déjà le cochon rose de la semaine dernière m’avait laissé un sentiment douloureux. J’aime le rose. J’aime les cochons, qui ne peut pas les aimer ?

   Mais pas les bouteilles de gaz. Peut-être leur poids quand j’allais en chercher une chez monsieur Larby, l’Arabe du coin de Bab-El-Oued, « Larby, charbon, gaz et pétrole » en lettres rouges sur fond bientôt noircit. Peut-être leur bruit quand, dans les nuits, elles explosaient contre la devanture d’un Francaoui pro-FLN ou d’un Algérien pro-Français et que les gosses que nous étions entonnions en chœur « strounga ! » alors que nos parents terrorisés n’avaient même plus les forces de nous demander d’arrêter de chahuter en pyjama sur nos matelas à même le sol.

   Voilà que maintenant le bon Walrus, Dieu des lettres dans la mythologie Outre Quiévraine (peu connue, je vous le concède) nous fourgue une pâte photographique assez confuse dont ressort, bien évidement un trou, ne me dites pas que votre œil ne s’y est pas posé directement.

   40 ans de psychanalyse hebdomadaire m’ont coûté le prix d’une belle maison et sans doute donné la chance de rester en vie, avec à peu près de quoi résister pour les années à venir, si vous m’aidez.

   Donc le trou.

   Je ne vous parlerai pas de ma grande sœur, elle avait 14 ans, moi 7, et le jeu du docteur consistait, pendant la sieste familiale, à y introduire de petits objets, comme la tige de mon fanion du Racing Club d’Ameur El Ain, mais moi je n’étais pas trop d’accord et j’avais peur pour mon fanion. Pourtant je le faisais, ça la faisait trembler mais elle avait l’air d’aimer cela. Une grande sœur, c’est un modèle non ?

   Donc les trous.

   Ah, oui, je ne saurais pas comment vous l’expliquer, tant cela peut paraître ridicule, c’était ceux du fromage. Bien sûr, si vous avez été élevés à la « Vache qui rit » des hypermarchés vous ne pouvez pas comprendre et je ne vous en veux pas. 

   Maman achetait le sien à la coupe dans le passage Franchet d’Espèrey chez la crémière « À la belle Lochoise ».

   J’ai vu récemment à la télévision une publicité où un fromager de pacotille plantait une sorte de fanion du Racing Club d’Ameur El Aïn, mais avec une croix blanche sur fond rouge, dans le cœur d’une meule d’Emmenthal.

   Je me suis alors remémoré cet autre passé douloureux.

   Pour une raison que j’ignore (40 ans de psy sans aborder le sujet) ces trous, ces alvéoles, ces orifices, ces vides, ces non-existences que je découvrais quand ma mère me servait ma part, me terrorisaient…

   Mais pas les trous dans nos murs, pas les trous des vitres explosées, pas les trous de la devanture calcinée de monsieur Larby, pas les trous béants des âmes survivantes, pas les trous dans ma tête.

   À présent, j’ai bouché. Ça m’a pris du temps.

 

11 août 2018

En bois (Kate)

En bois 

Végétalisons

Sur le chemin

Un tronc

Où est mon chien

Minéralisons

Dès le matin

Partons 

Avec le chien

Herborisons

Sous les sapins

Par vaux par monts

Retrouver ce chien

IMG_1892

Chemin de randonnée Saulzet-le-Froid (63), octobre 2017, photo de l'auteur

 

11 août 2018

Memorie d'ultre-impresa ~ Capitulo sei : Préoccupation (joye)


chapter 6

11 août 2018

La langue d'arbre (Venise)


Assise au pied de ce tronc j’écoute la langue d’Arbre

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Celles des acacias, des ormeaux, et des sycomores.

Il y a ce matin dans les arbres tout l’alphabet du monde

Le thème astrologique du christ avant sa mort.

Pourtant la langue de bois rôde et cherche à faire taire les petits chanteurs à la croix de bois.

Cessez vos vaines promesses, vos impostures Hommes à la langue de bois.

Je suis impatiente d‘apprendre les mille langues d’arbres et de voir vos masques tombés.

On a perdu la langue d’arbre celles qui donnent les fruits sucrés, qu’on partageait avec le bouvreuil.

Alors comme une armée en déroute abandonnée à l’ennemi vous comprendrez vos paroles sans vérités déracinées de nos terres fertiles.

Puis il y a ceux qui n’ont jamais quitté la langue d’arbre et qui parlent sans qu’ils soient nécessaires d’en douter.

Cesses de préparez vos mauvais coups avec votre langue de bois, même les platanes dont le tronc est creux vibrent plus que vous et chantent à nos oreilles comme de vieux pèlerins.

Il est plus aisé de parler la langue de bois que d’être cet idiot du village qui parle la langue d’ARBRE.

C’est peut-être le métier le pus difficile !!

Avez-vous déjà rencontré l’idiot de votre village quand il vous dévisage et cherche en vous la langue veinée, marbrée des arbres ?

Ce soir j’observe les Margueritte piqués à la machine à coudre sur le tablier de ma petite fille. Elle Lit Racine, je découvre sur son visage de noix et sous sa peau ébène La Joie., la joie de parler la langue d’arbre.

 

11 août 2018

Je regarde le chêne (petitmoulin)


Je regarde le chêne
Couché sur le chemin
On pourrait croire qu'il dort
Qu'il a mis à sécher
Ses rêves détrempés
De longue nuit d'orage
Il porte en plein cœur
Une fureur de tempête
Quelques lambeaux de vie
Frissonnent encore
Dans l'épaisseur de son feuillage
Le ciel a déjà oublié son front
Le soleil renié son ombre
Les oiseaux l'ont quitté
Sans même un requiem
Sous un linceul de mousse
Son corps tout entier
Déroule sa plainte
Parcourue d'un regret
Que ne suis-je né
Roseau

11 août 2018

Participation d'Emma

 Trou la la, making of :

1. la consigne  est folle -  fou  > entonnoir, entonnoir > dans le trou, le trou = entrée du puits d'Alice, dans lequel tombent des personnages, surréalistes comme la consigne -
mais  il faut une happy end, alors ils ressortent par un tunnel et remontent dans le tableau -

2.  comme bande son s'imposait la chanson ancienne (?),  du joueur de luth, vaguement égrillarde, dont le refrain est "trou la la" - interprétée ici par  Patachou (une version un peu différente par Colette Renard ) , et dont le web propose une interprétation (années 60 ?)  de joyeux amis canadiens , insérée ici parce qu'elle frise le  surréalisme, elle aussi.

 

11 août 2018

Un arbre sur mon chemin par bongopinot

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Un arbre sur mon chemin

Qu’une douce mousse entoure

Délicate comme du velours

Une tendresse dans le matin

 

Il sent les rayons du soleil

La brise légère sur son écorce

Tout cela le renforce

Et tranquillement il s’éveille

 

Il ouvre ses branches à la vie

Il respire par tous ses organes

Et ses feuilles vertes planent

Absorbant la lumière ainsi il se nourrit

 

Quelques oiseaux sur lui se posent

Un écureuil fait de l’exercice

Agrippé solidement à l'écorce

Satisfait et à l’aise

 

Je viens souvent me ressourcer

En cet endroit plein de charme

Loin de la ville et du vacarme

De la pollution et de la foule stressée

 

Cet arbre sur mon chemin

Qu’une douce mousse entoure

Délicate comme du velours

C’est ma tendresse du matin

 

11 août 2018

Les mots des arbres (Laura)

 


Quel est cet arbre dont on arrachait l’écorce pour écrire dessus ?
Mon père avait planté cet arbre et tous les autres et m’avait initié
A ces mots des arbres sans graver sur un arbre ses initiales, le blesser
Comment ne pas avoir froid avec l’arbre quand l’hiver, il est nu ?

D’illustres poètes ont avant moi maîtrisé les mots des arbres
Apprend-on toujours L’arbre d’Emile Verhaeren à l’école ?
Entendez-vous comme moi, ses « Lèvres folles et bras tordus »
Jeter  « vers l’avenir » et vers nous  un cri immensément tendu »

J’ai retrouvé les saules pleureurs des jardins de mon enfance
Dans un tableau de Monet où ils se penchaient  harmonieusement
Vers un sol jaune d’or ; Matisse, lui avait su  magnifiquement peindre
Les palmiers que je voyais osciller de ma fenêtre parfois dangereusement

Apollinaire pourrait s’être inspiré des sapins plantés par Papa
Alors que  le jardin lui  tendait son corps nu pour qu’il y  laisse
L’empreinte de ses désirs arborés ; je choisirais « L’arbre
 

De vie » de Klimt  pour parler à son ombre d’arbres  avec Papa.

11 août 2018

Eh oui ! (Walrus)

 

Même un arbre peut se prendre
pour le nombril du monde...

 

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4 août 2018

Défi #519

Aujourd'hui, pas de commentaire intempestif
susceptible de semer la confusion dans votre esprit.

Le sujet, c'est l'image, point barre !

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4 août 2018

Ont vu la vie en rose

4 août 2018

C comme cochon (participation d'Adrienne)

Un petit cochon pendu au plafond,
Tirez-lui la queue, il pondra des oeufs!
Combien en voulez-vous?

Dans la ronde des fillettes, quand le doigt s'arrête sur Catherine, elle sait toujours exactement quel chiffre dire pour que soit désignée la copine de son choix. Ou elle-même, si elle en a envie.

- Huit! dit-elle fermement.

Et chacune sait sans compter qu'Angélique pourra prendre place au milieu du cercle.

- Cent quatre-vingt-neuf! crie Colette pour montrer qu'elle en a assez de ce jeu débile et qu'il est temps de passer à autre chose.

- Ça ne compte pas, dit Martine, qui décide de ne retenir que le neuf et continue tranquillement le décompte de "qui y est".

Mais jamais, jamais aucune d'entre elles n'a trouvé bizarre ou cruel qu'on veuille pendre un petit cochon au plafond.

Ou lui tirer la queue pour qu'il ponde des oeufs.

Personne. Sauf mini-Adrienne.

 

4 août 2018

C'est de la provocation ! (Nana Fafo)

ronchonchon_duel

Walrus, c'est de la provocation !

Oser présenter un autre cochon que Ronchonchon, pour le faire sortir de son hibernage estival...

Voilà un défi réussi, ça marche aussi bien qu'une Rollex*  bien huilée.

 

Voir la vie en rose pour un cochon qui s'en dédit, c'est tellement "vrai"

 

Ronchonchon, il aime, ni les fleurs bleues**, ni la vie en rose**... trop mielleux !

Et pourquoi pas le cochon qui rit ou jouer avec Dédé, tant qu'on y est ?

Euh, non, c'est la vache qui rit, sur un air de Walkyrie.

Par contre, il faudra attendre un peu, pour la biographie du héros,

car Ronchonchon est avant tout un anti-zéro, un anti-tout.

 

Ronchonchon a encore démarré au quart de tour,

Comme un boulet de canon*.

De fait, il n'est jamais vraiment aligné avec une approche réaliste de la réalité.

C'est toujours sa version de l'histoire qui se répète.

Peut-être que le jour où il verra l'ours zélé*, il s'envolera vers d'autres contrées.

Il fera un saut dans l'espace-temps, rien que par la force de ses roses pensées.

Ce sera un "jumper**"

mais par n'importe lequel, un joli jumper !

 

 

https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTtsMZs0zeL_BNM-zRXpQlc1vnYkBoC2AyVP9bERWKtlp0h9gXS

 

Belle lecture créative à toutes et à tous.

Défi 518 : voir la vie en rose pour un cochon qui s'en dédit !

 

* Inspiration sur les photos des défis précédents

515 : saut d'obstacle (sponsorisé par Rollex ?)

516 : canon

517 : ours ailé

 

** Films : les fleurs bleues, la vie en rose, jumper

 

Images du Net :

http://mnmsfrance.fr/Images/Tickets/France/Dede/42003_c.jpghttps://i.skyrock.net/0040/13840040/pics/545449577_small.jpg

https://i2.cdscdn.com/pdt2/0/1/6/1/700x700/duj10016/rw/le-cochon-qui-rit-tirelire-rose-jouet.jpghttps://static.fnac-static.com/multimedia/FR/Images_Produits/FR/fnac.com/Visual_Principal_340/9/6/0/9782035878069.jpg

 

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