Le Cidre (Vegas sur sarthe)
“Sous moi donc cette plage progresse,
et s'insinue partout de nos cous jusqu'aux fesses.
Nous partîmes à trois; mais grâce au trompe-l'oeil
nous nous vîmes trois mille en franchissant le seuil...”
(J'aime bien les paroles de ce chanteur rwandais... Corneille)
“Tant à nous voir ramper ainsi la bouche pleine,
les moins asphyxiés criaient “Sauvons Chimène!”
J'en renvoie les deux tiers (mais on n'était que trois)
dans le coin du préau, compter nonante-trois”
(Pouvez pas comprendre si vous avez pas vu les châsses à Chimène)
“Le reste, ben c'est moi qui scrute le couloir,
La pionne est féroce, mi-panthère mi-couguar,
Je me couche par terre et j'attends cinq minutes
la fin de la récré... tout ce sable au calbut!”
(C'est qui qu'a dit le plaisir est dans la tente ?)
“Par bonheur elle s'en va, Chimène en fait de même,
Me voilà comme un gland avec mon stratagème;
Ce n'est pas aujourd'hui que je l'embrasserai
Le roi du bac à sable est bien désemparé.”
(et le combat cessa faute de combattants... ça c'est de Lui)
“Rodrigo! Sors de ton lit, mon garçon! Tu vas encore être à la bourre à l'école... Et t'as révisé ton Cidre?”