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Le défi du samedi
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24 août 2013

Participation de Minuitdixhuit

Sa mère l’avait laissé quelques instants sur le trottoir pelucheux et confortable comme on les faisait à présent, le temps de chercher de quoi se restaurer dans une de ces échoppes douteuses et si nombreuses où des occidentaux malingres, plus ou moins clandestins, mal habillés mais polis, vendaient pour un prix modique une nourriture pas toujours bien saine mais finalement succulente, salade, tomate, oignon, dans un pain exotique bourré d’une sorte de glue grillée.

Il y a longtemps de toutes façons que son gamin vautré à ses pieds ne s’intéressait plus à ce jouet de plastique made in CEE qui ne savait que répéter d’une voix de robot à l’accent navrant un fichier midi en secouant sans émotion une sorte de carton mal coloré, vestige d’un siècle passé.  Syno faisait bien mieux depuis pour l’éveil des enfants.

Alors, quand le taxi blanc est arrivé naturellement à sa vitesse maximale, elle n’a pas bougé d’un cil en croquant la tranche d’oignon frit. La programmation centrale savait ce qu’elle faisait et si le jouet inutile fut broyé par les sustenteurs magnétiques de l’engin, pas un des poils blancs et frisés de son enfant qui commençait à s’assoupir ne fut effleuré. Elle le prit dans ses bras, d’un coup de pied jeta le robot disloqué dans l’égout centralisé, s’assit sur le vaste siège et après avoir digité sur son Sumsang 8G sa destination prochaine, elle commanda  pour son bambin endormi, d’une seule pression sur l’easy-touche, une autre sorte de ces poupons grotesques, un modèle blond plus perfectionné et de toute façon tellement bon marché. 

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24 août 2013

Le saperon rouze (Vegas sur sarthe)

“Allez! Accouche!”
“Oh... Ze suis pas une massine. Laisse moi d'abord lire ce qu'y z'ont écrit sous les zimages”
“Ca sert à quoi puisque tu connais ce livre depuis... depuis quand déjà?”
“Ze sais pas... ze sais pas compter”
“Et tu sais pas lire non plus!”
“Passequ'un nounours, ça peut parler peut-être?”
“Si je ne parlais pas, il n'y aurait pas de dialogue et tu serais tout seul dans ton coin à regarder des images que tu as vues mille fois, autant de fois que ta nounou t'a lu ce bouquin avant que tu t'écroules dans ton pieu, gros naze!”
“Où z'en étais moi? Avec tes remarques ze sais plus où z'en suis”
“D'abord, tu devrais tenir le livre à l'endroit...”
“Comment ça à l'endroit?”
“T'as pas vu que le chaperon rouge a la tête en bas?”
“Le saperon rouze? Quel saperon rouze?”
“Ben là, en bas de ta page c'est bien le chaperon rouge!!”
“C'est toi le gros naze! Y a zamais eu de saperon rouze dans Pinocchio!”
“Et à côté, c'est pas la grand-mère peut-être?”
“Y a pas de grand-mère dans Pinocchio... c'est Zepetto le menuisier!”
“Tu veux dire Gepetto?”
“C'est bien ce que z'ai dit... Zepetto!”
“Gros naze, y a pas de Gepetto dans Cendrillon!”
“Tu m'énerves! C'est pas Cendrillon puisque c'est Pinocchio!”
“N'empêche que ton bouquin est à l'envers et que je me casse!”
“Et ben casse-toi... sauf que tu sais pas marcher”
“Je marche tout comme toi... sur quatre pattes, gros naze”
24 août 2013

Participation de Droufn

Le canapé est magnifique quoique un peu salissant pour une sieste crapuleuse. Il aurait mérité d'être au premier plan et le gosse derrière avec son ours, car je doute que ce soit le môme qui soit à vendre, non? Donc soit le photographe est con, soit c'est une feinte pour cacher une grosse tache de pizza. Voilà, c'est tout ce que cette photo m'inspire. Je parle pas du tapis, j'aime pas les tapis, ce sont des nids à poussière. Ni du livre d'ailleurs, je lis pas..

17 août 2013

Défi #260

Septième photo des défis de l'été !

enfant lisantA vous de jouer ...

Nous attendons vos envois à

samedidefi@hotmail.fr

A tout bientôt !

17 août 2013

Ont osé frapper à l'huis :

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17 août 2013

"La trouille" (Djoe L'Indien)

Les deux molosses

Lorsque j'ai voulu attraper l'os
Le premier des cerbères a grogné...
Le second s'est mis à marmonner :
"Grunffff... Si tu y touches je te mords..."

Il faut dire à ma décharge
Qu'il était persuasif
Mais (je sais c'est un peu lâche)

A mon cou j'ai pris mes pieds
Je me suis carapaté
Et depuis cours sans relâche...

17 août 2013

Overture, Ludwig van (Walrus)

Dogue, dogue !

 Les deux molosses

Endrez !

17 août 2013

Passer les trois portes ... ou pas ! (Zigmund)

Il m'était arrivé, il y a bien longtemps de passer cette porte, en invité, pour partager un café.
Pour diverses raisons je n'avais pas souhaité entrer là comme initié.
Déjà mon trop grand penchant pour le désordre...
Mais j'avais remarqué cette sonnette et interrogé mon hôte lequel avait répondu : 
la sonnette ?  oh, simple ornement, elle ne fonctionne plus depuis bien longtemps !

                                                  ...
J'ai attendu d'être presque adulte pour me mettre à tirer les sonnettes ; quand j'étais lycéen, je le faisais systématiquement  sur le chemin du stade, pour exprimer ma révolte,et mon désaccord  avec les activités sportives proposées. Le jour où quelqu'un est sorti et m'a engueulé ainsi que mon prof, j'ai stoppé mes nuisances et me suis cru guéri.

300px-Square_and_Compasses_at_Masonic_Memorial_2


Sans doute ne l'ai je pas été complètement, peut être suis je resté un grand ado, quelque peu bancal aujourd'hui.

                                               ...
Bien des années plus tard,  je marchais péniblement en m'appuyant sur ma canne, dans cette  "rue de la sonnette de la Loge". 
En repassant devant la grande porte, je me souvenais  de cette ancienne  incursion du "côté de la lumière". 
J'ai regardé la sonnette, quelques minutes, l'ai prise en photo... j'étais seul dans la rue... le bâtiment semblait inoccupé.
Bref, je n'ai pas résisté longtemps, et  j'ai tiré la langue du lion.... où était le problème puisque ça ne marchait pas ?  je suis sûr que vous auriez fait pareil...
Sauf que ces traîtres avaient réparé la sonnette, et que j'ai bien entendu une sonnerie  retentir à l'intérieur !
Aïe ! 
Pas question de courir,(entraînement insuffisant) ... La seule solution consistait à  continuer ma route le plus dignement possible : qui pourrait imaginer qu'un bourgeois quinquagénaire pourrait tirer les sonnettes ?
Je ne me suis forcé à ne pas me retourner quand la porte s'est ouverte et que j'ai senti dans mon dos le regard scrutateur du "frère servant" cherchant le jeune polisson sans doute responsable de ce forfait.
S'il m'avait appelé, j'aurais répondu froidement et avec aplomb : "le gosse est parti par là...voyons monsieur, vous pensez bien que ce n'est plus de mon âge de tirer les sonnettes ! "
Si un jour je souhaite passer ce type de porte, il faudra que j'avoue mon forfait (et mon mensonge.)   
 Je crois que, comme Papageno,  je ne suis pas prêt tout simplement.

                                                             ...

 

17 août 2013

La porte emmenée dans une plaisante chute ! (JAK)

 

 

 

Défi 259

 

 

 

Oh Sésame ouvre toi ! Oh porte mystérieuse

 

Défendue par des lions aux gueules alarmantes

 

Derrière toi j’imagine mille fées bienveillantes

 

Ou quelques diables dansants, malins et malfaisants

 

Génie, oh toi sésame fonctionne tout comme une clé

 

Pour ouvrir cette porte sur ses gonds vieillissants

 

Découvrant mille choses que je voudrais saisir

 

Foin des incertitudes, que ma curiosité va peut-être subir

 

Vais-je donc m’avancer sans protéger mes yeux ?

 

De l’horreur que taisent tous ces Arcanes prestigieux

 

Secrets, pouvant uniquement être connus

 

Des seuls initiés dont, c’est certain, je ne suis.

 

Ou bien tout grand vais-je les ouvrir, émerveillée

 

Éblouie devant toutes ces fééries devinées

 

Qui présagent bien des choses humaines à creuser

 

Pour une introspection au profond de moi-même

 

Car, porte Mystérieuse qui semble si bien close

 

Ne dissimulerais tu pas mon âme enlisée

 

Dont je n’ai à ce jour connu la profondeur

 

Ange ou Démon je ne le devine pas encore

 

De t’ouvrir vais-je pouvoir enfin apprendre

 

Autres choses que tout être qu’il soit dur ou tendre

 

N’est qu’un pauvre hère sur cette terre de méandres

 

Parmi tant d’autres hères et qui n’ont encore jamais pu

 

Savoir la vérité sur eux, ou seulement voulu ?

 

Oh Porte fermes toi sur toute cette inquiétude !

 

Dans aucun parchemin, ne s’inscrit, de l’humain la finitude,

 

Insinuant le lien entre son extérieur et son intime

 

Des fins fonds ténébreux aux lumières des cimes

 

Et puis…..

 

Un courant d’air coquin m’a vivement réveillée

 

De mes rêves d’inquisiteur de l’âme j’ai vite dégringolé

 

Mon esprit pragmatique a repris, le dessus

 

Et là, dans cette brocante, cette porte vermoulue,

 

Après m’avoir fait rêver, m’a alors convaincue

 

De l’acquérir, pour clore ainsi mon gentil poulailler

 

Afin que nulles poules ne puissent s’en échapper

 

C’est dès lors, qu’avec splendeur l’enclos des poules elle a fermé

 

Permettant alors à tous mes visiteurs à leur tour de rêvasser

 

Devant elle

 

et,

 

Désormais, c’est ainsi que vous la verrez

 

Poule

Nota pour la chute,

 

Sorte de suite à mon

 

 

Défi du 20 juillet 2013

 

(Non préméditée)

 

Mes poules à plumes, les poules à moi. (JAK)

 

jakepistolaire3.blogspot.fr

17 août 2013

THANATOPRAXIE (joye)

Quand je ne serai plus, ayant vécu ma vie,

Je voudrai que ces chiens me montent bien la garde.

Sur les poignées en noir de mon cercueil garni,

Ils mordront chaque main trop triste ou trop gaillarde.

Et quand les loups d’enfer hurleront à me voir,

Ces deux, lâchant leur proie, iront à ma défense.

Montrant leurs crocs luisants, ils mordront les mollets

De chaque rabat-joie dans les environs denses.

 

C’est bien la moindre chose que la mort me devra :

Un lieu pour le repos qui un jour me viendra.

Quand j’aurai eu mon dû, et tout mené à bien

Je voudrai m'endormir, ô sacré nom d’un chien !

 

defis

17 août 2013

Mine de rien, hein ... (MAP)

Nonosse

17 août 2013

La maison close (Vegas sur sarthe)

 
Le vantail était rouge ainsi que la lanterne
que quelque écervelé avait laissée clairer
j'étais m'avait-on dit le seul de la caserne
à n'être pas venu m'y faire déflorer.
J'étais là tout confus, troublé et sans escorte
les jambes flageolant, conscient qu'au moindre geste
on allait m'humilier et me foutre à la porte
sans avoir consommé ni demandé mon reste.
Je me souvins qu'un jour un oncle m'avait dit:
“une poignée de chance vaut mieux qu'un tas d'échecs”
je serrais celle-là, bravant mes interdits.
Au-delà j'entendais de bruyants boute-en-train
des râles étranglés, je n'étais qu'un blanc-bec
mais je poussai d'un coup les cerbères d'airain...
17 août 2013

MONSIEUR ARNAUD (Lorraine)

 

        Monsieur Arnaud, je l’aime bien. Il est toujours habillé en noir et comme c’est l’été, il porte un beau panama sur ses cheveux blancs. Il habite le haut de la rue où les maisons ont des balcons et des poignées de porte en fer forgé. Nous, on habite en bas, juste à côté de la menuiserie et je joue sur le trottoir avec ma grande poupée Muguette.

        Dans sa promenade, Monsieur Arnaud s’arrête quelquefois. Il m’offre un bonbon mais je dis non, maman m’a appris à ne jamais rien accepter d’un inconnu. J’ai 5 ans. Ce jour-là, il demande:

        - Tu as d’autres poupées que Muguette?

        - Oui, des toutes petites, pour jouer dans ma maison de poupées.

        - Eh bien moi, j’en ai une dans ma poche. Tu veux la prendre?

        Et comment! Je glisse ma main; ce que je sens c’est une drôle de chose molle et tiède sur laquelle je tire un peu, perplexe.

        - Viens avec moi, dit vivement Monsieur Arnaud, des poupées j’en ai plein à la maison.

        Je tiens toujours dans mes bras la grande poupée Muguette. Qui dira comment naissent soudain la méfiance, le sang-froid, la ruse? Et je m’entends dire tout de go:

        - Monsieur Arnaud, je vais déposer Muguette et je reviens....

        Il a un sourire compréhensif et rêveur et moi une frousse rétrospective qui me donne des ailes. Je n’oublierai jamais le visage de maman quand j’ai crié:

        - Maman, il y a un méchant monsieur en bas et il m’attend...

        Elle decend aussi vite que je suis montée, moi sur ses talons et il est là, en effet, surpris, puis inquiet, tandis que maman hurle:

        - Espèce de saligaud (tiens, d’habitude elle me défend de dire ce mot!), Attendez que j’appelle la police, sale type...

        Le carrefour est juste en face, l’agent fait la circulation, il dit qu’il ne peut pas quitter son poste, il conseille à maman d’aller au bureau de polce déposer plainte. Nous y allons. Monsieur Arnaud s’est éclipsé depuis longtemps.

        On n’a rien retenu contre lui. La police est venue à la maison, on m’a posé des questions, pourquoi j’avais dit que Monsieur Arnaud était un méchant monsieur alors que je le trouvais gentil? Un déclic soudain, sans doute, le brusque souvenir de mes parents qui me mettaient en garde depuis longtemps contre ces “méchants monsieur” qui aiment bien les petites filles. Et sans doute le sentiment brutal d’une anomalie...

        Les mois s’écoulèrent. Monsieur Arnaud ne passait plus devant la maison. Et l’hiver revint.

        Un soir, Georgette qui était dans ma classe ne rentra pas de l’école. Ses parents avertirent la police qui débarqua en trombe chez Monsieur Arnaud. Georgette était dans la cave. Nue. Morte. Et à côté d’elle, Monsieur Arnaud pleurait.

 

17 août 2013

Participation de Venise

       

        À peine, l’obscurité était –telle tombée que les masques firent leur apparition dans les rues.

        Sous la pâle clarté de la lune, encapuchonnés comme Des Moines qui émergent  de tous les coins des rues, de mystérieux personnages criaient

                 CARNI    VALE

C’était l’adieu de la chair à l’année

Seule une porte exprimait le silence.

Considérant d’un air impavide les masques qui passaient et repassaient

Devant elle en s’étreignant comme des ours.

On raconte qu’elle gardait le tombeau d’une jeune byzantine

Qui la nuit du carnaval s’échappait du cercueil

Et sous une cagoule de velours rouge, cherche des mains d’hommes.

Soudain dans la cour , sous le porche à la lueur sinistre du réverbère la porte s’entrouvrit

Et laissa apparaitre un grand escalier.

Comme une liane dans une jungle elle dévala les marches et traversa un réseau de serpentins multicolores alors que des chandelles se consumaient dans le hall.                        

La porte se referma alors, libérant les parfums de la belle Byzantine.

La jeune femme fendit la foule de masques en souriant sans se retourner

Et se mit à courir non : pas ce soir dit-elle à de jeunes colombes

 .Soudain des cris de bienvenue lui allèrent tout droit au cœur.

Vous voilà dirent-ils avec un soupir d’aise.

Mon temps est compté dit elle la porte se refermera sur moi à minuit.

La sombre beauté de la Byzantine semblait s’épanouir dans la pénombre.

Ses colliers barbares réfractaient l’éclat de ses yeux.

On dit que chaque année la  princesse byzantine traverse le carnaval de Venise flottant toute la nuit à la surface de ma mer Adriatique

10 août 2013

Défi #259

Sixième photo des défis de l'été :

 

Les deux molosses

Ne restez pas à la porte !

Entrez, si vous l'osez  ...

Et envoyez vos participations à

samedidefi@hotmail.fr

A tout bientôt !

10 août 2013

Ont écrit à la chaîne :

10 août 2013

Dans la roue de Sebarjo (Joe Krapov)

 

vélo 1

1
Sur son triporteur
Pédalant allègrement
Darry fait écowl !

http://www.youtube.com/watch?v=jh81YHMBfos

 

vélo 2

2
Corsica nostra !
Pourquoi donc mon pneu avant
A-t-il éclaté ?

 

vélo 3

3
En Corse et partout
Le port... d'armes est prohibé.
Oui mais... la seringue ?

 

vélo 4

4
Marius et Olive
Sont arrivés détachés
Les mollets en pièces !

 

 

vélo 5 88031309_p

5

Son côté fleur bleue
La bonne soeur le cultive
Sur son cycle. Amen !

vélo 6 88031773_p

 

6
En Camargue on voit,
Belge, vainqueur du Giro,
Un grand Flamand rose !

 

 

vélo 7 88077162_p

7
Les filles des Forges
Leur livre préféré c'est
La bicyclett' bleue !

 

 

 

vélo 8

8
La star du vélo
De Brest à Besançon
Brille dans l'été

 

 

 

 

 

vélo 9 88084583_p

9
Passer la muraille
Et foncer droit dans le mur
Ca, Marcel aimait !

 

 

vélo 10 88159100_p

10
Portant nom de fleurs
Les bateaux s'en vont, vainqueurs,
Fleurir l'océan.

Delphine en Bata
S'en vient près de l'océan
Fleurir le vainqueur

Delphine Batho
N'a pas convaincu céans :
Se trouve un peu fleur.

Près de Saint-Malo
Ce qu'assène Malaussène
Me fait mal aux seins

La bouche (bo) bée
Daniel Pennac croire
Au Vélo breton

 

vélo 11 88185235_o

11

Tour de France
Odyssée de mon enfance
Gardée dans mon coeur !

Même si mal entraînés,
Chantons tous avec Trénet !

 

 

vélo 12 88191160_p

12
Toi et moi, là-haut
Nous chantons André Bourvil

(http://www.youtube.com/watch?v=WizGTZtjgvo)

Un boeuf sur le toit !

 

 

vélo 13 88185357_p

13
Un air plein d'entrain
Retentit joyeusement
Dans la rue d'Antrain

Tout cela se passe à Rennes
Où l'on aim' la petit' reine !

 

 

vélo 14 88215898_p

14
Pierre de rosette
Pour gagner la Tête d'or
Prends du champ, beau lion !

Echappé hier aux griffes
Dans l'ascension d'Aubier l'X

(N'importe quoi !)

 

 

vélo 15

15
Franck Pinard, caviste
En possédera peut-être ?
C'est là son rayon !

http://joekrapov.free.fr/public/0711/070114_39.jpg

 

 

vélo 16

16
On soupçonnerait
De survol à la roulotte
L'aigle du Ventoux !

 

 

 

vélo 17

17
The tea on the bike
Is it run against the clock ?
(or the five o'clock ?)

Amazing ! This is my first English haïkaï !

 

 

vélo 18

18
Elephantastique,
Le vélo-caméléon
Devenu Elmer !

 

 

vélo 19 88232224_p

19
Foncer dans le mur,
Finir en cyclorameur
Sur la barque bleue !

 

 

vélo 20 88232412_p

20
Comble de malchance :
Attraper l'avarie-selle
Sur le tour de France !

 

 

vélo 21

21
Pour nous mettre au vert
Faisons flèche de tout bois
Avec Sebarjo !

 

N.B. Le tour de France en haïkus 2013 a été remporté par les Petits-Bretons de Rennes, M. Sebarjo premier devant M. Joe Krapov, mesdames les championnes de Belgique (Adrienne Merckx) et d'Iowa (Joye Armstrong) ayant renoncé à concourir cette année. Le parcours du vainqueur, avec les crédits photographiques, se trouve ici : 

http://sebarjo.canalblog.com/archives/haikus_de_mon_tour_de_france/index.html

10 août 2013

Participation de JAK

jak1

jak2

10 août 2013

Les quatre cavaliers de l'Apocalypse (Walrus)

 Vous imaginez le spectacle à l'Opéra-Bastille, ou à Bercy !

Durer_Revelation_Four_Riders

 

Bon, ben, au vu des montures fournies par la production, va falloir resserrer le jeu d'acteur !

 88785942[1]

10 août 2013

Ne pas savoir où donner de la tête (Joye)

0velo

Un manque de temps

Pour faire le tour de France

Ou même les Défis.

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