Ont tenu leur plume à bout de bras
Vegas sur sarthe ; Walrus ; JAK ; Epamine ; EVP ;
Lorraine ; Prudence Petitpas ; joye ; MAP ; Venise ;
Sergio ; Joe Krapov ; Sebarjo ; titisoorts ;
Vegas sur sarthe ; Walrus ; JAK ; Epamine ; EVP ;
Lorraine ; Prudence Petitpas ; joye ; MAP ; Venise ;
Sergio ; Joe Krapov ; Sebarjo ; titisoorts ;
Une seiche vit un calmar
Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui n'était pas longue en tout comme un homard,
Envieuse, s'étire, s'allonge et se travaille
Pour égaler l'animal pittoresque,
Disant: "Regarde bien, mollusque;
Est-ce assez? Réponds-moi: vois-tu ces tentacules?
Nenni - M'y voici donc? -Point du tout. M'y voilà?
-Vous jouez petit bras."La seiche ridicule
Tira si fort qu'elle coula.
J’ai le bras long. Vous ne l’aviez pas remarqué? Normal, je suis discrète, je n’en parle pas,je n’en fais pas étalage, je me comporte comme tout le monde. Enfin, presque!. Quelquefois, je me prends par la taille, ma main gauche glisse derrière mon dos et se pose coquettement sur ma hanche droite. Je fais quelques pas, comme si nous étion deux.
Cela surprend un peu, je vous l’accorde. Mais pas plus que lorsque je ramasse sans me pencher la balle de mon chat et la lance vigoureusement si loin dans la prairie qu’elle disparaît.
J’avoue qu’avoir le bras long est parfois très agréable. Je fais mes courses sans fatigue, mon bras droit pousse paisiblement le chariot tandis que le gauche saisit prestement les denrées en haut, en bas, devant l’acheteuse un peu hésitante (pardon, Madame),, ou même dans le rayon d’en face.
Seul ennui: il a la tête près du bonnet! Ainsi, l’autre jour, il a flanqué une gifle bien appliquée au vendeur qui ravitaillait les consoles, sous prétexte qu’il était trop pressant envers moi! Il a fallu que je le reprenne en mains. Je l’ai donc plis en trois et l’ai revêtu de sa housse; ainsi il a l’air d’un parapluie très innocent.
J’allais oublier de vous le dire: c’est un bras long très affectueux. Sans me demander mon avis, un jour que nous étions coincés dans la file devant le cinéma, il a étroiteùent serré mon voisin contre moi, qui a paru ravi. C’est ainsi que nousnous sommes mariés...
J’ai rencontré un grand patron de chaîne télé
J’étais en dessous du seuil de pauvreté, et cette détresse je ne pouvais la garder pour moi.
Je lui ai demandé avec le bras long qu’il avait de me prêter de l’argent
Il m’a répondu qu’il ne prêtait jamais à fond perdu
J’aurai pu faute de bras long lui mettre mon poing sur la gueule mais il serait parti à coup sûr vendre l’info à ‘CLOSER’ déjà très occupé …….
Pour le prix d’un jambon beurre cornichon j’ai ravalé ma colère , et je lui ai permis de me confier ses soucis de santé .
Je lui ai dit que j’étais quelqu’un de suffisamment responsable pour ne pas influer sur le cours des événements et si j’avais à portée de fusil le plus grand cancérologue je ne lui communiquerais pas ses coordonnées et que je ne conclurai avec lui aucun ‘d’édit de Nantes’
Mes bras étant plus courts que ceux d’un manchot, je marche à petite allure et j’arpente tous les axes de la boussole sans avoir besoin de rallonge !!!
Mon père lui, avait le bras long .quoiqu’à y repenser il ne semble pas que ses bras fussent longs. Ils étaient normaux et de taille égale .Par piston, c’était un ami du Maire il me fit embauché, malgré mon handicap au service technique de ma ville où, mon chef, pensait que j’avais des dispositions particulières pour effectuer le remplacement des ampoules grillées des lampadaires. Ce dernier pensait faire l’économie de l’utilisation d’une nacelle élévatrice, car, Ah oui j’ai oublié de vous en faire part, je suis affublé d’un bras long, même très long. Mais un seul bras long ne sert à rien si l’autre est de longueur conventionnelle. Je pus facilement dévisser le hublot en verre mais le fit tomber sur le sol ou il se brisa. En effet je ne pouvais tenir d’une seule main le tournevis et le hublot. Apres plusieurs essais tous catastrophiques je fus remercié le soir même. Avoir le bras long n’avantage pas toujours. A l’école primaire où, pensant bien faire, m’évitant ainsi un déplacement, j’écrivais la réponse à la question posée par mon instituteur directement au tableau de ma place, eut pour effet de déclencher un fou rire généralisé de la part de mes camarades. Le seul à ne pas rire fut l’instituteur. Il me prit en grippe et me relégua au fond de la classe et je ne fus plus interrogé.je me renfermais sur moi-même, mon bras sagement roulé sur mes genoux. Choux hiboux cailloux etc. … je fus donc orienté en CLISSE puis SECPA. Le système m’évacua très vite. J’étais diffèrent et me retrouvait seul. Dans le bus quand je voulais aider une Mamy en appuyant depuis le siège arrière sur le bouton déclenchant l’ouverture des portes je déclenchais chez elle des hurlements. J’étais un monstre. Aucune intervention chirurgicale n’était envisageable. Cas unique .Etais je donc le seul à avoir le bras long sur cette planète ?
Une seule fois, avoir le bras long me servit. Je fus, bien malgré moi pris en otage dans un holdup à ma banque, où j’étais venu d’arrache-pied, renégocier un prêt pour lequel je n’arrivais plus à joindre les deux bouts. A peine entré un gangster patibulaire me braqua avec un énorme pistolet en hurlant « les mains en l’air » Effrayé, je m’exécutais prestement et lançais donc mon bras démesuré vers le haut. Il heurta violement le faux plafond qui s’écroula sur le bandit malchanceux. Je fus, une fois n’est pas coutume le héros du jour.
J’allais baisser les bras et balayait d’un revers de main les conseils les plus avisés. Heureusement j’avais gardé la tête sur les épaules et je pris le problème à bras le corps.
Voilà toute l’histoire mais avoir le bras long cela me fait une belle jambe. J’ai surtout envi que l’on me lâche les baskets.
Dans sa chambre, Terpsichórē posait.
Sa mère, Polýmnia, assistait à la séance.
" Terpi, ma chérie, tu es magnifique et ton himation ainsi drapé est du plus bel effet!
- Tu parles ! J'en ai marre de lever le bras et je déteste avoir les seins à l'air! Pourquoi je ne pouvais pas mettre mon chiton au lieu de ce truc qui glisse en permanence et que je dois tenir ? Et puis je t'ai déjà demandé de ne plus m'appeler Terpi. Fallait pas me donner un prénom aussi ridicule et aussi long…
- Ta servante a fort bien réussi ta coiffure et ce savant chignon te sied à ravir!
- Encore heureux ! Elle m'a presque arraché la tête pour que tous mes cheveux tiennent dans le ruban et pour finir, le chignon n'est même pas droit…
- Quelle belle idée que ces trois jolies boucles qui tombent légèrement sur ta nuque !
- C'est pas une idée, c'est juste que ces trois mèches sont trop petites pour rester dans le bandeau…!
- Je vois que tu portes sur ton bandeau le diadème que ton père t'a offert pour ton anniversaire ainsi que mon bracelet, sur le haut de ton bras. Ils sont parfaits pour la circonstance!
- Merci de me faire remarquer que je porte rarement les bijoux que vous m'offrez, toi et papa ! Sache que le diadème est lourd et que ton bracelet est trop serré: il me coupe le haut du bras droit!
- Tes boucles d'oreilles à pendeloques rendent encore plus doux ton si joli visage.
- T'aurais fait une crise si j'avais pas mis les breloques de mémé Thétis!
- Ton magnifique profil grec rendra un bel hommage à la déesse!
- T'as toujours dit que j'avais le nez de papa mais tu dis aussi que son nez est tordu : faudrait savoir !
- La délicate pose que tu prends avec ton bras droit est parfaite!
- STOOOOOP!"
Le cri de l'adolescente fut suivi par un profond silence, puis, au bout de quelques minutes, la jeune fille reprit, énervée :
"Tiens, c'est bizarre! T'as rien dit sur le mouvement gracieux de mon bras gauche ?
- C'est-à-dire que, mon enfant… Enfin… Il se trouve que… Voilà: j'ai demandé à Alexandre de ne sculpter que ton bras droit sur la statue que ton père veut offrir au temple d'Aphrodite.
- Alors, ça sert à quoi que je lève mon bras gauche depuis plus d'une heure ?
- Il ne sert à rien de parler davantage de ton bras gauche puisqu'il...
- Et d'abord, pourquoi mon bras gauche ne serait pas sculpté ?
- C'est que, ma Terpi chérie… mais tu as dû le remarquer… tu as le bras long !"
En entendant cela, la jeune grecque s'écria en lançant un regard effaré à sa mère :
"J'y crois pas! Les bras m'en tombent!
- Si seulement! pensa Alexandre d'Antioche. Comme cela serait plus simple! Mais il me vient tout à coup une idée… bras gauche trop long… bracelet qui coupe le bras droit…"
Ah je n'y croyais plus !
Rêve réalisé !!!
mes bras ont bien grandi
je les ai entraînés
toujours sans me lasser
je connais l'alphabet
les tours et les détours
tout droit, à gauche, en haut
en bas ... Ra-pi-di-té
toujours sans rien lâcher
les signaux, les signaux
et je me sens utile
et me voilà si bien
regardez, c'est si beau
de guider les bateaux !
.
.
.
Toi qui sais m'enluminer en jouant sur ta guitare des notes qui n'existent pas, quand tu étends ton bras de nuit, les étoiles qui se décousent comme des boutons de vermeil tombent sur mes draps et mes yeux..
Toi dont le bras peut attraper sur la dernière étagère du salon la boîte à bonheur en fer-blanc que ma grand mère avait cachée pendant la guerre, c'est tout un doux parfum d'antan que tu libères de tes doigts et qui s'échappe dans le vent.
Toi qui peux m'ouvrir tes bras comme de solides branches où se blottissent les années comme de grands oiseaux sauvages, je pars de ton épaule nue avec mon petit sac à dos, de velours vert comme tes yeux, traversant les forêts salées les déserts d'or et les taïgas, les îles aux volcans enfiévrés, je m'en vais jusqu'à tes mains qui me font entrevoir le ciel.
Toi dont les bras me font un pont ...Si tu savais comme je me fiche que tu n'aies pas le bras long!
Il a le ventre bien rond
Et un double-menton
Sa tête est un vrai melon
Se prend pour Alain Delon.
Mais attention attention
Il a le bras très long,
Fait jouer ses relations
Pour te r’trouver en caleçon !
Des yeux en boutons pression
Une voix de caneton
Des chaussettes en tire-bouchon
La mèche en colimaçon.
Il chante comme Germaine Jackson
En s’prenant pour un baryton
Il bafouille du Jean Sablon
Croyant que c’est du Platon.
Mais attention attention
Il a le bras très long
Fait jouer ses relations
Pour te r’trouver en caleçon !
Il se croit nouveau Néron
Alors qu’il est aliboron
S’imagine en Champollion
En n’étant qu’un potiron.
Mais attention attention
Ses amis le laisse dindon
Son bras raccourci d’un bond
Ne reste que sa prétention !
À ce C..
Depuis quelques semaines, je lis chaque jour ou presque quelques pages de Naissance de Yann Moix, livre qui pèse ses trois livres au bas mot, ce qui est bien plus fort qu'un triple A. Ce poids qui n'est pas une tare en soi [ni en moi(x)!] m'oblige à une installation confortable et stable : je me cale au fin fond d'un bon fauteuil et je ne bouge plus, sinon les doigts pour tourner les pages. Certes, je peux opérer en station horizontale mais dans cette position, le temps est compté si je veux éviter la crampe dans les bras que je n'ai pas si longs que ça, ce qui est bien dommage lorsque la presbytie se fait de plus en plus insistante ! Ainsi, lis-je petit à petit, chaque jour un chapitre – généralement assez court, ce qui est pratique pour découper ma lecture. Finalement, on peut dire que je la déguste cette Naissance qui n'en finit pas, et ce n'est pas plus mal ainsi car en tentant de me farcir plus de mille deux cents pages en quelques jours seulement, je risque l'implosion textuel, la boulimie verbale, l'overdose syntaxique. Le néant der Tal, le vide-ordure, le propre à rien... Le dégoût des autres livres.
Aussi, est-ce de cette façon que, il y a quelques jours à peine, à la page deux cent seize de ce grand œuvre, je suis tombé sur ce passage que je ne mettrais pas à l'index, bien au contraire car je vous l'offre à bras ouverts :
''Il n'y a rien de plus laid sur la terre que de désigner un homme (a fortiori un enfant) du doigt. J'entrais dans un monde de doigts. Doigts tendus nerveusement vers les coupables, plus coupables encore quand ils sont faibles, plus faibles encore quand ils sont innocents. Désigner du doigt : exercice où l'homme me semblait exceller. Délatrice humanité. On m'avait accusé de naître. Puis on m'avait accusé d'être né. On m'avait ensuite accusé d'avoir survécu à cette naissance. Enfin, accusé de continuer à être en vie. Des dizaines de doigts pointés m'avaient déjà transpercé la chair. J'étais criblé d'accusations comme certain saint de flèches.
Qu'avaient donc tous ces adultes avec leurs doigts ? Cela virait à l'obsession. Doigts qui tantôt voulaient se précipiter dans ma bouche pour m'assassiner, tantôt se braquaient vers moi comme des bergers-allemands. Ces doigts tendus comme des nerfs, à qui s'adressaient-ils ? A moi ? A l'être neuf en moi ? Ces doigts, plus particulièrement l'index, guidaient-ils, régissaient-ils le monde ?
Mon premier sentiment fut que l'humanité comptait beaucoup trop sur ses doigts, prolongés d'ongles, noircis, rongés parfois jusqu'aux sangs. De ces mêmes doigts humains pouvaient tout aussi bien jaillir une sonate de Schubert, mais les doigts qui s'étaient donné rendez-vous dans ma chambre n'étaient pas musiciens. C'étaient des doigts politiques, non des doigts artistiques. C'étaient des doigts juridiques et rituels qui fondaient sur vous comme des vautours sur un lapin, vous marquaient d'un coup de bec, puis repartaient faire un tour dans les airs en préparant un nouvel assaut...''
Ce que je trouve incroyable, c'est que je venais de lire quelques instants auparavant la nouvelle consigne du défi du samedi : ''Donner une (ou plusieurs interprétations) de la célèbre locution française : Avoir le bras long !''
Étonnant, non ?
Veuillez toutefois m'excuser de m'être égaré dans les méandres moixiennes... Je vais désormais me reprendre en main et vous donner en un tour de bras ma propre définition. Ainsi donc, je m'y atèle... :
Pour répondre donc à la question posée ce samedi, je dirais que, généralement, lorsqu'on a le bras long, c'est qu'on a les doigts gourds. C'est un peu comme selon une mouvance – marginale ? - des sixties, avec les cheveux et les idées. En ce temps là, on ne coupait pas les cheveux en quatre et les hippies pip hourra n'avaient pas intérêt de crâner s'ils ne voulaient pas finir en épis pis pourra !
Et je n'irai pas plus loin en ma définition et préfère tourner court car, j'imagine que vous mesurez par vous-même, bien qu'à bras raccourcis (position que j'opte obligatoirement lorsque je me retrouve calé dans mon fauteuil avec plus d'un kilo cinq sur les bras), l'étendue des dégâts.
Bon dimanche et à la semaine prochaine !
- Mesdames et messieurs, il nous faut prendre le problème à bras le corps.
Le journaliste, Averell Krapov, se penche vers son collègue et dit à voix basse, à propos du discoureur qui n'a jamais si bien porté ce nom :
- Déjà quand j'entends des phrases comme celle-là, j'ai envie de prendre mes jambes à mon cou !
- Nous devons faire rendre gorge à certaines rumeurs...
- A tous les coups, il va demander qu'on lui file un coup de main !
- ...car enfin j'ai le droit de prendre mon pied où je veux, quand je veux et avec qui je veux !
- Et dans n'importe quel pied-à- terre ! J'ai comme l'impression qu'il traite le problème par-dess(o)us la jambe !
- Ou alors il essaie de nous endormir, répond le journaliste n° 2, Harry Ksaparov. On va se retrouver d'ici peu dans les bras de Morphée !
- D'autres que moi, dans cette équipe de bras cassés, ont été pris la main dans le sac. Déjà, pour parvenir ici, il nous a fallu longtemps jouer des coudes, faire des pieds et des mains. Si je vous demande de m'épauler ce jour, c'est que nous manquons de bras pour éteindre l'incendie. Mais je vais répondre à la question posée par Miss MAP dans le journal « Le Défi du samedi ». En général, les gens qui ont le bras long ne se mouchent pas du coude. On ne leur cherche pas souvent querelle car leurs amis et protections ont vite fait de vous tomber dessus à bras raccourcis. Qu'elle se souvienne du proverbe latin : « Humerus radius cubitus » qui signifie : « Petite mère, tu ne vas pas rester radieuse très longtemps si tu te mêles comme ça des histoires de clavicule des puissants ». Et donc, Mesdames et Messieurs les membres des corps constitués, en vous présentant tous mes vœux de bonheur pour l'année 2014, je vous le confirme, «avoir le bras long» n'a et n'aura jamais qu'un seul sens à mes yeux. Cela signifie et signifiera longtemps encore «avoir de l'entrejambe».
Silence consterné de la salle.
Le discoureur constate l'émoi dans lequel sa conclusion a plongé ses auditeurs puis il corrige :
- Je voulais dire « avoir de l'entregent ».
- Trop tard pour rectifier le lapsus, mon pote ! C'est plié ! Viens, on se casse !
- Tu vas titrer quoi ? » demande Ksaparov à Krapov à la sortie.
- Après le mariage pour tous, l'origami pour tous !
- Ah ouais, pas mal ! En même temps, tu ne te foules pas !
- Normal ! Comme a dit le poète, "l'important c'est l'arthrose" !
On dit que j'ai le bras long, même que les deux le sont. Née à St Germain, je ne me destinais pas à une vie aussi remplie, aussi riche, ou tant de mondes seraient à mes pieds. On m'a donné le nom d'une déesse, je n'en attendais pas moins, mais cela je ne l'ai su, bien après mon parcours. J'ai même réussi à mettre des rois dans mon lit. Lorsque vous me verrez pour la première fois, comme une impression d'eau qui dort, mais méfiez vous. J'ai reçu Jeanne d'arc, un bien triste moment. Ce serait bateau que de dire que la mouche me va si bien. Il m'arrive de noyer le poisson mais sans faire le zouave. Entre mes bras longs, venez, je vous présenterai mes flèches à toucher les nuages, le beau St Louis et dans votre coeur, il ne restera que Notre Dame. Et je finis dans un Havre de paix, mais je ne vais pas vous en faire toute une Seine.
Donner une (ou plusieurs interprétations)
de la célèbre locution française :
Avoir le bras long !
Bonne recherche et à tout bientôt
à l'adresse habituelle :
Epamine ; Venise ; JAK ; MAP ; Vegas sur sarthe ;
Prudence Petitpas ; EVP ; Joe Krapov ; Sergio ;
titisoorts ; Sebarjo ; joye ; Électre ; Célestine ;
Quand il s’est vu ainsi sur le portrait fini, il a ri…
Quand il s’est vu ainsi sur le portrait fini, il a fui …
Un gros mal de tête lui a prit la ciboulette
Et depuis il n’ose plus se regarder dans la glace…
Quand il s’est vu ainsi sur le tableau commandé
A cette artiste qui de lui, s’est jouée,
Meurtri, il a pleuré de dépit…
Son mal de tête a empiré,
Il a presque voulu la tuer…
Et dans une dépression, il est tombé
Quand Hillary l’a su
Elle s’en est beaucoup voulu…
C’est la dernière œuvre qu’elle s’est alors promis
De saccager ainsi…