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Le défi du samedi
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8 août 2015

Dans ce village par bongopinot

bo01

 

Des fenêtres décorées

Par des fleurs colorées

A coté un vieux vélo

L’été frappe aux carreaux

 

Une balade dans les rues

En deux roues sans pardessus

S’ouvre à moi de belles images

Des lucarnes qui se dégagent

 

Dans ce hameau ensoleillé

Les maisons sont habillées

De fleurs odorantes de lierres grimpants

Tout ici, semble, éclatant

 

Les fenêtres s’épanouissent

Grâce aux géraniums qui y fleurissent

Et tout à coup des rires des cris joyeux

Arrivent de partout c'est délicieux

 

Dans ce village toutes les bâtisses

De jour en jour resplendissent

Dévoilant gentiment leur apparat

Ce bel été dans mon cœur restera.

 

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8 août 2015

Hier soir (par joye)

Musique par Mélanie Safka

Paroles par Moi !

8 août 2015

CARTE POSTALE DE GRECE. (Venise)

Je vous écris de Grèce.

        Ici un silence aimable règne sur la rue encore chaude.

        A travers les barreaux des fenêtres fleuries, on peut voir le barbier assis à l’intérieur

Il a l’air harassé.

Un clochard plus loin mange une pastèque et du fromage de chèvre..

ATHÈNES  poudroie sous les feux de l’été.

Les Athéniens les plus démunis et mon dieu comme ils sont nombreux

Se retrouvent le matin blaireau à la main  devant le lavabo sur le même pallier.

Ils sont toujours prêts à nous aider, et nous tendent une poignée de  gros sel

 un morceau de miroir

L’après midi, on assiste à la sieste collective dans les rues d’Athènes

Ici on vit entre ciel et broussailles à l’ombre des dieux  au milieu des poules et de gros blocs de glace prêts à être vendus.

Passé un certain degré de pénurie, on croit qu’ici plus rien ne se négocie.

Alors que tout est l’occasion de faire affaire jusqu’à des chaussures trouées.

 

A cinq heures du soir le soleil d’Aout me troue encore les paupières pendant que les grecs sortent de terre une brochette de melon à la main.

Ici prive du nécessaire ., il ne reste que l’essentiel…….

ve01

8 août 2015

Participation de JAK

ETE 5

Suite  carnet de voyage   des 7 nains par Joyeux scribe de service

 

ja01

 

Aujourd’hui notre cœur ardent   est  en fête

De retour,  Blanche a décoré de  cœurs ses fenêtres.

Le château dans l’allégresse  s’active éperdument,

Dès lors

Laissant choir nos vacances, in petto, tous contents

Nous  7  sur la  N7, chantant et pédalant

Grossissant  la cohorte effrénée  des aoûtiens

Vite, vite, revoir la Belle en  pays lilliputien.

Toutefois,

Après cet exploit épique en sueur serons

Volets et   fenêtres closes nous  accueilleront

Pour laisser encore quelques heures le soleil dehors

Oui-da,    même céans, on affirmera « qué calor ! »

 

1 août 2015

Défi #362

Cinquième photo

des défis de l'été :

 

Fenêtres et vélo

 

Nous attendons

vos participations à

à samedidefi@gmail.com

A tout bientôt !

 

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1 août 2015

Sont tombés à pic (noir)

1 août 2015

Participation d'Emma

1 août 2015

Participation de Fairywen

Lendemain d’orage

Rythmé par les craquements du tonnerre, le vent hurlait toujours autour du chalet. Pas un mot n’était échangé entre Stella et Damon. La première était toujours absorbée dans l’examen de ses photos, le second ne la quittait pas des yeux. Un long moment s’écoula ainsi, puis elle s’étira et leva les yeux vers lui, semblant soudain se souvenir de sa présence.

— On dirait que la tempête ne veut pas se calmer. Tant pis, je vais me coucher. Je te montre ta chambre ?

— Tu vas dormir avec ce raffut ?

— Oui, pourquoi ? Ce n’est que du vent et un peu de pluie. Ne me dis pas qu’un grand costaud comme toi a peur…

Piqué au vif, Damon dut faire un énorme effort sur lui-même pour ne pas céder à la colère. Il ne pouvait pas se le permettre, il ne pouvait pas révéler sa véritable nature. Il avait promis…

— Ça ne m’empêchera pas de dormir non plus.

— Alors tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, n’est-ce pas ?

 

Cependant, Damon ne ferma pas l’œil de la nuit. Immobile sur le lit de la chambre d’amis, les mains croisées sous la nuque, il songeait à ce qu’il avait été, à ce que ça lui avait valu, à ce qu’il deviendrait s’il cédait à ses envies, à ce qu’il deviendrait s’il leur résistait. Ainsi filèrent les heures, jusqu’à ce qu’une aube ensoleillée remplace l’orage.

Damon se leva avec un soupir résigné. Ce n’était ni sa première, ni certainement sa dernière nuit blanche. Arrivé dans le salon, il ne trouva personne. Pas plus que dans la cuisine ou la salle de bains. Il allait en déduire que son hôtesse dormait encore lorsque soudain il la vit dehors, accroupie près d’un arbre abattu par la foudre. Curieux, il la rejoignit.

— Qu’est-ce que tu fais ?

— Il y a un nid de mésanges quelque part là-dessous. Je veux savoir si elles sont toujours en vie, répondit-elle en s’arc-boutant pour tenter de repousser une grosse branche qui oscillait dangereusement.

— Des… oiseaux ? Tu fais tout ça pour des oiseaux ?

— Oui pourquoi ?

— Mais ce ne sont que des animaux !

— Et alors ? répliqua-t-elle en se relevant d’un bloc, ses yeux verts lançant des éclairs. Je ne te demande pas de m’aider, alors fiche-moi la paix !

Le premier mouvement de Damon fut de faire demi-tour et de la laisser se débrouiller, mais lorsqu’il la vit essayer à nouveau de repousser la branche, il ne put s’y résigner. Il poussa un énorme soupir et saisit la branche à bras le corps. Il l’écarta sans effort avant de grommeler.

— Va chercher tes oiseaux, puisque tu y tiens tant.

Elle leva les yeux vers lui et lui adressa un sourire, puis se faufila au milieu des feuillages. Elle en émergea quelques minutes plus tard, des feuilles dans les cheveux, et un nid dans les mains. Miraculeusement, les oisillons étaient en vie.

— Et… qu’est-ce que tu vas faire d’eux, maintenant ? Leur donner la becquée ?

— Pas moi, idiot. Leurs parents.

— Leurs… Parce que tu crois qu’ils vont t’approcher, leurs parents ?

Au même instant, un couple de mésanges arrivait à tire d’ailes et se posait sur les épaules de Stella en pépiant gaiement. Elle jeta un regard amusé à son invité.

— Je crois, oui.

Damon la regarda s’éloigner d’un air songeur. Il avait beaucoup de choses à cacher, mais visiblement, il n’était pas le seul…

 

Fairywen/Ysaline

1 août 2015

Cui-cui (Vegas sur sarthe)


Si pour certains la vie est un long fleuve tranquille, pour d'autres la vie est un parcours de chants d'oiseaux, un cheminement cacophonique des plus étonnants...

A peine sortis de la salle de travail des maternités ce ne sont que piaillements, pépiements et gazouilllis tandis que les heureux parents rêvent déjà d'entendre babiller et glapir leur bruyante progéniture au fond des couveuses.
Déjà à la crêche, ça pirouitte et ça pleupleute à tout va, les garçons jabotent à la différence des filles qui glouglottent, les plus grands frigulotent des “J'ai soif” et fringotent des “J'ai faim” à qui mieux mieux.
Bien plus tard on quittera le nid pour aller cajoler ou même turluter dans les coins sombres, la bécasse roucoulera sur son banc ou puputera dans les teufs, ce qui ne manquera pas de faire jaser sur les campus.
Puis vient le temps plus raisonnable de la coucasse, de la trille et de la margotte; on zinzinule à l'heure de la sieste, on pépie à l'apéro et on chicane au club de bridge.
Enfin un calme relatif s'installe, ponctué de piaulements poussifs et autres tutubements asthmatiques au fur et à mesure des années.
Une oreille exercée - c'est à dire sonotonée - distinguera le ululement lugubre du tamalou à gorge rouge ou celui d'une vieille chouette enrouée.
C'est l'heure de se voler dans les plumes - enfin, de ce qu'il en reste - le temps des confusions et des radotages quand le loriot se prend à imiter le miaulement du chat, que le bruant à calotte blanche braille “Frédéric”, que la sénile paruline masquée crie “Ouistiti-Ouistiti” et que le vieux moucherolle-à-côtés-olive pousse son “Vite-trois-bières” !!
Alors tout au bout du parcours en haut de l'olivier séculaire d'un cimetière on entend l'engoulevent répèter en litanie son «Bois-pou-ou-rris, bois-pou-ou-rris» et on réalise que c'est cuit... que c'est cuit-cuit.


* Tous les cris, chants et expressions sonores sont authentiques, n'en déplaise aux oiseaux de mauvais augure.

1 août 2015

PARCOURS DES CHANTS D’ OISEAUX … (Lorraine)

 

            J’ai suivi le chemin que le merle taquine de son chant, ce chemin même  où j’avais surpris l’hirondelle bleue dont le vol s’arrondit vers le ciel. Un oiseau menu, tout en haut du sapin, sifflote une romance. Qui est-il ? Je ne le vois pas.  Et lui, me voit-il ?

            Je crois que les oiseaux nous parlent. Le matin, dès que j’arrive au jardin, un « trilili» triomphant me hèle, joyeux, prolongé, comme un « Bonjour » d’ami heureux de me revoir.

            Si j’ouvre la fenêtre du côté opposé de la maison, les trilles d’un autre chanteur m’accueillent, vives comme un collier de perles qui s’égrènent.

            Alors, je réponds. Et si vous croyez que je divague, vous avez peut-être raison. Peut-être…

 

1 août 2015

Regarde la rumeur est là rapide et frivole (Laura)

 

Laisse-là aux  têtes folles
De bruits et d'idoles
Mets vite un bemol
A cette cacophonie de paroles
N'écoute pas les faux rossignols
Préfère leur même l'alcool
Bois  du vrai thé dans ton bol
Envoie des lettres sur du bristol
Observe vraiment les campagnols
De la région cévenole
Mets ton cache-col
Fuis le cholestérol
 Prens du paracétamol
Si tu as mal aux  guiboles
Oublie le grand -guignol
De la rumeur frivole
Concentre-toi sur les tournesols

 

1 août 2015

Participation de Nhand

UN COIN TRANQUILLE

 

 

C'est par où, la quiétude,
La fin des bruits corrupteurs
Qui te frappent d'hébétude
Et brouillent tes écouteurs ?

Un orchestre métallique
Fait hurler à pleins poumons
Un orphéon diabolique ;
Comment taire ces démons ?

À travers la porte close
S'infiltrent leurs cris coupants...
Pauvre de toi, tout explose
Sur le seuil de tes tympans !

Les grands ciseaux de la ville
Te déchirent le sommeil.
Je connais un coin tranquille,
Où l'on n'entend au réveil
Que les oiseaux de l'aurore,
Ceux que le tumulte ignore...

Suis la flèche, c'est par là
Qu'ils chantent a cappella !

 

 

UN COIN TRANQUILLE

 

 

LOGO NH-PF

1 août 2015

Je me souviens ( petitmoulin )


Je me souviens que le vieil homme
Allait à petits pas usés
Je me souviens qu'il avançait
À la lisière de son passé
Sur le chemin des chants d'oiseaux
Qui ressuscitent les printemps
Je me souviens qu'il s'asseyait
Sur une souche pour écouter
La symphonie désordonnée
Je me souviens qu'il murmurait
Pic noir... Fauvette...Busard...
Alouette... Geai... Coucou...
Je me souviens que le vieil homme
Rentrait à petits pas muets
Et qu'il avait au fond des yeux
Mille printemps ressuscités.

1 août 2015

Barreaux (par joye)

En souvenir de ma grande compatriote, la très regrettée Dr. Maya Angelou.

edit

 

1 août 2015

Participation de Venise

Ces oiseaux ressemblaient à une troupe d’assassins prêts à me dérober ma fortune.

        ;

Ça criait, ça piaillait, ça riait, je me précipitais sur eux pour leur signifier mon courroux.  

 

Mon cœur était ravagé par la colère l’amertume et rien  ne pouvait atteindre mon cœur meurtri.

Des dizaines d’années après je suis revenue sur ce chemin des oiseaux brigands pour attendre le battement du cœur du ROSSIGNOL. 

J’avais repris confiance, j’avais passé toutes les épreuves

Et franchit bien des obstacles et je me tenais maintenant au milieu du gué au passage des oiseaux.

La peur avait changé de camp. Les oiseaux semblaient terrifies.

Le déluge criaient-t-ils le déluge !!

J’étais assaillie de toutes parts par des oiseaux égarés et inquiets.

Que pouvais je faire de sensé ?

Tu as une légère avance sur la vague noire cours cria la mésange cours

Mais que faire de cette légère avance sans les oiseaux ?

Le bouvier me donna l’ordre alors de m’emparer du monde

 

 

Et d’aller de part le monde raconter le désastre.

Je me suis réveillée gare de LYON. Maudissant les défiant de m’avoir poussée à faire un tel cauchemar

Marchant sous un ciel gris j’aperçu une colombe toute de noir vêtue.

Tu n’as rien pu faire pour nous et elle fila marchant sur l’abîme de sa propre vie.

 

1 août 2015

Les néologismes de Papageno (Joe Krapov)

Sur le chemin des chants d’oiseaux, il m’a fallu réinventer un dictionnaire Papaguénien.
Pas question pour moi en effet, ce jour-là, d’entendre caqueter, glatir, trompetter, cacarder...
Ces verbes onomatopesques assez disgrâcieux tentent bien, j’imagine, de reproduire le son que font les volatiles.
C'est un choix, certes, mais, que diable, quittons la réalité en même temps que la ville !
Poètes, inventons une autre musique !

Au fur et à mesure de notre avancée, nous avons noté nos vocables.

Depuis, ad vitam aeternam,

DDS 361 101659484

Le chardonneret s’achemise,
La mésange mesdémone,
Le rossignol demésamoure,
L’aigle étévincue (par sa coquette),
La caille onsepèle,
Le tourterau berthoilagnase,
La corneille lamutit,
Le coq sigrue,
La grue felpiède,
L’effraie fondelère,
La colombe klébère,
Le cygne duzodiaque,
La fauvette tangotte,
La grive ettornère,
Le hibou dumonde,
L’hirondelle défauboure,
La huppe huppupourate,
Le merle opontit,
Le milan s’enrémote,
Le paon démoniome,
La paonne felcoude,
Le perroquet belzoreille,
Le pigeon quedalle,
La poule ozeudore,
Le canari poteure.

Il nous reste bien sûr à écrire le sens exact d’ozeudorer, d’opontir, d’ettornérer, etc.

J’avais bien commencé à le faire ci-dessous :

S’achemiser : tomber la veste et tout le reste pour émettre un chant d’amour enivrant.
(Zool. chansonnière : En certaines circonstances bien précises la Rikazaraille s’achemise tellement qu’elle finit même par s’apantalonner. Un bain de siège est alors nécessaire au refroidissement de ses ardeurs. Buffon. - "Histoire naturelle. Vol. XXIV, De Variétoche à Vermifuge".


Je ne roucoule pas d'un iota devant cette tâche gigantesque mais voilà, à cause des vacances et au vu du succès rencontré par cette initiative, nous sommes attendus sur d’autres chemins et du coup je manque de temps.

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Je vous dirai à mon retour si la mouche tsétsée, si le criquet alahoupe ou si la libellule uberlue. Pour cette dernière, ça ne m'étonnerait en rien !

1 août 2015

La vieille dame et l’oiseau (EnlumériA)

Il était une fois, une très vieille dame, très modeste et très pieuse. Du plus loin, qu’elle s’en souvenait, elle n’avait jamais manqué la messe dominicale. Cette vieille dame avait trois fils qui avaient tous bien réussi dans la vie. Elle les avait élevés seule et ne tarissait pas d’éloges pour sa progéniture.

Or, il arriva que cette dame, un jour, atteignit ses cent ans. Elle-même, n’en revenait pas. Elle répétait souvent que Dieu l’avait oublié et ne manquait pas une occasion de se rappeler à son bon souvenir dans ses prières du soir. Elle culpabilisait, se disait qu’elle avait fait son temps et son devoir. Qu’elle avait enfin droit au paradis.

Ses fils ne l’entendaient pas de cette oreille. Les gaillards n’étaient pas pressés de laisser partir leur petite maman chérie.

Ils décidèrent, d’un commun accord, de fêter l’événement en organisant une petite fête sans prétention et se lancèrent le défi d’offrir le cadeau le plus original qui fut.

L’aîné, qui avait fait fortune dans la joaillerie, offrit une somptueuse parure de diamants agrémentée de rubis et d’émeraudes.

Le cadet, qui devait son succès au marché de l’automobile, fit fabriquer par les meilleurs artisans une merveilleuse reproduction de la voiture qui avait servit pour le mariage de leurs parents, la fameuse Tucker Sedan de 1948, entièrement réalisée à la main.

Le benjamin qui connaissait la ferveur religieuse de sa mère, fit jouer ses relations afin de se mettre en quête d’un cadeau unique au monde et il le trouva. C’était un perroquet de toute beauté capable de réciter la Bible par cœur, et sur commande s’il vous plait. Il pouvait même vous chanter le Cantique des Cantiques ou vous psalmodier les évangiles et l’Apocalypse réunis sans aucune fausse note. Il suffisait de demander et l’oiseau obtempérait d’une belle voix bien posée. Une merveille.

La célébration du centenaire de la vieille dame fut une réussite. Tout le gratin était réuni. On avait même invité Monseigneur Di Calabrio, camerlingue du Sacré Collège qui célébra la messe en personne et le célèbre ténor Luciano Poilderotti, qui avait annulé une date pour venir spécialement interpréter l’Ave Maria de Schubert. Comme vous venez de le deviner, la vieille dame se prénommait Maria.

Quelques jours plus tard, les trois frères reçurent chacun une carte de remerciement accompagnée d’un petit commentaire. L’aîné fut informé que le joyau était beaucoup trop ostentatoire pour une vieille dame toute simple. Elle l’avait donc mis en vente au profit de différentes œuvres caritives. À sa grande surprise, le cadet apprit que la Tucker Sedan avait été offerte à titre de dation à la Cité de l’automobile de Mulhouse. Quant au benjamin, il reçut le petit mot suivant : « Mon cher petit, tu connais ma légendaire humilité et je te confirme que c’est bien toi qui a eu la meilleure idée de cadeau. Bien qu’un peu difficile à plumer, le poulet que tu m’as offert s’est révélé délicieux avec une petite sauce aux morilles et un verre de vin de Toscane. Je me suis régalée. Je t’embrasse très fort. »

1 août 2015

Participation de JAK

4- ETE

 

Samedi 25/7, Prof qui est notre savant de référence nous a dit qu’un blog d’écrivains réputés nous suggérais de réfléchir sur

ja01


Comme il parle plusieurs langues, il a traduit LE CHAMP DES HEROS.


Nous, le reste de la bande plutôt genre à prendre la  ja02  des champs, on s’est esclaffé ; assez d’horreur dans ce bas monde trouvons un thème plus joyeux.

J‘étais fier que l’on fît référence à mon nom et nous fîmes ficelle pour suggérer d’autres sujets….moins sépulcraux  pour nous.


Bon, bref de grammaire oiseuse je reviens à notre laborieux colloque.


Un long parcours nous attendait pour arriver à nos fins et satisfaire votre faim de connaitre la glorieuse suite …..
Et cela s’est ritournellalisé sur une semaine


Dimanche Timide a conseillé pour exorciser sa timidité que nous formions une chorale, c’était sans compter sur Atchoum qui émet des sonorités nasales à brûle-pourpoint  cela aurait gêné fortement l’audition:

 

- on ne prend pas-


Lundi Atchoum vexé, n’a pas dit mot il nous maudissait !:


- on ne comprend pas sa susceptibilité -


Mardi Joyeux , c’est moi comme vous le savez si bien, j’avais prévu d’imiter le chant de la mésange, l’archétype de l’oiseau joyeux, trop simple a dit Simplet :


- Ils n’ont pas pris –




Mercredi Simplet, aux innocents les mains pleines, débordait d’idées. Mais c’était si confus que nous n’avons rien compris :

 
    - pour éviter d’égarer vos neurones, on n'a pas pris-



Jeudi Dormeur, venait juste de se réveiller suite à sa bringue du samedi, en pleine gueule de bois,il a ânonné

Z’riez pune c’gar’tte ?

ma parole c’est un aficionado d’Enluménéria:

 
                - on l’a dédaigné,  il risque de tomber incessamment sous peu en narcolepsie


Vendredi Grincheux c’est malgré tout un malin,  a trouvé la solution.

il nous a dégoté un gite sensationnel qui a pour nom évocateur le Chant des Oiseaux, dans le Morbihan, et là nous allons enfin prendre nos vacances

On en profitera pour faire les sentiers des douaniers ou les cuicuis vont de pair avec les marcheurs.


Voici une photo souvenir

 

 

ja03

 

Allez Tchao !

Joyeux

 

1 août 2015

Parcours des chants d'oiseaux par bongopinot

bo01

 

Sur le parcours des chants d'oiseaux

Des sons magnifiques et mélodieux

Moineaux domestiques et mésanges bleues

S'égosillent tout près du ruisseau

 

 

De petits bruits parfois difficiles à identifier

Le piaillement de la pie bavarde

Se mélangent aux cui-cui du serin moutarde

Des notes qui n'arrêtent pas de défiler

 

Le gazouillement léger et agréable

 Du pinson caché dans les arbres

Qui croise la tourterelle si libre

Offrant son roucoulement adorable

 

Le gai rossignol et le merle moqueur

Au pur et délicieux ramage

Au si doux et soyeux plumage

S'envolent dans le ciel bleu rieur

 

Et je visite tout ce long parcours

Et croise un paon qui fait la roue

Ca m'impressionne je vous l'avoue

Et tout cela s'évanouit à la fin du jour.

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