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Le défi du samedi
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3 juillet 2010

Rondeau ‏ (Joye)

enfants


En douce, où vont-ils ? Je ne sais.

Vers un monde de lumière,  parfait ?

Partent-ils en pleurant, dans la peur ?

Ou en souriant de leur bonheur ?

Où vont ces enfants ?  Je ne sais.

 

 D’un coup d’une plume affûtée

Ils vivraient heureux ! Ou tués

Par un poète cruel  et trompeur

En douce.


Figés dans ces couleurs cadrées,

Ainsi. Jolis. Illuminés.

Loin de ce  monde las et sans cœur,

  Saufs, à l’abri de  frayeur.

C’est là où je veux les laisser,

En douce.

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3 juillet 2010

En sortant de la grotte (Adrienne)

Météorologique

- Viens, décida le grand frère en sortant de la grotte, l’orage est terminé, on rentre à la maison.

Gastronomique

- C’est l’heure du goûter, dit le grand frère en prenant la main de la petite, on rentre. Maman a dit qu’elle ferait des crêpes.

Botanique

- Tu vois cette plante, expliqua le grand frère en entraînant la petite, ça s’appelle une astilbe.

Diurétique

- Reste là et attends-moi sans bouger, intima le grand frère en lâchant la main de la petite, je dois faire pipi.

Flegmatique

- Tiens, constata le grand frère en quittant l’antre de la sorcière, toutes les miettes de pain ont disparu.

Pragmatique

- Si on rencontre la vieille dame, pleurniche un peu, conseilla le grand frère à la petite. On aura peut-être des bonbons.

Asthénique

- Je n’en peux plus, soupira le grand frère en laissant tomber les bras. Rentre toute seule. Je reste ici.

Poétique

- Regarde, s’émerveilla le grand frère en tirant le bras de la petite, voilà ce qu’Homère appelait l’aurore aux doigts de rose…

Ecologique

- Qu’est-ce que tu as fait de ton chewing-gum ? demanda sévèrement le grand frère à la petite. Tu sais que ça met cinq ans à disparaître dans la nature ?

Démocratique

- Ce soir, c’est ton tour de fermer les poules, rappela le grand frère à la petite. Moi je l’ai fait hier.

Réplique celtique unique

- Ne ran ket forzh*, répondit la petite.

***

Critique

« Lorsqu'une rime est représentée par un grand nombre de mots, elle est banale: on ne fera jamais rimer deux mots en -ique sans tomber dans la facilité et le commun. » (http://www.espacefrancais.com/topics/rime.html)

* en breton, le « je m’en f… » a une consonance plutôt aristocratique voire même héraldique…

3 juillet 2010

Allô, l'A.S.E. ? (Kate)

- Allô, l'A.S.E. ?

- Oui, deux enfants seuls dans les bois. Vraiment ? Comment étaient-ils vêtus ?

- Je les ai vus de loin, un petit garçon et une petite fille. Ils se tenaient par la main.

- Bien, je note...

Là, le téléphone sonna vraiment : dring !

Non, c'était le réveil-matin car le téléphone émet des chants d'oiseaux. Alors, ce n'était qu'un rêve ? Non ! J'avais trop regardé ces deux petits bouts d'choux peints par KatyL (quel talent !) et ils ne m'avaient vraiment pas inspirée, enfin consciemment...

Pourquoi avais-je rêvé d'eux et les avais-je associés dans mon songe matinal à l'Aide Sociale à l'Enfance ?

Ah, oui, je me souviens... on venait de m'en parler. En effet, après avoir relu différentes versions des "Trois ours" en mai dernier, à la période où que je "planchais" sur le défi autour du chiffre 3, j'avais dû me replonger dans le "Petit Poucet" et le conte similaire de "Hansel et Gretel"...

hansel_gretel_arthur_rackham1Bref rappel : deux petits enfants d'un pauvre bûcheron sont perdus dans la forêt mais ils ont un plan qui consiste à recueillir des petits cailloux blancs et marquer ainsi leur chemin de retour. Leur mère a poussé (dit-on) leur papa à faire une deuxième tentative pour les perdre à nouveau dans la forêt. Cette fois-ci les enfants n'ayant que des morceaux de pain à jeter derrière eux se sont perdus, le pain ayant été mangé par les oiseaux. Dans leur errance, Hansel et Gretel, frère et soeur fort débrouillards, trouvent une maison en pain avec des fenêtres en sucre qu'ils commencent à manger.

Leur mésaventure ne fait que commencer car la vieille femme qui habite la maison est une sorcière qui attire les enfants afin de les manger : le monde est vraiment peuplé de mauvaises gens ou la faim serait-elle à ce point généralisée ?...

Ne vous en faites pas ! Les enfants s'en sortiront par la ruse et la vieille finira carbonisée ! Et ils rentreront chez eux ! Non ? Si ! Mais l'histoire ne dit pas si leurs parents seront toujours aussi désespérés de voir réapparaître ces bouches à nourrir...

Un conte sur la misère, la disette, la faim, l'infanticide, les sorcières...

Et les femmes manipulatrices : la mère pousse le père, la soeur devenue servante de la sorcière doit engraisser le frère enfermé dans une cage dans le but de le manger  !

Et les femmes rusées : la fillette tend un os à la sorcière (on pense à Baba Yaga, là) à moitié aveugle qu'elle prend régulièrement pour le doigt du garçon puis elle pousse dans le four la sorcière qui lui demandait de vérifier si la cuisson de son frère est terminée !

Me voilà bien loin de ces deux gosses et de ton tableau (enfin, peut-être pas tant que ça ?) mais j'ai répondu quand même, KatyL à ta question :

" vont-ils ?"

Tiens, ça me fait penser à Blanche-Neige...

blancheneige

 

 

3 juillet 2010

Enfants de grand chemin (TataBéa)

Judith : Je l’ai bien fait , dis ?

 

David : Mais oui c’était très bien..

 

Judith : Parce que c’était la première fois, j’ai fait tout comme m’a dit Gaëlle, alors c’est vrai c’était bien ?

 

David : Mais puisque je te dis que oui , allez , grouille on va pas rester ici toute la journée non plus !

….

Judith : Pourquoi c’est toujours toi qui fait David ?

 

David : Mais parce que c’est comme ça : je suis David !

 

Judith : C’est plus rigolo d’être David, parce que moi ça m’amuse pas de rester là étendue à attendre le bonhomme !

 

David : Oui mais c’est comme ça qu’on fait ! Mamie a dit que c’est comme ça, alors tu le fais .. jusqu’à ce que tu sois trop grande, comme Gaëlle, et que ce soit une autre !

 

Judith : Mais ça fait peur ! Parce que je dois rester les yeux fermés et pas bouger quand il y a un bonhomme qui s’approche.

 

David : C’est exprès .. T’inquiète pas je surveille, t’as vu d’ailleurs dès qu’il te touche .. pfouiiit !

 

Judith : Ha oui, je l’ai bien entendu le caillou : pfouiit.. plonc ! Et toc le bonhomme il tombe, il a failli m’écraser.

 

David : C’est le risque ! Mais on a quand même fait 230 balles aujourd’hui

 

Judith : Et une montre !

 

David : Quoi une montre ? Tu sais bien que Mamie veut qu’on prenne que les sous ! Les montres et les trucs comme ça .. c’est un coup à nous faire repérer !

 

Judith : Mais je la garde pour moi !

 

David : Rien du tout, faut être honnêtes : tu la jettes avant qu’on arrive, dépêche-toi, je vois la maison .. 

 

3 juillet 2010

"le petit chaperon rouge était envers"... (ryslvie)

   


à première vue, j’aurais tendance à penser

qu’ils sortent du bois pour aller rendre visite à mère grand.

-« Hé oui, le petit chaperon rouge d’autre fois,

est en vert cette année » !

Seulement voilà, ce n’est pas l’histoire

Quand, ce matin là, il fallut se lever, Marthe trouva que son ventre était plus lourd qu’à l’habitude. Mais elle n’y prit pas garde. Trop pressée qu’elle était de vite s’habiller, pour aller raviver les cendres à peine refroidies de la nuit. Pas une minute à perdre, il fallait ensuite mettre de l’eau à bouillir, préparer le semblant de déjeuner tout en aidant petit Pierre, Marcel, Maurice, Hubert, Jean et les 3 autres à s’habiller. Ensuite, après une frugale bolée, rejoindre le père aux champs, tandis que le grand Léandre irait conduire ceux qui devaient aller à l’école, avant de revenir faire ses corvées et guetter le petit dernier.

Plus de 3 lunes, Marthe comprit qu’une fois de plus la nature avait été plus forte que ses supplications. Pas que cela soit une catastrophe, comme se plaisait à le dire monsieur le curé « mieux vaut un de plus qu’un de moins », mais c’était pas lui qu’allait trouver de quoi nourrir cette bouche supplémentaire.

Passé le bonheur d’enfanter une fille, le quotidien reprit vite son cours, et la faim commença à tenailler le ventre de la petite louison. La fillette, qui n’avait pas d’oreilles que pour écouter les jérémiades de ses frères ou plaintes de sa mère, ne perdait pas une miette des histoires racontées par la vieille Thérèse à la veillée. Et, bien qu’elle lui fasse peur, la petite savait qu’il y avait une part de vérité dans cette légende….. Elle échafauda un plan pour aller trouver fortune et de quoi faire manger la famille jusqu’à n’en plus pouvoir.

Seulement la petite ne pouvait se douter, que la frontière délimitant le monde irréel des fées est infime de celle des sorcières. Lorsqu’elle s’aventura par de là les limites du jardinet qui entourait la maison familiale, trop soucieuse qu’elle était d’aller rencontrer la fée du lac, elle ne prit pas garde aux nuages de plus en plus sombres qui envahissai ent le ciel. Car voyez vous, les sorcières aiment plus que tout rendre les Hommes malheureux. Alors pas question qu’une petite fille, surtout si elle est aussi mignonne que gentille, aussi polie que jolie…. S’en aille quémander de l’aide. Devant tant de simplicité, la fée du lac, ne saurait refuser. Il fallait donc que la petite se perde dans les bois.

Ainsi fut dit, ainsi fut fait… le vent se mit à souffler dans les branches menaçantes , qui terrifiaient la petite, oubliant de regarder où elle mettait les pieds, se laissant ainsi prendre aux pièges des racines s’agrippant le long de ses jambes. Impossible de courir, incapable de crier tant la violence de la pluie faisait rage. Lise disparut dans un tourbillon de poussière. Et l’on ne la revit jamais plus. Seul quelques feuilles gardaient la mémoire du passage de la fillette. Feuilles que l’on prit l’habitude d’appeler liseron en souvenir de la petite.

Que l’on pleura jusqu’à ce samedi 3 juin 2010 où,

sous les traits délicats d’une gestuelle habile et précise,

se marièrent couleur et pastel pour faire apparaître

le joli tableau que voilà

Qui d’une main complice en premier plan,

déposa petite Louison au pied du chemin d’herbe verte

où l’attendait Léandre pour la ramener vers le jardinet familial


P.S : Milles excuses pour l'auteur de ce tableau
que j'ai osé coloriser ! pour moi, la main me semblait si évidente,
mais le le regard de chacun n'est pas (et fort heureusement)
celui de l'autre, alors j'ai voulu singulariser
!

   

   

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3 juillet 2010

Anniversaire. (Jo Centrifuge)

Debout sur leurs chaises en plastique les gosses claquaient leur pendule comme des enragés et leurs petites mains déplaçaient les pièces de l'échiquier à une vitesse fulgurante. La table en tremblait et, par la même, c'était tout le décor d'anniversaire qui valsait :  ballons pastels, banderole, ... Dans le lointain les rumeurs d'un festival techno parachevait de donner à Delphine l'inquiétant sentiment que son petit monde se déglinguait à vitesse grand V.

C'est à ce moment que Patrick déboula les bras chargés de sacs plastiques. Ils étaient tous les deux à la bourre, évidement. Le retard c'était leur tradition, leur point d'honneur. Alors qu'ils virevoltaient pour parachever les derniers préparatifs, ils se mirent à déballer leurs déboires.

Désole...retenu au boulot...plein de monde au supermarché...embouteillages...foutu concert...blablabla... Merde c'est déjà l'heure ! Pousses toi ! Allume le barbecue ! S'cuses ! Mets la limonade sur la table! Mais pourquoi personne n'est encore arrivé ?

Les sacs de bonbons produirent de sinistres craquement sous l'action de leurs mains crispées. De leur table, les deux mômes les dévisageaient.

-Tu n'as quand même pas oublié de poster les invitations, murmura Delphine.

-Quoi? Mais c'était toi qui...

Flairant l'entourloupe, les morveux s'étaient levés et avançaient droit sur eux. Et que raconter à deux petits qui lisent en vous comme dans un livre si ce n'est... n'importe quoi?

- La fête, c'était une farce ! La vraie surprise c'est un semaine de parc d'attraction, youhouu! Joyeux anniversaire les jumeaux!

Du haut de ses trois pommes, la petite les fixaient, furibarde :

-C'est ça oui! Vous nous prenez pour des ravioles ?

Son frère surenchérit:

-Ouais, dites plutôt que vous avez oublié les invitations.

La petite qui n'avait pas baissé son regard arracha le paquet de bonbons des mains de sa mère :

-C'est quand qu'on y va au parc d'attraction ?

-euh... la semaine prochaine...?

-Bon... Ça va ! Nous on va chez mémé. Bonnes soirée, parents indignes.

Ils tournèrent les talons en grignotant leurs friandises et sortirent du jardin à la manière de deux philosophes devisant d'on ne sait quelle théorie stratosphérique.

-Ils me font peur quand ils sont comme ça, confia Patrick à Delphine.

-Qu'est-ce que tu veux, ce sont des surdoués. Ils naviguent dans des subtilités que nous, pauvres imbéciles, nous ne soupçonnons même pas l'existence... Moi ce qui m'effraie c'est comment on va trouver le fric pour le parc d'attraction.

Au concert on tirait un feu d'artifice. Ils regardèrent en même temps les trois saladiers de taboulé :

Tabouléééé ! Un euro le cornet ! Une pièce seulement pour de la semoule qui pique ! Allez, alleeeeez!

3 juillet 2010

9 réponses à une question cruciale (Joe Krapov)

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Battre la campagne

Là où le veau dort
Le coq fier sur ses ergots
Est toujours debout


100627_038



Parcourir des territoires vierges

Où il n’y a rien
Quelle joie d’y pouvoir mettre
Du n’importe quoi !




100627_037

Rencontrer des illusions (et des appareils dentaires)

Un gros malabar
En overdos' de glucose :
Elvis « King » Presley




100626_004

Prendre du bon temps

Ils bavent d’envie
D’aller enterrer un jour
Une feuille morte




100627_039


Vivre leur vie


De ses propres ailes
Quitter le nid familial
Pour en refaire un





100626_010Rêver de légendes

Ce chien d’aviateur
A fini cloué au sol
Par le Baron rouge

Loin d’être à tue et à toit
L’autre lui cherchait des niches



100626_023

Chercher l’âme sœur

Mascara, noeud pap’,
Haut de forme… Ô doux printemps !
Saison des mariages.




100626_025

S’en prendre plein la gueule


Folle mascarade :
Choisis ton camp, camarade,
Le monde est malade



100626_002Jouer avec Isaure

- Pour cette première étape du parcours des girafes, nous nous sommes arrêtés dans la petite rue qui mène aux Portes mordelaises. Je vous demande donc de lever le nez vers le premier étage de cette maison face à nous. Qu’y voyez-vous de remarquable ?
- Rien !
- Eh bien, si, il y a quelque chose de magique ici. Quel que soit le temps qu’il fait dans d'autres quartiers de Rennes ou bien ailleurs dans le monde, cette façade reçoit en permanence le soleil !
- Et pourtant il tourne ! C’est pas possible !
- Si, c‘est possible : c’est là qu’habite mon amoureux. Quand on aime on a toujours vingt ans et le soleil dans le cœur et en façade. Et toi, la forte tête, pour la peine tu reviendras demain vérifier cela. En attendant, tu vas nous dire combien tu vois de losanges au soleil sur cette façade. Non mais !

(Les photos ont été prises à Rennes les 26 et 27 juin 2010)

3 juillet 2010

bucolique ta mère (Poupoune)

Ah ça ! Ils les connaissaient, toutes les histoires sordides et terrifiantes des monstres de la forêt ! La vieille folle anthropophage, le bûcheron incestueux, les nabots lubriques… pas un seul de ces personnages farfelus autant qu’effrayants ne manquait à l’appel de leurs pires cauchemars de gosses ! Mais ils étaient grands maintenant, et ce n’était que des histoires… alors ils n’avaient pas peur de couper par les bois : ça allait tellement plus vite !

Ils n’ont pas eu peur non plus ce soir-là quand ils se sont retrouvés empêtrés dans un grand filet : ils ont pensé qu’il s’agissait d’un piège du père Mourelet. Ils n’ont toujours pas eu peur en voyant s’approcher d’eux ce bonhomme qu’ils n’avaient jamais vu : ils ont pensé qu’il s’agissait d’un cousin ou d’un ami de quelqu’un du village. Ou du village d’à côté. C’est sans hésiter qu’ils l’ont suivi dans la jolie chaumière de la clairière derrière le bois, où il leur a proposé de leur faire découvrir enfin le seul vrai mystère de la forêt. Ils n’ont évidemment pas eu peur, dans la maisonnette, en reconnaissant leur copain Antoine, dont on leur avait dit qu’il était parti à la ville chez ses cousins. Ils ont encore moins eu peur en retrouvant la petite Agnès, la sœur de Louis, qui était elle aussi partie à la ville pour ses leçons de piano.

Ils ont seulement commencé à se poser des questions en s’apercevant que leurs copains ne réagissaient pas en les voyant. Et ils ont commencé à avoir peur en remarquant de paille qui sortait du cou de la petite Agnès, que je n’avais pas tout à fait fini de recoudre. Quand ils m’ont vu approcher avec mon grand couteau, ils ont compris qu’eux aussi allaient bientôt partir à la ville. Et je crois que là, ils ont eu peur.

Les enfants sont tellement prévisibles… Pas un qui ait assez de jugeote pour se dire que si ses parents essaient de l’effrayer, ce n’est pas que par cruauté. Et les parents… les parents ! Pas un qui cessera de raconter ces fables idiotes aux enfants, pour leur apprendre enfin les vrais dangers de la vie…

Je ne m’en plains pas, hein… mais qu’ils ne viennent pas se plaindre non plus.

 

3 juillet 2010

Bonne question ! (Walrus)


Bonne question en effet, où vont donc ces enfants ?

Et, tant que nous y sommes, d’où viennent-ils ?

Mieux : qui sont-ils ?

Ça me rappelle Gauguin...
La question bien sûr, pas le style de la peinture.

gauguin

3 juillet 2010

Histoire (MAP)

Histoire en images pour enfants pas très sages

Histoire à faire peur aux enfants gambadeurs

Histoire à ne pas croire ... là c'est à vous de voir !!!

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