22 mai 2010
Le pays de "Birīt Nārim" (Pivoine)
Il s'était tu ce vent aveuglant d'Orient
Quand je m'enivrais de silence
De caravanes De fleuves fondateurs
D'hiéroglyphes secrets De galeries
Bleu de cobalt et céramiques en feu
Quand je traquais Dénombrais
entre les stèles et la pénombre des tentes
Des parchemins d'une pâleur de sable
L'arithmétique des savants antiques
Les Ecritures Leur illusoire miel
La source des déluges et les monts asiatiques
Les dunes vagues et les colonnes de sel
Tant de tiares de Majestés embaumées
Main dans la main des épouses fidèles
Ô mon souffle contenu qui priait
Pour que dénudé de ses toiles de soie
Sortît l'unique visage Que j'avais tant imaginé...
Publicité
Commentaires
K
P
T
Z
P
P
V
M
J
A
P
J