Inceste passager de folie ( Papistache)
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre père...
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre mère...
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que ton père
Que ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés
Ma chère petite Élise, il faut que te je dise
Que notre père...
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre mère...
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que ton père
Que ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés
J’les ai poussés
I’s sont tombés
Au fond de l’eau
Sans dire un mot
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise,
Que ton père
Et ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés
Et maintenant, ma p’tite Élise, te voilà seule et orpheline
A ton amant, petite Élise, fais pas la gueule, sois pas chagrine
Maman, papa
De haut en bas,
se sont noyés
Et c’est bien fait
J’les aimais pas
I’s m’aimaient pas
J’les ai poussés
I’s sont tombés
Et désormais, à notre union, rien ne s’oppose
Demain dès l’aube, chez le curé, je te dépose
On va s’marier,
Petite Élise,
Dedans l’église
Sans s’faire prier
Papa défunt
Maman défunte
A nous enfin
l’amour sans crainte
Ô mon aimée, petite sœur, la Dulcinée-ée de mon cœur
Petite Élise, dans mes bras, viens je t’enlace, avec ardeur.
Ma petite Élise, il faut que je te dise,
Que j’ai noyé, papa, maman, par gourmandise
Demain dès l’aube, chez le curé, je te dépose
Et sans entrave, mari et femme, nous serons libres,
Comme deux oiseaux, au fond du lit, tout nus et ivres
De savourer... de savourer-er de l’amour la grande chose
Ma petite Élise, il faut que je te dise....
— Toc-toc !
— Qui frappe à l’huis ?
— C’est la maréchaussée, ouvrez, vous êtes cernés.
(Voix rocailleuse de l'Aveyron)
Ma petite Élise, il faut que je te dise
Que notre mère
Savait nager
Papa a coulé
Elle est r’montée
M’a accusé
Je s’rai pendu...
Ah ! mais ce n’est pas du tout le défi, ça, Papistache. Il a rien compris l’ancien. Où ils sont les six mots masqués ? Tu remets la cassette à zéro et tu recommences.
Ti ta ti ta ti ta ti ta ti taa, ta ti ta, ta ti ta-ta
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre père...
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre mère...
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que ton père
Que ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre père...
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre mère...
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que ton père
Que ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés
J’les ai poussés
I’s sont tombés
Au fond de l’eau
Sans dire un mot
Ma chère petite Élise, il faut que je te dise,
Que ton père
Et ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés
Et maintenant, ma p’tite Élise, te voilà seule et orpheline
A ton amant, petite Élise, fais pas la gueule, sois pas chagrine
Maman, papa
De haut en bas,
se sont noyés
Et c’est bien fait
J’les aimais pas
I’s m’aimaient pas
J’les ai poussés
I’s sont tombés
Et désormais, à notre union, rien ne s’oppose
Demain dès l’aube, chez le curé, je te dépose
On va s’marier,
Petite Élise,
Dedans l’église
Sans s’faire prier
Papa défunt
Maman défunte
A nous enfin
l’amour sans crainte
Ô mon aimée, petite sœur, la Dulcinée-ée de mon cœur
Petite Élise, dans mes bras, viens je t’enlace, avec ardeur.
Ma petite Élise, il faut que je te dise,
Que j’ai noyé, papa, maman, par gourmandise
Demain dès l’aube, chez le curé, je te dépose
Et sans entrave, mari et femme, nous serons libres,
Comme deux oiseaux, au fond du lit, tout nus et ivres
De savourer... de savourer-er de l’amour la grande chose
Ma petite Élise, il faut que je te dise....
Oh, non, Papistache, tu es lourd !
Des explications ! Fissa.
C’est que, chers a_ _ s du d_ _ i du s _ _ _ _ i, la l_ _ _ _ e à É _ _ _ e m’a tant soûlé que, grisé, je crains d’avoir, un peu, m _ _ _ _ _ _ _ _ é.