15 novembre 2014
Participation de Venise
Je voyais à peine le fusil à pompe pointé sur le crane de la caissière.
TRAVOUL faisait signe de ne pas bouger, sinon je verrais bientôt le sang gicler
J’avais embarqué une fourchette dans ma poche car ce carrefour était régulièrement dévalisé par les malfrats.
Je me suis dit qu’en crevant sa levantine il n’irait pas loin.
Mais le puchoir a soudain sonné et il ne me restait que peu de temps pour courtauder.
Je tenais à la vie , car j’éprouve un vrai plaisir à sentir le foin coupé et je regretter de n’avoir pas plutôt pris mon fusil de chasse qui à cet instant dormait dans mon armoire à linge .
D’une démarche freloche sans effrayer un seul pigeon j’ai muti le voleur nummulitiquement
Qui est parvenu à s’enfuir sans laisser de trace .
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