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Le défi du samedi
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1 mai 2010

Inceste passager de folie ( Papistache)

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre père...

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre mère...

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que ton  père
Que ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés

Ma chère petite Élise, il faut que te je dise
Que notre père...

Ma chère petite Élise, il faut  que je te dise
Que notre mère...

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que ton  père
Que ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés

J’les ai poussés
I’s sont tombés
Au fond de l’eau
Sans dire un mot

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise,
Que ton père
Et ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés

Et maintenant, ma p’tite Élise, te voilà seule et orpheline
A ton amant, petite Élise, fais pas la gueule, sois pas chagrine

Maman, papa
De haut en bas,
se sont noyés
Et c’est bien fait

J’les aimais pas
I’s m’aimaient pas
J’les ai poussés
I’s sont tombés

Et désormais, à notre union, rien ne s’oppose
Demain dès l’aube, chez le curé, je te dépose

On va s’marier,
Petite Élise,
Dedans l’église
Sans s’faire prier

Papa défunt
Maman défunte
A nous enfin
l’amour sans crainte

Ô mon aimée, petite sœur, la Dulcinée-ée de mon cœur
Petite Élise, dans mes bras, viens je t’enlace, avec ardeur.

Ma petite Élise, il faut que je te dise,
Que j’ai noyé, papa, maman, par gourmandise
Demain dès l’aube, chez le curé, je te dépose
Et sans entrave, mari et femme, nous serons libres,
Comme deux oiseaux, au fond du lit, tout nus et ivres
De savourer... de savourer-er de l’amour la grande chose

Ma petite Élise, il faut que je te dise....

— Toc-toc !
— Qui frappe à l’huis ?
— C’est la maréchaussée, ouvrez, vous êtes cernés.
                            (Voix rocailleuse de l'Aveyron)

Ma petite Élise, il faut que je te dise
Que notre mère
Savait nager
Papa a coulé
Elle est r’montée
M’a accusé
Je s’rai pendu...

Ah ! mais ce n’est pas du tout le défi, ça, Papistache. Il a rien compris l’ancien. Où ils sont les six mots masqués ? Tu remets la cassette à zéro et tu recommences. 

Ti ta ti ta ti ta ti ta ti taa, ta ti ta, ta ti ta-ta

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre père...

Ma chère petite Élise, il faut  que je te dise
Que notre mère...

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que ton  père
Que ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que notre père...

Ma chère petite Élise, il faut  que je te dise
Que notre mère...

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise
Que ton  père
Que ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés

J’les ai poussés
I’s sont tombés
Au fond de l’eau
Sans dire un mot

Ma chère petite Élise, il faut que je te dise,
Que ton père
Et ta mère
Au fond du pré
Se sont noyés

Et maintenant, ma p’tite Élise, te voilà seule et orpheline
A ton amant, petite Élise, fais pas  la gueule, sois pas chagrine

Maman, papa
De haut en bas,
se sont noyés
Et c’est bien fait

J’les aimais pas
I’s m’aimaient pas
J’les ai poussés
I’s sont tombés

Et désormais, à notre union, rien ne s’oppose
Demain dès l’aube, chez le curé, je te dépose

On va s’marier,
Petite Élise,
Dedans l’église
Sans s’faire prier

Papa défunt
Maman défunte
A nous enfin
l’amour sans crainte

Ô mon aimée, petite sœur, la Dulcinée-ée de mon cœur
Petite Élise, dans mes bras, viens je t’enlace, avec ardeur.

Ma petite Élise, il faut que je te dise,
Que j’ai noyé, papa, maman, par gourmandise
Demain dès l’aube, chez le curé, je te dépose
Et sans entrave, mari et femme, nous serons libres,
Comme deux oiseaux, au fond du lit, tout nus et ivres
De savourer... de savourer-er de l’amour la grande chose

Ma petite Élise, il faut que je te dise....

Oh, non, Papistache, tu es lourd !
Des explications ! Fissa.

C’est que, chers a_ _ s du d_ _ i du s _ _ _ _ i, la l_ _ _ _ e  à É _ _ _ e m’a tant soûlé que,  grisé,  je crains d’avoir, un peu, m _ _ _ _ _ _ _ _ é.

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Commentaires
P
L a limace à exode, Joye, c'est drôle. C'est Tilleul qui voudrait le voir l'exode de ses liamces.<br /> <br /> Soumarine, ne craignez rien, ici, je suis bien entouré !<br /> <br /> Le dernier mot : un barbarisme, Zigmund, un peu dans l'esprit d'un certain défi 102.<br /> <br /> Heureusement Kate, que le crime parfit est difficile.<br /> <br /> C'est trop, Walrus.<br /> <br /> C'est coriace une mère, MAP.<br /> <br /> Malmener une consigne, ici, c'est permis, Venise.<br /> <br /> Je livre le mot, Joe, comme je disais à Zigmund, un petit barbarisme : m e r d o u i l l é. Un peu !
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J
Au jeu du pendu, Papistache est comme l'oncle Bens(thoven) qui écrit cette lettre à Elise incestueuse.<br /> <br /> Moi par contre je sèche sur "je crains d’avoir, un peu, m _ _ _ _ _ _ _ _ é
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V
tordre le coup à la consigne et à celui de vos parents c'est du toupet! ou je n'y connais rien à la syntaxe!
Répondre
M
A l'eau les parents ??? Mais la mère a résisté !!!<br /> Pas inceste vous êtes cernés !!!<br /> On sent bien en effet que la ritournelle trop entendue vous a monté à la tête Papistache !!!
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W
Astucieux, comme toujours.
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K
J'adore l'ambiance et les protagonistes ! Le crime parfait est vraiment difficile...
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Z
pas simple de laisser un comm après joye<br /> pas sûr du dernier mot<br /> s**** ! m*** de r*** !
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S
C'est vrai qu'elle vous tape facilement sur les nerfs cette lettre là, mais que de dégats!!! Etes vous bien assuré, Papistache?
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J
Chers ANES du DENI du SALAMI, la LIMACE à EXODE m'a tant soûlé que, grisé, je crains d'avoir, un peu MICHETONNÉ !!<br /> <br /> OH !!! PAPISTACHE !!!<br /> <br /> ;-)<br /> <br /> ♥
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