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Le défi du samedi
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9 octobre 2010

Quelques oiseaux... (trainmusical‏)

trainmusical

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9 octobre 2010

Alouette jolie (MAP)

Projet_ALOUETTE

Tu relies en ton vol

notre monde si bas

lourd de tant de laideurs

à l'espace infini !

Alouette jolie

chante encore et toujours

ta claire villanelle

où résonne l'amour !

* * *

2 octobre 2010

Défi #118

Nouvelle proposition de défi d'écriture :

Le_chant_des_oiseaux    

Seule contrainte :

Glissez dans votre texte ces quelques vers d'André Theuriet (1833-1907) tirés de son poème "Petite alouette"

"Alouette, tu pars, le gosier tout gonflé
               De jeunes mélodies,
Et tu vas saluer le jour renouvelé."

Prenez votre plus belle plume et  ...  (à vous de compléter)

vous connaissez l'adresse :

samedidefi@hotmail.fr 

Bon vol !

A samedi prochain !

2 octobre 2010

Déjà au lit :

2 octobre 2010

Mais encore ??? (Joye)

Lui. Et cette semaine chez les Défiants ?
Elle. 17 heures ; une chambre ; au centre, un grand lit ; sur ce lit, un couple.
Lui. Comme nous ? Ici ? Maintenant ?
Elle. Comme nous. Ici. Maintenant.
Lui. Et encore ?
Elle. Pas de verbes.
Lui. Pas de verbes !
Elle. Pas de verbes !
Lui.  Ça alors !
Elle.  Effectivement.
Lui.  Mais !  Pas de verbes ? Vraiment ?
Elle. Vraiment !
Lui. Et un couple au lit ?
Elle. Yep.
Lui. À 17 heures ?
Elle. À 17 heures.
Lui. Scandaleux !
Elle. Yes, shocking !
Lui.  Mais encore ?
Elle.  Encore quoi ?
Lui.  Après les tableaux et les doudous et les drôles d’oiseaux, encore un couple au lit chez les Défiants ?
Elle. Oui, hein ?
Lui. Consigne de Papistache ?
Elle.  Consigne de Papistache !
Lui.  Sacré Papistache !
Elle. Eh oui, sacré Papistache…
Lui. Mais, une bonne idée, après tout !
Elle. Oui, très certainement...
[Rideau]

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2 octobre 2010

week-end (Séb B)

Oh un hôtel surpris en sa pleine tempête

la pinède alentour ses poumons plein de frites

comme un prince maya dévidant ses vieux rites

un couple voltigeur dans sa chambre fluette


la nuit observatrice à ses douces lucarnes

qui au bord d'un ruisseau qui au lit – quel vacarme !

traîneau de souvenirs corbillard des amants

le couple en raccommodages et jurements


le ciel machine à aube et les oiseaux à fientes

sur les verres et draps dévoreurs de sommeil

lorsqu’à midi service en rafales saignantes


vapeurs sous porcelaine au milieu des abeilles

fin de week-end sans joie en ses haillons de soie

car le soir apparu pour tous retour chez soi !

2 octobre 2010

Dix sept (Vegas sur sarthe)

Dix sept heures... Chambre dix sept... Pourquoi elle, pourquoi moi?

"Moi? Tarzan"... mots échappés, ridicules, masquant mon malaise.
En réponse, son sourire carmin si envoutant, le même sourire décoché mille fois par dessus le tumulte de la fête, négligeant les convives bruyants et avinés, une jarretière inaccessible et cette ridicule danse des canards...
Retour en arrière: toujours ce sourire et soudain son pied agile sur le mien puis notre fuite à l'étage.
Maintenant sa voix "Moi, Jane..." comme une caresse humide, une vague déferlant sur la plage brûlante du grand lit défait.
Une autre caresse, plus précise, plus savante et dans le mouvement mon plongeon vers un décolleté vertigineux et sa cuisse découverte jusqu'à la hanche dans les froufrous d'une robe d'un jour.
Mon membre dur et vibrant tel une liane... "Moi, Tarzan et vous Jane", mots échappés dans un souffle rauque mêlé à son souffle impatient.
Dix sept heures... Chambre dix sept... et mes presque dix sept ans

2 octobre 2010

Sans verbe (Val)


Draps souillés. Odeur de sperme. Matelas fatigué. Sueurs mêlées. Désirs endormis, usés, épuisés.

Pas de verbe ? Quel verbe ?
Verbe haut ? Verbe poétique ? Verbe ardent ? Imagé ? Enflammé ? Truculent? Verbe tranchant ?
Non ! Pas de verbes !

Corps vidés. Membres flagada. Voix rauques. Cuisses moites. Haleines aigres. Gorges sèches. 


Vrai ! Aucune place pour le verbe, dans ces cas là…

2 octobre 2010

Guillaume et Elisabeth (Pivoine)

Dehors, le verger, le cerisier, la ferme, le château, la villa, le pays, les champs et les forêts, le vallon sauvage, le labeur de tous les jours, la rivière blanche, l'Abbaye ouvrière. Parfums et saveurs acides des poissons d'eau douce, du vinaigre et du vin, bouillonnement des cuves, cuivre des cuves. Le halètement d'un train.

L'écriture. Le pays aimé.       

Dedans, une chambre de jeune homme, une chambre de jeune-fille, au choix, des meubles, des livres, des couleurs, des parfums, lavande, bois de rose et santal, des cours profondément dans des armoires, le souvenir des heures d'étude, celui des longs jours de l'enfance, des voiles bleus, la trace des peintures renouvelées, la maison, le home, la chaleur.

L'amour. L'intimité.

Et eux. Lui, elle. Petite fille jadis, capricieuse et curieuse, adolescente hier, visage menu, longues tresses de velours, rubans mordorés, robes et tabliers rouges, chaussures usagées, des rires dans la campagne, lectures de quinze ans, révolution pop, Pink Floyd à Pompéi, et puis un jour, la transformation.

L'âge. La liberté.

La jeune fille, la femme, un coin coquin, une coquetterie éclatante, un soleil dans tout le visage, une gorge comme le roucoulement des tourterelles. Et lui, le piège, l'amitié la métamorphose, les sentiments confus, la violence intérieure, l'expérience des années, le contact avec la terre, la vie là-bas, ici, le blé, un domaine, une propriété. Lui, elle, au centre de tout cela, main dans la main. Murmure de conversations. Poignets nus l'un contre l'autre, émouvants, membrane de douceur, approche timide, éternelle jeunesse.

La sensualité. Le partage. 

L'homme, attentif. Regard d'émeraude, dans la lumière et la chaleur de dix-sept heures. Avant le vacarme de la fin de journée, heure de sieste bénie. Douceur. Moiteur. Percale ivoire et lisse du drap. Moelleux de la couette indienne. Soupirs après l'amour. Brûlure. Vacillement du coeur, orages de l'esprit, attachement de tout le corps, quête des parfums obscurs. Le vertige de la passion. Le rêve dans les cendres. Danger.

La confusion. L'engagement irrémédiable.


2 octobre 2010

Maintenant (Tiphaine)

Maintenant

Lit bateau
Au centre de la chambre
Contre toi
Contre tout
Vagues de rumeurs
Eclats de bruits derrière la fenêtre
Loin

Lit bateau
Au centre de l'instant
Contre toi
Tout contre
Vagues de douceurs
Eclats de désirs derrière nos respirs

Main  tenant

2 octobre 2010

Proposition (in)décente ... (Zigmund)

De Zigmund à Zelda :

            Où ?
-chambre n°69 à l'Internat
            Quand ?
-à ta guise...
            Comment ?
-partage belles bulles dans flutes  irisées
-duo profiterolles chocolat sur crème banane
-et/ou glace deux boules et son cornet
           Pourquoi ? Pour quoi ?
-rencontre au sommet,discussions diverses
-révisions des cours d'anatomie pour examens proches
-câlins
-et bien plus si affinités...

zigmund ...

(poor lonesome doctor long way from home)

2 octobre 2010

Une chambre en ville (Sebarjo)

Une chambre en ville


Hôtel des Amériques, deuxième étage, chambre avec vue Numéro 24, dite La chambre verte. Un lit sans dessus-dessous. Un homme et une femme... dessus-dessous.  17 heures...


Comme chaque dimanche, Le Beau serge retrouvant Sa Sirène du Mississipi, pour une histoire sans faim... Amour sans suite, l'amour en fuite, amour aux Baisers volés, sans toit ni loi ni Domicile conjugal, amour aux quatre cents coups tirés sur le pianiste, l'Amour avec La femme d'à côté...

Cléo de 5 à 7 pour une Nuit américaine. Une belle fille comme elle, choisie par pure maniaquerie cinéphile, par simple maniérisme cinématographique. Pour le goût des pellicules sans l'odeur de l'après shampooing et du sel laissé sur La peau douce par la nouvelle vague.

Faisant son Jules - et elle sa gym - te voilà encore un Enfant sauvage, un de ces Barons perchés italo-calvinaux, dépensant sans comté ton Argent de poche pour tous ces joujoux, bijoux bisous du cou jusqu'aux genoux. Cache-cache sous les draps, passe-passe sur l'oreiller, mais hélas pouic-pouic sous les taffetas de soie ! A quatre pattes sur le pouce, cherchant des poux sous la couette en faisant Deux anglaises et l'incontinent mais ne trouvant qu'une queue ... de cheval ! Tournant l'étalon, le pied mal(a)pris, en grandes pompes autour du sommier délatté, ring saccagé et désormais dela(i)ssé.

Quatre boules de cuir à bout de souffle et une petite femme en pleurs, sur l'écran noir d'une nuit blanche. Deux Truffes mal peignées. Septième round, septième art : Chaos Knocking-Out aux portes du paradis. Fin du cinq à sept. Aussi dévastateur et horripilant qu'un ouragan monégasque, un Mistral gagnant décoiffant deux Mistons impossibles. L'amour comme un télégramme (stop !), un aller-retour sans Dernier métro, un expresso sans ivresse, un café viennois sans crème fouettée. Une Mariée en noir sans Noces rouges, Un Homme aimant les femmes sans l'éphémère. Résultat : cœurs nettoyés à sec, au fil des jours et des lunes. Vivement dimanche...


NB : Un grand merci à François Truffaut ! Mais aussi à Agnès Varda, aux Trois Claudes (Chabrol, Lelouch et Nougaro) et aux autres...


2 octobre 2010

Action ! (Vanina)

Gros plan de la caméra - une montre sur le poignet avec manche de chemise du cameraman: 17h00; fond flou: parquet. Balayage vertical (bas en haut) - vue sur un jeune couple silencieux, elle: les cheveux longs roux détachés sur les épaules, lui: les cheveux bruns, pas très longs mais bouclés. Zoom arrière - le couple, nu (mais pudique) et à genoux, sur un grand lit aux draps blancs ouverts mais pas froissés; le lit de bois au centre d’une chambre aux murs de tissu beige, propre, lumineux; par la fenêtre un ciel bleu, au loin une tour d’acier et de vitres/miroirs. Augmentation du son - paix de la nature, chants d’oiseaux, insectes volants; en arrière plan sonore, tumulte de la rue, voix humaines, cris. Zoom avant sur le couple immobile - les yeux dans les yeux, pleins d’Amour réciproque, lui: les yeux bleus, elle: les yeux noisette avec des éclats de verts; respirations retenues: tension; les mains dans les mains: douceur et crispation confondues. Zoom sur les mains - vue sur les alliances en or. Son…- un bruit intense d’explosion. …au début du zoom arrière - une violente lumière orangée. Camera fixe le temps de voir - à la place du couple, des cendres avec les deux alliances. Chute de la caméra - vue rapide par la fenêtre, au loin la tour légèrement masquée par un ciel gris, poussiéreux. Plus aucun son… caméra au sol, plan fixe - vue sur la montre dans un tas de cendre au sol: 17h02.

2 octobre 2010

Presque rien (Captaine Lili)

Une maison, une chambre

17 heures à la pendule

Elle et lui, sur le lit, dans la chambre jolie

Les doigts en valse

Les corps en chœur

17 heures dix à la pendule

Une tête sur une épaule

Les bras de lui sur ses hanches à elle, belle

17 heures vingt à la pendule

Deux peaux, un souffle

Le lit comme une île

Le temps à l’arrêt… ou presque

Une maison, une chambre

17 heures et quelques

Un couple beau d’amour

Un presque rien de tendresse

 

2 octobre 2010

A bit crowded (Adrienne)

Rome, premier novembre. 17 heures, 17 heures trente, peut-être, et déjà la nuit. Une chambre d’hôtel; au centre, un grand lit et sur ce lit, un couple.

Lui, allongé sous les couvertures, l’air agonisant de l’homme légèrement enrhumé – ou de certains hommes, en tout cas – malade, donc, ou prétendument malade. Trop malade pour dîner encore avec elle ce soir-là.

Elle, sur le bord du lit, la tête dans les mains, les yeux secs et brûlants, le cœur à l’envers, anéantie. En état de choc. Avec des envies de « solution définitive ».

Vingt-sept ans de mariage sans le moindre nuage et le voilà amoureux comme un collégien.

Amoureux d’une autre, depuis le printemps dernier.

Rome, premier novembre. 17 heures, 17 heures trente, peut-être, et la fin d’un parcours. De grands mots sur de grands maux. Toujours… jamais… plus jamais.

2 octobre 2010

Vieille cérémonie, nouvelle peau ? (Joe Krapov)

Souvenir suraigu dans le Chelsea hotel
Du satin de ta peau et des bruits de New-York,
Mamelons érigés, queues de poisson, sirènes
Et dans mon portefeuille une unique photo
De nous sur le trottoir.

O mon épouse gitane à la sauvagerie
Ardente du brasier des vieilles origines,
Mon absente chassée des fichiers de police,
A ce moment fatal des trois coups à la porte
Quelle révolution !

- Field commander Cohen ? Etat d'arrestation !

Et ta voix grave et suave
Et les trois coups de feu
Et la fuite éperdue dans le couloir livide,
La foule, le départ et la séparation
Pour les siècles des siècles

Souvenir suraigu de la chambre au Chelsea,
Des combats surannés,
Des ébats condamnés.
Ô Chambres anonymes,
Naissance, amour, décès,
Et vos murs, seuls témoins toujours quasi-muets
De notre humble vécu.

DDS117_new_skin_for_the_old_ceremony
Chelsea Hotel #2

2 octobre 2010

Les amoureux (Brigou)

brigou

2 octobre 2010

Occupation étrangère de NOTRE lit ! (trainmusical).

INTRODUCTION
Notre lit au milieu de la chambre.

PENDANT
Elle : son regard sur lui au centre du lit.
Lui : dans la détente avec elle.
Elle : dans la recherche du confort auprès de lui.
Lui : son corps contre elle.
Elle : délicieuse sensation.
Lui : son admiration en elle.
Elle : satisfaite de si belles caresses.
Lui : sa sensualité pour une bonne lèche.
Elle : ces poils dressés sous la finesse de sa langue.
Lui : la douceur.
Elle : encore et encore !
Lui : la délicatesse du plaisir.

APRÈS
Elle et lui : chacun de son côté dans le même lit.
Lui : des yeux fermés.
Elle : dans le dodo.

CRITIQUE
Elle et lui : le sans gène du squat de NOTRE lit !
Nous : notre pardon de cette occupation intempestive dans la compréhension d’êtres si adorables.

CHAT_CHAT

2 octobre 2010

Aux plumes (MAP)

Edredon

2 octobre 2010

Les saisons du couple (Caro et Kloelle)

Caro

Les saisons du couple.


Tableau 1 Printemps

17 h. Un théâtre de banlieue, un décor, un lit vierge. Le va-et-vient d’un projecteur des coulisses au centre de la scène. Deux corps en creux, absents des draps blancs, moulage éphémère.

Dans la salle sombre, trois silhouettes au quatrième rang, le halo d’une lampe. Un nom Ménard. Un autre, celui d’une femme. Un couple, non l’ombre d’un couple. Fragile. Des mots, un dialogue crescendo, les trilles du printemps et les promesses, la lumière, les rideaux en arrière plan, le souffle d’un ventilateur, une valse d’embryons de poussière sur les tentures épaisses et passées. Le solde d’un vieux décor, lieu éteint d’un marivaudage peut-être. Brusquement, une main debout dans la pénombre. La course d’un stylo sur le carnet, des notes, encore des notes. Une voix tranchante, « Oui, rendez-vous demain, deuxième audition. Vous deux. Scène 1. »

Le silence et des pas lointains sur les lattes de bois inégales

 

Tableau 2 Eté

14 h. La générale. Le même théâtre de banlieue, un décor, un lit défait. L’invasion d’une lumière dorée. Deux corps sur le lit, l’un contre l’autre. Une musique pétrie de carreaux de mosaïques irisées sur leurs peaux claires, sur leurs corps drapés dans le tumulte des draps. Entre eux, un babil inaudible, syllabes lentement découpées jusqu’à la mélodie des mots d’entente. Un brusque rougeoiement, une fenêtre largement ouverte, le vent tiède en caresse sur la commode vierge, sur le chevet, sur le sol. Le couple dans un jour artificiel, l’un contre l’autre, boléro, valse, promenade, course et le bavardage des mains, des jambes, des hanches, des bouche. Et enfin des yeux.

Puis plus rien. Jusqu’au vagissement et l’éclair bleu sur le berceau au fond à droite.

Tableau 3 Automne

20 h. Pénombre. Une rumeur diffuse, le bruit des portes, des corps, grincements des strapontins, le murmure du velours rouge sous le poids des spectateurs. Derrière le rideau, le cliquetis des derniers réglages. Des hommes à la marche lourde et aux silhouettes longilignes, le choc d’un marteau sur l’éclat du bois, un juron.

Elle, Lui. A droite. Une main sur le rideau, tremblante. L’hésitation. La tirade, l’indécise, chausse-trappes menaçant, béante depuis trois semaines, nœud des actions et des dénouements: les mots-clefs, incontournables et périlleux. Le mouvement silencieux et répété de ses lèvres, à elle. Son regard. Leurs peurs communes, cet instant où… l’arrêt ou la mise en danger ? Trois coups. Une respiration tenue, les yeux clos, deux âmes tendus comme des arcs, en suspens. Le rideau rouge fendu, trois pas vers la lumière.

 

Tableau 4 Hiver

23 h. Dernière représentation. Les vacillements des lumières, les raclements des malles, des meubles. Des rires et des baisers sonores. Elle, accroupie. Sous sa paume le bois sale du plancher, nu, déserté, muet. Le noir, pas la pénombre, le noir solitaire d’un théâtre en exil. Les plaisanteries au loin. Juste Lui, une caresse muette sur ses cheveux pâles. Un soupir, un regret.

Main dans la main, sur le départ. Un ultime baiser à la scène. Un homme, un trousseau lourd à la main. La dernière lumière éteinte. Le tour de clef. L’ultime.

PS: photo issue du blog http://redsardine.over-blog.com/article--housse-de-couette-ma-meilleure-ennemie--42791074.html

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