Mâle et fils (tiniak)
Mâle & Fils, S.A. - DIRCOM
À l'heure où le hashtag « dénonce la grosse porcasse qu'il te plaira de vilipender pendant tes ragnagnas » atteint des sommets de laïks, d'échanges, partages z'et divers ritwittes sur la toile mal tendue - mais Ô combien fréquentée ! par la plupart des frustrés z'en tout genre que notre monde en déliquescence a fomenté en son sein véreux, une question se pose, là.
Non pas là, là !
Question t’en question : « Dites-voir donc... C'est quoi d'où que ça vient-il ces attaques répétées contre Mâle & Fils !?! Mmh ? »
Mâle & Fils ? Pensez ! Une société qui a fait ses preuves depuis… pfff… depuis, au moins l’âge des grottes décorées z’à la peinture à doigt – et avec quel doigté ! C’est dire !
Nah mé, sans dec' ! Depuis le temps que le droit de cuissage a survécu aux libéralismes z'à-tout-vat, que les joyeuses rapines de fin de siège perdurent durant les conflits z'armés (zarma !) qui agitent teu t’aujourd’hui moins les chroniques que la planète, et que les mains t'au cul (z’au Q ?) continuent de fleurir sur les trottoirs z'et avenues z'où transports tant commun (néanmoins pratiqués tant solitaire), vous croyez-t-y pas qu'il s'agit précisément d'une pratique ancestrale qui a fait ses preuves depuis des millénaires ? Voireuh bien plusse chez les millionnaires !! Hein ? Bon…
Alors, bon... Bon, bon, bon... Je dirais même : Oh ! hé ! Hein ? Bon !...
Le problème, il est : même si ça fait bonbon qu'on essaie de démontrer qu'aussi – hein ? eh ! oh ! z’ il y a toujours z'eu, et qu’y aura toujours, des z’aguicheuses pour rechigner après coups (portés, pourtant, t’avec un geste savant, acquis z'en des temps z'archaïques (cités plus z’haut) et conservé aux pris de longues luttes contre le Sur-Moi t’et les différentes morales z'afférentes aux systèmes sociaux (successifs z'et subséquents), je m'interroge, ben si ! Je m’interroge : « Pourquoi, eh… pürkwa tant d'émotion autour de billevesées après coût... [nnnnh, ghh !] après tout, fort t'anodines z’et plutôt enclines t’à démontrer que le lien social, fondamental z’et sépulcral qui nous… euh… lie, tient z'à très peu de choses, en vrai : quelques gestes, regards, paroles, frottis, commis dans l'effervescence de l'instant, quoi ! en toute spontanéité, quoi ! par quelque mâle (ou son fils), élevé par... une femelle, euh… une femme lelaquelle, par nature, n'a tant (Nathan ?) voulu, souhaité, porté à bout de sein, caressé de la main, que le bonheur, serein n'et bienveillant de sa progéniture ? » M’interrogé-je, Serge.
Hein ? 'pas con, la question !
Ben ? V’là qu’il neige ! C’est bonnard, ça, dis ! Une ou deux traces, et woup ! Je m’en vais charrier Magali (ma ‘tite stagiaire 95C) qui prend mes direux z’à la dictée (là, non, hein… je vous z’écris de mon plaint grais, en toute disgrétion), pour z’y souffler t’au moment de partir : « Ben, Magali ! M’ fais pas r’un flan… C’est-y que t’es ma girlie, z’ou nan ? »
Tu vois la finesse ? Hashtag « Mâle & Fils », wesh !