2 avril 2010
Olympiade (tiniak)
Je goûte mieux la chose simple
pour ce qu’elle vient compliquer
l’ordre de mes pensées
sur mon petit Olympe
Mais de tous les poisons du cœur
- de ceux qui vous pourrissent l’âme,
quel est celui, madame
qui vous assombrit l’heur ?
Car je vois bien à votre mine
à votre regard qui fulmine
que vous avez le sang
passé de rouge à blanc
Quand s’agissant de vous quitter
tout est alors si compliqué
que je ne sais que faire
pour ne pas vous déplaire
Où je retrouve mon Olympe
cueillir en son jardin aux simples
du piment
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